You are not logged in.
Pages: 1
Robert Faurisson
vidéo :
Robert Faurisson - Radio Courtoisie - mars 1989.mp3 (54.75 MB)
mp3 :
vidéo :
Robert Faurisson entrevue avec Ivan Levai - Europe 1 17 decembre 1980 vers 08h30.mp3 (5 MB)
mp3 :
vidéo :
Radio Renaissance 27 05 1989
Robert Faurisson - Radio Renaissance 27 05 1989.mp3 (74.15 MB)
CONFÉRENCE DE ROBERT FAURISSON SUR RADIO-RENAISSANCE
En mai 1989, R. Faurisson faisait un exposé complet de ce qu'il faut entendre par "révisionnisme." La causerie s'est étendue sur trois émissions de cette radio, aujourd'hui disparue. Un an plus tard, la loi Gayssot allait rendre ce genre d'événement impossible.
Robert Faurisson - Radio Renaissance 27 05 1989.mp4 (58.42 MB)
Last edited by DejuificatorII (19-07-2011 16:56:11)
Nous serons toujours là.
Offline
Faurisson Robert - Algerie Network fin 2011.zip (81.68 MB)
Notre combat contre la plus phénoménale imposture des temps modernes
Thursday, January 5, 2012
Serge Klarsfeld vient de le déclarer : « Si la loi Gayssot navait pas été adoptée [et inscrite au Journal officiel de la République française le 14 juillet 1990], on assisterait depuis vingt ans à une avalanche darticles et douvrages niant la Shoah, alors que cette loi, arme contre lantisémitisme, a muselé lhistorien Robert Faurisson et ses émules, sauf sur Internet où les opinions exprimées en ce sens nont pas à être plus prises en considération que les lettres anonymes » (« Oui, les lois mémorielles sont indispensables », Le Monde, 4 janvier 2012, p. 18 : http://www.lemonde.fr/idees/article/201 … 3232.html).
A lui seul, ce fragment de S. Klarsfeld contient son lot derreurs mais je ne prélèverai quune seule de ces erreurs, celle qui revient à occulter un fait : en dépit de cette loi nous avons, mes « émules » et moi, publié en dehors dInternet des milliers de pages, en particulier grâce aux Annales dhistoire révisionniste, à la Revue dhistoire révisionniste, aux Editions Akribeia, au Choc du mois, à Rivarol ..., ce qui parfois a coûté fort cher aux auteurs et aux éditeurs. En France, Vincent Reynouard, à lui seul, dans Sans concession et ailleurs, a publié plus que quiconque et la payé de neuf mois de prison et de lourdes peines financières.
Quant à nos publications sur Internet, nen déplaise à notre commissaire politique, elles sont bel et bien « prises en considération », cest-à-dire lues de près, dénoncées et condamnées par les puissants du jour. Je pourrais en fournir bien des preuves mais je me contenterai dune seule : plusieurs chefs dEtat ont publiquement alerté le monde sur les dangers dexpansion du révisionnisme historique. Jacques Chirac, président de la République française, est allé jusquà prendre en décembre 2006 une surprenante initiative personnelle : pour une étude (http://robertfaurissonblogspot.com/2006 … nisme.html) que je présentais alors dans une conférence internationale organisée à Téhéran, soit à mille lieues de France, il annonçait à son de trompe quil demandait louverture à Paris dune enquête judiciaire à mon encontre. Cette enquête allait me valoir 1) trois perquisitions (sur les quatre que jai eu à subir) opérées à chaque fois à mon domicile par cinq policiers armés, 2) une garde à vue humiliante lors de laquelle, soit dit en passant, il a été impossible aux policiers de me trouver, comme lexige la loi, un avocat (les deux avocats contactés, apprenant mon nom, ont refusé de se déplacer), 3) la saisie à la fois de mon ordinateur (dune valeur de 1 200 ), dun disque dur externe et de trois clés USB.
Quatre ans plus tard, le 14 février 2011, je présentais à Mme Fabienne Pous, vice-président de linstruction au tribunal de grande instance de Paris (2-4, boulevard du Palais) une requête en restitution des objets saisis. La dame me répondait par une « ordonnance de refus de restitution » ; elle faisait notamment valoir que, vu les réquisitions dun procureur (anonyme), « le matériel informatique concerné a fait lobjet dune première expertise, que les conclusions expertales [sic] sont en cours dexploitation sur commission rogatoire et quil convient de préserver les preuves qui se sont avérées si difficiles à réunir ». Elle ajoutait que, si lon trouvait dans le matériel saisi un motif à me poursuivre, je serais poursuivi.
A ce jour, je ne suis toujours pas rentré en possession du matériel informatique qui ma été confisqué et mon affaire reste encore pendante plus de cinq ans après léclat intempestif de Jacques Chirac.
Lors de cette conférence qui sest tenue en Iran et qui était ouverte à tous (révisionnistes comme exterminationnistes), javais commenté le résultat de mes recherches en ce qui concerne ce quon appelle « lHolocauste » ou « la Shoah ». Ce faisant, je nenfreignais aucune loi du pays. Mais, en France, incontinent, sétait levé Jacques Chirac pour clamer quà Téhéran javais enfreint une loi française. A lépoque le personnage se signalait par une remarquable aptitude à se laisser manipuler par son entourage juif (de Simone Veil au CRIF). Déjà, en juillet 1995, il avait fait totale allégeance aux organisations juives, accusant son propre pays davoir « commis lirréparable » pendant la Seconde guerre mondiale (ce qui, interprété par S. Klarsfeld « et ses émules », allait ouvrir droit à toutes sortes de réparations financières !). Ses prédécesseurs à la tête de lEtat sétaient, eux, toujours refusés à commettre une telle indignité.
Dans mon propre cas, lincongruité de linitiative chiraquienne sexpliquait en partie par létat dalerte permanente où vivent en Occident les dirigeants politiques. Ils en ont claire conscience : si jamais venait à se fissurer le mythe de « lHolocauste », épée et bouclier de lEtat dIsraël, nul ne peut dire ce quen seraient les conséquences pour cet Etat, et donc pour le monde occidental.
Pour moi, si jamais je devais, une fois de plus, me retrouver à la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris, ce ne pourrait être vraisemblablement quen 2013 avec une possibilité dappel en 2014 ou 2015. La Cour de cassation aurait éventuellement à examiner la possibilité de transmettre au Conseil constitutionnel linévitable « question prioritaire de constitutionnalité » de la loi sur le fondement de laquelle je serais poursuivi. Abstraction faite dun recours auprès de la Cour de cassation, laffaire judiciaire ne pourrait trouver sa conclusion quen 2015 ou 2016. Cest seulement alors que prendrait fin lentreprise sans précédent de Jacques Chirac, relayée par Fabienne Pous. Mon donneur de leçon est aujourdhui sénile au point que, récemment condamné pour délinquance de droit commun, on la gratifié dune peine de prison avec sursis. Fabienne Pous, quant à elle, a 56 ans. Pour moi, dans vingt jours, jatteindrai lâge de 83 ans : autant le dire, la solution biologique sera en vue.
A ce compte, pour reprendre le mot de La Fontaine, « Avant laffaire, / Le Roi, lÂne ou moi, nous mourrons » (le mot figure dans une fable de haulte graisse intitulée « Le Charlatan »).
Depuis 38 ans (juillet 1974) la « police juive de la pensée » veut me bâillonner ; S. Klarsfeld, nous prenant sans doute pour des chiens, et qui mordent, a voulu, lui, nous « museler ». Jusquà présent nul nest parvenu à nous poser bâillon ou muselière. Est-il raisonnable dimaginer que, dans mon cas, on y parviendra un jour ?
Depuis quelque temps, la révision de fond en comble du prétendu « Holocauste des juifs », des prétendues « chambres à gaz nazies » et des prétendus « Six millions de victimes juives » connaît, en France et à létranger, un tel développement quon voit mal comment on pourrait en arrêter lexpansion naturelle. Dans un proche avenir le révisionnisme devrait, par une action déclat sur la scène internationale, démontrer sa vigueur mais, comme de coutume, il en coûtera peut-être cher à certains dentre nous. Il importe peu : notre combat contre la plus phénoménale imposture des temps modernes vaut quon lui sacrifie son repos et peut-être même son existence.
NB : Une perle de Simone Veil, grande amie de J. Chirac : la Shoah est « lextermination systématique et totale de tout un peuple » (lettre dappel de fonds du 20 octobre 2011, diffusée en janvier 2012 par le Mémorial de la Shoah). Déjà réputée gazée sous le nom de Simone Jacob (Hefte von Auschwitz 7/1964, p. 88), la voici morte, victime dune extermination totale de tout un peuple. Le sien.
http://robertfaurisson.blogspot.com/201 … enale.html
Faurisson Robert - VoR The Heretics Hour 20110509.mp3 (12.84 MB)
Offline
Pages: 1