[---][center][large]Major Osman-Bey[/large]
Vladimir Andrejevich - Kibrizli-Zadé - Frederick Millingen[/center][---]
[---][center][large]The Conquest of the World by the Jews
An historical and ethnical essay[/large]
BY MAJOR OSMAN, BEY,
Author of " La Turquie sous le règne d'Abdul Aziz "
Revised and translated by F. W. Mathias[/center][---]
http://histoireebook.com/index.php?cate ... an-Adolphe
http://balderexlibris.com/index.php?cat ... an-Adolphe
[justify]The Conquest of the World by the Jews originally appeared in 1878, making it a bit older than The Protocols of the Learned Elders of Zion.
? Jerry Abbott
Written before the Protocols of the Learned Elders of Zion by Major Osman Bey ( real name Vladimir Andrejevich ? ), this essay constitutes yet another proof that there were men before the 20th century who knew about the jews and their secret satanic agenda for getting control of other peoples by indirect means. ( nous recherchons une version originale française )[/justify]
[center]TABLE OF CONTENTS
Preliminary
Origin of the jews
Characteristics of the jews
The principle of material interests
The period of Abraham
The period of Isaac
The egyptian period
The mosaic period
Reaction of the jewish idea
The Roman period
A christian prejudice
The period of the middle ages
Jewish corruption
Jewish progress diring the middle ages
Jews will always be jews
The jews in modern times
Financial conquests
The Rothschild dynasty
Social conquests
Political conquests
The jewish press
The "universal israelite association"
Concluding remarks[/center]
[center]Major Osman Bey - The Conquest of the World by the Jews.pdf
http://balderexlibris.com/index.php?pos ... y-the-Jews[/center]
[justify]There has been nothing written on this subject during the past 200 years to compare with what you are about to read. In fact, we of WESTERN FRONT doubt that anything ever written can compare with the contents contained herein because this is the only work which has revealed the result from the application of the principle of material interests. The author says : "The Jewish people have, in all probability , been the first ones to discover that secret power - the principle of material interests."
Every non-Jew must read this book from cover-to-cover because only then will the non-Jew discover how 'The Principle of Material Interests' enslaves the people by financial oppression.
It illustrates that Jewish solidarity is so great, that, if you attack one Jew in any particular place, all the Jews of the five continents arise as one man.
Original copies of this book entered in the Library of Congress at Washington, D.C., in the New York, Chicago and other large city libraries have been removed and never returned. The reason is obvious !
We, of WESTERN FRONT are determined to break the stranglehold the Jews have on the masses because the people of the world cannot survive with such parasites in its society. We declare :
'As Christians united we will be victorious!'[/justify]
Major Osman-Bey - Vladimir Andrejevich - Kibrizli-Zadé - Mil
Moderator: Le Tocard
[center][large]La guerre a l'horizon
Chances pour et contre
par
Le Major Osman Bey
KIBRIZLI-ZADÉ, LE VAINQUEUR DE KARS[/large][/center]
Major Osman Bey - La guerre a l horizon.pdf (4.96 MB)
http://histoireebook.com/index.php?post ... -l-horizon
[justify]Quelque peu de théorie, trente-cinq ans d'observation et de pratique, ce sont les titres qui nous permettent d'aborder d'une main sûre ce palpitant thème duquel dépend le sort de l'Europe et du monde entier.
En ce moment d'attente suprême, les esprits légers, les écervelés, peuvent seuls se montrer insouciants ou confiants outre mesure. Tous ceux qui réfléchissent et qui savent ce que c'est que la guerre, ceux-là se recueillent maintenant et se préparent à recevoir religieusement l'arrêt de l'arbitre de la vie et de la mort.
Dans notre étude, nous tâcherons d'être impartial avant tout : nous imiterons ces opérateurs aux nerfs éprouvés qui ne voient dans l'opération que le triomphe de la science, ce qui veut dire, l'assertion, la constatation d'une vérité.
Aussi prions-nous nos lecteurs de vouloir bien abonder dans notre sens, en se départissant provisoirement de tout parti-pris, de toute partialité, de leur propre individualité, si cela leur est possible. En d'autres mots, en lisant ces lignes, ils doivent cesser d'être Français, Allemands, Russes ou Italiens. Qu'ils restent raisonnables, c'est tout ce que nous nous permettons de leur demander.[/justify]
Chances pour et contre
par
Le Major Osman Bey
KIBRIZLI-ZADÉ, LE VAINQUEUR DE KARS[/large][/center]
Major Osman Bey - La guerre a l horizon.pdf (4.96 MB)
http://histoireebook.com/index.php?post ... -l-horizon
[justify]Quelque peu de théorie, trente-cinq ans d'observation et de pratique, ce sont les titres qui nous permettent d'aborder d'une main sûre ce palpitant thème duquel dépend le sort de l'Europe et du monde entier.
En ce moment d'attente suprême, les esprits légers, les écervelés, peuvent seuls se montrer insouciants ou confiants outre mesure. Tous ceux qui réfléchissent et qui savent ce que c'est que la guerre, ceux-là se recueillent maintenant et se préparent à recevoir religieusement l'arrêt de l'arbitre de la vie et de la mort.
Dans notre étude, nous tâcherons d'être impartial avant tout : nous imiterons ces opérateurs aux nerfs éprouvés qui ne voient dans l'opération que le triomphe de la science, ce qui veut dire, l'assertion, la constatation d'une vérité.
Aussi prions-nous nos lecteurs de vouloir bien abonder dans notre sens, en se départissant provisoirement de tout parti-pris, de toute partialité, de leur propre individualité, si cela leur est possible. En d'autres mots, en lisant ces lignes, ils doivent cesser d'être Français, Allemands, Russes ou Italiens. Qu'ils restent raisonnables, c'est tout ce que nous nous permettons de leur demander.[/justify]
[center][large]La Turquie sous le règne d'Abdul Aziz
(1862-1867)
Accompagnée d'une carte inédite de
l'Arménie orientale ou Kurdistan Septentrional[/large]
par
Frederick Millingen (Osman-Seify-Bey)
Ancien chef de Bataillon au Service Ottoman[/center]
Major Osman Bey - La Turquie sous le regne d Abdul Aziz.pdf (8.46 MB)
http://histoireebook.com/index.php?post ... Abdul-Aziz
[justify]Dans le monde on aime ordinairement à parler de ce que l'on connait le moins. On se plait à nourrir l'imagination et à enrichir l'esprit en remontant les sources du merveilleux et de l'inconnu.
La vie, sous le point de vue physique, n'est qu'un état d'émotion. Les impressions produites sur l'esprit par le merveilleux, tout en excitant la curiosité, rendent l'existence plus palpable, et plus les yeux de l'homme sont couverts par le voile de l'ignorance et du mystère, plus il se trouve influencé par ce qu'il considère comme merveilleux.
Y a-t-il, par exemple, un pays dont on ait plus parlé et écrit et qui malgré cela soit plus entouré des nuages du mystère, que la Turquie ?[/justify]
(1862-1867)
Accompagnée d'une carte inédite de
l'Arménie orientale ou Kurdistan Septentrional[/large]
par
Frederick Millingen (Osman-Seify-Bey)
Ancien chef de Bataillon au Service Ottoman[/center]
Major Osman Bey - La Turquie sous le regne d Abdul Aziz.pdf (8.46 MB)
http://histoireebook.com/index.php?post ... Abdul-Aziz
[justify]Dans le monde on aime ordinairement à parler de ce que l'on connait le moins. On se plait à nourrir l'imagination et à enrichir l'esprit en remontant les sources du merveilleux et de l'inconnu.
La vie, sous le point de vue physique, n'est qu'un état d'émotion. Les impressions produites sur l'esprit par le merveilleux, tout en excitant la curiosité, rendent l'existence plus palpable, et plus les yeux de l'homme sont couverts par le voile de l'ignorance et du mystère, plus il se trouve influencé par ce qu'il considère comme merveilleux.
Y a-t-il, par exemple, un pays dont on ait plus parlé et écrit et qui malgré cela soit plus entouré des nuages du mystère, que la Turquie ?[/justify]
Last edited by CityHunter88 on Fri Sep 09, 2011 4:37 pm, edited 1 time in total.
[center][large]LA CRISE ORIENTALE
1895-96
par
LE MAJOR OSMAN - BEY KIBRIZLI-ZADE[/large][/center]
[small]Major Osman Bey - La crise orientale.pdf (4.21 MB)[/small]
http://histoireebook.com/index.php?post ... -orientale
[right]Un effendi, de la haute, volée disait ces derniers jours:
Nous avons une épé d'un côté et une de l'outre;
la Russie et l'Angleterre : tantôt c'est l'une, tantôt l'autre qui nous frappe.
C'est exactement cela !!
En 1877 - 78 la Russie frappait tandisque l'Angleterre faisait mine de soutenir la Turquie.
A présent le tour est aux Anglais à frapper, pendant que les Russes jouent le rôle inverse.
Abdul-Hamid est pourtant sorti victorieux cette fois-ci. Il vient de nous prouver, que le malade peut ce passer du médecins : il les a fait éconduire.[/right]
1895-96
par
LE MAJOR OSMAN - BEY KIBRIZLI-ZADE[/large][/center]
[small]Major Osman Bey - La crise orientale.pdf (4.21 MB)[/small]
http://histoireebook.com/index.php?post ... -orientale
[right]Un effendi, de la haute, volée disait ces derniers jours:
Nous avons une épé d'un côté et une de l'outre;
la Russie et l'Angleterre : tantôt c'est l'une, tantôt l'autre qui nous frappe.
C'est exactement cela !!
En 1877 - 78 la Russie frappait tandisque l'Angleterre faisait mine de soutenir la Turquie.
A présent le tour est aux Anglais à frapper, pendant que les Russes jouent le rôle inverse.
Abdul-Hamid est pourtant sorti victorieux cette fois-ci. Il vient de nous prouver, que le malade peut ce passer du médecins : il les a fait éconduire.[/right]
Last edited by CityHunter88 on Fri Sep 09, 2011 2:00 pm, edited 1 time in total.
[center]Les femmes en Turquie
par Osman Bey
MAJOR VLADIMIR ANDREJEVICH[/center]
Major Osman Bey - Les femmes en Turquie.pdf (6.48 MB)
http://histoireebook.com/index.php?post ... en-Turquie
[justify]Tout le monde sait qu'en Orient, le sexe fort domine en maitre absolu et maintient le sexe faible dans l'asservissement; en d'autres termes, l'homme y est tout et la femme rien, ou presque rien.
Ne vous est-il jamais arrivé, lecteur, de rechercher les causes de cet état social aussi injuste que révoltant ?
Sans doute vous l'avez attribué à l'orgueil, à l'égoïsme et aux passions effrénées de l'homme, peut être aussi à l'incapacité de la femme.
" Si les femmes d'Orient, vous êtes-vous dit, eussent eu la moindre sentiment de leur dignité, auraient-elles jamais accepté sans révolte l'esclavage dégradant qu'il a plu aux hommes de leur imposer ? "
Ce raisonnement a quelque chose de spécieux; mais il manque de justesse, en ce qu'il suppose chez la femme une certaine force de résistance que l'organisation sociale de l'Orient ne lui a jamais permis de trouver en elle-même.
Les causes qui depuis bien des siècles ont paralysé l'action de la femme et, par cela même, ont fait d'elle un être inférieur, sont celles-ci :
1 - Des préjugés universellement répandus et passés dans les m?urs ;
2 - des systèmes religieux et sociaux, basés sur ces mêmes préjugés.
Oui, ce sont ces préjugés invétérés qui ont empêché la femme d'occuper dans les sociétés orientales la place que les lois de la nature lui avaient assignée; ce sont ces mêmes préjugés qui condamnent les peuples de l?Islam à sabir un système social, doublement outrageant pour la justice et pour l'humanité.[/justify]
par Osman Bey
MAJOR VLADIMIR ANDREJEVICH[/center]
Major Osman Bey - Les femmes en Turquie.pdf (6.48 MB)
http://histoireebook.com/index.php?post ... en-Turquie
[justify]Tout le monde sait qu'en Orient, le sexe fort domine en maitre absolu et maintient le sexe faible dans l'asservissement; en d'autres termes, l'homme y est tout et la femme rien, ou presque rien.
Ne vous est-il jamais arrivé, lecteur, de rechercher les causes de cet état social aussi injuste que révoltant ?
Sans doute vous l'avez attribué à l'orgueil, à l'égoïsme et aux passions effrénées de l'homme, peut être aussi à l'incapacité de la femme.
" Si les femmes d'Orient, vous êtes-vous dit, eussent eu la moindre sentiment de leur dignité, auraient-elles jamais accepté sans révolte l'esclavage dégradant qu'il a plu aux hommes de leur imposer ? "
Ce raisonnement a quelque chose de spécieux; mais il manque de justesse, en ce qu'il suppose chez la femme une certaine force de résistance que l'organisation sociale de l'Orient ne lui a jamais permis de trouver en elle-même.
Les causes qui depuis bien des siècles ont paralysé l'action de la femme et, par cela même, ont fait d'elle un être inférieur, sont celles-ci :
1 - Des préjugés universellement répandus et passés dans les m?urs ;
2 - des systèmes religieux et sociaux, basés sur ces mêmes préjugés.
Oui, ce sont ces préjugés invétérés qui ont empêché la femme d'occuper dans les sociétés orientales la place que les lois de la nature lui avaient assignée; ce sont ces mêmes préjugés qui condamnent les peuples de l?Islam à sabir un système social, doublement outrageant pour la justice et pour l'humanité.[/justify]
[center]Luttes sur le Rhin et sur le Danube
entre
Latins, Germains et Slaves
par
[large]Le Major Osman-Bey, V. Andrejevich[/large][/center]
Major Osman Bey - Luttes sur le Rhin et sur le Danube.pdf (4.11 MB)
http://histoireebook.com/index.php?post ... -le-Danube
[justify]La question d'Orient a cessé d'exister : c'est la question européenne, la lutte entre races que le traité de Berlin vient de déchaîner sur notre vieux continent. Cette question, bien plus grande, plus formidable que la première, est sur le point d'allumer une guerre à outrance entre les trois races
qui habitent l'Europe : les Slaves, les Latins et les Germains.
Avant la réunion du Congrès de Berlin, le problème dont la solution agitait les esprits était do savoir qui serait le maître de l'Orient : des Slaves ou do la race anglo-saxonne.
Le traité issu du Congrès en a décidé autrement : en substituant, à ces deux puissances rivales, l'élément germanique, il assure, du même coup, à l'Allemagne la prépondérance on Occident et en Orient.
Le traité de Berlin est calqué exactement sur le partage du lion, tel que nous le raconte la fable : il reste à voir si les bêtes qui en font les frais se résigneront facilement a jouer le triste rôle de peuples dépouillés, de peuples vassaux. Cela ne saurait se produire qu'après des défaites sanglantes, des défaites irréparables, qu'après une guerre d'extermination.
Nous nous hâtons de profiter du bref répit que nous accorde l'orage qui gronde dans le lointain pour donner l'alarme, pour faire comprendre à tous ce dont il s'agit; ce que nous sommes, ce que nous allons devenir.
Les diplomates par calcul, les journalistes par légèreté, se plaisent à mystifier les masses en embrouillant la situation. Nous croyons rendre service à l'humanité entière en lui montrant la situation telle qu'elle est; ainsi chacun pourra prendre résolument et courageusement son parti.
Après ce prologue, entrons en matière.[/justify]
entre
Latins, Germains et Slaves
par
[large]Le Major Osman-Bey, V. Andrejevich[/large][/center]
Major Osman Bey - Luttes sur le Rhin et sur le Danube.pdf (4.11 MB)
http://histoireebook.com/index.php?post ... -le-Danube
[justify]La question d'Orient a cessé d'exister : c'est la question européenne, la lutte entre races que le traité de Berlin vient de déchaîner sur notre vieux continent. Cette question, bien plus grande, plus formidable que la première, est sur le point d'allumer une guerre à outrance entre les trois races
qui habitent l'Europe : les Slaves, les Latins et les Germains.
Avant la réunion du Congrès de Berlin, le problème dont la solution agitait les esprits était do savoir qui serait le maître de l'Orient : des Slaves ou do la race anglo-saxonne.
Le traité issu du Congrès en a décidé autrement : en substituant, à ces deux puissances rivales, l'élément germanique, il assure, du même coup, à l'Allemagne la prépondérance on Occident et en Orient.
Le traité de Berlin est calqué exactement sur le partage du lion, tel que nous le raconte la fable : il reste à voir si les bêtes qui en font les frais se résigneront facilement a jouer le triste rôle de peuples dépouillés, de peuples vassaux. Cela ne saurait se produire qu'après des défaites sanglantes, des défaites irréparables, qu'après une guerre d'extermination.
Nous nous hâtons de profiter du bref répit que nous accorde l'orage qui gronde dans le lointain pour donner l'alarme, pour faire comprendre à tous ce dont il s'agit; ce que nous sommes, ce que nous allons devenir.
Les diplomates par calcul, les journalistes par légèreté, se plaisent à mystifier les masses en embrouillant la situation. Nous croyons rendre service à l'humanité entière en lui montrant la situation telle qu'elle est; ainsi chacun pourra prendre résolument et courageusement son parti.
Après ce prologue, entrons en matière.[/justify]
Last edited by CityHunter88 on Fri Sep 09, 2011 2:52 pm, edited 1 time in total.
[center][large]Partage de l'Afrique
selon la fable d'Esope[/large]
par
[large]Le Major Osman-Bey[/large]
Kibrizli-Zadé[/center]
Major Osman Bey - Partage de l Afrique selon la fable d Esope.pdf (1.05 MB)
http://histoireebook.com/index.php?post ... le-d-Esope
[center]CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES
BLOCUS
ATTAQUE
A QUI LA CHAIR, A QUI LES OS
RIVALITÉ ENTRE FRANÇAIS ET ANGLAIS
RIVALITÉ ENTRE ITALIENS ET FRANÇAIS
LES ITALIENS EN ABYSSINIE
OBOCK
ÊTAT-LIBRE DU CONGO
______________[/center]
[center]CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES[/center]
[justify]Esope prêchait aux hommes par la bouche des animaux. Qu'il aie réussi, ou non, à nous corriger, il n'en est moins vrai que le philosophe grec est resté immortel :
et cela, parce que, mieux que tout autre, il a su lire clans le livre de la nature, qui est elle-même immortelle.
Parmi les fables d'Esope, celle qui nous montre le partage de la proie par les fauves, est à coup sûr la plus amusante, si non la plus instructive.
En effet, soit a travers les événements historiques, soit au milieu des incidents journaliers de la vie, que de fois ne se heurte-t-on pas à des exemples qui nous rappellent la fable du partage !
Jamais pourtant on n'a vu ce spectacle se reproduire dans des proportions aussi gigantesques, aussi saisissantes comme de nos jours. On se partage un continent tout entier, comme si cela n'était qu'une galette, une brioche. Une superficie do cent millions d'hectares carrés ; plus, deux cents millions d'êtres humains, sont en train de subir l'opération du partage selon les procédés les plus perfectionnés, les plus nouveaux !
Quelques remarques sur les traits caractéristiques que présente le continent africain sont indispensables ; autrement le lecteur aurait de la peine à nous suivre dans notre exposé.
Faisons observer tout d'abord que l'Afrique est mitoyenne entre l'Asie et l'Europe : d'où il en résulte qu'elle sert de pont aux envahisseurs qui se dirigent vers l'un ou l'autre de ces continents. C'est ainsi que l'Afrique joue un rôle important dans les fastes de l'humanité.
Il est à remarquer ensuite, que les deux faces de ce continent qui se rapprochent de l'Asie et de l'Europe, sont plus civilisées. Cela provient du contact avec ces continents.
Le côté occidental, par contre, est resté barbare. Séparée du reste du monde par l'Atlantique et les déserts, l'Afrique occidentale s'est dérobée aux regards et à l'action de l'étranger. La propagande musulmane a, seule, pu y pénétrer avec difficulté.
Le centre de ce continent, c'est la région des mythes, habitée par des nains, des anthropophages, etc. Pourtant ces vastes étendues ont été sillonnées par les pèlerins et les esclaves, dont les caravanes possédaient le secret de voyager sans se faire dévorer.
Stanley donc n'a d'autre mérite que celui d'être le premier Diane qui a voyagé parla, sans se faire manger.
...[/justify]
selon la fable d'Esope[/large]
par
[large]Le Major Osman-Bey[/large]
Kibrizli-Zadé[/center]
Major Osman Bey - Partage de l Afrique selon la fable d Esope.pdf (1.05 MB)
http://histoireebook.com/index.php?post ... le-d-Esope
[center]CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES
BLOCUS
ATTAQUE
A QUI LA CHAIR, A QUI LES OS
RIVALITÉ ENTRE FRANÇAIS ET ANGLAIS
RIVALITÉ ENTRE ITALIENS ET FRANÇAIS
LES ITALIENS EN ABYSSINIE
OBOCK
ÊTAT-LIBRE DU CONGO
______________[/center]
[center]CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES[/center]
[justify]Esope prêchait aux hommes par la bouche des animaux. Qu'il aie réussi, ou non, à nous corriger, il n'en est moins vrai que le philosophe grec est resté immortel :
et cela, parce que, mieux que tout autre, il a su lire clans le livre de la nature, qui est elle-même immortelle.
Parmi les fables d'Esope, celle qui nous montre le partage de la proie par les fauves, est à coup sûr la plus amusante, si non la plus instructive.
En effet, soit a travers les événements historiques, soit au milieu des incidents journaliers de la vie, que de fois ne se heurte-t-on pas à des exemples qui nous rappellent la fable du partage !
Jamais pourtant on n'a vu ce spectacle se reproduire dans des proportions aussi gigantesques, aussi saisissantes comme de nos jours. On se partage un continent tout entier, comme si cela n'était qu'une galette, une brioche. Une superficie do cent millions d'hectares carrés ; plus, deux cents millions d'êtres humains, sont en train de subir l'opération du partage selon les procédés les plus perfectionnés, les plus nouveaux !
Quelques remarques sur les traits caractéristiques que présente le continent africain sont indispensables ; autrement le lecteur aurait de la peine à nous suivre dans notre exposé.
Faisons observer tout d'abord que l'Afrique est mitoyenne entre l'Asie et l'Europe : d'où il en résulte qu'elle sert de pont aux envahisseurs qui se dirigent vers l'un ou l'autre de ces continents. C'est ainsi que l'Afrique joue un rôle important dans les fastes de l'humanité.
Il est à remarquer ensuite, que les deux faces de ce continent qui se rapprochent de l'Asie et de l'Europe, sont plus civilisées. Cela provient du contact avec ces continents.
Le côté occidental, par contre, est resté barbare. Séparée du reste du monde par l'Atlantique et les déserts, l'Afrique occidentale s'est dérobée aux regards et à l'action de l'étranger. La propagande musulmane a, seule, pu y pénétrer avec difficulté.
Le centre de ce continent, c'est la région des mythes, habitée par des nains, des anthropophages, etc. Pourtant ces vastes étendues ont été sillonnées par les pèlerins et les esclaves, dont les caravanes possédaient le secret de voyager sans se faire dévorer.
Stanley donc n'a d'autre mérite que celui d'être le premier Diane qui a voyagé parla, sans se faire manger.
...[/justify]
Last edited by CityHunter88 on Fri Sep 09, 2011 3:29 pm, edited 1 time in total.
[center]Révélations sur l'Assassinat d'Alexandre II
par le
Major Osman-Bey
Kibrizli-Zadé
publié à l'occasion du 5me anniversaire de l'assassinat d'Alexandre II[/center]
Major Osman Bey - Revelations sur l assassinat d Alexandre II.pdf (5.03 MB)
http://histoireebook.com/index.php?post ... exandre-II
[justify]Plusieurs salves d'artillerie annoncèrent urbi et orbi la publication imminente de nos Révélations par la Gazetta d'Italia.
Cette publication commença, en effet, le 4 septembre 1883 et s'arrêta court le 18 janvier de l'année suivante.
Cinq longs mois pour publier une sensation de cette sorte !
Mais ce qui est plus épatant encore, c'est à coup sûr le stop-her que fit faire à sa machine le rédacteur en chef de la dite feuille. Car, se voyant face à face avec le vingtième chapitre, il fit halte-là, laissant l'honorable public et l'auteur avec un pied de nez.
Celui-ci a fait encore mieux; il n'a rien publié du tout. Pourtant sa signature l'obligeait à publier les Révélations au terme du 1er mars 1884.
Ces faits se passent de tout commentaire :
à eux seuls, ils servent à montrer au lecteur de quel acabit sont les gens qui redoutent nos Révélations[/justify]
[right]OSMAN-BEY.[/right]
[justify]L'éditeur Sommaruga purge en ce moment-ci sa condamnation à sept ans de travaux forcés, due à d'autres escroqueries.[/justify]
[center]CHAPITRE XX
Petersbourg. Marché juif. Je quitte la Russie[/center]
...
[justify]La présomption finit toujours par égarer les hommes. On regarde à ses épaulettes, on admire ses crachats et l'on finit par se croire des phénix capables de tout.
Et que firent ces hommes d'Etat une fois en tête à tête? Voici en peu de mots ce qu'ils firent. D'abord ils eurent soin d'utiliser nos indications et nos instructions, afin de mettre la main sur les comités et leurs affiliés : ce travail leur donna du fil à retordre pour cinq ou six mois.
Après avoir saisi tous ces comités, ou une bonne partie, Ignatief conçut l'idée lumineuse de porter un coup mortel aux Juifs, en organisant des contre-comités russes, sorte de comités de salut public.
C'était encore de la démence car Ignatief, qui se dit général, aurait dû savoir « Qu'un comité révolutionnaire, ou offensif, enfoncera toujours une douzaine de comités de salut public, ou défensifs, pour mieux dire. »
Les rudiments de l'art de l'attaque et de la défense établissent cet axiome. Mais ensuite, prétendre surpasser des Juifs en activité et en ruse avec des moujiks russes, ce n'est plus de la démence, c'est de la stupidité toute pure.
C'est vrai que les Russes ont toujours eu la prétention d'être plus juifs que les Juifs.
Malgré cela, nous doutons fort que, dans une exposition universelle, les Russes aient aucune chance d'emporter le grand prix de la haute école de friponnerie. L'autre grande mesure due à l'initiative d'Ignatief, ce sont les battues aux Juifs organisées dans le midi, à Balta et ailleurs. Le comte a-t-il jamais réfléchi à quoi ressemblent ces battues, à bâtons rompus, dirigées contre quelques vieux Juifs en soutane noire et barbe pointue ?
Elles ne sont ni plus ni moins que des égratignures, de ces coups de canif qu'un gamin s'amuserait à flanquer contre l'écorce d'un cèdre séculaire !
Il faut bien autre chose que des coups de canif pour abattre cet arbre gigantesque qui se nomme le judaïsme cosmopolite : il faudrait des milliers, des millions de haches à la vapeur, frappant toutes à la fois, et peut être qu'avec elles on réussirait à l'abattre, après des années de travail.[/justify]
...
par le
Major Osman-Bey
Kibrizli-Zadé
publié à l'occasion du 5me anniversaire de l'assassinat d'Alexandre II[/center]
Major Osman Bey - Revelations sur l assassinat d Alexandre II.pdf (5.03 MB)
http://histoireebook.com/index.php?post ... exandre-II
[justify]Plusieurs salves d'artillerie annoncèrent urbi et orbi la publication imminente de nos Révélations par la Gazetta d'Italia.
Cette publication commença, en effet, le 4 septembre 1883 et s'arrêta court le 18 janvier de l'année suivante.
Cinq longs mois pour publier une sensation de cette sorte !
Mais ce qui est plus épatant encore, c'est à coup sûr le stop-her que fit faire à sa machine le rédacteur en chef de la dite feuille. Car, se voyant face à face avec le vingtième chapitre, il fit halte-là, laissant l'honorable public et l'auteur avec un pied de nez.
Celui-ci a fait encore mieux; il n'a rien publié du tout. Pourtant sa signature l'obligeait à publier les Révélations au terme du 1er mars 1884.
Ces faits se passent de tout commentaire :
à eux seuls, ils servent à montrer au lecteur de quel acabit sont les gens qui redoutent nos Révélations[/justify]
[right]OSMAN-BEY.[/right]
[justify]L'éditeur Sommaruga purge en ce moment-ci sa condamnation à sept ans de travaux forcés, due à d'autres escroqueries.[/justify]
[center]CHAPITRE XX
Petersbourg. Marché juif. Je quitte la Russie[/center]
...
[justify]La présomption finit toujours par égarer les hommes. On regarde à ses épaulettes, on admire ses crachats et l'on finit par se croire des phénix capables de tout.
Et que firent ces hommes d'Etat une fois en tête à tête? Voici en peu de mots ce qu'ils firent. D'abord ils eurent soin d'utiliser nos indications et nos instructions, afin de mettre la main sur les comités et leurs affiliés : ce travail leur donna du fil à retordre pour cinq ou six mois.
Après avoir saisi tous ces comités, ou une bonne partie, Ignatief conçut l'idée lumineuse de porter un coup mortel aux Juifs, en organisant des contre-comités russes, sorte de comités de salut public.
C'était encore de la démence car Ignatief, qui se dit général, aurait dû savoir « Qu'un comité révolutionnaire, ou offensif, enfoncera toujours une douzaine de comités de salut public, ou défensifs, pour mieux dire. »
Les rudiments de l'art de l'attaque et de la défense établissent cet axiome. Mais ensuite, prétendre surpasser des Juifs en activité et en ruse avec des moujiks russes, ce n'est plus de la démence, c'est de la stupidité toute pure.
C'est vrai que les Russes ont toujours eu la prétention d'être plus juifs que les Juifs.
Malgré cela, nous doutons fort que, dans une exposition universelle, les Russes aient aucune chance d'emporter le grand prix de la haute école de friponnerie. L'autre grande mesure due à l'initiative d'Ignatief, ce sont les battues aux Juifs organisées dans le midi, à Balta et ailleurs. Le comte a-t-il jamais réfléchi à quoi ressemblent ces battues, à bâtons rompus, dirigées contre quelques vieux Juifs en soutane noire et barbe pointue ?
Elles ne sont ni plus ni moins que des égratignures, de ces coups de canif qu'un gamin s'amuserait à flanquer contre l'écorce d'un cèdre séculaire !
Il faut bien autre chose que des coups de canif pour abattre cet arbre gigantesque qui se nomme le judaïsme cosmopolite : il faudrait des milliers, des millions de haches à la vapeur, frappant toutes à la fois, et peut être qu'avec elles on réussirait à l'abattre, après des années de travail.[/justify]
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