Vincent Reynouard

Moderator: Le Tocard

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Riton le Besogneux

Post by Riton le Besogneux »

[center][large]Six nouveaux documentaires sur le mensonge holocaustique[/large][/center]
[right][small]E-books de Vincent Reynouard[/small][/right]
Parce que nous ! on y croit au mensonge ...
A titre informatif et en raison de la grande polémique sur le sujet, nous nous devions d'offrir une autre version de cette réalité qui nous est à longueur de minutes instillée dans le ciboulot jusqu'à ce que cela en devienne nauséeux à souhait.

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[center][large]Bienvenue dans le monde de la soumission[/large][/center]

[justify]N'oublions pas qu'au nom de l'Humanité et de la démo(n)cratie à perpétuité, soumettez-vous !
Il vous faut avoir aussi une vision échatologique [small](1)[/small] lorsque vous lisez ou entendez ou visionnez leurs discours ou propos (valable aussi pour les mulsulmans, et autres sectes New Age). Sans cela il vous est impossible de comprendre la signification de ce qui vous arrive.

Nous sommes des Akums, animaux à visage humain utilisés au service des Elus par le simple fait d'une circoncision au 8e jour de leur naissance sans consentement, une offrande et une alliance, un acte de mariage avec le Démon qui est leur dieu. La première souffrance d'un peuple. Cette acte barbare est le résultat d'une autre soumission encore plus grande, celle des femmes de ce peuple. Comment un mère peut-elle offrir à la souffrance, à cette torture physique intolérable, un enfant avide d'amour ? Il en reste une trace tangible dans la conscience de la femme, sous forme d'un traumatisme indélébile, un sentiment d'horreur, une culpabilité de n'avoir pas osé dire NON.

Lorsque le mot Humain est prononcé dans les textes ou dans leur bouche, il ne parle que d'Eux, pas du bétail à visge humain que nous sommes. Il vous faut avoir cela en tête et la réalité se fait jour. Seulement pour en arriver à cela faudra faire fit du conditionnement acquis inconsciemment depuis la petite enfance et après sur les banc de l'école de l'éducation (suggestion) publique. et des méthodes de manipulation du comportement des foules misent en place par le Tavistock Institut.

Voilà pourquoi, on tue le premier né (à naitre dans le ventre des mères), on vole les organes, on pille nos ressources, on crée des spéculations pour nous spolier de nos richesses, on prostitue nos enfants, on détruit la Terre, on favorise le métissage destructeur de millénaire de sélection naturelle en vue de créer une race nouvelle productive et soumise à souhait, etc.
______________
[small](1) L'eschatologie chrétienne est une composante de la théologie chrétienne qui étudie les croyances religieuses concernant les fins dernières. Elle a la caractéristique de se fonder, à partir de l'Écriture Sainte et de la Tradition, sur des textes dogmatiques qui ont été principalement établis à partir du Moyen Âge et jusqu'à aujourd'hui.[/small][/justify]



[center][large]L'holocauste des juifs est un mensonge ![/large][/center]



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houbadouba

Post by houbadouba »

. Film 01 : Vincent Reynouard - L'Holocauste Des Juifs Est Un Mensonge - 01 - La Vérité Sur Auschwitz

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Durée : 0h55
Synopsis : Auschwitz est la colonne vertébrale du mythe de l'"Holocauste". Un million de juifs y auraient été gazés et brûlés. Cette thèse s'appuie sur des "preuves" documentaires, des "aveux", et surtout des "témoignages".
Dans cette vidéos, vous découvrirez pourquoi ces preuves sont sans valeur et comment une simple étude matérielle permet de les réfuter.

Streaming :

http://www.aldebaranvideo.tv/index.php? ... locauste-1





. Film 02 : Vincent Reynouard - L'Holocauste Des Juifs Est Un Mensonge - 02 - La Vérité Sur La Solution Finale

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Durée : 0h58
Synopsis : Le 30 janvier 1939, Hitler aurait publiquement annoncé sa volonté de tuer les juifs. A partir de 1942, dit-on, les juifs auraient été raflés et déportés vers l'Est pour y être tués dans six "camps d'extermination". A Auschwitz, les déportés étaient sélectionnés à leur arrivée. Les plus robustes entraient au camp pour y travailler ; les "inaptes au travail" allaient directement à la chambre à gaz. A Treblinka, Belzec, Sobibor, Chelmno, tous les déportés étaient immédiatement gazés et brûlés. Telle est la thèse officielle... Mais de très nombreux document démontrent qu'en réalité, les juifs déportés à l'Est n'étaient pas exterminés mais réimplantés plus loin dans des territoires soviétiques... Dans cette vidéo, vous découvrirez une partie des documents incontournables qui démontrent cette assertion.

Streaming :

http://www.aldebaranvideo.tv/index.php? ... locauste-2





. Film 03 : Vincent Reynouard - L'Holocauste Des Juifs Est Un Mensonge - 03 - Six Millions, Les Fausses Preuves

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Durée : 0h58
Synopsis : Depuis 1945, on prétend que six millions de juifs ont été massacrés par les Allemands entre 1941 et 1945. Dans cette vidéo, vous découvrirez comment cette estimation a été établie à Nuremberg et comment plusieurs études scientifiques l'ont réfutées de maintes façons. A Auschwitz, on montre aux touristes des tas de cheveux, de chaussures, de valises en disant : une chevelure = une juive gazée, une paire de chaussure = un juif mort, une valise = une famille de juifs exterminés. Dans cette vidéo, vous découvrirez, documents à l?appuie, pourquoi ces tas de cheveux, de valises, de chaussures ne sont pas les preuves d'une extermination. Quant aux aveux d'O. Pöhl (responsable de l'exploitation économique des camps), cités pour soutenir la thèses officielle, vous apprendrez pourquoi ils ne valent rien.

Streaming :

http://www.aldebaranvideo.tv/index.php? ... locauste-3





. Film 04 : Vincent Reynouard - L'Holocauste Des Juifs Est Un Mensonge - 04 - Les Alliés Et Les Rumeurs. Déportés Bien Traités

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Durée : 1h01
Synopsis : La thèse officielle prétend que, dès 1942, "les Alliés savaient" et que, s'ils n'ont pas bombardés les camps, c'est qu'ils ont voulaient avant tout gagner la guerre. Dans cette vidéo, vous découvrirez de tout autres raisons bine plus cohérentes : dès 1942, des rumeurs sont effectivement parvenues aux oreilles des dirigeants alliés. Mais leurs propres réseaux de renseignements (notamment leurs avions espions) ont démontrés qu'ils s'agissaient de simples bruits sans aucun fondement. Les historiens prétendent que, dans les camps, ceux qui n'étaient pas immédiatement gazés, travaillaient dans d'horribles conditions jusqu'à la mort. Dans cette vidéo, nous démontrons que la thèse de l?extermination par le travail n'a aucun fondement : les Allemands, qui manquaient cruellement de main d??uvre pour soutenir leur effort de guerre, ont tout fait pour maintenir les déportés en bonne santé.

Streaming :

http://www.aldebaranvideo.tv/index.php? ... locauste-4





. Film 05 : Vincent Reynouard - L'Holocauste Des Juifs Est Un Mensonge - 05 - Les Photos Prises En 1945 Dans Les Camps

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Durée : 1h06
Synopsis : Depuis 1945, les vainqueurs publient toujours les mêmes photos prises à la libération des camps. Montrant d'horribles spectacles, elles sont présentées comme autant de preuves que les camps étaient des usines de mort lente. Dans cette vidéo, vous découvrirez en quoi la propagande alliée basée sur ses clichés est mensongère. Vous découvrirez comment l'opinion a été manipulée avec des moyens très simples : sélections habile de photos, généralisations abusives, fausses légendes... Bien plus, vous découvrirez comment la stratégie criminelle des bombardements massifs alliés est responsable de la situation désastreuse des camps à la fin de la guerre.

Streaming :

http://www.aldebaranvideo.tv/index.php? ... locauste-5





. Film 06 : Vincent Reynouard - L'Holocauste Des Juifs Est Un Mensonge - 06 - Les Enjeux Du Combat Révisionniste

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Durée : 1h05
Synopsis : Aujourd'hui, en Europe, la prétendue Shoah est devenue un dogme protégé par la loi. En 2007, l'ONU a adopté une résolution condamnant le révisionnisme à l'échelle planétaire. Pourquoi cet acharnement à protéger un mythe fondé sur rien ? Dans cette dernière vidéo, les véritables enjeux du combat révisionnistes sont expliqués. Certes, le prétendu "Holocauste" est protégé par les sionistes qui s'en servent pour légitimer Israël. Mais il y a bien plus grave : depuis 1945, ce mythe est utilisé par les partisans du Nouvel Ordre mondial, un ordre conforme aux idéaux de la révolution française de 1789, afin d'empêcher tout retour à une société d'ordre. Comment s'y prennent-ils ? Réponse dans cette vidéo...

Streaming :

http://www.aldebaranvideo.tv/index.php? ... locauste-6
Last edited by houbadouba on Sat Jun 05, 2010 8:37 am, edited 1 time in total.
Riton le Besogneux

Post by Riton le Besogneux »

[center][large]Vincent Reynouard
Le Scandale Des Armes A Uranium Appauvri[/large]
La Guerre Radioactive Secrete




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Vincent Reynouard, ingénieur de formation, est un militant négationniste (merci wikipedia pour tes lumières divines) français né en 1969. Marié en 1991, il est père de 8 enfants.



[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=SRGrWDshlJU[/youtube][/center]
Riton le Besogneux

Post by Riton le Besogneux »

[center][large]Les effets dévastateurs des armes américaines
sur les habitants de Falloujah dépassent ceux d?Hiroshima[/large]
[/center]
(Source : Oumma, jeudi 15 juillet 2010 - par Nabil Ennasri)
[small]jeudi 15 juillet 2010 par Saied.Mabrouk[/small]
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[center][large]Bien - Pas bien[/large]
ou inversement selon le regard du Visiteur de ce forum
[/center]
Deux sites à visiter pour approfondir le sujet :
http://www.energethique.com/point_de_vu ... gasn6a.htm
http://www.dissident-media.org/infonucl ... lkans.html

[justify]Dans l?histoire récente de l?occupation de l?Irak par l?armée américaine, la bataille de Falloujah restera certainement l?un des épisodes les plus noirs. Du 6 au 29 novembre 2004, des milliers de soldats américains réduiront en cendres cette localité située à 70 km à l?ouest de Bagdad dans laquelle des centaines de djihadistes et de résistants irakiens avaient trouvé refuge. Véritable bastion de l?insurrection sunnite, la ville avait été soumise à un déluge de feu pendant des semaines. Le bilan fut très lourd : à côté de la centaine de soldats américains ce sont près de 4 000 personnes qui tomberont du côté irakien dont plusieurs centaines de femmes et enfants.

Aujourd?hui, la chaîne Al Jazerra nous apprend que les retombées de cette offensive sont désastreuses au niveau de la santé publique : dans toute la région de Falloujah, le nombre de nourrissons nés avec des malformations ne cesse d?augmenter de façon alarmante et les cas de cancer et de maladies génétiques graves se multiplient.

L?émission Bila Houdoud (?Sans limites?), un des programmes phares de la chaîne qatarie, a en effet consacré son émission fin juin à ce drame. L?invité du jour était le Professeur Chris Busby, un des spécialistes britanniques les plus réputés en matière de maladies cancerigènes[small][1][/small]. Son constat est sans appel : son enquête de deux mois menée auprès de 711 foyers de la région de Falloujah regroupant plus de 4 000 personnes l?amène à la conclusion suivante : les effets dévastateurs de l?utilisation démesurée d?armes de destruction massive, chimiques et radiologiques ont engendré des rétombées terribles sur la population locale.

Il faut dire que l?armée américaine ne s?était pas gênée. Pendant son offensive, les Marines avaient largement fait appel à toute la panoplie d?armes chimiques pourtant interdites par les conventions internationales : des centaines de tonnes de bombes au phosphore blanc (les mêmes que l?armée israélienne utilisera à Gaza quelques années plus tard), au napalm, à fragmentions et à l?uranium appauvri avaient été déversées sur la ville. De nombreux témoignages faisant état de corps humains trouvés "fondus" dans les rues attestaient déjà à l?époque de l?utilisation de ces armes prohibées. Comme souvent, le Pentagone avait d?abord nié avant de se rétracter devant les preuves accumulées par de nombreux journalistes.

Aujourd?hui c?est une équipe médicale occidentale qui confirme ces faits en y ajoutant l?information frappante selon laquelle des générations entières d?Irakiens sont désormais condamnées à vivre avec des maladies atroces. Selon le Professeur Busby, les conséquences de l?attaque de Falloujah sont proportionnellement plus dramatiques que celles causées par l?utilisation de l?arme atomique à Hiroshima et Nagasaki?

Dans un pays aux infrastructures sanitaires sinistrées, on imagine le mal que peut causer ce genre de pathologies. Car l?Irak est exsangue : depuis le début de la guerre, des milliers d?universitaires, intellectuels, et médecins ont été exécutés et des dizaines de milliers d?autres ont fui le pays le vidant de ses principales forces vives. Véritable bombe à retardement, les maladies et malformations qui touchent un taux anormalement élevé de la population de Falloujah et de ses alentours obèreront pendant longtemps le développement d?une ville-martyr que l?armée américaine à voulu punir pour donner une leçon à tous ceux qui contesteront son occupation.

Plus largement, c?est tout l?Irak d?aujourd?hui qui souffre dans l?indifférence générale. Le pays qui figurait dans les années 70 comme l?un des espoirs du monde arabe et où les indicateurs de développement humain se rapprochaient de ceux des pays occidentaux, est aujourd?hui, après deux décennies de guerre, renvoyé au Moyen-âge.

Dans n?importe quel endroit du monde, la révélation de telles pratiques et de telles conséquences auraient soulevé un tollé et nombreux sont ceux qui les auraient qualifiés de crimes contre l?humanité. Mais il s?agit de l?Irak dont peu de monde semble désormais s?intéresser et quasiment aucun des grands médias occidentaux n?a relayé les conclusions du Professeur Busby. Les habitants de Falloujah sont désespérés de l?omerta mondiale sur leur drame et indignés par cette impunité collective octroyée à l?armée américaine. Comme pour l?agent orange qui causa des ravages pendant et après la guerre du Viet-Nam, l?US Army ne paiera pas.

Pourtant, à Falloujah comme ailleurs en Irak et dans le monde arabe, tout est malheureusement mis en place pour que les habitants, révoltés, n?expriment leur frustration et leur colère par le seul moyen mis à leur disposition et qui effraie tant l?Occident : la résistance légitime que d?autres appellent ?terrorisme?.[/justify]
_______
Notes
[1] http://www.aljazeera.net/NR/exeres/B5F1 ... 1B6055.htm
[2] http://yubanet.com/world/Genetic-damage ... oshima.php






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[right][small]MERCI A : http://joyeuxrebelle.canalblog.com[/small][/right]

[center][large]Lamentations[/large]

Permettez, doux amis, que je vous mette en garde
Contre un Mal si sournois que ma plume en défaille.
La pudeur eût voulu que nul ne se hasarde
A évoquer en vers cet ennemi de taille.

Si la mort dans le c?ur, je pointe l?immondice,
N?y voyez point celé un quelconque plaisir,
Car le souci de paix et la soif de justice
Sont les uniques causes d?emploi de ma lyre.

Mais venons-en au fait que, Muse vengeresse,
Tu m?inspires soudain : ce Mal insoutenable,
Est-ce la maladie qui vers la mort nous presse ?
Que nenni ! C?est bien pis qu?un virus redoutable !

Est-ce alors quelque crime qu?un vil assassin
Perpètre dans la nuit chez les honnêtes gens ?
Fi ! Un meurtre ou un viol sont de menus larcins
En regard de ce Mal chaque jour plus rageant !

S?agit-il de la guerre, dont l?effet dévaste
Les pays et les peuples ? Est-ce enfin la misère
Qui transforme le monde en un charnier si vaste ?
Non, le Mal que je vois dépasse cette terre?

Les obscurs criminels qui me font tant frémir
Sont coupables d?esprit, d?opinion, de pensée :
Ils oublient sans ciller le seul peuple martyr
D?un régime lointain conjugué au passé?

Ils osent ignorer la Loi du Saint Calcul
Qui fit de ?six millions? un nombre consacré,
Loin des mille milliards, chiffre si ridicule !
D?innocents sans valeur par la Mort attirés.

Comprenez mon dégoût de tels agissements,
La seule dignité exigeait que j?en eusse !
Pour ces monstres, j?exige l?embastillement
Car la liberté coûte le prix d?un prépuce ?[/center]
LouSomPau

Post by LouSomPau »

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[center][large]Vincent Reynouard - révisionnisme[/large][/center]
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[center]Image[/center]


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[center][large]Le massacre d'Oradour sur Glane[/large]


[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=TJ57sepnlUw[/youtube][/center]


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Nouvelles de Vincent Reynouard

Communiqué du 25 juillet 2010




Chers amis,

[justify]Tout d?abord merci à tous ceux qui, suite à mon incarcération, m?ont écrit à la prison de Forest. N?ayant ni enveloppes ni timbres en nombre suffisant, je ne puis répondre, ce qui me désole. Merci toutefois pour ces témoignages de soutien qui me vont droit au coeur. Je demande à ceux qui souhaitent m?écrire de joindre à leur envoi une enveloppe timbrée (tarif ?Europe?) pour la réponse.

Le 23 juillet la Chambre du Conseil de Bruxelles a déclaré que le mandat d?arrêt lancé par la France contre moi était valable. L?extradition est donc désormais inévitable. Elle viendra dans une dizaine de jours sans doute.

Mes conseils me demandent d?effectuer certaines démarches pour tenter d?éviter la prison en France ou, au moins, de minimiser la longueur de ma détention. Je n?en ferai rien. Je veux, en effet, qu?on puisse dire qu?en 2010, en France, un père de huit enfants âgés de 1 à 17 ans croupit en prison simplement pour avoir exprimé publiquement les thèses révisionnistes.

Je veux qu?on sache qu?en France, en 2010, un père de huit enfants dont la seule arme est un stylo croupit en prison.

On me répondra que, pour l?heure, la presse n?en parle pas et que 99,9% des gens s?en moquent. C?est vrai. Mais je le répète: notre regard porte plus loin, il porte sur le jour où, des événements aidant, l?état d?esprit des peuples changera. Peut-être serons-nous alors morts. Mais lorsque des chercheurs, libérés des tabous présents, étudieront cette histoire ? notre histoire ? des années 1990-2010 et qu?ils verront la répression dont les révisionnistes auront été les victimes, alors la conclusion s?imposera.

A l?heure où j?écris, je pense à ma chère épouse et à mes chers enfants.

Je pense à leur état d?esprit? Hier, au parloir, Marina pleurait. Elle m?a dit que mon fils de 14 ans ne mangeait plus et que les cinq ?petits? réclamaient leur père. Cela fait mal mais, outre que la Vérité a des droits sur nous, le combat révisionniste que je mène ? et dont les implications dépassent largement le domaine de l?Histoire ? je le mène précisément pour mes enfants, ainsi que pour ceux des autres, pour les Palestiniens, pour l?Europe, et, plus généralement, pour un monde qui sera débarrassé de ce Nouvel Ordre Mondial bâti sur les ruines du IIIe Reich.

Quelles que soient les souffrances, je ne céderai jamais. Les flics, les juges et les prisons n?y changeront rien. La graine est semée, elle croîtra et germera un jour ou l?autre.[/justify]

V. Reynouard




A vos stylos! Voici l?adresse de Vincent:

Monsieur Vincent Reynouard
Prison de Forest
52 avenue de la Jonction
B-1190 FOREST
(Belgique)



[center][youtube]http://www.youtube.com/watch?v=5HnJexI50Zs[/youtube][/center]
Last edited by LouSomPau on Sat Jul 31, 2010 10:09 am, edited 1 time in total.
SorNedej

Post by SorNedej »

[center][large]Les Juifs et les camps de concentration :
une appréciation de la Croix Rouge basée sur les faits
[/large][/center]



[justify]Il existe une étude de la question juive en Europe pendant la Deuxième Guerre Mondiale et des conditions de vie dans les camps de concentration allemands qui est presque unique dans son genre par son honnêteté et son objectivité. Il s'agit du Rapport en trois volumes du Comité International de la Croix Rouge sur ses activités pendant la Deuxième Guerre Mondiale, Genève, 1948. Ce compte rendu complet provenant d'une source entièrement neutre comprend et étend les constatations de deux ouvrages précédents: Documents sur l'activité du CICR en faveur des civils détenus dans les camps de concentration en Allemagne 1939-1945 (Genève, 1946) et Inter Arma Caritas: the Work of the CICR during the Second World War (Genève, 1947). Le groupe d'auteurs, dirigé par Frédéric Siordet, explique au début du Rapport qu'il s'est inspiré d'une stricte neutralité politique, dans la tradition de la Croix Rouge, et c'est en cela que réside sa grande valeur.

Le CICR réussit à faire appliquer la convention militaire de Genève de 1929 pour pouvoir visiter les détenus civils des camps allemands d'Europe Centrale et d'Europe Occidentale. Par contre, il lui fut impossible d'aller faire une enquête en Union Soviétique puisque ce pays n'avait pas ratifié la Convention. Les millions de prisonniers civils et militaires de l'Union Soviétique dont les conditions de vie étaient, comme chacun sait, de loin les plus pénibles de toutes, étaient complètement coupés de tout contact ou contrôle international.

Le Rapport de la Croix Rouge est précieux parce qu'il fait d'abord la lumière sur les circonstances légitimes de la détention des Juifs dans des camps de concentration, c'est-à-dire comme citoyens d'un pays ennemi. En décrivant les deux catégories de civils internés, le Rapport qualifie le deuxième type de "civils déportés pour des raisons administratives (en allemand: Schutzhäftlinge = en détention préventive) qui avaient été arrêtés pour des motifs politiques ou raciaux parce que leur présence était considérée comme un danger en puissance pour l'Etat ou pour les troupes d'occupation" (Vol.III, p.73). Le Rapport poursuit: "Ces personnes étaient assimilées aux personnes arrêtées ou emprisonnées en vertu du droit commun pour des raisons de sécurité" (p.74). Le Rapport reconnaît que les Allemands furent d'abord peu disposés à permettre à la Croix Rouge d'aller surveiller des personnes détenues pour la sécurité de l'Etat, mais qu'à partir du 2· semestre de 1942, le CICR obtint des concessions importantes de l'Allemagne. On l'autorisa à distribuer des colis de vivres dans les grands camps de concentration à partir du mois d'août 1942, et à partir de février 1943, cette concession fut étendue à tous les autres camps et à toutes les autres prisons" (Vol.III, p.78). Le CICR établit bientôt le contact avec les commandants des camps et entama un programme d'envoi de vivres qui fonctionna jusqu'aux derniers mois de la guerre en 1945 ainsi qu'en témoignent des lettres de remerciement envoyées par milliers par des Juifs détenus dans les camps.

Le Rapport signale que "9.000 colis étaient emballés chaque jour. A partir de l'automne de 1943 jusqu'à mai 1945, 1.112.000 colis environ, représentant un poids total de 4.500 tonnes, furent envoyés aux camps de concentration" (Vol.III, p.80). En plus des colis de vivres, on expédia des colis de vêtements et de produits pharmaceutiques. "Des colis furent envoyés à Dachau, Buchenwald, Sangerhausen, Sachsenhausen, Oranienburg, Flossenburg, Labdsberg-am-Lech, Floha, Ravensbrück, Hamburg-Neuengamme, Mauthausen, Theresienstadt, Auschwitz, Bergen-Belsen, à des camps situes près de Vienne et dans le centre et le sud de l'Allemagne. Ils furent destinés surtout à des Juifs belges, hollandais, français. grecs, italiens, norvégiens, polonais et apatrides" (Vol.III, p.83). Au cours des années de guerre, "le Comité put faire transporter et distribuer des marchandises valant plus de 20 millions de francs suisses collectés par des organisations juives de bienfaisance dans le monde entier, spécialement par le comité de New York American Joint Distribution Committee" (Vol. I, p.644). Jusqu'à l'entrée en guerre des Etats-Unis, ce comité de New York fut autorisé par les Allemands à avoir ses bureaux à Berlin. Le CICR se plaint de ce que son action de grande envergure d'aide aux détenus juifs fut entravée non pas par les Allemands, mais par le blocus étroit de l'Europe par les Alliés. La Croix Rouge acheta la majeure partie des vivres en Roumanie, en Hongrie et en Slovaquie. Le CICR a des éloges particuliers pour les conditions de vie libérales qui régnaient à Theresienstadt jusqu'aux dernières visites des délégués du Comité en avril 1945. Ce camp, "où vivaient environ 40.000 Juifs déportés de divers pays, était un ghetto relativement privilégié" (Vol.III, p.75). Suivant le Rapport, "les délégués purent visiter le camp de Theresienstadt (Terezin) ou vivaient exclusivement des Juifs et ou régnaient des conditions spéciales. D'après les renseignements recueillis par le Comité, ce camp avait été créé à titre expérimental par certains dirigeants du Reich qui voulaient donner aux Juifs la possibilité de vivre en commun dans une ville administrée par eux-mêmes et possédant une autonomie presque complète... deux délégués purent visiter le camp le 6 avril 1945. Ils confirmèrent l'impression favorable de leur première visite" (Vol.I, p.642).

Le CICR loue aussi le régime d'Ion Antonescu de la Roumanie fasciste où le Comité put apporter une aide spéciale à 183.000 Juifs roumaine jusqu'à l'occupation du pays par les troupes soviétiques... qui signifia la fin de cette action humanitaire, et le CICR se plaint amèrement de n'avoir jamais réussi à envoyer quoi que ce soit en Union Soviétique" (Vol.I, p.62). Ce fut le cas aussi pour plusieurs camps de concentration allemands après leur "libération" par l'Armée Rouge. Le CICR reçut une correspondance volumineuse d'Auschwitz, jusqu'au moment de l'occupation soviétique. Une partie des détenus fut évacuée vers l'Ouest, mais les efforts de la Croix Rouge pour envoyer des colis aux détenus restés à Auschwitz occupé par l'Armée Rouge furent vains. Cependant, des colis de vivres furent encore envoyés à des anciens détenus d'Auschwitz transférés à l'Ouest dans des camps tels que Buchenwald et Oranienburg.

Un des aspects les plus importants du Rapport de la Croix Rouge est qu'il fait la lumière sur la véritable cause des nombreux décès dans les camps vers la fin de la guerre: "Dans les conditions chaotiques de l'Allemagne après l'invasion, pendant les derniers mois de la guerre, plus aucun ravitaillement n'arrivait dans les camps de concentration et il y eut de plus en plus de détenus qui moururent d'épuisement. Alarmé par cette situation, le gouvernement allemand lui-même en informa finalement le CICR le 1er février 1945. En mars 1945, des entretiens du Président du CICR avec Kaltenbrunner, général de la SS, eurent des résultats encore plus décisifs. Les colis de vivres purent désormais être distribués par le CICR et un délégué de la Croix Rouge fut autorisé à séjourner dans chaque camp..." (Vol.III, p.83). Il est donc évident que les autorités allemandes faisaient tout leur possible pour remédier à cette situation désastreuse. Le Croix Rouge précise que le ravitaillement des camps fut interrompu à cause des attaques de l'aviation alliée sur toutes les voies de communication, et dans l'intérêt des détenus juifs, la Croix Rouge protesta le 15 mars 1944 contre "la guerre aérienne barbare des Alliés" (Inter Arma Caritas, p.78). Le 2 octobre 1944, le CICR avertit le Foreign Office de l'effondrement imminent du système de transport allemand en déclarant qu'il entraînerait inévitablement la famine pour tous ceux qui se trouvaient en Allemagne à l'époque.

L'examen de ce volumineux Rapport en trois volumes nous montre -- et il importe de le souligner -- que les délégués de la Croix Rouge Internationale n'ont trouvé aucune preuve, dans les camps de concentration des pays européens occupés par l'Allemagne, d'une politique délibérée d'extermination des Juifs. Il n'est fait mention nulle part, dans les 1.600 pages du Rapport, d'une chose telle qu'une chambre à gaz. Le rapport reconnaît que les Juifs, comme beaucoup d'autres peuples pendant la guerre, ont subi les rigueurs de la vie dans les camps et ont souffert de privation, mais le silence complet du rapport sur une extermination voulue et planifiée réfute amplement la légende des Six Millions. Comme les délégués du Vatican avec qui elle a travaillé, la Croix Rouge Internationale estime qu'il lui était impossible d'adhérer à la campagne irresponsable menée partout à grand fracas pour accuser l'Allemagne nazie d'avoir appliqué une politique de génocide.

Quant au taux réel de la mortalité, le Rapport explique qu'on utilisa les services de la plupart des médecins juifs des camps pour lutter contre le typhus sur le front de l'Est, de sorte que ces médecins n'étaient pas dans les camps quand les épidémies de typhus s'y déclarèrent en 1945 (Vol. I, p.204 ff). On prétend souvent, par ailleurs, que des exécutions en masse eurent lieu dans des chambres à gaz habilement maquillées en salles de douches. Le Rapport réduit aussi à néant cette allégation.

"Les délégués visitèrent non seulement les lavabos, mais aussi les installations de bain, les douches et la blanchisserie. Ils durent intervenir souvent pour faire améliorer les appareils et pour les faire réparer ou agrandir" (Vol. III, p.594).

Le Volume III du Rapport de la Croix Rouge, chapitre 3 (I. Population civile juive) traite de "l'aide apportée aux Juifs de la population libre"; ce chapitre montre clairement que tous les Juifs d'Europe ne furent certainement pas internés mais restèrent parmi la population civile en étant soumis à certaines restrictions. Ceci contredit nettement le soi-disant "perfectionnisme" du prétendu "programme d'extermination", et ce qui est affirmé dans les faux mémoires de Hoess, à savoir qu'Eichmann était obsédé par l'idée d'arrêter "absolument tous les Juifs qu'il pourrait attraper." En Slovaquie, par exemple, où l'adjoint d'Eichmann, Dieter Wisliceny, exerçait ses fonctions, le Rapport spécifie qu'"une grande partie de la minorité juive fut autorisée à rester dans le pays, et à certaines périodes, la Slovaquie fut considérée comme un hâvre relatif pour les Juifs, spécialement pour ceux qui venaient de Pologne. Les Juifs qui restèrent en Slovaquie semblent avoir été relativement en sûreté jusqu'à la fin du mois d'août 1944, quand il se produisit un soulèvement contre les troupes allemandes. Il est vrai que la loi du 15 mai 1942 avait entraîné l'internement de plusieurs milliers de Juifs, mais on les mit dans des camps où les conditions de nourriture et de logement étaient tolérables et où les détenus pouvaient travailler en étant payés dans des conditions presque égales à celles de l'extérieur" (Vol.I, p.646).

Parmi les 3 millions de Juifs à peu près qui se trouvaient en Europe pendant la guerre (comment en exterminer 6 dans ce cas?), il y en eut non seulement pas mal qui ne furent pas détenus, mais une partie d'entre eux put continuer à émigrer pendant toute la guerre, généralement via la Hongrie, la Roumanie et la Turquie. Ironie du sort, cette émigration, à partir des territoires occupés par les Allemands, fut facilitée aussi par le Reich, comme dans le cas des Juifs polonais arrivés en France avant l'occupation de ce pays. "Les Juifs de Pologne qui avaient obtenu, quand ils étaient en France, des permis d'entrée aux Etats-Unis, furent considérés comme des citoyens américains par les autorités allemandes d'occupation qui acceptèrent ultérieurement de reconnaître la validité d'environ trois mille passeports remis à des Juifs par des consulats de pays d'Amérique Latine" (Vol.I, p.645). Comme futurs citoyens américains, ces Juifs furent rassemblés au camp de Vittel réservé aux citoyens américains. L'émigration de Juifs européens à partir de la Hongrie, en particulier, se poursuivit pendant la guerre, sans entraves des autorités allemandes. "Jusqu'au mois de mars 1944", dit le Rapport de la Croix Rouge, (des Juifs qui avaient le privilège de posséder des visas pour la Palestine furent autorisés à quitter la Hongrie" (Vol.I, p.648). Même après le remplacement du gouvernement Horthy en 1944 (il voulait conclure un armistice séparé avec l'Union Soviétique) par un gouvernement qui dépendait davantage de l'autorité allemande, l'émigration de Juifs continua. Le Comité obtint les promesses de la Grande-Bretagne et des Etats-Unis "d'aider par tous les moyens l'émigration des Juifs à partir de la Hongrie", et le CICR reçut un message du gouvernement américain: "Le gouvernement des Etats-Unis répète de façon précise qu'il fera le nécessaire pour prendre soin de tous les Juifs qui sont autorisés à partir dans les circonstances actuelles" (Vol.I, p.649).




Il existe une étude de la question juive en Europe pendant la Deuxième Guerre Mondiale et des conditions de vie dans les camps de concentration allemands qui est presque unique dans son genre par son honnêteté et son objectivité. Il s'agit du Rapport en trois volumes du Comité International de la Croix Rouge sur ses activités pendant la Deuxième Guerre Mondiale, Genève, 1948. Ce compte rendu complet provenant d'une source entièrement neutre comprend et étend les constatations de deux ouvrages précédents: Documents sur l'activité du CICR en faveur des civils détenus dans les camps de concentration en Allemagne 1939-1945 (Genève, 1946) et Inter Arma Caritas: the Work of the CICR during the Second World War (Genève, 1947). Le groupe d'auteurs, dirigé par Frédéric Siordet, explique au début du Rapport qu'il s'est inspiré d'une stricte neutralité politique, dans la tradition de la Croix Rouge, et c'est en cela que réside sa grande valeur.

Le CICR réussit à faire appliquer la convention militaire de Genève de 1929 pour pouvoir visiter les détenus civils des camps allemands d'Europe Centrale et d'Europe Occidentale. Par contre, il lui fut impossible d'aller faire une enquête en Union Soviétique puisque ce pays n'avait pas ratifié la Convention. Les millions de prisonniers civils et militaires de l'Union Soviétique dont les conditions de vie étaient, comme chacun sait, de loin les plus pénibles de toutes, étaient complètement coupés de tout contact ou contrôle international.

Le Rapport de la Croix Rouge est précieux parce qu'il fait d'abord la lumière sur les circonstances légitimes de la détention des Juifs dans des camps de concentration, c'est-à-dire comme citoyens d'un pays ennemi. En décrivant les deux catégories de civils internés, le Rapport qualifie le deuxième type de "civils déportés pour des raisons administratives (en allemand: Schutzhäftlinge = en détention préventive) qui avaient été arrêtés pour des motifs politiques ou raciaux parce que leur présence était considérée comme un danger en puissance pour l'Etat ou pour les troupes d'occupation" (Vol.III, p.73). Le Rapport poursuit: "Ces personnes étaient assimilées aux personnes arrêtées ou emprisonnées en vertu du droit commun pour des raisons de sécurité" (p.74). Le Rapport reconnaît que les Allemands furent d'abord peu disposés à permettre à la Croix Rouge d'aller surveiller des personnes détenues pour la sécurité de l'Etat, mais qu'à partir du 2· semestre de 1942, le CICR obtint des concessions importantes de l'Allemagne. On l'autorisa à distribuer des colis de vivres dans les grands camps de concentration à partir du mois d'août 1942, et à partir de février 1943, cette concession fut étendue à tous les autres camps et à toutes les autres prisons" (Vol.III, p.78). Le CICR établit bientôt le contact avec les commandants des camps et entama un programme d'envoi de vivres qui fonctionna jusqu'aux derniers mois de la guerre en 1945 ainsi qu'en témoignent des lettres de remerciement envoyées par milliers par des Juifs détenus dans les camps.




Les Juifs reçurent les colis de la Croix Rouge.

Le Rapport signale que "9.000 colis étaient emballés chaque jour. A partir de l'automne de 1943 jusqu'à mai 1945, 1.112.000 colis environ, représentant un poids total de 4.500 tonnes, furent envoyés aux camps de concentration" (Vol.III, p.80). En plus des colis de vivres, on expédia des colis de vêtements et de produits pharmaceutiques. "Des colis furent envoyés à Dachau, Buchenwald, Sangerhausen, Sachsenhausen, Oranienburg, Flossenburg, Labdsberg-am-Lech, Floha, Ravensbrück, Hamburg-Neuengamme, Mauthausen, Theresienstadt, Auschwitz, Bergen-Belsen, à des camps situes près de Vienne et dans le centre et le sud de l'Allemagne. Ils furent destinés surtout à des Juifs belges, hollandais, français. grecs, italiens, norvégiens, polonais et apatrides" (Vol.III, p.83). Au cours des années de guerre, "le Comité put faire transporter et distribuer des marchandises valant plus de 20 millions de francs suisses collectés par des organisations juives de bienfaisance dans le monde entier, spécialement par le comité de New York American Joint Distribution Committee" (Vol. I, p.644). Jusqu'à l'entrée en guerre des Etats-Unis, ce comité de New York fut autorisé par les Allemands à avoir ses bureaux à Berlin. Le CICR se plaint de ce que son action de grande envergure d'aide aux détenus juifs fut entravée non pas par les Allemands, mais par le blocus étroit de l'Europe par les Alliés. La Croix Rouge acheta la majeure partie des vivres en Roumanie, en Hongrie et en Slovaquie. Le CICR a des éloges particuliers pour les conditions de vie libérales qui régnaient à Theresienstadt jusqu'aux dernières visites des délégués du Comité en avril 1945. Ce camp, "où vivaient environ 40.000 Juifs déportés de divers pays, était un ghetto relativement privilégié" (Vol.III, p.75). Suivant le Rapport, "les délégués purent visiter le camp de Theresienstadt (Terezin) ou vivaient exclusivement des Juifs et ou régnaient des conditions spéciales. D'après les renseignements recueillis par le Comité, ce camp avait été créé à titre expérimental par certains dirigeants du Reich qui voulaient donner aux Juifs la possibilité de vivre en commun dans une ville administrée par eux-mêmes et possédant une autonomie presque complète... deux délégués purent visiter le camp le 6 avril 1945. Ils confirmèrent l'impression favorable de leur première visite" (Vol.I, p.642).

Le CICR loue aussi le régime d'Ion Antonescu de la Roumanie fasciste où le Comité put apporter une aide spéciale à 183.000 Juifs roumaine jusqu'à l'occupation du pays par les troupes soviétiques... qui signifia la fin de cette action humanitaire, et le CICR se plaint amèrement de n'avoir jamais réussi à envoyer quoi que ce soit en Union Soviétique" (Vol.I, p.62). Ce fut le cas aussi pour plusieurs camps de concentration allemands après leur "libération" par l'Armée Rouge. Le CICR reçut une correspondance volumineuse d'Auschwitz, jusqu'au moment de l'occupation soviétique. Une partie des détenus fut évacuée vers l'Ouest, mais les efforts de la Croix Rouge pour envoyer des colis aux détenus restés à Auschwitz occupé par l'Armée Rouge furent vains. Cependant, des colis de vivres furent encore envoyés à des anciens détenus d'Auschwitz transférés à l'Ouest dans des camps tels que Buchenwald et Oranienburg.




Aucune preuve d'un génocide.

Un des aspects les plus importants du Rapport de la Croix Rouge est qu'il fait la lumière sur la véritable cause des nombreux décès dans les camps vers la fin de la guerre: "Dans les conditions chaotiques de l'Allemagne après l'invasion, pendant les derniers mois de la guerre, plus aucun ravitaillement n'arrivait dans les camps de concentration et il y eut de plus en plus de détenus qui moururent d'épuisement. Alarmé par cette situation, le gouvernement allemand lui-même en informa finalement le CICR le 1er février 1945. En mars 1945, des entretiens du Président du CICR avec Kaltenbrunner, général de la SS, eurent des résultats encore plus décisifs. Les colis de vivres purent désormais être distribués par le CICR et un délégué de la Croix Rouge fut autorisé à séjourner dans chaque camp..." (Vol.III, p.83). Il est donc évident que les autorités allemandes faisaient tout leur possible pour remédier à cette situation désastreuse. Le Croix Rouge précise que le ravitaillement des camps fut interrompu à cause des attaques de l'aviation alliée sur toutes les voies de communication, et dans l'intérêt des détenus juifs, la Croix Rouge protesta le 15 mars 1944 contre "la guerre aérienne barbare des Alliés" (Inter Arma Caritas, p.78). Le 2 octobre 1944, le CICR avertit le Foreign Office de l'effondrement imminent du système de transport allemand en déclarant qu'il entraînerait inévitablement la famine pour tous ceux qui se trouvaient en Allemagne à l'époque.

L'examen de ce volumineux Rapport en trois volumes nous montre -- et il importe de le souligner -- que les délégués de la Croix Rouge Internationale n'ont trouvé aucune preuve, dans les camps de concentration des pays européens occupés par l'Allemagne, d'une politique délibérée d'extermination des Juifs. Il n'est fait mention nulle part, dans les 1.600 pages du Rapport, d'une chose telle qu'une chambre à gaz. Le rapport reconnaît que les Juifs, comme beaucoup d'autres peuples pendant la guerre, ont subi les rigueurs de la vie dans les camps et ont souffert de privation, mais le silence complet du rapport sur une extermination voulue et planifiée réfute amplement la légende des Six Millions. Comme les délégués du Vatican avec qui elle a travaillé, La Croix Rouge Internationale estime qu'il lui était impossible à la campagne irresponsable menée partout à grand fracas pour accuser l'Allemagne nazie d'avoir appliqué une politique de génocide.

Quant au taux réel de la mortalité, le Rapport explique qu'on utilisa les services de la plupart des médecins juifs des camps pour lutter contre le typhus sur le front de l'Est, de sorte que ces médecins n'étaient pas dans les camps quand les épidémies de typhus s'y déclarèrent en 1945 (Vol. I, p.204 ff). On prétend souvent, par ailleurs, que des exécutions en masse eurent lieu dans des chambres à gaz habilement maquillées en salles de douches. Le Rapport réduit aussi à néant cette allégation.

"Les délégués visitèrent non seulement les lavabos, mais aussi les installations de bain, les douches et la blanchisserie. Ils durent intervenir souvent pour faire améliorer les appareils et pour les faire réparer ou agrandir" (Vol. III, p.594).




Ils ne furent pas tous détenus.

Le Volume III du Rapport de la Croix Rouge, chapitre 3 (I. Population civile juive) traite de "l'aide apportée aux Juifs de la population libre"; ce chapitre montre clairement que tous les Juifs d'Europe ne furent certainement pas internés mais restèrent parmi la population civile en étant soumis à certaines restrictions. Ceci contredit nettement le soi-disant "perfectionnisme" du prétendu "programme d'extermination", et ce qui est affirmé dans les faux mémoires de Hoess, à savoir qu'Eichmann était obsédé par l'idée d'arrêter "absolument tous les Juifs qu'il pourrait attraper." En Slovaquie, par exemple, où l'adjoint d'Eichmann, Dieter Wisliceny, exerçait ses fonctions, le Rapport spécifie qu'"une grande partie de la minorité juive fut autorisée à rester dans le pays, et à certaines périodes, la Slovaquie fut considérée comme un hâvre relatif pour les Juifs, spécialement pour ceux qui venaient de Pologne. Les Juifs qui restèrent en Slovaquie semblent avoir été relativement en sûreté jusqu'à la fin du mois d'août 1944, quand il se produisit un soulèvement contre les troupes allemandes. Il est vrai que la loi du 15 mai 1942 avait entraîné l'internement de plusieurs milliers de Juifs, mais on les mit dans des camps où les conditions de nourriture et de logement étaient tolérables et où les détenus pouvaient travailler en étant payés dans des conditions presque égales à celles de l'extérieur" (Vol.I, p.646).

Parmi les 3 millions de Juifs à peu près qui se trouvaient en Europe pendant la guerre, il y en eut non seulement pas mal qui ne furent pas détenus, mais une partie d'entre eux put continuer à émigrer pendant toute la guerre, généralement via la Hongrie, la Roumanie et la Turquie. Ironie du sort, cette émigration, à partir des territoires occupés par les Allemands, fut facilitée aussi par le Reich, comme dans le cas des Juifs polonais arrivés en France avant l'occupation de ce pays. "Les Juifs de Pologne qui avaient obtenu, quand ils étaient en France, des permis d'entrée aux Etats-Unis, furent considérés comme des citoyens américains par les autorités allemandes d'occupation qui acceptèrent ultérieurement de reconnaître la validité d'environ trois mille passeports remis à des Juifs par des consulats de pays d'Amérique Latine" (Vol.I, p.645). Comme futurs citoyens américains, ces Juifs furent rassemblés au camp de Vittel réservé aux citoyens américains. L'émigration de Juifs européens à partir de la Hongrie, en particulier, se poursuivit pendant la guerre, sans entraves des autorités allemandes. "Jusqu'au mois de mars 1944", dit le Rapport de la Croix Rouge, (des Juifs qui avaient le privilège de posséder des visas pour la Palestine furent autorisés à quitter la Hongrie" (Vol.I, p.648). Même après le remplacement du gouvernement Horthy en 1944 (il voulait conclure un armistice séparé avec l'Union Soviétique) par un gouvernement qui dépendait davantage de l'autorité allemande, l'émigration de Juifs continua. Le Comité obtint les promesses de la Grande-Bretagne et des Etats-Unis "d'aider par tous les moyens l'émigration des Juifs à partir de la Hongrie", et le CICR reçut un message du gouvernement américain: "Le gouvernement des Etats-Unis répète de façon précise qu'il fera le nécessaire pour prendre soin de tous les Juifs qui sont autorisés à partir dans les circonstances actuelles" .[/justify]
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SorNedej

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[center][large]Les Six Millions : documents "probants" (!?)[/large][/center]




[justify]On voit par ce qui précède que le chiffre de "Six Millions" de Juifs assassinés n'est rien d'autre qu'un vague compromis entre plusieurs estimations entièrement dénuées de fondement. Certains auteurs réduisent parfois ce chiffre pour lui donner une apparence d'authenticité désarmante. Lord Russell de Liverpool, par exemple, dans son livre The Scourge of the Swastika (Londres, 1954), affirme qu'il "n'y eut pas moins de cinq millions" de Juifs qui moururent dans les camps de concentration allemands. Mais il reconnaît "qu'on ne connaîtra jamais le nombre exact". Dans ce cas, comment peut-il affirmer qu'il "n'y en eut pas moins de 5 millions"? Le Comité Mixte Juif de Distribution préfère le chiffre de 5.012.000 victimes, mais l'"expert" juif Reitlinger suggère le chiffre original de 4.192.200 "Juifs disparus", estimant qu'un tiers de ce total correspond à des morts de mort naturelle. Ceci ramènerait à 2.796.000 le nombre de Juifs "exterminés" de propos délibéré. Cependant, le Dr. M. Perlzweig, délégué de New York à une conférence de presse du Congrès Juif Mondial tenue à Genève en 1948, a déclaré: "Le prix de l'effondrement du national-socialisme et du fascisme, ce sont les 7 millions de Juifs qui perdirent la vie à cause d'un antisémitisme cruel". Dans la Presse ou ailleurs, ce chiffre passe souvent fortuitement à 8 millions ou parfois même à 9 millions. Nous avons prouvé au chapitre précédent qu'aucun de ces chiffres n'est plausible, si peu que ce soit, ce sont des chiffres ridicules, tout simplement.




Exagérations fantastiques

Le première accusation d'assassinats en masse de Juifs par les Allemands en Europe pendant la guerre fut lancée par le Juif polonais Rafael Lemkin dans son livre Axis Rule in Occupied Europe publié à New York en 1943. Pure coïncidence, sans doute, Lemkin fut chargé ultérieurement de rédiger la Convention sur le Génocide de l'ONU qui vise à mettre le "racisme" hors la loi. Il prétendait dans son livre que les Nazis avaient tué des millions de Juifs, jusqu'à six millions peut-être.

En 1943, ce résultat aurait été vraiment remarquable puisque, à ce qu'on prétend, l'"extermination" ne démarra qu'au cours de l'été 1942. A une telle cadence, toute la population juive du monde entier aurait été exterminée en 1945.

Après la guerre, les estimations de la propagande grimpèrent de plus en plus pour atteindre des totaux encore plus fantastiques. Kurt Gerstein, un antinazi qui prétendait avoir noyauté la SS, raconta à Raymond Cartier qui l'interrogeait qu'il savait que pas moins de 40 millions de détenus des camps de concentrations avaient été tués dans des chambres à gaz. Dans le premier procès-verbal d'interrogatoire qu'il signa le 26 avril 1945, il ramena ce chiffre à 25 millions, mais ce total parut encore trop bizarre au Deuxième Bureau français, et dans son deuxième procès-verbal, signé à Rottweil le 4 mai 1945, il se rapproche des 6 millions qui eurent la préférence lors du Procès de Nuremberg. La soeur de Gerstein était folle de naissance et mourut par euthanasie; on peut donc supposer qu'il y avait aussi chez Gerstein une légère dose d'instabilité mentale. En fait, il avait été reconnu coupable en 1936 d'avoir envoyé des lettres excentriques à certaines personnes. Après ses deux "confessions", il se pendit à la prison du Cherche-Midi à Paris. Gerstein prétendit que, pendant la guerre, il faisait passer au gouvernement suédois, par l'intermédiaire d'un baron allemand, des renseignements sur l'assassinat des Juifs, mais pour une raison inexplicable, ses rapports furent "mal classés et oubliés". Il prétendit aussi qu'au mois d'août 1942, il informa le Nonce Apostolique à Berlin de tout le "programme d'extermination", mais que ce prélat lui répondit simplement: "Sortez"!

Dans ses déclarations, Gerstein prétend plusieurs fois qu'il fut témoin d'exécution en masse gigantesques (12.000 en un jour à Belzec), et dans le deuxième procès-verbal, il décrit une visite d'un camp de concentration de Pologne par Hitler, le 6 juin 1942, et les historiens savent que cette visite n'a jamais eu lieu. Les exagérations fantastiques de Gerstein ont discrédité complètement l'histoire de l'extermination en masse. Wilhelm Dibelius, évêque de l'Eglise Evangélique de Berlin, a déclaré que les affirmations de Gerstein dans ce procès-verbal étaient "sujettes à caution" (H. Rothfels, "Augenzeugenbericht zu den Massenvergasungen" dans les Vierteljahreshefte für Zeitgeschichte, avril 1953). Pourtant, incroyable, mais vrai, ce deuxième procès-verbal de Gerstein a été publié en 1955 par le gouvernement de l'Allemagne Fédérale pour le distribuer dans les écoles allemandes sous le titre de Dokumentation zur Massenvergasung, Bonn, 1955. Il est dit dans cette publication que l'évêque Dibelius avait spécialement confiance en Gerstein (!) et que ces procès-verbaux étaient "irréfutables sans aucun doute possible" (!).

Exemple frappant de la façon dont on perpétue en Allemagne, particulièrement à l'intention de la jeunesse, l'accusation de génocide qui est dénuée de fondement.

L'histoire des "Six Millions" de Juifs exterminés pendant la guerre fut consacrée définitivement au Procès de Nuremberg par la déclaration du Dr. Wilhelm Hoettl. Il avait été l'adjoint d'Eichmann, mais c'était en fait un personnage plutôt étrange travaillant pour le Service de Renseignement américain et qui avait écrit plusieurs livres sous le pseudonyme de Walter Hagen. Hoettl espionna également pour le compte de l'Union Soviétique, avec deux émigrants juifs originaires de Vienne, Perger et Verber, qui participèrent aux enquêtes préliminaires du Procès de Nuremberg, sous l'uniforme d'officiers américains. Le témoignage de ce personnage très équivoque, Hoettl, constitue, nous dit-on l'unique "preuve" du meurtre de 6 millions de Juifs. Dans sa déposition sous serment du 26 novembre 1945, il déclare -- non pas qu'il savait -- mais qu'Eichmann "lui avait dit" au mois d'août 1944 à Budapest que 6 millions de Juifs au total avaient été exterminés. Inutile de dire qu'Eichmann ne confirma jamais cette affirmation quand les Juifs firent son procès en Israël. Hoettl fut un espion américain pendant toute la dernière partie de la guerre et il est donc vraiment très étrange qu'il n'ait rien dit aux Américains d'une politique d'anéantissement des Juifs, alors qu'il travaillait directement sous les ordres de Heydrich et Eichmann.




Absence de preuves

Il faut souligner d'emblée qu'il n'existe pas un seul document prouvant que les Allemands avaient l'intention d'assassiner les Juifs de propos délibéré ni qu'ils ont exécuté ce plan. Dans le livre de Poliakov et de Wulf Das Dritte Reich und die Juden: Dokumente und Aufsätze (Berlin, 1955), tout ce qu'ils arrivent à rassembler sont des déclarations arrachées après la guerre à des gens tels que Hoettl, Ohlendorf et Wisliceny, pour ce dernier, il s'agit de déclarations faites sous la torture dans une prison soviétique. Etant donné l'absence de preuves, Poliakov est donc obligé d'écrire: "Trois des quatre personnes impliquées principalement dans l'établissement du plan d'extermination totale sont mortes; et il n'y a pas de documents qui nous sont parvenus." Ceci paraît très commode. Il est bien évident que le plan et les "trois des quatre personnes" ne sont que des suppositions nébuleuses de l'écrivain qu'il est totalement impossible de prouver. Dans les documents qui nous sont parvenus, naturellement, il n'est pas du tout question d'extermination, de sorte que les écrivains comme Poliakov et Reitlinger font de nouveau la supposition commode que de tels ordres étaient généralement "verbaux". Malgré l'absence de documents probants, ils supposent qu'un plan d'assassinat des Juifs doit avoir pris naissance en 1941 et a coïncidé avec l'attaque de l'Union Soviétique. On prétend que la première phase du plan impliquait le massacre des Juifs soviétiques, affirmation dont nous démonterons la fausseté plus loin. On suppose que le reste du programme commença en mars 1942, par la déportation et la concentration des Juifs d'Europe dans les camps de l'Est, dans le Gouvernement Général de Pologne, tels que le complexe industriel géant d'Auschwitz près de Cracovie. L'hypothèse suivant laquelle la déportation des Juifs vers l'Est, dirigée par le service d'Eichmann, signifiait réellement leur extermination immédiate dans des chambres à gaz dès leur arrivée est une supposition fantastique et entièrement dénuée de fondement.

Selon Manvell & Frankl ("Heinrich Himmler", Londres, 1965), "il semble que la politique de génocide ait été décidée" après des "discussions secrètes" entre Hitler et Himmler (p.118), bien que les auteurs s'abstiennent de le prouver. Reitlinger et Poliakov forment des conjectures similaires au sujet de "consignes verbales", ajoutant que personne d'autre ne pouvait assister à ces discussions et que rien n'a jamais été mis par écrit pendant ou après ces réunions. C'est de la pure invention, car il n'y a pas l'ombre d'une preuve que ces réunions aussi bizarres aient eu lieu. William Shirer, dans son livre en général extravagant et peu sérieux The Rise and Fall of the Third Reich, est également très peu loquace quant aux preuves écrites. ll dit sans grande conviction que le soi-disant ordre d'Hitler d'assassiner les Juifs "n'a jamais été mis par écrit, apparemment -- on n'en a pas encore déniché une copie en tout cas. Cet ordre a probablement été donné verbalement à Goering, Himmler et Heydrich qui l'ont transmis à leurs subordonnés... " (p.1148) . Nous trouvons chez Manvel & Frankl un exemple typique du genre de "preuves" qu'on cite pour appuyer la légende de l'extermination. Il s'agit d'une note du 31 juillet 1941, de Goering à Heydrich, qui dirigeait l'Office Supérieur de Sécurité du Reich et qui était le suppléant de Himmler. Ce document commence par cette phrase qui est très significative: "En supplément de la tâche qui vous a été assignée le 24 janvier 1939 pour résoudre le problème juif au moyen de l'émigration et de l'évacuation de la meilleur façon possible suivant les conditions actuelles... " La tâche supplémentaire assignée dans la note est une "solution globale" (Gesamtlösung) de la question juive dans la zone d'influence allemande en Europe, les auteurs reconnaissent que cela signifie la concentration des Juifs à l'Est. Elle exige la préparation des "questions d'organisation, financières et matérielles" impliquées par ce plan. La note réclame alors un plan futur pour la "solution finale désirée" (Endlösung) qui vise clairement le plan idéal et final de l'émigration et de l'évacuation mentionnées au début de la directive. Il n'est fait aucune mention d'assassiner des gens, mais Manvell & Frankl nous certifient que c'est le sujet réel de cette note. De nouveau, naturellement, "c'est verbalement que Goering a fait connaître à Heydrich la véritable nature de la solution finale, distincte de la solution globale" (ibid. p.118). La commodité de ces directives "verbales" qui sont données de l'un à l'autre est manifeste.




La Conférence de Wannsee

Les détails finals du plan d'extermination des Juifs furent fixés -- selon les suppositions de ces auteurs -- lors d'une conférence tenue à Gross Wannsee (Berlin) le 20 janvier 1942 sous la présidence de Heydrich (Poliakov, "Das Dritte Reich und die Juden", p.120 ff; Reitlinger, "The Final Solution", p.95 ff). Des fonctionnaires de tous les ministères allemands étaient présents et Müller et Eichmann représentaient l'Office Supérieur de la Gestapo.

Reitlinger et Manvell & Frankl considèrent les procès-verbaux de cette conférence comme un atout permettant de prouver l'existence d'un plan de génocide, mais la vérité est qu'un tel plan n'a même pas été mentionné, chose qu'ils reconnaissent d'ailleurs franchement. Manvell & Frankl l'expliquent plutôt faiblement en disant que "les procès-verbaux sont enrobés dans un style bureaucratique masquant la signification réelle des mots et de la terminologie utilisés" (The Incomparable Crime, Londres, 1967, p.46), ce qui signifie en réalité que ces auteurs se proposent d'interpréter les mots à leur propre façon. Ce que Heydrich dit réellement, c'est que -- comme cela figure dans le procès-verbal cité plus haut -- il avait été chargé par Goering de trouver une solution au problème juif. Il passa en revue l'histoire de l'émigration juive, fit savoir que la guerre avait rendu irréalisable le projet de Madagascar et il poursuivit: "Le programme d'émigration a été remplacé maintenant par l'évacuation de Juifs à l'Est comme autre solution possible, conformément à l'autorisation antérieure du Führer." Il expliqua qu'on allait utiliser ces Juifs comme main-d'oeuvre dans ces territoires de l'Est. On veut donner à ces déclarations un sens affreusement sinistre, on prétend que ce sont des mots chargés d'un sens caché, à savoir que les Juifs devaient être exterminés, bien que le Prof. Paul Rassinier explique que ces mots signifient exactement ce qu'ils disent, c'est-à-dire la concentration des Juifs pour utiliser cette main-d'oeuvre dans l'immense ghetto de l'Est du Gouvernement Général de Pologne. -- Paul Rassinier est un Français qui fut interné à Buchenwald et qui a réfuté le mythe des Six Millions dans plusieurs livres, nous en reparlerons plus loin -- . "Ils devaient y attendre la fin de la guerre, quand des discussions internationales pourraient être de nouveau entamées pour décider de leur avenir. On aboutit finalement à cette décision lors de la Conférence interministérielle de Berlin-Wannsee..." (Rassinier: Le véritable Procès Eichmann, p.20). Manvell & Frankl, cependant, ne sont aucunement ébranlés par l'absence totale de référence à une extermination. Ils écrivent que, à la Conférence de Wannsee, "on évita des références directes au massacre, Heydrich accordant la préférence au terme ''Arbeitseinsatz im Osten'' (emploi de la main-d'oeuvre à l'Est)" (Heinrich Himmler, p.209). Ils ne nous expliquent pas pourquoi nous ne devons pas croire que les mots "emploi de la main d'oeuvre à l'Est" signifient réellement "emploi de la main d'oeuvre à l'Est". Selon Reitlinger et d'autres, d'innombrables directives spécifiant effectivement l'extermination auraient circulé entre Himmler, Heydrich, Eichmann et le commandant Hoess pendant les mois suivants de 1942, mais, naturellement "aucune de ces directives n'a été retrouvée après la guerre".




Mots dénaturés et suppositions dénuées de fondement

Etant l'absence totale de documents probants sur l'existence d'un plan d'extermination, ces écrivains ont pris l'habitude de réinterpréter les documents qui nous sont parvenus. Ils considèrent par exemple qu'un document sur la déportation ne concerne pas du tout la déportation mais est une façon artificieuse de parler d'extermination. Manvell & Frankl expliquent "qu'on utilisait divers termes pour camoufler le génocide, notamment "Aussiedlung" (évacuation, émigration) et "Abbeforderung" (mise en route, transport, évacuation)" (ibid, p.265). Ces auteurs ne donnent donc plus aux mots le sens qu'ils ont réellement si ce sens ne cadre pas avec ce qu'on veut prouver. Ces "contorsions" verbales sont poussées jusqu'aux extrêmes les plus incroyables, comme leur interprétation de la directive de Heydrich sur l'emploi de la main-d'oeuvre à l'Est. Autre exemple: l'ordre de Himmler d'envoyer des déportés à l'Est, "c'est-à-dire de les faire périr" (ibid, p.251). Reitlinger, qui est également embarrassé de ne pas trouver de preuve, fait exactement la même chose en déclarant qu'il est évident, d'après les "circonlocutions" utilisées dans les termes des procès-verbaux de la Conférence de Wannsee, "qu'on avait l'intention d'assassiner lentement une race entière" (ibid, p.98). L'examen des documents qui nous sont présentés comme preuves est important parce qu'il révèle l'édifice de conjectures et d'hypothèses dénuées de fondement sur lequel s'appuie la légende de l'extermination. Les Allemands avaient une propension extraordinaire à tout noter par écrit dans tous les détails, et pourtant, parmi les milliers de documents saisis après la guerre, de la S.D. et de la Gestapo, les dossiers de l'Office Supérieur de Sécurité du Reich, du quartier général de Himmler et les directives de guerre de Hitler, il n'y a pas un seul ordre d'extermination des Juifs ni nulle part ailleurs. Nous verrons plus loin que cela a été reconnu, en fait, par le Centre Mondial de Documentation Juive Contemporaine à Tel-Aviv. Les tentatives faites pour découvrir des "allusions voilées" au génocide dans des discours tels que celui de Himmler aux SS-Obergruppenführer à Posen en 1943 n'ont pas plus de chance de succès. Nous examinons au chapitre suivant les dépositions faites au Procès de Nuremberg après la guerre, qui furent, dans tous les cas, arrachées par la contrainte.[/justify]
SorNedej

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[center][large]Enfin la vérité ! L'oeuvre de Paul Rassinier[/large][/center]



[justify]L'oeuvre de l'historien français Paul Rassinier fut sans aucun doute la contribution la plus importante à une étude véridique de la question de l'"extermination". La valeur remarquable de cette oeuvre réside premièrement dans le fait que Rassinier fut lui-même détenu dans les camps de concentration et aussi qu'il était moins disposé que quiconque à défendre Hitler et la national-socialisme puisque Rassinier était un intellectuel socialiste antinazi. Pourtant, soucieux de défendre la justice et la vérité historique, Rassinier consacra les années d'après-guerre jusqu'à sa mort, survenue en 1966, à poursuivre des recherches dont l'aboutissement fut la réfutation complète du mythe des Six Millions et de la légende du nazisme diabolique. De 1933 à 1943, Rassinier fut professeur d'histoire au lycée de Belfort, Académie de Besançon. Pendant la guerre, il fit de la Résistance et fut arrêté par la Gestapo le 30 octobre 1943; il fut détenu à Buchenwald et à Dora jusqu'à la fin de la guerre. Atteint du typhus à Buchenwald, vers la fin de la guerre, il ne put se rétablir complètement et dut abandonner son travail dans l'enseignement. Décoré de la Médaille de la Résistance et de la Reconnaissance Française, élu député à l'Assemblée Constituante dont les communistes parvinrent à le faire évincer en novembre 1946. Rassinier entreprit alors une analyse systématique des prétendues atrocités allemandes, en particulier de la prétendue "extermination" des Juifs. Ses livres sont peu connus, ce qui ne doit pas nous surprendre. Aucun de ses livres n'a été publié en anglais. Titres les plus importants: Le Mensonge d'Ulysse, une étude des conditions de vie dans les camps de concentration basée sur sa propre expérience; Ulysse trahi par les Siens, suite du premier livre poursuivant la réfutation des impostures des propagandistes anti-allemands. Le véritable Procès Eichmann, le Drame des Juifs européens, dans lequel Rassinier montre au moyen d'une analyse statistique soigneuse comment on a déformé les faits de façon malhonnête et irréfléchie; il examine aussi dans ce livre les conséquences politiques et financières de la légende de l'extermination et son exploitation par Israël et par les pays communistes. (Autres livres de Rassinier: Les Responsables de la Seconde Guerre Mondiale", L'Opération "Vicaire", etc. etc. N.d.T.)

Un des nombreux mérites de l'oeuvre de Rassinier est d'avoir démontré la fausseté du mythe de la "méchanceté", uniques en leur genre, des Allemands. Il révèle au moyen d'arguments accablants comment on a fait disparaître la vérité historique dans un brouillard impénétrable de propagande partisane. Il démontre de façon concluante que le sort des Juifs pendant la Deuxième Guerre Mondiale dégagé de la déformation des faits et ramené à ses justes proportions, perd son "énormité" tant proclamée et devient seulement un acte d'une tragédie beaucoup plus grande et plus vaste. Au cours d'une grande tournée de conférences en Allemagne Occidentale au printemps de 1960, Rassinier dit qu'il était grand temps que renaisse la vérité sur l'"extermination" et que c'étaient les Allemands eux-mêmes qui devaient entreprendre cette tache puisque cette accusation restait aux yeux du monde entier une tache -- absolument injustifiable -- sur le blason de l'Allemagne.




L'imposture des "chambres a gaz".

Le titre Le Mensonge d'Ulysse fait allusion aux histoires incroyables contées par ceux qui reviennent de pays lointains ("a beau mentir qui vient de loin"). Jusqu'à sa mort Rassinier lut tout ce qui se publiait sur l'"extermination" et il essaya de retrouver ou de rencontrer les auteurs de ces histoires. Il fit justice des affirmations extravagantes de David Rousset qui prétendait dans son livre The Other Kingdom (New York, 1947) qu'il y avait des chambres à gaz à Buchenwald; ayant été lui-même à Buchenwald, Rassinier prouva qu'il n'y eut jamais de chambres à gaz dans ce camp (Le Mensonge d'Ulysse, p .209 ff ) . Rassinier interpella aussi l'abbé Jean-Paul Renard qui avait affirmé la même chose dans son livre Chaînes et Lumières. L'abbé Renard lui répondit que d'autres lui avaient dit qu'il y en avait..! (ibid, p.209 ff). Rassinier disséqua aussi le livre de Denise Dufournier Ravensbrück: The Women's Camp of Death (Londres, 1948) et découvrit également que l'auteur n'avait d'autres preuves de l'existence de chambres à gaz que de vagues "bruits" qui, selon Charlotte Bormann, furent lancés délibérément par les détenus communistes. Il aboutit au même résultat avec les livres de Philip Friedman This was Auschwitz: The Story of a Murder Camp (N.Y., 1946) et d'Eugen Kogon The Theory and Practice of Hell (N.Y., 1950): aucun de ces auteurs ne pouvait présenter un témoin oculaire authentique d'une chambre à gaz d'Auschwitz et ils n'avaient jamais vu de chambres à gaz eux-mêmes. Kogon prétend qu'une ancienne détenue, décédée, Janda Weiss, lui avait dit, rien qu'à lui, qu'elle avait vu des chambres a gaz à Auschwitz, mais, naturellement, puisque cette personne était décédée -- disait Kogon -- Rassinier ne pouvait pas aller lui demander des explications. Rassinier put rencontrer Benedikt Kautsky, auteur du livre Teufel und Verdammte qui avait prétendu que des millions de Juifs furent exterminés à Auschwitz. Kautsky confirma seulement à Rassinier ce qu'il avait avoué dans son livre, à savoir qu'il n'avait jamais vu de chambre à gaz et qu'il basait son information sur ce que d'autres "lui avaient raconté". Selon Rassinier, il faut attribuer l'"Oscar" de la littérature sur l'extermination au livre de Miklos Nyizli, Doctor at Auschwitz: la falsification des faits, les contradictions évidentes et les mensonges éhontés montrent que l'auteur parle d'endroits qu'il n'a jamais vus, manifestement (Le Drame des Juifs européens, p.52). Suivant ce "docteur d'Auschwitz", 25.000 personnes y furent exterminées chaque jour pendant 4 ans et demi, ce qui représente un grand progrès par rapport aux 24.000 par jour pendant 2 1/2ans d'Olge Lengyel. Cela nous donnerait un total de 41 millions de victimes pour Auschwitz jusqu'en 1945, soit deux fois et demie la population juive du monde entier avant la guerre. Rassinier essaya de découvrir l'identité de cet étrange "témoin", on lui dit qu'il "était mort peu de temps avant la publication du livre." Rassinier était convaincu que cette personne n'a jamais existé. Après la guerre, Rassinier voyagea dans tous les coins d'Europe pour essayer de rencontrer un témoin oculaire des exterminations dans des chambres à gaz dans les camps de concentration allemands. Il n'en trouva jamais un seul. Aucun des auteurs des nombreux livres accusant les Allemands d'avoir exterminé des millions de Juifs n'avait jamais vu une chambre à gaz construite dans ce but, et encore moins une chambre à gaz en fonctionnement. Aucun auteur ne pouvait présenter un témoin authentique vivant ayant vu une chambre à gaz. Invariablement, les anciens détenus tels que Renard, Kautsky et Kogon basaient leurs affirmations, non pas sur ce qu'ils avaient vu réellement, mais sur ce qu'ils avaient "entendu dire", toujours par des personnes "dignes de foi", mais qui, par un triste hasard, étaient presque toujours décédées et ne pouvaient donc pas confirmer ou infirmer leurs déclarations.

Le fait certainement le plus important qui ressort des études de Rassinier et qui n'offre aucun doute est l'imposture absolue des "chambres a gaz". Des enquêtes sérieuses faites sur place révélèrent, de manière irréfutable, que, contrairement aux déclarations des "témoins" survivants, examinées ci-dessus, il n'y eut jamais de chambres à gaz à Buchenwald, Bergen-Belsen, Ravensbrück, Dachau et Dora, ni à Mauthausen en Autriche. Ce fait avait été certifié -- nous l'avons vu plus haut -- par Stephen Pinter du Ministère de la Guerre des Etats-Unis. Il est reconnu maintenant et admis officiellement par l'Institut d'Histoire Contemporaine de Munich. Cependant, Rassinier fait remarquer que malgré cette vérité historique officielle, des "témoins" s'en furent de nouveau déclarer au procès Eichmann qu'ils avaient vu à Bergen-Belsen des prisonniers partir pour les chambres à gaz. Quant aux camps de l'Est, en Pologne, Rassinier montre que l'unique "preuve" de l'existence de chambres à gaz à Treblinka, Chelmno, Belzec, Maidanek et Sobibor est constituée par les notes, dont la véracité est contestée, de Kurt Gerstein, dont nous avons parlé plus haut. Rappelons qu'il prétendit en premier lieu que 40 millions de personnes furent exterminées pendant la guerre, chiffre absurde, et que dans sa première note signée, il ramena ce chiffre à 25 millions. Nouvelles réductions dans sa deuxième note. L'authenticité de ces notes parut si douteuse qu'elles ne furent même pas acceptées par le Tribunal de Nuremberg, bien qu'elles continuent à circuler dans trois versions différentes, une version allemande (distribuée dans les écoles!) et deux versions françaises, aucune de ces versions ne concordant avec les autres. La version allemande servit de "preuve à conviction" au procès Eichmann en 1961. Finalement, Rassinier attire l'attention sur an aveu important fait par le Dr Kubovy, directeur du Centre Mondial de Documentation Juive Contemporaine de Tel-Aviv, dans La Terre Retrouvée du 15 décembre 1960. Le Dr Kubovy reconnaît qu'il n'existe pas un seul ordre d'extermination écrit de Hitler, de Himmler, de Heydrich ou de Goering (Le Drame des Juifs européens, p.31,39).




Paul Rassinier nie l'authenticité du chiffre de Six Millions.

Quant au chiffre effrayant de Six Millions, adopté pour les besoins de la propagande, Rassinier prouve qu'il est totalement faux en se basant sur une analyse statistique extrêmement détaillée. On a gonflé, d'une part, le chiffre de la population juive d'avant la guerre en ignorant toute l'émigration et l'évacuation, et d'autre part, on a réduit le nombre de survivants après 1945. Telle fut la méthode utilisée par le Congrès Juif Mondial. Rassinier rejette aussi tous les témoignages écrits ou verbaux des "témoins" du genre cité plus haut et qui indiquent le chiffre de Six Millions, parce qu'ils sont pleins de contradictions, d'exagérations et de mensonges. Il donne l'exemple du total des morts de Dachau: en 1946, le pasteur Niemoller avait répété le total mensonger d'Auerbach (238.000 morts), mais en 1962, l'évêque Neuhausseier de Munich déclara dans un discours prononcé à Dachau que 30.000 personnes seulement y moururent "sur les 200.000 détenus de 38 pays qui avaient été enfermés à Dachau" (Le Drame des Juifs européens, p.12). Aujourd'hui, cette estimation a encore diminué de plusieurs milliers d'unités et cela continue!

Rassinier récuse aussi les témoignages, à l'appui du chiffre de Six Millions, présentés par des accusés tels que Hoess, Hoettl, Wisliceny et Hoellriegel, qui se trouvaient dans l'alternartive d'une condamnation à mort et de l'espoire d'obtenir une commutation de la peine capitale, et qui furent souvent torturés pendant leur détention. Rassinier estime qu'il est très significatif que le chiffre de Six Millions n'ait pas été cité pendant le procès Eichmann. "Au procès de Jerusalem, l'accusation fut considérablement affaiblie par l'absence de son motif central: les six millions de Juifs européens qui, prétend-on, auraient été exterminés dans des chambres à gaz. Cette allégation parvint facilement à s'imposer juste après la guerre, en profitant de chaos général, spirituel et matériel. Aujourd'hui, plusieurs documents qui n'étaient pas disponibles au moment des procès de Nuremberg ont été publiés; ils tendent à prouver que si les Juifs furent lésés et persécutés par le régime hitlérien, il n'a pas pu y avoir six millions de victimes" (ibid, p.125). Rassinier utilise 100 pages de statistiques qu'il recoupe entre elles et il conclut dans Le Drame des Juifs européens qu'il n'a pas pu y avoir plus de 1.200.000 Juifs tués ou morts pendant la Deuxième Guerre Mondiale; il fait remarquer que ce chiffre a été accepté finalement par le Centre Mondial de Documentation Contemporaine de Paris. Il considère cependant que ce chiffre est une limite maximale et il cite l'estimation inférieure de 896.892 morts ou tués dans une étude du même problème par le statisticien juif Raul Hilberg. Et pourtant, dit Rassinier, l'Etat d'Israël continue à réclamer des indemnités pour 6 millions de morts, à raison de 5.000 marks par cadavre (imaginaire)!




L'émigration à la solution finale.

Rassinier affirme catégoriquement que le gouvernement du 3· Reich n'a jamais eu d'autre politique à l'égard des Juifs que celle de les faire émigrer par-delà les mers. Il montre qu'après la promulgation des lois raciales de Nuremberg en septembre 1935, les Allemands négocièrent avec les Anglais l'envoi de Juifs allemands en Palestine, sur la base de la Déclaration de Balfour. Quand ce plan échoua, ils demandèrent à d'autres pays d'accepter des Juifs chez eux, mais ces pays refusèrent (ibid, p.20). Le projet d'émigration en Palestine refit surface en 1938 mais échoua parce que l'Allemagne ne pouvait pas accepter de payer 3 millions de marks réclamés par les Anglais sans obtenir un accord de compensation. Malgré ces difficultés, le Reich parvint à faire émigrer la majorité des Juifs allemands, surtout aux Etats-Unis. Rassinier parle aussi du refus de la France d'accepter le plan allemand d'émigration des Juifs à Madagascar, à la fin de 1940. "Dans un rapport du 21 août 1942, Luther, Secrétaire d'Etat du Ministère des Affaires Etrangères allemand, dit qu'il serait possible de négocier avec la France dans ce sens et décrit les entretiens qui avaient eu lieu entre juillet et décembre 1940 et qui furent stoppés à la suite de l'entrevue de Montoire, le 13 décembre 1940, par Pierre-Etienne Flandin, successeur de Laval. Pendant toute l'année 1941, les Allemands gardèrent l'espoir de pouvoir reprendre ces négociations et de les faire aboutir" (ibid, p.108).

Après que la guerre eût éclaté, les Juifs qui, comme Rassinier nous le rappelle, avaient déclaré la guerre financière et économique à l'Allemagne dès 1933, furent internés dans des camps de concentration, "ce que font tous les pays en guerre avec les citoyens des pays ennemis... On décida de les regrouper et de les faire travailler dans un immense ghetto qui, après l'invasion de l'Union Soviétique, fut installé vers la fin de 1941 dans les 'territoires de l'Est' (Ostgebiete), près de l'ancienne frontière entre la Russie et la Pologne: à Auschwitz, Chelmno, Belzec, Maidanek, Treblinka, etc... C'est là qu'ils devaient attendre la fin de la guerre, pour qu'on puisse reprendre les négociations internationales qui décideraient de leur avenir" (Le Véritable Procès Eichmann, p.20). L'ordre de concentrer les Juifs dans le ghetto des "territoires de l'Est" fut donné par Goering à Heydrich -- nous l'avons dit plus haut -- et était considéré comme le prélude de "la solution finale désirée", c'est-à-dire de leur émigration par-delà les mers après la fin de la guerre.




Une énorme escroquerie

Rassinier insiste sur l'exploitation délibérée de la légende de l'extermination pour en retirer des avantages politiques et financiers, et il trouve qu'Israël et l'Union Soviétique sont d'accord pour exploiter ce "filon". Il fait remarquer comment, après 1950, on vit apparaître une avalanche de livres mensongers sur l'extermination, sous l'estampille de deux organisations dont les activités sont synchronisées de manière si remarquable qu'on pourrait croire qu'elles sont conçues de concert. La première organisation est le "Comité de Recherche des Crimes et des Criminels de Guerre" sous les auspices des communistes à Varsovie, et la deuxième est le "Centre Mondial de Documentation Juive Contemporaine" à Paris et à Tel-Aviv. Leurs publications paraissent à des moments favorables du climat politique, et pour l'Union Soviétique, elles ont uniquement pour but d'entretenir la crainte du nazisme pour distraire l'attention de ses propres activités. Quant à Israël, Rassinier considère que le mythe des Six Millions a des motivations purement matérielles. Il écrit dans le Drame des Juifs européens (p .31,39):
"...Il s'agit simplement de justifier par un nombre proportionné de cadavres les sommes énormes versées chaque année à l'Etat d'Israël par l'Allemagne Fédérale au titre de réparation de dommages; cette indemnisation n'a aucune base ni morale ni légale puisque l'Etat d'Israël n'existait pas au moment des prétendus faits; c'est donc purement et platement une question de gros sous".

"Qu'il me soit permis de rappeler que l'Etat d'Israël fut fondé seulement en mai 1948 et que les Juifs étaient des citoyens de tous les pays, sauf d'Israël, pour souligner les dimensions d'une escroquerie défiant la description dans toute langue vivante: d'une part, l'Allemagne de Bonn verse à Israël des sommes calculées sur la base de 6 millions de morts, et d'autre part, puisqu'il y avait au moins les 4/5 de ces 6 millions qui vivaient bel et bien à la fin de la guerre, elle verse aussi des sommes importantes au titre de Wiedergutmachung (indemnisation des victimes des persécutions du national-socialisme) aux Juifs encore vivantes dans des pays du monde entier autres qu'Israël et aux ayants-droit des Juifs décédés depuis lors, ce qui signifie que, pour les premiers (c'est-à-dire les 6 millions) ou autrement dit, pour la grande majorité, elle paie deux fois. "[/justify]
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