We are pleased to present our second documentary White Australia Rising: Winter Nationals 2025
This time, we will follow our Winter Nationals event that took place in early August 2025.
To keep up to date, follow WhiteAusMedia on Telegram and Rumble, as we all know YouTube will not last long.
A l’IREF, nous avons souvent critiqué les propositions économiques et fiscales de Marine Le Pen et du RN. Malheureusement, l’actualité nous donne, une nouvelle fois, raison. Lors de l’examen du budget 2026 qui a démarré lundi 20 octobre en commission des finances, le RN, par la voix du député Jean-Philippe Tanguy, a voté l’amendement proposé par Eric Coquerel, député de LFI, sur l’instauration d’un « impôt universel ». Il s’agit de « réfléchir aux modalités d’instauration d’une contribution au pacte républicain pour le citoyen français dont la résidence fiscale est située dans un pays étranger et dont les revenus excédent 200 000 euros. Il doit lancer un programme ciblé de renégociation des conventions fiscales avec les pays dont le taux d’imposition sur les revenus d’activité, les plus-values et les successions sont inférieurs de plus de 50 % à l’impôt français. » Il doit « inviter le législateur à trouver les moyens pour permettre à l’administration fiscale française d’identifier les Français établis fiscalement à l’étranger notamment par des obligations déclaratives. » Autrement dit, l’administration doit ficher ces contribuables qui fuient l’enfer fiscal français.
Pour le député J.P. Tanguy, l’amendement LFI « n’est pas idéologique » et « fuir la France est immoral ». Dans la foulée, les députés ont aussi approuvé la prolongation de la contribution différentielle des hauts revenus (CDHR), instaurée en 2025, qui fixe un taux minimal d’imposition de 20% pour les ménages dont les revenus dépassent 250.000 euros par an. Ils ont renforcé la mesure, via un amendement du député… LR, Nicolas Ray, qui prévoit de prolonger cette CDHR jusqu’à ce que le déficit repasse sous les 3% du PIB. Le parti de Mélenchon, celui de Marine Le Pen et le LR ont le même programme pour la France et les Français : taxer encore plus.
C'est le film (et livre) dont je suis le plus fière ! "Escadrons de la mort, l'école française" est un documentaire de 52 minutes qui a été diffusé sur Canal+ en 2003 et ARTE en 2004. Il raconte comment la France a exporté vers l'Amérique du Sud et du Nord les méthodes de la "guerre anti-subversive" qu'elle avait développées pendant les guerres coloniales d'Indochine, puis d'Algérie : quadrillage du territoire, torture systématique, pour obtenir du renseignement et disparitions forcées. Ces "techniques de la guerre moderne" ont été enseignées par les militaires français aux généraux argentins qui ont conduit l'une des dictatures militaires les plus sanglantes de 1976 à 1982.
S'appuyant sur des archives inédites et sur les déclarations exclusives de nombreux anciens généraux - français, américains, argentins, chiliens - mon enquête a contribué à la réouverture des procès contre les militaires argentins, et j'ai été régulièrement citée comme témoin dans les tribunaux à la fin des années 2000. Dans mon livre éponyme, je raconte que j'ai réussi à interviewer quatre responsables de la junte argentine, en me faisant passer pour une historienne d'Extrême droite...
Le film a obtenu le Prix de l'Investigation au Festival international du grand reportage audiovisuel (FIGRA), le Award of Merit (Latin American Studies Association/ USA), et le Prix du meilleur documentaire politique (Laurier du Sénat). Lors de la remise de ce dernier prix, Bernard Stasi a prononcé ces mots: "J'ai honte pour la France. J'espère que ce film contribuera à éclairer l'une des faces les plus sombres de son histoire".
La musique du film a été écrite par le compositeur et musicien chilien, Sergio Ortega, un réfugié politique qui était très ému de participer à ce film et qui nous a malheureusement quittés peu de temps après.