[large]Trop de similitudes laissent penser qu?ils sont les descendants de l?une des tribus perdues d?Israël.[/large]
[small](Papa Noumou Ndiaye/Lefigaro)[/small]
Ben nous v'là bien ...
[justify]Une communauté de 7 000 personnes pratique un judaïsme traditionnel dans une région isolée du nord-est de l?Inde, le Mizoram. Ces juifs se disent issus de l?une des tribus perdues d?Israël, celle des Bnei Menashe ("fils de Menashe").[/justify]
[center][large]Parce que vous en doutiez ?[/large][/center]
[right][small]Pour Talibans, il faut entendre étudiant Coranique et bien entendu fanatisme.
Comme eux de bien entendu.[/small][/right]
Tous les Juifs ne sont pas talibans, mais tous les talibans sont? peut-être juifs. Il ne faut y voir aucune provocation, l?assertion interroge les autorités israéliennes. Les rites, les vêtements, les traditions familiales et culinaires? tout, ou presque, porte à croire que les Pachtouns ont des ancêtres juifs.
A visionner aussi :
http://www.france24.com/fr/20081120-hum ... loi-retour
[center]On vous loge pas gratis mais presque ! Venez vite ! ...[/center]
On soupçonne en effet depuis longtemps que les Pachtouns ? ou Pathans ? qui peuplent essentiellement le Sud et le Sud-est de l?Afghanistan et l?Ouest et le Nord-ouest du Pakistan sont des descendants de l?une des tribus perdues d?Israël. On sait aussi qu?il existe plusieurs communautés pachtounes en Inde. Une aubaine pour les chercheurs, puisqu?il est impossible de récolter tranquillement des échantillons ADN en Afghanistan et dans les zones tribales de la Province du Nord-ouest du Pakistan.
?Malihabad, un district de Lucknow, est le seul territoire pachtoun, ou pathan, sûr et facilement accessible à tous ceux qu?intéressent la probable origine israélite des Pathans??, note avec bonheur le professeur Navras Jaat Aafreedi de l?Université de Lucknow (capitale de l?Uttar Pradesh, Inde). Le ministère des Affaires étrangères israélien est également intéressé à tirer tout ça au clair : il a décidé de financer les recherches de la généticienne indienne Shahnaz Ali. Elle est accueillie à l?Institut Technion de Haïfa, où elle devrait mener à biens ses travaux, rapporte le ?Times of India?. Mais qu?espère en fait Israël avec une telle démarche? Réconcilier juifs et talibans? ?Ne le dites pas aux talibans, mais leurs ancêtres sont peut-être bien juifs?, ironise le Jerusalem Post. ?Une sombre ironie, poursuit le quotidien israélien, quand on sait la haine que vouent les talibans à Israël.?
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[large]Afghanistan, la mémoire courte[/large]
C'est bien connu : l'être humain a la mémoire courte. Aujourd'hui, la planète n'a d'yeux que pour les débordements des américains, ailleurs. On en oublie les exactions commises par des barbares au sein d'un peuple (afghan) qui lui, souffre depuis des décennies. Nous vous invitons à ce retour en arrière, une histoire juive au pays des talibans.
Cet article fut publié le 1er novembre 2000 dans le journal L'Actualité (Canada), quelques jours avant les élections présidentielles américaines.
« Par la démesure de quelques mollahs, la communauté des juifs afghans, qui compta jadis 1500 âmes et qui descendrait des exilés de Babylone, subit une ultime humiliation. La Torah, pieusement conservée dans la Kanesa, petite synagogue du centre de Kaboul, a été dérobée par des sbires enturbannés. L'an dernier, le rabbin de la synagogue, Isaac Levy, dont la famille a pu émigrer en Israël, a laissé entendre qu'il voulait quitter Kaboul. Un représentant d'une organisation humanitaire occidentale raconte que le religieux a alors été arrêté par la police du ministère de la Répression du vice et de la Protection de la vertu, puis frappé avec un câble. On l'a forcé à renier sa religion et à se convertir à l'islam. Le rabbin, malgré les tortures, a refusé. Un Américain qui a recueilli la victime dans un hôpital de Kaboul confirme que les exactions ont duré plusieurs jours. 'Le dernier rabbin afghan connu a été arrêté par les talibans et relâché au bout de plusieurs jours; les circonstances concernant sa détention ne sont pas claires', indique un rapport du département d'Etat américain sur la liberté religieuse dans le monde.
[Note du Mimille - ou l'on reconnait le coté affairistes des déprépucés]
Aujourd'hui, seuls restent donc en Afghanistan deux juifs, le rabbin Isaac Levy et Zabulan Simontov, un ancien commerçant qui attend de pouvoir quitter son pays natal. Emprisonné pendant deux mois, cet homme au regard inquiet a tenté de sauver les rouleaux peints à la main de la Torah. En vain. Les fonctionnaires talibans du ministère de l'Intérieur lui ont réclamé, pour la récupération, une rançon fixée d'abord à 400 dollars, somme que le commerçant à refusé de payer, puis à deux millions de dollars. Simontov a rétorqué que la Torah, qui date des années 70, ne vaut que 400 dollars, mais qu'il était prêt à en débourser 5000. Les talibans ont refusé.
Alors, Zabulan Simontov a décidé de se rendre à Kandahar pour tenter de rencontrer le guide suprême des talibans, le mollah Omar. En chemin, le juif afghan se souvenait de son père, qui lui contait la légende des tribus perdues d'Israël, dont l'une échoua en Afghanistan, « lande du Nord » pour les juifs ('les chevaux noirs attelés à l'un des chars se dirigent vers le pays du septentrion', Zacharie 6:6). Terre de tolérance... Un proverbe afghan ne dit-il pas: « Laissons les chrétiens pratiquer leur religion et les juifs pratiquer la leur » ? Et que dire de ces juifs allemands qui trouvèrent refuge dans Kaboul pendant la Deuxième Guerre mondiale? Pour Ahmed Rachid, journaliste de la Far Eastern Economic Review et auteur d'un livre de référence sur les talibans, la tradition locale a toujours été respectueuse des autres religions. Avec les talibans, la tendance est inversée.
A Kandahar, le commerçant juif n'a pas obtenu gain de cause, mais il s'entête et requiert aujourd'hui l'avis de la Haute Cour de justice des talibans.
« Les talibans ont demandé beaucoup d'argent pour la Torah, c'est un affreux chantage, dit le rabbin Zvi Simontov, de Tel-Aviv. Les deux derniers juifs sont bien courageux de s'accrocher à cette terre, alors que nous les implorons de venir nous rejoindre. »
« Je quitterai ce pays quand j'aurai récupéré la Torah », dit Zabulan Simontov depuis sa modeste demeure de Kaboul - une natte, un tapis poussiéreux, des gravures religieuses, une ampoule nue au plafond -, tout en surveillant les allées et venues de sa rue. Avant de partir, jure-t-il, il placera le livre saint dans un lieu secret. Objet de chantage, enjeu d'une cabale des bigots, la Torah de Kaboul est aussi pour la petite communauté juive afghane le gage d'un retour au bercail, cette terre jadis indulgente pour une petite tribu perdue d'Israël et qui n'est plus qu'une géhenne promise. »
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Talibans et la juiverie ou la guerre fratricide
Moderator: Le Tocard