August 2018

Friday 31 August 2018

Alexander Hislop - Les deux Babylones

Alexander Hislop Les deux Babylones.jpg


Acheter la version papier du livre
Alexander Hislop - Les deux Babylones
Ou le culte papal se révèle être le culte de Nemrod et de sa femme


Les DEUX BABYLONES sans aucun doute, l'un des plus importants ouvrages de la littérature chrétienne, expose de façon détaillée la continuité de la tradition religieuse, immuable en ses grandes lignes des origines à nos jours.
D'un style aisé, Alexandre HISLOP analyse avec une grande clarté les croyances religieuses. Il aborde ce problème en érudit et justifie ses arguments par des notes marginales précises et rigoureuses. Sa compétence s'impose indiscutablement.
L'auteur démontre d'une façon irréfutable que presque toutes les pratiques du culte romain proviennent du paganisme. Le voile est enfin levé sur bien des rites de l'Église catholique.
De chapitre en chapitre, notre surprise va croissant en découvrant l'origine païenne des coutumes de la chrétienté, telles que le culte de la « Vierge » le sapin et la bûche de Noël, les œufs de Pâques, etc. Nous constatons que la vénération de la « Vierge » n'est en réalité que l'adoration de la Vénus antique ou d'Astarté et qu'elle provient directement de Babylone.
Certes, cette ville n'est aujourd'hui qu'un monceau de ruines, mais les idées, les conceptions élaborées en son sein, existent toujours et sont partagées en toute bonne foi par la majorité de nos contemporains. Alexandre HISLOP nous montre l'influence incroyable des traditions d'origine babylonienne sur les pratiques religieuses. Qui, en effet, ne désire connaître la signification réelle de ses croyances. Sans se laisser détourner de ce but, il nous convint magistralement de la colossale influence encore exercée sur notre monde moderne par la Babylone antique.
Notre espoir est que ce livre remarquable soit lu et médité par tous ceux qui cherchent vraiment à approfondir leur foi.


Hislop Les deux Babylones.jpg


Alexander Hislop - The two Babylons
Alexander Hislop en anglais


Wednesday 29 August 2018

The hidden Empire

The hidden Empire.jpg


The National Republic - The hidden Empire


The Jewish Race constitutes a complete national organization within every country in the world. It is a great destructive force, undermining and demoralizing the people harboring it. The staggering proportions to which this element has grown within the United States, and the stranglehold it has secured on our public affairs, governmental, educational, and economical, is astoundingly revealed, although in part only, in this booklet.


OUT OF THEIR OWN MOUTH

'To The New York Herald Tribune :
Mr. Treister stated in his letter in your paper that the Jewish people form a very small percentage of the Communists of America. He states that ". . .in Chicago, with a Jewish population of 400,000 there are about 150 Communists" I myself am Jewish, and I come from Chicago. I spent thirteen years in that city.
Approximately 98 percent of us are Communists, and we are not ashamed of it. It is a system laid down to us by our great leader Karl Marx, and only the cowards hide behind "democracy" or "Americanism". I think Mr. Treister should check up on his figures more closely if he would give out information.
Sarah Finkelstein'


CAN OUR CONSTITUTIONAL GOVERNMENT SURVIVE UNDER NEW DEAL JEWISH COMMUNISM ?

Read this book thoughtfully. Get at least 5 friends to read it.
Help to save America from Jewish Control, Inflation, Dictatorship.
Select Americans only for office Nov. 1946 election.
Remember the issue is not between Democrats and Republicans.
But between Loyal American Christians and Alien Jewish Communists.
THE FATE OF AMERICA IS YOUR RESPONSIBILITY.
1 million of these books just came in circulation.


Jew - PDF
Conspiracy - PDF

Tuesday 28 August 2018

Josef Landowsky - Symphonie en rouge majeur

Josef Landowsky - Symphonie en rouge majeur.jpg


Acheter la version papier du livre
Josef Landowsky - Symphonie en rouge majeur
Une radiographie de la révolution sur l’audition de l’ambassadeur soviétique Christian Georgijewitsch Rakowsky par les agents de la GPU,
le 26 janvier 1938 par Kuzmin Gabriel G.


Préface du traducteur de l’édition anglaise
Le texte de cet opuscule est la traduction du chapitre xi d’un livre qui fut publié à l’origine en espagnol aux Editions nos par Don Mauricio Carlavilla, à Madrid, en 1950, sous le titre de Sinfonia in rojo major (Symphonie en rouge majeur), et qui depuis a connu onze éditions.
L’éditeur avait alors très aimablement accepté le projet d’une traduction en anglais, qui est sortie chez The Plain Publishing Company, 43 Bath road, Londres W4. Le chapitre extrait et présenté ici, en tiré à part, est de la plus haute importance et constitue à lui seul un document d’Histoire. Il a été traduit à partir du texte espagnol et du texte russe.
Dans un livre qu’il avait écrit et publié sous le titre de The Struggle for World Power (La lutte pour le pouvoir mondial), le traducteur anglais avait, lui aussi, traité de la question du gouvernement mondial et de la mise en esclavage du monde par ceux qui s’avèrent être à la fois les usuriers du Capitalisme et du Communisme terroriste, qui sont l’un et l’autre des instruments des mêmes forces et servent aux mêmes objectifs. Son livre parut également en espagnol, publié par la maison d’édition de Mr Carlavilla sous le titre : La Lucha per il poder mundial. Dans le texte présenté dans Symphonie Rouge, toute cette question est brillamment exposée et attestée par celui qui fut l’un des acteurs majeurs de la conquête subversive du monde, de son nom Christian G. Rakowsky, l’un des fondateurs du bolchevisme soviétique qui tomba victime d’un procès à grand spectacle juste avant la Deuxième Guerre mondiale sous le règne de Staline. C’est donc un document de grande importance historique, et quiconque s’intéresse à cette période ou au sujet évoqué ne saurait manquer d’en prendre connaissance : rester dans l’ignorance de la thèse exposée, c’est vouloir ne rien savoir ni rien comprendre des principaux événements de notre époque et de ce que l’on en doit attendre.
Dans l’édition espagnole, l’éditeur M. Carlavilla expose ainsi l’origine de ce document :
Il s’agit de la difficile traduction de plusieurs cahiers retrouvés sur le corps du Dr Landowsky, qui fut découvert mort dans une cabane sur le front de Petrograd (Léningrad) par un volontaire espagnol (un membre de la Légion Azul qui combattait le Bolchevisme aux côtés des Armées Allemandes au cours de la dernière guerre). Celui-ci nous les apporta. Mais dans l’état où se trouvaient ces manuscrits, leur restauration exigea un long et patient travail, qui demanda plusieurs années. Nous fûmes longtemps hésitants à décider de leur publication. Ses révélations finales étaient si extraordinaires et si incroyables que nous n’aurions jamais osé publier ces mémoires, si les personnages et les événements mentionnés n’avaient pas correspondu strictement aux faits réels.
Avant que ces souvenirs n’aient paru, nous nous étions préparés à avancer nos preuves et à répondre aux polémiques. Nous répondons totalement et personnellement de la véracité des faits essentiels relatés. Voyons si quelqu’un pourra les récuser, preuves à l’appui.
Le Dr Landowsky, l’auteur du manuscrit, était un Polonais russifié qui vécut en Russie. Son père, colonel de l’Armée impériale, fut fusillé par les bolcheviques au cours de la révolution de 1917. Une histoire de la vie du Dr Landowsky est étonnante. Il fit ses études de médecine en Russie avant la révolution, puis alla étudier deux ans en Sorbonne à Paris, et il parlait couramment le français. Il s’était spécialement intéressé aux effets des drogues sur l’organisme humain en anesthésiologie opératoire. Etant un brillant praticien, il mena des expériences dans ce domaine et avait fait d’importantes découvertes. Pourtant, après la révolution, toutes les avenues lui furent fermées. Il vécut avec sa famille dans le besoin, gagnant sa vie de petits travaux occasionnels. N’arrivant pas à publier ses travaux scientifiques sous son nom, il permit à des collègues plus en vue de les publier pour lui. Le n k v d, la police secrète du régime soviétique, ubiquiste et toujours à l’affût, remarqua ces travaux et s’y intéressa, et elle découvrit facilement celui qui en était le véritable auteur. Sa spécialité s’avérait de grande valeur pour ces organes.
Un jour de 1936, on frappa à la porte du docteur. Quelqu’un l’invita à le suivre, et dès lors il ne devait plus jamais revoir sa famille. On l’installa au siège des laboratoires de chimie du n k v d près de Moscou, et il vécut là, forcé d’y mener divers travaux qui lui furent confiés par ses maîtres, d’assister comme témoin à des interrogatoires, des séances de tortures, des situations des plus terribles et à des crimes. Par deux fois, on l’emmena à l’étranger, mais toujours étroitement surveillé comme un prisonnier. Il connut beaucoup de choses et souffrit beaucoup, d’autant plus qu’il était un homme pudique et religieux. Mais il eut le courage de noter tout ce qu’il avait vu et entendu, et de conserver ces notes, ainsi que — dans la mesure du possible — copie des documents et lettres qui passaient entre ses mains, cachant tout dans les pieds creux de sa table, au laboratoire de chimie. C’est ainsi qu’il vécut pendant la Deuxième Guerre mondiale. Comment arriva-t-il finalement à Petrograd et comment il y fut tué demeure un mystère.
Le document présenté est l’extrait d’un interrogatoire, de celui qui avait été l’ambassadeur des Soviétiques en France, C. G. Rakowsky, enregistré lors des procès des trotskystes en u r s s, en 1938, lorsqu’il fut inculpé avec Boukharine, Rykof, Yagoda, Karakhan, le Dr Lévine et d’autres. L’accusé ayant fait clairement comprendre qu’il pouvait faire des révélations sur des sujets du plus haut intérêt, comptant que cela pourrait lui valoir la vie sauve, Staline avait alors commandé à l’un de ses agents étrangers de mener l’interrogatoire. On sait que Rakowsky fut condamné comme ses coaccusés à être fusillé, mais que sa peine fut finalement commuée en vingt ans de prison. Très intéressante est aussi la description de l’agent en question.
C’était un certain René Duval (connu également sous le nom de Gavriil Gavriilovitch Kus’min — Gabriel en français), le fils d’un millionnaire, un homme intelligent et de très bonne présentation. Il avait fait ses études en France. Sa mère, une veuve, l’adorait. Mais jeune homme il avait été dévoyé par la propagande communiste, et il était alors tombé aux mains de leur agence. Les responsables de celle-ci lui suggérèrent d’aller étudier à Moscou, proposition qu’il avait acceptée complaisamment. Il passa par la dure école du n k v d et devint agent étranger, et lorsqu’il voulut se raviser, il était trop tard : ils ne laissent jamais partir quelqu’un tombé entre leurs mains. Par l’exercice de la volonté, il atteignit « aux faîtes de la puissance du mal », comme il l’appela, et il jouît de la pleine confiance de Staline en personne.
L’interrogatoire fut conduit en français. Le docteur était présent aux fins de droguer Rakowsky en mettant dans son verre à son insu des pilules stimulantes et à effet euphorisant. Derrière la cloison, un magnétophone enregistrait la conversation, mais le technicien chargé de l’appareil ne comprenait pas le français. Le Dr Landowsky eut ensuite à traduire l’interrogatoire en russe et à en tirer deux exemplaires, respectivement pour Staline et l’agent Gabriel. Secrètement, le docteur eut l’audace d’en faire une troisième copie carbone et de la cacher.

G. Knupfer





Version anglaise : Josef Landowsky - Red Symphony
Version espagnole : Josef Landowsky - Sinfonía en Rojo Mayor

Josef Landowsky - PDF


Monday 27 August 2018

Frederico de Echeverria - L'Espagne en flammes




Acheter la version papier du livre
Frederico de Echeverria - L'Espagne en flammes
Un drame qui touche la France de près





Depuis plus de quatre mois, le monde, attentif et inquiet, suit le développement de la guerre civile en Espagne. Ses épisodes se succèdent, nobles ou affreux, macabres ou héroïques. Pour le Français moyen, dont la préoccupation se double de l’angoisse que lui n’inspirent certaines analogies, il y a une réelle difficulté à dégager de la multiplicité des faits let grandes lignes de l’expérience historique qui se déroule sous ses yeux. D’autant plus que son attention est en même temps attirée par de graves événements qui ne cessent de secouer une Europe en fièvre.
Le Français moyen risque ainsi de méconnaître ou d’oublier les causes profondes et les laits essentiels de la crise espagnole. Il risque, de de fait, de voir déformer, dès le début, son jugement sur l’Espagne de demain.
J’écris cette brochure pour attirer son attention sur ces causes et sur ces faits. J’écris pour fournir des bases nettes à sa connaissance d’une Espagne dont le pénible enfantement agite aujourd’hui l’Europe.
Je n’ai pas la prétention de faire dans cette brochure de la philosophie de l’histoire. Encore moins d’énoncer des dogmes sur un thème qui est infiniment complexe.
Je ne prétends que présenter des idées claires à des cerveaux clairs.
Et si je veux et si je crois servir ainsi l’Espagne, je veux et je crois aussi servir ainsi la France, en aidant une compréhension et une amitié qui commandent, à mon avis, et des intérêts de tout ordre et de profondes affinités spirituelles.

Novembre 1936.


Voir aussi : José Antonio Primo de Rivera


Frederico de Echeverria Espagne en flammes.jpg

Wednesday 22 August 2018

Jörg Lanz von Liebenfels - Theozoologie

Jörg Lanz von Liebenfels Theozoologie.png


Jörg Lanz von Liebenfels (Lanz Adolf-Joseph)
Theozoologie, ou la science de l'homme-singe de sodome et de l’électron-divin
Theozoologie, die kunde von den Sodoms - Äfflingen und dem Götter-Elektron
Theozoology, or the science of the sodomite apelings and the divine electron


Jörg Lanz von Liebenfels, ancien cistercien, fondateur en 1900 de l'Ordre du nouveau temple et de la revue Ostara, créateur d'un "christianisme aryen" explicitement raciste et anti-hébraïque


Lanz est le fils de Johann Lanz, maître d'école dont les aïeux avaient été bourgeois de Vienne au XVIIIe siècle, et de Katerina Hoffenreich.
En 1893, il fut reçu comme moine de l'Ordre cistercien à l'abbaye d'Heiligenkreuz en Basse-Autriche, sous le nom de Jörg (Georges) qu'il conservera toute sa vie. En 1894, il commença à déclarer qu'il avait été illuminé par les chevaliers du Temple, et commença à développer des théories sur la blondeur des peuples aryens. En 1899, il renonce à ses vœux, et quitte l’Ordre cistercien. Les autorités de l’abbaye estiment qu’il « succomba aux tentations du monde et de la chair » (von Liebenfels se justifia en affirmant que l’ordre Cistercien avait trahi sa doctrine originelle, c'est-à-dire « raciste »).
En 1905, il publie son essai Die Theozoologie, dans lequel il préconise la stérilisation des malades et des « races inférieures », ainsi que leur mise au travail forcé, et glorifie la « race aryenne » en la dénommant « Gottmenschen » (Hommes-Dieux). Lanz justifie son idéologie raciale en lui conférant cependant des fondements bibliques : Ève (qu’il considère quasi-divine) eut des relations avec un démon, et enfanta les « races inférieures » ; ce qui d’après lui démontre pourquoi les femmes blondes succombent souvent au charmes des « hommes sombres ». Cette situation ne peut être résolue que par un « dé-mélange racial », de façon que le « Chrétien Aryen » puisse « dominer à nouveau les hommes-bêtes à peau sombre » et ainsi accéder à la « divinité ». Il propose la création de Zuchtklöster - « couvent de reproduction » -, où des femmes allemandes seraient fécondées par des mâles aryens. Dans ce même essai, il suggère l'idée de déporter les Juifs autrichiens et allemands à Madagascar.
La même année, il fonde la revue Ostara, Briefbücherei der Blonden und Mannesrechtler, duquel il est le seul auteur, et unique éditeur à partir de 1908. Le jeune Adolf Hitler et son « mentor », le poète et éditeur « völkisch » Dietrich Eckart, furent des lecteurs assidus de la revue.

Il s'installa ensuite au château de Werfenstein en Autriche.
Il a été un disciple de Guido von List (1848-1919) et d'Otto Weininger (1880-1903).


Ostara - PDF
Racialisme, eugénisme - Divers ouvrages

Tuesday 21 August 2018

Le Grand Monarque - Pourquoi les Civilisations s’effondrent-elles ?



Le Grand Monarque
Pourquoi les Civilisations s’effondrent-elles ?

Les cahiers d’Aryanité
Podcasts
Livres
Soutien

Nizar, un français modèle
Abdelkrim est un homme heureux
Pourquoi le communautarisme ? #3
Pourquoi le communautarisme ? #2
Pourquoi le communautarisme ? #1
Investir dans l’immobilier
La matrice juive
Je suis über sioniste
La Russie juive de Kalixt de Wolski
Le Viol de Nathalie
La Sainte Russie
L'Accident de Voiture
Tu pues la France
Ce dans quoi tu t’embarques
Les Cours d’arabe à l’école
Forums communautaires - Présentation


Civilisations - PDF


Pourquoi-les-Civilisations-effondrent-elles.jpg

Monday 20 August 2018

John Gimbel - Science, technology, and reparations

Gimbel John Science technology and reparations.jpg


John Gimbel - Science, technology, and reparations
Exploitation and plunder in postwar Germany


Most people know something about Werner von Braun and the German rocket scientists and engineers whom the Americans brought to the United States after the Second World War.
What virtually no one seems to know is that the plan under which they were brought - Project Paperclip - was but one aspect of a much more comprehensive and systematic program of 'intellectual reparations'. This program began in late 1944 with the limited aim of exploiting German scientific and technical know-how in order to shorten the war with Japan. As Allied armies swept across Western Germany, teams of dozens of American experts - drawn from government agencies, industrial and trade associations, and the universities - visited hundreds of targeted german research institutions, technical schools, and industrial firms.
They interviewed personnel, examined processes and products, took photographs and samples, and demanded drawings, plans, blueprints, research reports, and documents of all kinds. But the limited, war-related aims they began with quickly yielded to the tempting opportunities for industrial and tempting opportunities for industrial and technological plunder in virtually every area of German expertise, including wind tunnels, tape recorders, synthetic fuels and rubber, color film, textiles, machine tools, heavy equipment, ceramics, optical glass, dyes, and electron microscopes. Ostensibly, the information gathered was to be made, in Secretary of State George C. Marshall's words, 'available to the rest of the world'.
In practice, however, much of it was transferred by the scientific consultants and document-screeners directly to their own firms and for their own purposes.

This story has never before been told, and the author's meticulous but highly readable account is based on over ten years of research in German and American public and private archives, many of them previously unused. One of the most striking revelations in the book is the vast scale of the 'intellectual reparations' program. At the Moscow meeting of the Council of Foreign Ministers in 1947, V. M. M olotov, the Soviet Union's Minister of Foreign Affairs, charged that the United States and Great Britain had taken over c10 billion in reparations from germany in the form of patents and other technical knowledge. Secretary of State marshall angrily denied the charge, but no precise evaluation was ever issued by the US government.
On the basis of his research, the author concludes that the $10 billion figure dismissed by State Department functionaries as 'fantastic' is probably not far from the mark. General Lucius D. Clay, the American Military Government, eventually succeeded in having the program shut down in the interests of German economic recovery, but he failed in his efforts to have an evaluation made in monetary terms to establish a credit to Germany's reparations account. Nevertheless, the popular American belief that the United States took no reparations from Germany needs to be drastically modified.
The exploitation program had a negative effect on the early resumption of postwar German research and economic recovery. I n the long run, however, the American exploitation program furthered an extensive network of American-German scientific, business, and industrial collaboration, and it contributed to the American climate of opinion that insured West germany's participation in the Marshall Plan. Throughout the book, the author has used case studies to illustrate the program - its nature, extent, and impact upon the Germans and Americans.


Second World War - PDF

Thursday 2 August 2018

David Kupelian - The marketing of evil - Audiobook

David Kupelian The marketing of evil.jpg


David Kupelian - The marketing of evil - Audiobook
How radicals, elitists, and pseudo-experts sell us corruption disguised as freedom


Millions of Americans today accept ideas and behaviors that would have horrified all previous generations. Why ?

Why have thousands of years of Judeo-Christian moral standards suddenly been abandoned ? What's behind today's divorce epidemic ? Why is public prayer being criminalized ? Why are 3,000 innocent unborn children aborted daily ? In this widely acclaimed exposé, veteran journalist David Kupelian reveals the brilliant marketing strategies that have turned America upside down.

"Within the space of our lifetime, much of what Americans once almost universally abhorred has been packaged, perfumed, gift-wrapped, and sold to us as though it had great value. By skillfully playing on our deeply felt national values of fairness, generosity, and tolerance, these marketers have persuaded us to embrace as enlightened and noble that which every other generation has regarded as grossly self-destructive - in a word, evil."


Henry Ford - The international jew - Audiobook
Eugene Michael Jones - The jewish revolutionary spirit - Audiobook
For more audiobooks

Vanguard_News_Network.jpgVanguard Audio Books - Alex Linder
www.alexlinder.com

Vanguard News Network - Audio Book
VNN Forum - The massive
Vanguard News Network - No jews Just right