Major Osman-Bey - Révélations sur l'Assassinat d'Alexandre II


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Major Osman Bey - Révélations sur l'Assassinat d'Alexandre II
publié à l'occasion du 5me anniversaire de l'assassinat d'Alexandre II


Plusieurs salves d'artillerie annoncèrent urbi et orbi la publication imminente de nos Révélations par la Gazetta d'Italia.
Cette publication commença, en effet, le 4 septembre 1883 et s'arrêta court le 18 janvier de l'année suivante.
Cinq longs mois pour publier une sensation de cette sorte !
Mais ce qui est plus épatant encore, c'est à coup sûr le stop-her que fit faire à sa machine le rédacteur en chef de la dite feuille. Car, se voyant face à face avec le vingtième chapitre, il fit halte-là, laissant l'honorable public et l'auteur avec un pied de nez.
Celui-ci a fait encore mieux; il n'a rien publié du tout. Pourtant sa signature l'obligeait à publier les Révélations au terme du 1er mars 1884. Ces faits se passent de tout commentaire :
à eux seuls, ils servent à montrer au lecteur de quel acabit sont les gens qui redoutent nos Révélations
OSMAN-BEY.
L'éditeur Sommaruga purge en ce moment-ci sa condamnation à sept ans de travaux forcés, due à d'autres escroqueries.


La présomption finit toujours par égarer les hommes. On regarde à ses épaulettes, on admire ses crachats et l'on finit par se croire des phénix capables de tout.
Et que firent ces hommes d'Etat une fois en tête à tête? Voici en peu de mots ce qu'ils firent. D'abord ils eurent soin d'utiliser nos indications et nos instructions, afin de mettre la main sur les comités et leurs affiliés : ce travail leur donna du fil à retordre pour cinq ou six mois. Après avoir saisi tous ces comités, ou une bonne partie, Ignatief conçut l'idée lumineuse de porter un coup mortel aux Juifs, en organisant des contre-comités russes, sorte de comités de salut public.
C'était encore de la démence car Ignatief, qui se dit général, aurait dû savoir « Qu'un comité révolutionnaire, ou offensif, enfoncera toujours une douzaine de comités de salut public, ou défensifs, pour mieux dire. »
Les rudiments de l'art de l'attaque et de la défense établissent cet axiome. Mais ensuite, prétendre surpasser des Juifs en activité et en ruse avec des moujiks russes, ce n'est plus de la démence, c'est de la stupidité toute pure.
C'est vrai que les Russes ont toujours eu la prétention d'être plus juifs que les Juifs.
Malgré cela, nous doutons fort que, dans une exposition universelle, les Russes aient aucune chance d'emporter le grand prix de la haute école de friponnerie. L'autre grande mesure due à l'initiative d'Ignatief, ce sont les battues aux Juifs organisées dans le midi, à Balta et ailleurs. Le comte a-t-il jamais réfléchi à quoi ressemblent ces battues, à bâtons rompus, dirigées contre quelques vieux Juifs en soutane noire et barbe pointue ?
Elles ne sont ni plus ni moins que des égratignures, de ces coups de canif qu'un gamin s'amuserait à flanquer contre l'écorce d'un cèdre séculaire !
Il faut bien autre chose que des coups de canif pour abattre cet arbre gigantesque qui se nomme le judaïsme cosmopolite : il faudrait des milliers, des millions de haches à la vapeur, frappant toutes à la fois, et peut être qu'avec elles on réussirait à l'abattre, après des années de travail.


Pour plus d'informations

Major Osman-Bey - The Conquest of the World by the The Comittee for Truth in History - The Six