Felderer Dietlieb - Anne Frank's Diary - A HOAX

Moderator: Le Tocard

Post Reply
Commodore

Post by Commodore »

[large]Felderer Dietlieb
Anne Frank's Diary - A HOAX[/large]Image

[center]Felderer Dietlieb - Le journal d Anne Frank un faux (eng).pdf
[large]http://www.balderexlibris.com/index.php?post/Felderer-Ditlieb-Anne-Frank-s-diary-A-hoax[/large]
Felderer Dietlieb - Anne Frank s diary - A HOAX.pdf (7.9 MB)
[/center]


[center][large]FOREWORD[/large][/center]

Image[justify]It is with mixed feelings that we present here the first real expose ever undertaken on The Diary of Anne Frank. From having been positive to the diary our standpoint gradually changed to the negative until we finally had to dismiss the whole thing as a forgery. This study gives our reasons for believing so. In all honesty we must admit that our previous positive stand was not based on a serious study of the diary itself. Like most other people we neither had the inclination to search into a young girl's miseries and tragedies nor did we have the time to give the diary a detailed study. Any negative statement we viewed as most others likely have done: coming from anti Semites, Jew haters, former Nazis or Fascists. The issue was then dropped.
Recently our interest got rekindled partly by our attempt to rebut Richard Harwood's book Did Six Million Really Die? The Truth At Last.
The book threw us completely out of our senses for we felt surely it must be a well established fact that more than six million Jews had been exterminated and that there were gas chambers all over Hitler's Germany. We immediately recognized the danger if this sort of distortion should spread and so we decided to find errors in the book and in this way counteract it. We felt the task would be simple seeing the facts of the "Holocaust" are so thoroughly documented. Perhaps this was our mistake for in doing so we could not help but get intrigued and involved with an issue we would never have dreamed to get involved with only a few years ago. Have we been fooled? If so, by whom and how could they so easily have fooled us? Were we not trained researchers? What is the purpose of those trying to fool us? While reasoning these matters out we necessarily also stumbled on Anne Frank. After all, she is the pinnacle of the Holocaust theory. Harwood mentions in the first edition of his book that the diary is a forgery. Unfortunately for Harwood, he seems to have been misled as the court case concerning Meyer Levin apparently did not concern the diary but a play built on the diary. (Compare Meyer Levin, The Obsession, Simon & Schuster, NY, 1973). However this discovery proved to be even more unfortunate for us, for while we found this out, checking up pertinent material we could not help but discover numerous peculiarities, some so grave we wondered how it was that no one had aired these problems before.
Harwood had recognized the patient was sick but he had apparently given the wrong diagnosis. The question now came up: Should we keep silent or tell the world about our discoveries? Perhaps the lie after all did some good? Did it not expose Hitler and his Nazi Germany? Was it not useful in giving Jews their own homeland in Palestine? Did not her case give us the feeling Jews had the right to evict the Palestinians? Did not Anne symbolize the persecuted Jewish child? Was not in fact the whole Holocaust propaganda built up on the diary ? These and other questions kept circulating in our minds, disturbing us with many sleepless nights.

However, truth prevailed. We have found no other choice but to give to the world that which we have found. Truth and propriety must stand above everything else. If truth is destroyed our earth is on the brink of collapse.
The environment is built on truth. Truth should have nothing to fear. And so we present our study to the readers.

The colossal hoax surrounding the Anne Frank diary is so immense, the implications so profound that mankind must find out about it. It is our solemn wish that mankind, through our exposure will be inspired to keep fighting for truth no matter whom it might hurt. Our intention to expose the racket is further prompted by the callous spirit of those people defending it without the least consideration whether it is a genuine document or not. Numerous people who in one way or another have been involved with the diary have pleaded with us to keep the matter quiet. They feel that the "intentions" were well meant. However when we recognized their selfish interests it only gave us more assurance we were doing the right thing by exposing it.
[/justify]
Last edited by Commodore on Thu Mar 31, 2011 11:27 am, edited 1 time in total.
Sycophante

Post by Sycophante »

[large]Le stylo à bille : encore une grande invention de petite taille[/large]
Publié par : Temey, [small]le Samedi, 26 Juin 2004[/small]

ImageHistoires & Passés[center]_______________[/center]

Même si certains situent l'origine du stylo à bille dans les travaux de Galilée, qui remontent au 17ème siècle, le plus ancien document fiable date du 19ème siècle, et concerne un produit qui servait à marquer le cuir. Cependant, c'est en 1938 que la première demande de brevet pour le stylo à bille moderne a été déposée (GB498997).

Le journaliste hongrois László József Biró (Budapest, 1899 - Buenos Aires 1985), inventeur prolifique, avait observé la rapidité avec laquelle l'encre sèche sur un document imprimé. Cette observation a fait naître en lui l'idée d'améliorer les stylographes de l'époque pour les transformer à un produit «tout terrain», plus pratique.

Après avoir fait plusieurs essais, il est arrivé au stylo à bille moderne, qui combinait une encre de texture spéciale (qui évitait le dégouttement) située dans un espace fermé hermétiquement (de manière à ce que l'encre située à l'intérieur ne sèche pas), avec un accessoire tout aussi simple que génial : une petite bille rotatrice située à l'extrémité du stylo, qui permettait à l'encre de couler selon la pression de la bille sur le papier.

En 1943, Biró a demandé le brevet pour une version améliorée du produit. Même si l'inventeur n'a jamais douté du succès de son instrument, le prix des premiers stylos à bille était très élevé en raison de la difficulté de fabrication, et, peu après, Biró a cédé ses droits sur le brevet en Europe au français Marcel Bich.

Bich a modifié le système de production et a commencé à produire des stylos à bille en grandes quantités, réduisant ainsi le coût de production et en conséquence le coût du produit. Le stylo à bille à coût réduit est devenu rapidement un produit classique de consommation massive : le stylo à bille BIC®, dont aujourd'hui pratiquement aucun bureau de travail au monde ne manque.

Image
[---]
Pourquoi y a-t-il un trou au milieu des stylos Bic, et un autre sur leur capuchon ?
Quand le stylo est utilisé, le niveau d?encre baisse. L?encre qui sort du stylo est remplacée par de l?air, et le trou permet à l?air de passer.
S?il n?y avait pas de trou, l?air déjà contenu dans le stylo se dilaterait pour occuper le volume d?encre enlevé. Il y aurait un phénomène d?aspiration (l?air dilaté ayant tendance à revenir à son état initial) et l?encre ne pourrait plus s?écouler.
Tous les modèles de stylo ne sont pas troués. Certains stylos ont un interstice qui laisse passer l?air (par exemple autour du bouton-poussoir qui fait sortir la pointe). D?autres stylos ont une recharge d?encre pressurisée.

Le trou situé sur le capuchon des stylos Bic a été ajouté dans les années 80, suite à des accidents d?enfants qui s?étaient étouffés en avalant le capuchon. Le trou permet à l?air de passer au cas où le capuchon serait coincé dans la gorge.
Les stylos Bic ont été lancés en France par Marcel Bich (1) en 1950, après qu?il eut acheté le brevet du stylo-bille à un Hongrois. À l?époque, le stylo-bille était le seul stylo capable d?offrir une écriture régulière et sans bavures, grâce à sa bille parfaitement ronde.
_____________
ImageMarcel Bich et le stylo Bic
1914 - 1994
Cofondateur de Bic

Marcel Bich naît en Italie le 29 juillet 1914. Son père est ingénieur français. Marcel obtient la nationalité française en 1930 et étudie à Paris.

À dix-huit ans, Marcel fait de la vente porte-à-porte à Paris. Quelques années plus tard, il travaille pour un fabricant d'encre où il devient directeur de la production. Il est appelé par l'armée au début de la Deuxième Guerre mondiale.
En 1945, Bich et son ami, Edouard Buffard, achètent pour mille dollars une usine désaffectée à Clichy. Ils y montent une entreprise de crayon à l'encre et à plomb, puis s'ajoute la fabrication de recharges pour stylos à bille. Mais le stylo à bille est cher et pas tout à fait au point.
En 1949, Bich achète le brevet du stylo à bille jetable inventé par Ladislao Biro. Le stylo à bille Bic est présenté en décembre 1950. C'est le succès immédiat en France.
En 1953, la Société Bic fabrique plus de deux cent cinquante mille stylos jetables par jour. L'arrivée du stylo Bic est un dur coup pour les stylos-plumes rechargeables. En 1958, Bich fait l'acquisition de la compagnie américaine Waterman Pen Company, élevant les ventes de Bic à 330 millions de stylos par an.
En 1972, Marcel Bich reprend le principe du jetable et se lance dans la fabrication du briquet jetable. En Amérique, le briquet Bic doit compétitionner avec celui fabriqué par Gillette. Après une grande bataille publicitaire, Bic sort gagnant.
En 1976, c'est maintenant le rasoir jetable Bic qui doit compétitionner avec le rasoir de Gillette. Cette fois Gillette l'emporte. En 1981, la part de marché de Bic pour le rasoir jetable n'est que de 20 % en Amérique. Un des rares échecs de Bic.
Marcel Bich décède à Paris le 30 mai 1994. Il a eu onze enfants.
Bic est le plus grand vendeur de stylos à bille au monde. Il est aussi parmi les meneurs dans les produits de papeterie.
Post Reply