[large]Psychiatrie : une loi sécuritaire qui dérange[/large]
Un étudiant poignardé par un schizophrène en plein centre-ville de Grenoble. C?est à la suite de ce drame, en décembre 2008, que Nicolas Sarkozy avait demandé une réforme sécuritaire. Le débat s?ouvre aujourd?hui à l?Assemblée sur le projet de loi « relatif aux droits et à la protection des personnes faisant l?objet de soins psychiatriques et aux modalités de leur prise en charge. »
Le texte présenté aujourd?hui par le député UMP Guy Lefrand facilite l?hospitalisation et les soins sans consentement, d?où la colère des psychiatres qui y voient une régression des soins au profit de la contrainte.
Le projet crée en effet une nouvelle possibilité pour le préfet d?interner une personne de force, si elle représente un « péril grave et imminent » pour elle-même. Une hospitalisation forcée qui s?ouvrirait par 72 heures d?observation (actuellement ce délai est de 48 heures), avant une décision sur la prise en charge en continu. Le texte instaure également la possibilité de contraindre le patient à se soigner, même à domicile, sous peine d?être hospitalisé de force par le préfet.
Le Collectif des 39 a déjà recueilli 20 000 signatures sur sa pétition contre la « déraison d?Etat ». Une large majorité des syndicats de psychiatres appelle aujourd?hui à la grève, dénonçant la stigmatisation d?une poignée de malades dangereux qui pourrait aggraver la situation de la majorité des patients.
_______________
[large]Romain Dupuy[/large]
La mémoire courte, vous avez ?
Logique, beaucoup d'entre vous ne réfléchisse plus.
Le pôve malade mental qui a décapité une infirmière, s'est essayé à renouveler cela sur sa collègue, à >Pau dans un hôpital psychiatrique. S'étant fait arrêter pour un banal contrôle de routine qui aurait pu tourner au drame.
Mis en quarantaine avant sa remise en liberté à Cadillac. Ben quoi, il était pas responsable de ses actes le malade. D'ailleurs tous les assassins, et autres malfaisants ne sont pas responsables de leurs actes. Puisque malades mentaux, ils sont.
Romain Dupuy, l'auteur du double meurtre perpétré en 2004 au centre hospitalier des Pyrénées, souffre de dédoublement de la personnalité, de délire d'hallucination et d'un sentiment de persécution. trois fois rien. Quand cela va pas chez l'un, on va chez l'autre. Du virtuel en direct.
Cette belle Loi n'est donc pas pour ces gens là, mais bien pour nous qui sommes normaux. Mais qu'elle est cette folie que d'être si empli de bon sens ?
On apprend de source sûre et surtout pas vérifiée que le brave garçon serait remis en liberté pour cause de bonne santé mentale. Jusqu'à ce qu'un être normal, mais visiblement apte à servir de victime à l'exutoire de la passion de ce "malade" sain, soit lui renvoyé chez son créateur dans les souffrances qui honorent ce genre d'action.
On pourra faire de l'argent sur cela en éditant albums photographiques du criminel, émission voyeuriste et morbide ou la famille éplorée verse larmes et pardon, etc. Une bonne affaire en quelque sorte que ce genre de type. De l'audience assurée, de la publicité vendue entre deux séquences larmoyantes, du travail pour beaucoup. Alors pourquoi donc s'en faire, c'est pas près de s'arrêter.
Jamais par contre on ne vous parlera de ces gens qui se font justices eux-mêmes, comme cela dans le silence. Jamais.
Et pourtant il y en a pas mal. ...
[center]« rien ne doit pouvoir remettre en question [l'abattage rituel],
même au nom de droits reconnus à la protection animale »[/center]
Psychiatrie : une loi sécuritaire qui dérange - Et Romain Du
Moderator: Le Tocard
[center][large]L'assassin des infirmières est libre de se balader en liberté à Pau.[/large][/center]
Relogé gratos, argent de poche et visite surprise au Centre Hospitalier Spécialisé Saint-Luc à Pau du coupeur de tête.
Merci Monsieur Badinter et tes copains francs-maçons, au fait comme le Collard...
[large]A qui le tour ?[/large]
[center]La chasse est ouverte ...[/center]
[center][youtube]http://www.youtube.com/watch?v=XFEJXrMXgTE[/youtube][/center]
Rappel des faits :
[justify]Un jeune Palois de 21 ans, cuisinier au chômage, commet à Pau dans la nuit du 17 au 18 décembre 2004 un double meurtre dans l?enceinte de l?hôpital psychiatrique. Il a été arrêté le samedi 29 janvier 2005 après avoir tenté de faire feu à trois reprises sur des policiers avec un pistolet 7,65 qui s'est fort heureusement enrayé. Romain Dupuy avait fait plusieurs séjours à l'hôpital psychiatrique des Pyrénées, où ont été égorgées et décapitées l'infirmière Chantal Klimaszewski, 48 ans, et une aide soignante, Lucette Gariod, 40 ans. Le jeune homme faisait l'objet d'un «suivi externe» sur la base d'un diagnostic de « schizophrénie avec bouffées délirantes ». Le non-lieu "psychiatrique" a été prononcé en faveur de Romain Dupuy, de manière définitive le 14 décembre 2007.[/justify]
Relogé gratos, argent de poche et visite surprise au Centre Hospitalier Spécialisé Saint-Luc à Pau du coupeur de tête.
Merci Monsieur Badinter et tes copains francs-maçons, au fait comme le Collard...
[large]A qui le tour ?[/large]
[center]La chasse est ouverte ...[/center]
[center][youtube]http://www.youtube.com/watch?v=XFEJXrMXgTE[/youtube][/center]
Rappel des faits :
[justify]Un jeune Palois de 21 ans, cuisinier au chômage, commet à Pau dans la nuit du 17 au 18 décembre 2004 un double meurtre dans l?enceinte de l?hôpital psychiatrique. Il a été arrêté le samedi 29 janvier 2005 après avoir tenté de faire feu à trois reprises sur des policiers avec un pistolet 7,65 qui s'est fort heureusement enrayé. Romain Dupuy avait fait plusieurs séjours à l'hôpital psychiatrique des Pyrénées, où ont été égorgées et décapitées l'infirmière Chantal Klimaszewski, 48 ans, et une aide soignante, Lucette Gariod, 40 ans. Le jeune homme faisait l'objet d'un «suivi externe» sur la base d'un diagnostic de « schizophrénie avec bouffées délirantes ». Le non-lieu "psychiatrique" a été prononcé en faveur de Romain Dupuy, de manière définitive le 14 décembre 2007.[/justify]