Urbain Gohier - Le complot de l'Orléanisme et de la franc-maçonnerie


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Urbain Gohier - Le complot de l'Orléanisme et de la franc-maçonnerie
Contre la France et contre la république


« Juillet 1830 », le drapeau tricolore (Léon Cogniet, 1830). A gauche, le drapeau blanc de la Restauration orné d'une fleur de lis ; à droite, le drapeau tricolore.


Urbain Gohier, de son nom de naissance Urbain Degoulet, a signé deux de ses livres du nom de plume Isaac Blümchen, né à Versailles le 17 décembre 1862 et mort le 29 juin 1951, est un avocat, journaliste et écrivain français.


M. de Cathelineau, interprète bien qualifié du sentiment royaliste, dit à l’assemblée des vieux Chouans : « Ce qui est anti-français, c’est d’être Orléaniste, car l’histoire des d’Orléans n’est qu’un tissu d’infamies et d’attentats contre la patrie ! »

Le général Comte de Cornulier-Lucinière, dans son livre de famille, attesta : « Rien ne peut laver la tache indélébile, anti-royaliste et antipatriotique, qui enveloppe cette famille d’Orléans dans un linceul de honte et d’ignominie ».

Le très royaliste et très catholique Marquis de La Vauzelle, dans une lettre en date du 16 avril 1923 (Vieille-France, n° 336), a fixé les origines honteuses et les crimes de la tribu d’aventuriers qui usurpe aujourd’hui le nom et le titre des Guise.



Les ouvrages d'Urbain Degoulet






La Franc-maçonnerie a été importée d’Angleterre en France au commencement du XVIIIe siècle, — à l’époque ou Philippe d’Orléans, Régent, et son infâme abbé Dubois, premier ministre, étaient pensionnés par le gouvernement britannique pour trahir les intérêts français. La trahison du « d’Orléans » alla jusqu’à mettre la France en guerre confire le petit-fils de Louis XIV, roi d’Espagne.
Notre pays fut alors le vassal de l’Angleterre comme il devait l’être au XIXe siècle de 1830 à 1848, sous le règne de Louis-Philippe qui avait écrit : « Je suis Anglais avant tout ».
La Prusse, création de l’Angleterre contre la France, a toujours été un foyer de la Maçonnerie, dont Frédéric ii fut l’ardent animateur.
Des Loges de Londres et de Berlin sont venues les consignes aux Loges de France, avant, pendant et depuis la Révolution.
Et les « d’Orléans » (ou prétendus tels) ont toujours été les complices de l’Angleterre, de la Maçonnerie, de la Juiverie, pour la destruction des Bourbons et pour l’abaissement de la France.
La F  ∴ M ∴ est, depuis l’origine, l’alliée ou plutôt l’instrument des Juifs pour l’accomplissement du plan tracé dans les Protocoles.
Tous les partis français sont profondément enjuivés, donc maçonnisés ; celui qui l’est le plus anciennement et le plus profondément est le parti « orléaniste ».
Dès le XVIIIe siècle, le duc de Chartres, futur duc d’Orléans, Philippe-Égalité, allait a Londres prendre les ordres du juif Haïm Jacob Falk, alors grand chef des organisations secrètes dépendant de la F ∴ M ∴, en quelque sorte précurseur de Weisshaupt. Le même personnage, par sa trahison en pleine bataille, sauva la flotte anglaise de la destruction à l’affaire d’Ouessant (1778).
Ce duc d’Orléans était Grand Maître de la Maçonnerie française, qui avait pour devise, mot de passe et mot d’ordre L.P.D., Lilia pedibus destrue : guerre à mort aux Bourbons, surtout à la branché aînée des Bourbons.
La Franc-Maçonnerie promit au duc d’Orléans le trône de France, en échange de son concours pour détruire la royauté légitime.
Le duc d’Orléans, par lui-même et par son mariage avec la fille du duc de Penthièvre, était le plus riche propriétaire foncier d’Europe. A ses immenses revenus, il joignait les ressources tirées de la multitude de lupanars et de tripots qu’il avait installés dans les galeries du Palais-Royal.
II mit cet or au service de la Révolution violente ; il subventionna les pamphlétaires et les meneurs d’émeutes ; il inonda la Cour, la ville et la province de hideux libelles contre Marie-Antoinette. Il fit égorger (avec quels raffinements !) la princesse de Lamballe, sa belle-sœur et créancière. Travesti en « femme des Halles », il conduisit la foule sanguinaire aux Journées des 5 et 6 octobre, et dirigea les assassins dans le dédale des appartements royaux à Versailles, jusqu’à la chambre de Marie-Antoinette ; elle n’y était plus ; il la poussa sur l’échafaud.
Pendant le long procès de Louis XVI, il suivait avec une lorgnette l’agonie de sa victime.
Les 15, 16 et 19 janvier 1793, il vota : la culpabilité du roi ; le refus de soumettre le jugement au peuple ; la peine de mort ; le refus de surseoir à l’exécution. Quatre fois bourreau de son bienfaiteur !
Le 21 janvier, installé sur la terrasse du Garde-Meuble, il savoura l’exécution, et il écrivit aussitôt à son âme damnée, Choderlos de Laclos, intendant de ses orgies : « Je viens de voir saigner le gros cochon ». Puis il alla, au témoignage de Chateaubriand, apaiser ses sens enflammés dans une débauche contre nature, traditionnelle chez les d’Orléans depuis le « Roy de Sodome », frère de Louis XIV, qui avait fait empoisonner sa femme (Henriette d’Angleterre ; Madame est morte !) par ses mignons (chevalier de Lorraine, marquis d’Effiat).
Comment expliquer tant de forfaits contre la Maison de Bourbon si Philippe-Égalité avait été lui-même un Bourbon ? Et comment expliquer que la Maçonnerie eût choisi un Bourbon pour exécuter le programme L.P.D. ?


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