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Kalikst de Wolski
La Russie juive
http://www.histoireebook.com/index.php? … ssie-juive
http://www.balderexlibris.com/index.php … ssie-juive
Lorsque les pères shabituent à laisser faire les enfants,
lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles,
lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter,
lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce quils ne reconnaissent plus,
au-dessus deux lautorité de personne, alors cest là en toute jeunesse et en toute beauté,
le début de la tyrannie.
Platon
Ce document, que l'on croyait à jamais disparu,
ressurgit grâce et à cause de la censure exercée sur l'Internet.
Merveilleuse création à l'usage des militaires pour nous soumettre. Leur plus grande faute fut de vouloir amasser plus d'argent avec cet arme.
Nous avons entre les mains un moyen qui fut jadis réservé à ceux qui nous dominent depuis des millénaires. Nous avons enfin la possibilité d'avoir accès à l'information, à la connaissance jadis réservée à ceux qui pouvait se l'acheter.
Si vous êtes jeune, vous ne savez pas ce que pouvait être ces années de recherche pour trouver enfin le LIVRE qui devenait en quelque sorte une quête du Saint Graal.
La majorité de ces livres disparaissent, rachetés et détruits ou mis en bibliothèque secrète à l'usage de quelques-uns.
L'internet offre de multiple possibilité de trouver ces livres. Remarquez que les systèmes de vente en ligne sont sous la coupe de ceux qui se sont "élus" par le fait d'un mariage non consenti avec un $aigneur en offrant, dans la souffrance et le sang, l'anneau nuptial de leur allégeance, les transformant à jamais en déficient de l'Amour (merci au Professeur Jean Gautier et à son chantre M. Dommergue).
Pourtant, ces moyens de vente en ligne sont fort utile pour trouver le rare et l'inconnu même d'eux. Toutefois si vous essayez de trouver des livres comme celui de Robert Ambelain, Les arcanes noirs de l'hitlerisme ; Edt. Robert Laffont - 1984. Vous en trouverez à des prix prohibitifs. Pourquoi ? Simple, on les rachète à des particuliers inconscients du fait et voulant faire une bonne opération financière.
Ainsi disparaissent des placards ces ignobles livres, délateurs de petit ou grands secret utile à la soumission de notre conscience, encore plus rapidement qu'avant.
Avant Internet, il fallait faire le tour des bouquinistes, des bibliophiles, compter sur la providence (la leur) ; maintenant ces livres sont directement envoyés aux innombrables rabatteurs contre un peu d'argent.
Méfiez-vous, scanner votre livre avant de l'envoyer, ou de les vendre à bon prix. [b]Une simple photocopie est aussi indiquée.
Diffusez ensuite sur le Net pas net.
Un lien et il en est fini de l'omerta, de la censure. Une fois sur le net impossible de le faire disparaitre. Comme pour ce livre mis en lien ci-dessus.
Il ne vaut plus rien sur les sites de vente en ligne. Nous en avons fait l'expérience.
Utilisant ce que disait Nicolas Roerich, celui qui soumit l'idée de mettre sur le dollar américain cette belle image qui peuple nos sites de conspiration, cette devise "Aimer, Aider, Donner".
Comme quoi, il n'y a pas que du mal dans ce qu'ils disent, à condition de savoir faire preuve de discernement.
Je sais cela fait New Age tout cela. Mais cela est leur façon de nous soumettre. Utilisons là...
Last edited by AlasDeFuego (05-05-2010 22:20:39)
Il y a encore la Mikva, cérémonie de la purification de la femme.
Kalixt de Wolsky, La Russie juive, Albert Savine, Paris, 1887, pages 294-300
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La Mikva est un grand bassin rond rempli deau, dans lequel les femmes juives doivent, pour leurs relevailles, ainsi que chaque mois, se laver pour purifier leur corps.
Dans les temps anciens, lorsque les Juifs réglaient leur vie selon les lois de Moïse et non selon celles du Talmud, la femme juive, pour ses relevailles, apportait une offrande au grand prêtre et, le soir de la même journée, elle se purifiait par quelques ablutions, sans avoir besoin de se plonger dans leau vive dun ruisseau. Mais depuis que les Juifs se sont laissé guider par les lois du Talmud, les interprètes de ces lois ont entouré la cérémonie de la purification de la femme dune quantité de minutieuses prescriptions (quon trouve détaillées dans le IVe livre de Orah-Haim, du § 183 au § 203). Ces tracasseries, dont le but était la conservation de linfluence des rabbins sur la vie intime des Juifs, par un contrôle exercé sur les actes les plus secrets de la vie intime, ont eu un résultat paradoxalement contraire à celui que lon se proposait, cest-à-dire que la femme juive, en accomplissant la cérémonie de la purification, ne lave pas son corps et ne le rend pas plus propre quil ne létait auparavant, mais elle le salit davantage, et voici de quelle manière :
La Mikva est un bassin denviron un mètre cube de contenance. Selon la loi du Talmud, ce bassin devrait être rempli dune eau vive, mais comme, surtout pendant lhiver, il serait trop pénible de se plonger dans leau froide, on construit le bassin de manière à ny faire arriver quune très minime partie de cette eau vive exigée par le règlement, et à laide dun tube en fer-blanc placé à lintérieur, on chauffe le bassin.
La Mikva se trouve toujours sous terre dans une cave plus ou moins spacieuse, et la cérémonie saccomplit dans une demi-obscurité; la cave nétant éclairée que par une ou deux chandelles de suif. La femme juive qui arrive là pour ses ablutions commence par se déshabiller et par démêler ses cheveux. Elle livre ensuite ses mains et ses pieds à la Neguel-Schneidecke, gardienne placée là exprès pour couper les ongles et, en outre, pour arracher les croûtes des plaies sur le corps de celles qui ont le malheur den avoir, cela afin quil ne se trouve sur le corps rien qui puisse empêcher leau de la Mikva de le baigner entièrement, sans quoi la cérémonie serait considérée comme nulle. Après cette opération, la femme descend dans la Mikva et, après avoir fait une courte prière, elle sy plonge de manière que pas un de ses cheveux ne paraisse à la surface ; elle doit attendre dans cette position le moment où la Tukerke (surveillante qui reste sur le bord du bassin), prononce le mot « Kascher ! ». Un, deux, trois plongeons semblables, et la cérémonie est aux trois quarts accomplie, mais il en reste encore un quatrième, et celui-ci est sans doute le plus pénible de tous. La femme qui a plongé trois fois doit encore se rincer la bouche avec leau de la Mikva, et ce nest qualors quelle peut remonter les escaliers et céder la place à une autre. Deux femmes ne peuvent ensemble accomplir la cérémonie. Il faut que chacune le fasse séparément.
Dans une seule soirée, une centaine de femmes plongent de cette manière dans la Mikva et, daprès le règlement du Kahal, inspiré par une sordide économie, leau du bassin nest changée quune fois par mois, quelquefois même plus rarement. Ainsi, dans cette eau putréfiée et remplie de miasmes, des centaines de femmes doivent accomplir la cérémonie de la purification. Chacune delles est obligée de se rincer la bouche avec cette saleté. Il est facile de comprendre que, dans ces conditions, la Mikva est un supplice pour la femme juive ; cette cérémonie est une cause de maladies de tous genres, qui se perpétuent ainsi parmi ce peuple voué à la saleté.
Quon se figure des centaines de femmes nues, échevelées, et souvent ensanglantées par suite dun excès de zèle de la part de la Negel-Schneidecke, rassemblées dans un souterrain où vacille la flamme de deux ou trois mauvaises chandelles de suif, se pressant autour dun bassin en attendant leur tour dy entrer (bassin doù séchappent des miasmes à donner des nausées), regardant avec effroi celle de leurs compagnes qui vient daccomplir la lugubre cérémonie, et qui, après sêtre rincé la bouche avec cette eau fétide, vomit en remontant les degrés, et cède avec empressement la place à une autre que le même sort attend.
Au milieu de toutes ces femmes, la Tukerke, lhorrible mégère qui ne délivre ses patientes que quand il lui plaît de prononcer le mot « Kascher ! » et qui, à son caprice, peut raccourcir ou prolonger le supplice. Ce tableau fantastique et horrible, semblable à une scène racontée par le divin Dante dans sa descente aux Enfers, serait digne de la plume dun grand poète et du pinceau dun illustre peintre.
En parlant de cette cérémonie sauvage, barbare et digne des temps païens, on est pris dindignation et lon se demande sil est possible quune pareille cérémonie puisse être exigée à titre dacte religieux. Est-il possible quune action aussi dégoûtante saccomplisse au milieu de la civilisation de la seconde moitié du XIXe siècle ? Pauvres victimes du fanatisme entretenu et soutenu par les meneurs du judaïsme ! Pauvres femmes juives ! Il nest pas étonnant quaprès les tortures quon vous fait subir au nom de la religion, votre jeunesse se fane si vite, et quà vingt-cinq ans à peine vous paraissiez en avoir cinquante ! Il nest pas étonnant que vous ayez si peu de goût pour la propreté, puisque au nom de la religion on vous prescrit de vous avilir chaque mois dans une eau putréfiée.
Chaque femme juive qui, chaque mois, vient accomplir cette cérémonie révoltante, imposée par le fanatisme religieux, cest-à-dire lacte de la purification, est en plus obligée de payer une rétribution à un entrepreneur à qui le Kahal vend, au profit de sa caisse, le droit de la percevoir et qui, outre le revenu que cette barbare cérémonie lui rapporte, exerce encore un contrôle indécent sur la vie la plus intime des ménages juifs.
Discours intégral du grand rabbin, au cimetière de Prague
Kalixt de Wolsky, La Russie juive, Albert Savine, Paris, 1887, pages 5-19
Si l'Or est la première puissance de ce monde, la seconde est sans contredit la Presse.
L'or, la plus grande puissance sur la terre, - l'or, qui est la force, la récompense,
l'instrument de toute la jouissance, tout ce que l'homme craint et convoite, -
voilà le grand mystère, la profonde science de l'esprit qui régit le monde !
Voilà l'avenir !...
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Dans son livre de 560 pages consacre à la question juive : LE CIMETIÈRE DE PRAGUE, éditions Grasset. Le faussaire de l'histoire Umberto Eco "oublie" de citer le fameux discours du grand rabbin au cimetière de Prague !...
A SA LECTURE ON COMPREND POURQUOI.
Nous pensons qu'il n'a pas accès à la librairie qui est nôtre. Pour l'aider dans sa tâche ingrate de dire la vérité en utilisant 1200 mots de vocabulaire au moins ; nous lui offrons ce livre et nous remercions sincèrement ceux qui ont su le préserver de la destruction en nous l'offrant sous le format qui convient à une bonne diffusion sur Net.
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Discours intégral du grand rabbin, au cimetière de Prague
Ce discours, extrait d'un ouvrage anglais publié par sir John Readcliff sous le titre de Compte-Rendu des événements politico-historiques survenus dans les dix dernières années, dévoile la persistance avec laquelle le peuple juif poursuit, de temps immémorial et par tous les moyens possibles, l'idée de « régner sur la terre. »
Le voici en entier :
« Nos pères ont légué aux élus d'Israël le devoir de se réunir, au moins une fois chaque siècle, autour de la tombe du grand maitre Caleb, saint rabbin Symeon-ben-Ihuda, dont la science livre, aux élus de chaque génération, le pouvoir sur toute la terre et l'autorité sur tous les descendants d'Israël.
« Voila déjà dix-huit siècles que dure la guerre du peuple d'Israël avec cette puissance qui avait été promise à Abraham, mais qui lui avait été ravie par la Croix. Foulé aux pieds, humilie par ses ennemis, sans cesse sous la menace de mort, de la persécution, de rapts et de viols de toute espèce, le peuple d'Israël pourtant n'a point succombe ; et, s'il s'est dispersé sur toute la surface de la terre, c'est que toute la terre doit lui appartenir.
« Depuis plusieurs siècles, nos savants luttent courageusement et avec une persévérance que rien ne peut abattre contre la Croix. Notre peuple sélève graduellement et, chaque jour, sa puissance grandit. A nous appartient ce dieu du jour qu'Aaron nous a élevé au Désert, ce Veau d'Or, cette Divinité universelle de lépoque !
« Lors donc que nous nous serons rendus les uniques possesseurs de tout l'or de la terre, la vraie puissance passera entre nos mains, et alors s'accompliront les promesses qui ont été faîtes à Abraham.
« L'or, la plus grande puissance sur la terre, l'or, qui est la force, la récompense, l'instrument de toute la jouissance, tout ce que l'homme craint et convoite, voilà le grand mystère, la profonde science de l'esprit qui régit le monde ! Voilà l'avenir !...
« Dix-huit siècles ont appartenu à nos ennemis, mais le siècle actuel et les siècles futurs doivent nous appartenir, à nous, peuple d'Israël, et nous appartiendront sûrement.
« Voici la dixième fois, que depuis mille ans de lutte atroce et incessante avec nos ennemis, que se réunissent dans ce cimetière, auprès de la tombe de notre grand maître Caleb, saint rabbin Syméon-ben-Ihuda, les élus de chaque génération du peuple d'Israël, afin de se concerter sur les moyens de tirer avantage, pour notre cause, des grandes fautes et péchés que ne cessent de commettre nos ennemis, les Chrétiens.
« Chaque fois, le nouveau Sanhédrin a proclamé et prêché la lutte sans merci avec ces ennemis. Mais, dans nul des précédents siècles, nos ancêtres n'étaient parvenus à concentrer entre nos mains autant d'or, conséquemment de puissance, que ce que le XIXe siècle nous en a départi. Nous pouvons donc nous flatter, sans téméraire illusion, d'atteindre bientôt notre but, et porter un regard assuré sur notre avenir.
« Les temps de persécutions et les humiliations, - ces temps sombres et douloureux que le peuple d'Israël a supportés avec une si héroïque patience, - sont fort heureusement passés pour nous, grâce au progrès de la civilisation chez les chrétiens, et ce progrès est le meilleur bouclier derrière lequel nous puissions nous abriter et agir, pour franchir d'un pas rapide et ferme l'espace qui nous sépare encore de notre but suprême.
« Jetons seulement les yeux sur l'état matériel de l'Europe, et analysons les ressources que se sont procurées les Israélites depuis le commencement du siècle actuel, par le seul fait de la concentration entre leurs mains des immenses capitaux dont ils disposent en ce moment ... Ainsi, à Paris, à Londres, à Vienne, à Berlin, à Amsterdam, à Hambourg, à Rome, à Naples, etc., et chez tous les Rothschild, partout, les Israélites sont maîtres de la situation financière, par la possession de plusieurs milliards; sans compter que, dans chaque localité de second et troisième ordre, ce sont eux encore qui sont les détenteurs des fonds en circulation, et que partout, sans les fils d'Israël, sans leur influence immédiate, aucune opération financière, aucun travail important, ne peuvent s'exécuter.
« Aujourd'hui, tous les empereurs, rois et princes régnants, sont obérés de dettes, contractées pour l'entretien d'armées nombreuses et permanentes, afin de soutenir leurs trônes chancelants. La Bourse cote et règle ces dettes, et nous sommes en grande partie maîtres de la Bourse sur presque toutes les places. C'est donc à faciliter encore, de plus en plus, les emprunts qu'il faut nous étudier, afin de nous rendre seuls régulateurs de toutes les valeurs et, autant que faire se pourra, prendre, en nantissement des capitaux que nous fournissons aux pays, l'exploitation de leurs lignes de fer, de leurs mines, de leurs forêts, de leurs grandes forges et fabriques, ainsi que d'autres immeubles, voire même l'administration des impôts.
« L'agriculture restera toujours la grande richesse de chaque pays. La possession des grandes propriétés territoriales vaudra toujours des honneurs et une grande influence aux titulaires. Il suit de là que nos efforts doivent tendre aussi à ce que nos frères en Israël fassent d'importantes acquisitions territoriales. Nous devons donc pousser autant que possible au fractionnement de ces grandes propriétés, afin de nous en rendre l'acquisition plus prompte et plus facile.
« Sous le prétexte de venir en aide aux classes travailleuses, il faut faire supporter aux grands possesseurs de la terre tout le poids des impôts, et, lorsque les propriétés auront passé dans nos mains, tout le travail des journaliers et prolétaires chrétiens deviendra pour nous la source d'immenses bénéfices.
« La pauvreté, c'est l'esclavage, a dit un poète. Le prolétariat est le très humble serviteur de la spéculation. Mais l'oppression et l'influence sont les très humbles servantes de l'esprit qu'inspire et stimule la ruse. Et qui donc pourrait refuser aux enfants d'Israël l'esprit, la prudence et la perspicacité ? »
« Notre peuple est ambitieux, orgueilleux et avide de jouissance. Où il y a de la lumière, il y a aussi de l'ombre, et ce n'est pas sans raison que « notre Dieu a donné à son peuple choisi » la vitalité du serpent, la ruse du renard, le coup dil du faucon, la mémoire du chien, la solidarité et l'instinct d'association des castors.
« Nous avons gémi dans l'esclavage de Babylone, et nous sommes devenus puissants !
« Nos temples ont été détruits, et nous avons relevé des milliers de temples à leur place !
« Dix-huit siècle durant, nous fûmes esclaves, et dans le siècle présent nous nous sommes relevés et placés au-dessus de tous les autres peuples !
http://www.youtube.com/watch?v=stl_8qcV44c
Vu la situation bordélique du lieu, on a la triste impression
qu'ils ont enterré au moins six millions des leurs la-dedans ...
de Wolski Kalixt (Kalikst de Wolski)
La Russie juive. 1887. Version numérique 2013
http://www.histoireebook.com/index.php? … ski-Kalixt
Ivan Vladimirov (1869-1947)
Dans les sous-sols de la Tchecka à Moscou dans le
bâtiment de la Loubianka (rue Grande-Loubianka). 1919.
Toi, qui tapprête à lire ce document, sache que celui‑ci fut
pendant un siècle mis à lindex. On ne pouvait le lire du fait de
sa mise au secret par le grand Kahal. Lauteur et tous ceux qui ont
participé à sa réalisation ont eu à souffrir de la haine des Juifs.
Remercie-les en pensée, prie pour leurs souffrances endurées.
Nous plaçons la recension numérique de cet ouvrage
remarquable et utile à tout bon chrétien sous la protection du
Christ, de sa sainte Mère et de tous les Saints de la Sainte Russie
qui eu tant à souffrir de la haine juive.
Lenculus, le trois fois maudit
Sommaire
Avant-propos
Chapitre I La Question juive. - Gouvernement occulte des Juifs. - Le Kahal et le Bet-Dine. - Le Livre sur le Kahal, de Brafmann. - Le discours dun grand rabbin. - But poursuivi par le peuple juif en tout pays. - Le Veau dOr toujours debout. - La toute-puissance de lOr promise aux fils dAbraham. - Elle va se réalisant et lon touche au résultat tant attendu. - Tableau de la situation financière en Europe. Les Juifs en sont partout les maîtres. Il sagit pour eux de parachever luvre de domination en tout et partout. À qui veut la fin, tous moyens sont bons. Il faut sentraider entre Juifs. A eux les questions sociales et le faux zèle démocratique, pour agir sur les masses et les soulever à point nommé. Les révolutions, clandestinement provoquées et fomentées par eux, font les Juifs les Rois de la Terre.
Chapitre II Toussenel et Les Juifs, Rois de lÉpoque. Eux, peuple de Dieu ! Allons donc ! Tas de farceurs, de grugeurs. Tacite, Bossuet, Voltaire, Fourier, unanimes à ce sujet. Les Juifs, raffineurs en fraude commerciale, voilà où ils excellent. La Prusse et la Russie en savent quelque chose. Napoléon Ier lavait bien senti, dès 1805 ; et cependant ! Trafic et usure, métier exclusif des Juifs. Ils nemploient leurs dix doigts quà manier et pressurer largent. Monopoleurs et accapareurs, parasites et vrais vautours, tels sont les fils non dégénérés des pharisiens et des scribes dIsraël.
Chapitre III Les Juifs peints par lun deux. Leurs mystères dévoilés. Plus de mille ordonnances du Kahal et du Bet-Dine. Le vieux Talmud mis au rancart et remplacé, pour les besoins nouveaux, par une doctrine arbitraire et despotique. Tout pour dominer per fas et nefas. Démonstration par les faits et les documents péremptoires. Ce qui sest passé en Russie, en Pologne, en Sibérie, en Roumanie, même en France. Protestation trop motivée des Roumains et des habitants de Vilna contre les envahissements des Juifs. En vain a-t-on voulu supprimer le Kahal et le Bet-Dine.
Chapitre IV Documents servant de preuves à lappui de tout ce qui précède.
Chapitre V Les facteurs juifs, agents commissionnés par le Kahal. Agents de surveillance et agents de corruption. Ils sont toujours partout, et rien ne leur échappe. Agents de la basoche. Salaires dentremetteurs. Le rapport au Kahal. Juifs et Goïms. Juifs et Juifs. Juifs et Kahal. Kahal et Goïms. Les dons et largent : arme de prédilection, talisman irrésistible. La pièce : un mot au Ministre. Comment procède le Kahal. La commission denquête de lEmpereur de Russie. Comment elle fut paralysée. La cotisation juive, dun million de roubles dargent. Lultima ratio du poison. Le tentateur repoussé. Temporisation de lEmpereur. Le directeur général Spiranski. Le ministre Koczubéi. Le serpent Péretz. Ukase de réforme rengainé et statu quo maintenu. Le tour est joué : Vivat Mascarillus ! Les paysans russes continueront à être intoxiqués à bons deniers comptants.
Chapitre VI Documents fournissant la preuve authentique de tout ce qui a précédé.
Chapitre VII La cuisine des abattoirs juifs. La viande prétendue pure et la viande impure bonne pour les Chrétiens. Kochère et Tref. Limpôt de la boite pour le Kochère. Le Shochet ou boucher privilégié. Barbarie révoltante et adresse merveilleuse. Les huit espèces de viande impure (Tref). Profonde science sur le tref. Il est défendu aux juifs, par Moïse, de manger de la charogne, mais il leur est permis de la vendre aux non-Juifs. Rigoureuse surveillance du Kahal à cet égard. Cest avant tout une affaire dimpôt. Importance de limpôt de la boite. On est parvenu à obtenir la protection gouvernementale aux autorités juives pour la perception de cet impôt de secte. Préjudice causé ainsi aux populations des contrées où habitent les Juifs.
Chapitre VIII Documents extraits du livre de Brafmann sur le Kahal, donnant les preuves de ce qui précède. Quelle valeur peut avoir le témoignage dun Juif surveillé par le Kahal.
Chapitre IX Rapports des confréries juives avec le Kahal. Influence quexercent ces confréries sur les Juifs et les Chrétiens. Elles font de tous les Juifs répandus parmi les Chrétiens une corporation invisible, et toute-puissante. La confrérie du Talmud : la Savante. La confrérie de Bienfaisance. La confrérie des Artisans. La confrérie de Religion. La confrérie des Funérailles, etc. Autant de petits Kahals, instruments aveugles du grand Kahal. Actes et documents à lappui de ce qui précède.
Chapitre X La cérémonie juive Alïa. Partage des Juifs en patriciens et plébéiens. Obligation de lire les cinq livres saints, sous peine dêtre persécuté par lAnge des ténèbres. La loi de la Tora. Kohen et Lévi ; Lévi et Zarodi. Le Segan, ou Gaba, et le Samosche. Bénédiction des bénédictions. Léchelle des Alïas. Querelles et scandales entre dévots, patriciens et plébéiens.
Chapitre XI Autorité du Kahal dans son district. Elle montre bien la vérité du mot de Schiller : Les Juifs sont un État dans les États. Toutes les propriétés comprises dans son ressort lui forment un territoire fictif, relevant réellement de son dominium. Le Kahal est propriétaire in partibus des biens soi-disant possédés par des non-juifs, il a le droit de les vendre par parcelles aux Juifs. Tout Juif est lhomme lige de son Kahal. Les Juifs nobéissent que superficiellement aux lois du pays où ils habitent. Machiavélisme du Kahal. Le droit de Hazaca ou de Meropiié. Goïm et Juif, cest un combat pour lexistence, car le Goïm est comme inconsciemment livré par le Kahal à une araignée, à une pieuvre, à un vampire invisible. Actes et documents qui mettent pour la première fois en évidence cette terrible vérité. Cest en Russie, en Pologne, en Roumanie, que fonctionne surtout le monstre dévorant du Kahal. La roublardise du Kahal juif en Russie lui a soumis, comme un docile auxiliaire, lautorité civile de lEmpire pour le recouvrement de ses impôts religieux qui font sa force. La pauvre veuve Broïda battue et payant lamende : lautorité russe sert de gendarme au Kahal. Il est parvenu à se faire payer un impôt indirect même par la population chrétienne. Il en est venu à édicter des impôts recouvrables nonobstant opposition du gouverneur civil de Minsk. En un mot, il a réussi à tout fouler aux pieds et à mettre les Chrétiens eux-mêmes dans sa dépendance. La forme effroyable du Herem, à la fois serment et anathème (excommunication suprême). Prière qui suit la publication du Herem. Les trois catégories du serment juif. Répugnance des Juifs à prêter serment. Le serment na dimportance peur eux quautant quil est prêté devant un tribunal juif. Partout ailleurs, un faux serment importe peu.
Chapitre XII Documents traduits du Livre sur le Kahal et démontrant la vérité de ce qui vient dêtre dite.
Chapitre XIII La fête du Rosch Haschana (la nouvelle année) et la cérémonie de Fekiel-Chofère (du Son du cor). Le Rosch-Haschana na guère de raison dêtre depuis la chute du temple de Jérusalem, puisque cétait un jour de triomphe. Les adroits meneurs dIsraël y ont substitué Moussaphe, service de synagogue, service funèbre, de pleurs, de cris, de lamentations. La maigre sonnerie du cor (du cor de chasse) najoute rien à la solennité pénible de ce jour-là. Toutes les exégèses de la docte Cabale nen peuvent mais on nose pas réformer et pour cause. Document.
Chapitre XIV Institutions accessoires de la synagogue. La cour et les communs. Le Bet-Haknest ou synagogue principale. Le Bet-Gamidrasch ou maison de prière et école. Le Bet-Hamerhatz ou bains à vapeur. Le Bet-HaKahal ou chambre de Kahal. Le Bet-Dine ou tribunal. Le Hek-Dech ou refuge des pauvres sordides.
Chapitre XV Le Bet-Dine, section judiciaire du Kahal. Juridiction juive instituée par le Talmud pour soustraire les Juifs aux tribunaux Goïms ou non-juifs. Pénalités sévères contre les contrevenants. Autorisations exceptionnelles et secrètes. Pouvoir absolu du Bet-Dine, se concertant avec le Kahal. La fortune dun justiciable influent déclarée Hefker, cest-à-dire abandonnée au pillage. Procédure du Bet-Dine : citations, Indouïs, Schamosches. Les Daïons, juges et experts. Renvois devant les tribunaux chrétiens, comme pis aller et châtiment. Blancs-seings annulant par avance les jugements à intervenir.
Chapitre XVI Actes et documents prouvant ce qui précède.
Chapitre XVII Le Kabolat-Kinion ou Souder : ventes et achats entre Juifs. Le soulier de lacheteur offert au vendeur. Un pan de la soutane, un mouchoir, remplacent aujourdhui le soulier. Cest le Kabolat-Kinion, opérant translation immédiate du droit de propriété du vendeur à lacheteur. Supérieur encore est le prestige dune vente prononcée par le Kahal...
Chapitre XVIII Célébration des noces juives. Elles commencent la veille du sabbat par le Kabolat-Schabat, sérénade de mélodies nationales. Le lendemain, Alïa-Maxtir. Pluie de noix, damandes, de figues, etc. sur le futur. Enfin la grande cérémonie. Placement de la dot. Salaire du Chadhan, négociateur du mariage. Droit de Rahache, au profit du rabbin, du chantre et du staroste. Salaire des musiciens. Talet et Kitel, habits de la prière et de la mort. Le Badhan, limprovisateur-farceur, commence à fonctionner. Toilette de la mariée, qui se fait sur un pétrin renversé. Arrivée du fiancé, qui couvre la tête de sa future de lécharpe quelle lui a envoyée. On lui jette du houblon et de lavoine. Marche triomphale vers le Huppe (dais ou baldaquin). Les mariés sy placent. Ordre et marche du cortège. Bénédiction, vu et acte dépousailles. Prière de la coupe. Remise de la bague. Retour, musique en tête. La soupe dor. Le festin de la noce. Les préséances et légalité. Lart des serviteurs à soigner les convives délite. Badhan et lorchestre fonctionnent à tour de rôle. Le cri final : Drosche-Geschenke ! Lénumération des cadeaux. La danse Kochère. Reconduite du couple à la chambre nuptiale. Le Kahal, maître souverain de ses sujets dans leur vie privée...
Chapitre XIX La Circoncision. Les précautions contre Satan. Le talisman Schir-Garmalot. Visite et prière des connaissances de laccouchée. Prière à la synagogue et honneur fait au père. Le Chaleme-Zahor, félicitations et politesses. Le Wach-Nacht, veillée du huitième jour. Soins préalables à lopération. Réunion des huit participants, des dix témoins, et des parents et invités. On procède à la pratique de la douloureuse circoncision. Prière et chants criards qui laccompagnent. Un élu de plus par le peuple de Dieu. Fête et réjouissances sous le bon plaisir du Kahal. Gare au tref !
Chapitre XX Hiérarchie des dignités chez les Juifs. Autonomie de leurs institutions primitives. Les comités provinciaux et les Bet-Dine les remplacent. Le Talmud accroît son empire. République talmudo-municipale. Organisation des communautés juives. Le rabbin et les Parnesses. Habor et Moreïne. Degrés du Kahal et du Bet-Dine. Élections. Le rabbin nest pas un prêtre. Napoléon Ier et les Juifs. La question juive en Russie, en 1866. Les Juifs toujours Juifs. Grave erreur de Napoléon Ier. Tout Juif est prêtre. Tout ce quon a fait pour réformer les Juifs a été nul. Napoléon Ier sest mis le doigt dans lil. Les Juifs se parent des Spinosa, des Salvator, des Meyerbeer, des Rachel, comme le geai des plumes du paon. Vive le Talmud et lAlliance israélite ! Les écoles juives font tache dhuile. Erreurs du gouvernement russe, qui sest aussi mis le doigt dans lil.
Chapitre XXI Preuves à lappui.
Chapitre XXII Les Mélamèdes, maîtres décole et précepteurs juifs. Le Heder ou école. Plébéiens et patriciens juifs. Ceux-là sont condamnés à être les subalternes et très humbles serviteurs de ceux-ci. Les élèves des Mélamèdes. État de la question scolaire chez les Juifs. Tout par et pour le Talmud. Eschabots, Talmudors, Clauzers : taudis à écoliers.
Chapitre XXIII Le Yom-Kipour, jour de la rémission des péchés, et le Gatorat-Nedovime, cérémonie de labsolution. Comment on allège la mémoire au lieu dalléger la conscience du pécheur juif. La fameuse prière de Kol-Nidre qui délie de tous les engagements et serments de lannée : jubilé annuel fort commode et assez scandaleux. Le Gatovat-Nedovime et le Messirat-Madna, autres cérémonies non moins commodes, qui autorisent le faux serment et le faux témoignage dans les procès des Juifs contre les Chrétiens. Et maintenant, à Jérusalem !
Chapitre XXIV La cérémonie du Caporet comme purification. Le Juif attrape un coq, la femme juive attrape une poule ; on les jette au loin, puis on les tue et les mange avec appétit et on est purifié.
Chapitre XXV La Mikva, purification spéciale à la femme. Jadis un ruisseau deau vive, aujourdhui un grand bassin deau sale, une cuve sordide, où les femmes vont faire deux ou trois plongeons suivis dune horrible opération de rince-bouche. Le tout sous les yeux et la baguette dune affreuse mégère préposée à ce supplice digne de lEnfer de Dante. Il faut lavoir vu pour le croire, mais cela est, et rapporte gros au Kahal.
Chapitre XXVI Kidesch et Gabdala, prières sur la coupe. Vin ou pain, eau-de-vie ou bière. Mais le vin ne manque jamais, et cest grand honneur de loffrir. On rend grâces à Jéhovah de ce quon est son peuple élu.
Chapitre XXVII On ne naturalise pas les Juifs. Il faut quils soient dépouillés du droit talmudique de dépouiller et dexploiter les Chrétiens. Il faut en finir avec ces agglomérations de Juifs qui ne font rien que la fraude, lusure, lagiotage, le mercantilisme, la vente de leau-de-vie, etc. Il faut en faire des cultivateurs, des ouvriers utiles, et abolir, supprimer ces autorités usurpatrices qui les oppriment. Il faut en faire des citoyens et des concitoyens.
Chapitre XXVIII Il nest plus temps de rire. Sait-on qui rira le dernier ? Au lieu de nier le danger, regardons-le en face. Le Kahal est coriace et a la vie dure. Rabbinat, judaïsme et jésuitisme. Le Songe et lÉchelle de Jacob. Pas de persécution brutale, mais pas dillusions, ni de ménagements non plus. Que la Russie avise sérieusement. Quelle voie ce que les Juifs ont fait de lagriculture. Lidylle juive peut-elle durer et ne menace-t-elle pas de devenir un drame farouche ?
Chapitre XXIX Le Juif dans ses rapports avec lindustrie. En produisant le mouvement et la circulation, il dépouille le pauvre producteur réel. Le propriétaire terrien de Russie est tout simplement le fermier du Juif préteur. Slaves et Sémites. Lagencement juif ; la publicité parlée ; les bourses de rues et de cafés. Lexpédition des affaires à la minute et sans paperasses...
Chapitre XXX Le Juif se spécialise-t-il ? - Il ne sabrutit pas par la division du travail. - Les incarnations successives et rapides font très vite dun marchand de lorgnettes ambulant un millionnaire. - Les chiffres ne larrêtent jamais : on est associé ou on ne lest pas. - Aussi, quest-ce qui ne leur appartient pas à lheure quil est ? - Il sagit pourtant de combattre pour lexistence. - Il faut réformer, non le Juif, mais le Chrétien. - Pourquoi ne procéderait-on pas à une révision, à un jubilé, ou cinquantenaire juif ? - Gare à un czarisme juif ! - Henri Heine et son apologue du Léviathan. - Il sagit finalement de savoir à quelle sauce le naïf Chrétien et larchi-naïf slave veulent être mangés par le Juif nullement naïf et très roublard !
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Un document rare qui éclaire le rôle de la Synagogue juive dans la révolution russe.
L'ouvrage montre l'influence de la Haute finance internationale dans la préparation des événements ayant conduit à la géopolitique actuelle.
Le gouvernement occulte – la toute-puissance de l'or – l'œuvre de domination – talmud et cale, leur mystère dévoilé; l'influence qu'ils exercent sur le monde chrétien – les agents du complot – les institutions accessoires à la synagogues et plusieurs autres questions sont analysées dans cet ouvrage, très étudiés à l'époque de sa parution, 1887.
Le congrès de Vienne, tout en pacifiant l'Europe, fit signe aux membres de la synagogue, et ils accoururent pour apprendre que la lourde liquidation des guerres de l'Empire avait besoin d'eux. Rien de plus ironiquement cruelle que les péripéties qui ont accompagné l'avènement de la dynastie aujourd'hui régnante des Rothschild !
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