Brecher Gidéon - L'immortalité de l'âme chez les Juifs

Moderator: Le Tocard

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MimilleLaBordille

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[large]Brecher Gidéon[/large]
L'immortalité de l'âme chez les Juifs (1856)
http://www.histoireebook.com/index.php? ... -les-juifs

[right][small]Les coryphées de l'école philosophique juive se représentaient donc en général l'âme comme une
substance distincte de la matière spirituelle ; et, pour satisfaire aux exigences religieuses, ils faisaient
de l'observation des commandements divins la condition sine quâ non de l'immortalité de l'âme
et de la béatitude qui lui était réservée; ils ne pouvaient donc différer essentiellement sur la nature
même de cette immortalité ;ils s'accordèrent aussi à modifier certaines autres idées d'Aristote[/small]
.[/right]

[center]Image[/center]
[center]L'esprit juif sape les pouvoirs en bonne santé de la population allemande.[/center]

[justify]Cette étude sur l'immortalité de l'âme repose à la fois sur la Bible, le Talmud et la Kabbale. C'est la réédition d'un ouvrage de référence, paru en 1852, sur l'évolution du concept d'immortalité et d'âme dans la théologie et la mystique juives. L'apport de ce livre est essentiel dans ce domaine, et permet de déterminer l'influence de la pensée juive sur le christianisme et l'islam.[/justify]

[justify]A lire pour se rendre compte que le youtre a du vague à l'âme et se demande s'il sera réincarné dans la peau d'un plus grand usurier ou en élu éphémère du genre de celui qui nous gouverne actuellement. En prime ils ont influencé les religions chrétienne et de l'islam afin de mieux soumettre les animaux que nous sommes à leurs yeux chassieux.

La chienlit n'aime pas que l'on propose à la lecture leurs livres. Non, cela ils n'aiment pas du tout. Pourquoi ? Simple ; nous apprenons à mieux les connaître et de ce fait nous pouvons cerner leur prétention à nous réduire en esclavage.
Non ! NON ! j'entend le cri qui s'élève à la lecture de ces mots tapés à la hâte sur un clavier.

La peur de la mort les hante, eux qui aiment à la donner à leur ennemi en l'agrémentant de quelques tortures raffinées. Suffit de se documenter sur les crimes de la Tchéka en Russie au début du siècle dernier. Pourquoi lire des livres d'histoire (édulcorée et révisée) en définitive, suffit de lire les informations, ridiculement censurés qui laissent filtrer l'horreur qu'ils génèrent en Palestine depuis le début du siècle. Partout ou l'idéologie issu de leur bouquin qu'il appel le Talmud a sévit des morts, des horreurs sans nom, de la misère, de la pourriture. Quoi c'est pas vrai ?

Il est donc amusant de lire ce document rare, bien sur, mais pas pour nous, immonde par les immondes, qui aimons à aider la divine Providence en nous laissons guider par elle jusqu'à ces documents inconnus par vous tous.
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Préface
La conviction de la persistance de notre être après la mort, conviction si salutaire, si importante pour notre bonheur, est liée si intimement avec la religion juive que celle-ci, dépouillée d'un élément aussi essentiel, ne pourrait subsister. En essayant, dans cet écrit, de suivre depuis son origine le développement de la doctrine de l'immortalité de l'âme chez les israélites, et de déterminer quelles ont été, aux. diverses périodes de leur histoire si agitée, les idées généralement reçues à cet égard, nous avons résolu de nous placer à un point de vue purement historique, abstraction faite de toute considération dogmatique. Les hommes éclairés penseront, comme nous, que l'impartialité la plus absolue est la première condition pour arriver à la vérité dans un travail de ce genre. Que l'on qualifie, si l'on veut, du nom de rationalisme une semblable impartialité, dont tout investigateur consciencieux. se fait une loi, pourvu qu'on nous accorde que de cette façon les convictions personnelles de l'investigateur ne peuvent avoir aucune influence sur ses recherches, et qu'il fait bien d'écarter toutes les préoccupations de nature à entraver ou à fausser ces recherches. Tel est aussi le point de vue sous lequel nous désirons qu'on juge notre travail.
Quant aux matériaux recueillis par nous, tout en ne nous flattant pas d'avoir épuisé le sujet, nous croyons avoir réuni et mis en ?uvre les données les plus essentielles ; puissent d'autres combler les lacunes que nous aurons laissées ![/justify]
[right]L'Auteur.
Prosswitz, juillet 1856.[/right]
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