[---][center][large]LE GÉNOCIDE PONTIQUE[/large][/center][---]
[center][large]Éclaircissement sur le "génocide" arménien.[/large][/center]
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La Romanie a été perdue, mais elle renaîtra de ses cendres[/center]
[center][small]www.panagia-soumela.com[/small][/center]
[center][small]voir aussi :
Christopher Jon Bjerknes
The Jewish Genocide Of Armenian[/small][/center]
[justify][large]Berceau des Amazones, le sud de la mer noire a vu naitre le royaume Pontique. Les pontes étaient un peuple Grec christianisé qui se développa sur toutes les Alpes Pontiques. Les Alpes Pontiques sont une chaine de montagnes uniques au monde avec une flore extraordinaire, d'où nous vient entre autres les cerisiers.
Ce peuple vécu comme tous les autres peuples aryens avec des hauts et des bas, avec sa culture propre et son héritage irremplaçable...
Il fut brutalement exterminé au début du vingtième siècle par les Ottomans (Turcs) avec à leur tête les hébraïques. La région a subi un nettoyage ethnique total :
massacres, exécutions sommaires, famines, massacres de femmes et d'enfants, charniers, déportations, camps d'extermination, camps de travaux forcés jusqu?à la mort, etc, etc, etc. Environ 500 000 personnes exterminées.
La purification ethnique de ce peuple fut appelée "massacres blancs".
Seuls quelques uns d'entre eux ont réussi à fuir en Amérique, en Grèce, et dans certains pays de l'Europe de l'Est. Les survivants des déportations ont pour la plupart été exterminés par l'U.R.S.S. avec à sa tête la même équipe que celle des Turcs. Lire The Jewish Genocide Of Armenian Christians de Christopher Jon Bjerknes.
La Grèce a rassemblé il y a quelques années les derniers survivants de ce peuple dans des ghettos de ses principales villes. Leur langue, le Grec Pontique a quasiment disparu et les quelques survivants se sont largement mélangés avec les peuples qui les ont accueilli successivement.
Les Turcs et leur gouvernement sont aujourd'hui fiers et revendiquent l'extermination des populations blanches et chrétiennes présentes en Anatolie ( Arméniens, Assyriens, Pontiques, etc ).[/large]
[large]Pourquoi n'en entendons nous jamais parler ?[/large]
[large]Tout simplement parce qu'il y a eu un réel génocide, ce peuple n'existe plus ! Il ne peut donc pas témoigner de sa propre extermination.
Les Arméniens tout comme les Kurdes et les Assyriens n'ont pas été génocidés, il y a eu de nombreux massacres d'Arméniens, mais comme ils étaient bien plus nombreux que les Pontiques ils ont pu se défendre et survivre, et infliger de lourdes pertes aux Turcs.
Le faux génocide des juifs a été inventé par ces derniers pour cacher tous les génocides qu'ils ont perpétré contre la race aryenne durant le 19eme et 20eme siècle. Relire la Honte sioniste de Lucien Cavro-Demars. Extermination des Russes, Polonais, Allemands, Ukrainiens, Pontes, les peuples Européens non anglo-saxons installés en Amériques (et aujourd'hui ces derniers par remplacement de population et stérilisation), en Afrique du Sud, etc.
Leurs moyens brutaux étaient autrefois bien identifiables, d?où le sursaut d'aryanité du peuple allemand mené par Adolf Hitler. Mais l'opération d'envergure mondiale réussie appelée "grippe espagnole" leur a fait prendre conscience qu'il était plus facile de nous exterminer par des moyens subtils et que cela éviterait de futures rébellions.
Vaccination, stérilisation des populations par la nourriture, les médicaments, les chemtrails, etc.
La dernière loi imposée aux peuples français sur le "génocide Arménien" n'a été dicté que dans le seul but d'occulter le fait que ces massacres, des deux cotés, Turcs et Arméniens, ont été manigancés par les hébraïques et aussi et surtout pour occulter le génocide, lui réel, des Pontiques.
Pourquoi l'hébraïque nous extermine t-il ?
Il semble que l'hébraïque ait été créé et envoyé sur la planète Terre par les forces du mal (satan / reptiliens) dans le but d'effectuer un travail de sape qui faciliterait une future conquête de notre planète, ou de notre dimension par les reptiliens. L?extermination, des aryens, descendants des atlantes, hyperboréens, serait alors facilité car incapables de se défendre, parasités par cette entité mi-homme mi-serpent qu'est le youtre.
Une fois notre extermination réussie, la mise en esclavage des sous-races que nous protégeons et avons en pitié sera inévitable.[/large][/justify]
Éclaircissement sur le "génocide" arménien
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[center][large]Arméniens
Esau et Amalek[/large][/center]
[justify]Dans les textes juifs, Esau et Amalek sont des noms qui désignent l'Ennemi héréditaire des juifs. Haman le perse (dans le Livre d'Esther) était le chef des Amalécites.
Avant de s'appliquer à Rome, au christianisme, puis plus tard (XXe siècle) aux Allemands et aux Arabes, les noms d'Amalek et Esau servaient aux juifs à désigner les Arméniens.
Ce qui faisait la particularité du christianisme arménien était qu'ils ouvraient grands leurs bras aux juifs, ils voulaient absolument les convertir au christianisme, mais pas par la force, en leur montrant à quel point ils vivraient mieux, libres et entourés d'amour, s'ils devenaient chrétiens. C'est ainsi qu'en Arménie, de nombreux juifs comprirent à quel point ils étaient opprimés par leur propre élite juive et furent tentés de de se convertir à la foi chrétienne. Cette conversion massive de juifs au christianisme arménien représentait une menace de taille pour les élites juives qui tenaient à conserver leur troupeau bien sectaire, pris par la peur et coupé du reste du monde. Dès lors, il devint d'une importance capitale pour les élites juives d'attaquer sur tous les front tout ce qui se rattachait au christianisme arménien, à commencer par les Arméniens eux-mêmes. Amalek est même carrément le mot hébreu pour "Arménien". ("The use of 'Amalek as the Hebrew word for "Armenian" is first attested in the tenth-century chronicle Yosippon (composed in Byzantine southern Italy)...")
Qu'il y ait eu effectivement "génocide" des Arméniens, cela est difficile de le croire en définitive, surtout lorsqu'on constate l'importance de la population arménienne actuelle. Mais peu importe qu'il y ait eu ou non une volonté de génocide, de vouloir rayer de la carte des Arméniens -- comme les juifs doivent rayer le nom et la mémoire de leur Ennemi héréditaire - il reste que l'histoire du Moyen-age témoigne incontestablement d'une guerre spirituelle menée par le judaisme contre les Arméniens et plus particulièrement les chrétiens arméniens.
Source:
Elliott Horowitz, Reckless Rites: Purim and the History of Jewish Violence, 2006, Princeton University Press, pp.10-11; 122-125
Extrait de l'intro (pp.10-11):
"In the fall of 2004 the local news in Israel again inserted itself into my narrative. On Sunday, October 10, when the Armenians in Jerusalem's Old City were observing the "Exaltation of the Holy Cross" (or "Holy Cross Day"), a cross was carried by the local archbishop in the traditional procession near the Church of the Holy Sepulchre. Natan Zvi Rosenthal, a twenty-one-year-old student at the (ultranationalist) Har Hamor yeshiva, happened to be passing by, and spat upon both the processional cross and the archbishop, who responded by slapping Rosenthal. Both were consequently questioned by the police--who decided, however, to charge only the student with assault. An editorial two days later in Haaretz under the title "Jerusalem's Disgrace" saw the incident as revealing "a little bit of the increasingly wild Jewish-nationalist-religious atmosphere" in the city.19
Some have suggested that it is the spatial proximity of the Armenian Quarter to that of the Jews in Jerusalem's Old City that has been responsible for Jewish attacks upon religious processions and clergymen. Yet Rosenthal, who has since apologized for his action,20 encountered the Holy Cross procession neither in the Jewish Quarter nor the Armenian one, but near the Church of the Holy Sepulchre, in the Christian Quarter. I would suggest, therefore, that acts of enmity toward Armenian processions and clergymen should be seen against the background of a long Jewish tradition reaching back to the tenth century, whereby Armenians were referred to, not always in a hostile manner, as "Amalekites."21
This tradition, which shall be examined in greater detail in chapter 5, was still very much alive in the nineteenth century. In 1839 the British missionary Joseph Wolff, who was active in both Palestine and Yemen, found it "remarkable that the Armenians, who are detested by the Jews as the supposed descendants of the Amalekites, are the only Christian church who have interested themselves for the protection and conversion of the Jews." Similarly, in their 1842 account of their extensive missionary efforts among Jews in both Europe and the Middle East, the Scottish missionaries Bonar and McCheyne suggested that "the peculiar hatred which the Jews bear to the Armenians may arise from a charge often brought against them, namely that Haman was an Armenian, and that the Armenians are the Amalekites of the Bible."22
On Saturday, March 11 1995, when a procession of Armenian priests was making its way, with a large cross, from Jerusalem's Armenian Quarter to the Church of the Holy Sepulchre, Moshe Ehrenfeld, a Jewish resident of the city, spat conspicuously as the procession passed. Although newspaper reports concerning the 1995 incident--for which Ehrenfeld, who was found guilty of "interfering with a religious ritual," was fined and given a (suspended) two-month prison sentence--failed to mention that it occurred on Shabbat Zakhor, the Sabbath before Purim, there can be little doubt that Ehrenfeld himself was aware of that momentous date.23"[/justify]
Esau et Amalek[/large][/center]
[justify]Dans les textes juifs, Esau et Amalek sont des noms qui désignent l'Ennemi héréditaire des juifs. Haman le perse (dans le Livre d'Esther) était le chef des Amalécites.
Avant de s'appliquer à Rome, au christianisme, puis plus tard (XXe siècle) aux Allemands et aux Arabes, les noms d'Amalek et Esau servaient aux juifs à désigner les Arméniens.
Ce qui faisait la particularité du christianisme arménien était qu'ils ouvraient grands leurs bras aux juifs, ils voulaient absolument les convertir au christianisme, mais pas par la force, en leur montrant à quel point ils vivraient mieux, libres et entourés d'amour, s'ils devenaient chrétiens. C'est ainsi qu'en Arménie, de nombreux juifs comprirent à quel point ils étaient opprimés par leur propre élite juive et furent tentés de de se convertir à la foi chrétienne. Cette conversion massive de juifs au christianisme arménien représentait une menace de taille pour les élites juives qui tenaient à conserver leur troupeau bien sectaire, pris par la peur et coupé du reste du monde. Dès lors, il devint d'une importance capitale pour les élites juives d'attaquer sur tous les front tout ce qui se rattachait au christianisme arménien, à commencer par les Arméniens eux-mêmes. Amalek est même carrément le mot hébreu pour "Arménien". ("The use of 'Amalek as the Hebrew word for "Armenian" is first attested in the tenth-century chronicle Yosippon (composed in Byzantine southern Italy)...")
Qu'il y ait eu effectivement "génocide" des Arméniens, cela est difficile de le croire en définitive, surtout lorsqu'on constate l'importance de la population arménienne actuelle. Mais peu importe qu'il y ait eu ou non une volonté de génocide, de vouloir rayer de la carte des Arméniens -- comme les juifs doivent rayer le nom et la mémoire de leur Ennemi héréditaire - il reste que l'histoire du Moyen-age témoigne incontestablement d'une guerre spirituelle menée par le judaisme contre les Arméniens et plus particulièrement les chrétiens arméniens.
Source:
Elliott Horowitz, Reckless Rites: Purim and the History of Jewish Violence, 2006, Princeton University Press, pp.10-11; 122-125
Extrait de l'intro (pp.10-11):
"In the fall of 2004 the local news in Israel again inserted itself into my narrative. On Sunday, October 10, when the Armenians in Jerusalem's Old City were observing the "Exaltation of the Holy Cross" (or "Holy Cross Day"), a cross was carried by the local archbishop in the traditional procession near the Church of the Holy Sepulchre. Natan Zvi Rosenthal, a twenty-one-year-old student at the (ultranationalist) Har Hamor yeshiva, happened to be passing by, and spat upon both the processional cross and the archbishop, who responded by slapping Rosenthal. Both were consequently questioned by the police--who decided, however, to charge only the student with assault. An editorial two days later in Haaretz under the title "Jerusalem's Disgrace" saw the incident as revealing "a little bit of the increasingly wild Jewish-nationalist-religious atmosphere" in the city.19
Some have suggested that it is the spatial proximity of the Armenian Quarter to that of the Jews in Jerusalem's Old City that has been responsible for Jewish attacks upon religious processions and clergymen. Yet Rosenthal, who has since apologized for his action,20 encountered the Holy Cross procession neither in the Jewish Quarter nor the Armenian one, but near the Church of the Holy Sepulchre, in the Christian Quarter. I would suggest, therefore, that acts of enmity toward Armenian processions and clergymen should be seen against the background of a long Jewish tradition reaching back to the tenth century, whereby Armenians were referred to, not always in a hostile manner, as "Amalekites."21
This tradition, which shall be examined in greater detail in chapter 5, was still very much alive in the nineteenth century. In 1839 the British missionary Joseph Wolff, who was active in both Palestine and Yemen, found it "remarkable that the Armenians, who are detested by the Jews as the supposed descendants of the Amalekites, are the only Christian church who have interested themselves for the protection and conversion of the Jews." Similarly, in their 1842 account of their extensive missionary efforts among Jews in both Europe and the Middle East, the Scottish missionaries Bonar and McCheyne suggested that "the peculiar hatred which the Jews bear to the Armenians may arise from a charge often brought against them, namely that Haman was an Armenian, and that the Armenians are the Amalekites of the Bible."22
On Saturday, March 11 1995, when a procession of Armenian priests was making its way, with a large cross, from Jerusalem's Armenian Quarter to the Church of the Holy Sepulchre, Moshe Ehrenfeld, a Jewish resident of the city, spat conspicuously as the procession passed. Although newspaper reports concerning the 1995 incident--for which Ehrenfeld, who was found guilty of "interfering with a religious ritual," was fined and given a (suspended) two-month prison sentence--failed to mention that it occurred on Shabbat Zakhor, the Sabbath before Purim, there can be little doubt that Ehrenfeld himself was aware of that momentous date.23"[/justify]
Last edited by Libris on Tue Jan 31, 2012 12:46 pm, edited 1 time in total.
[center][large]« Juifs : toute la vérité » de Constantin Plevris, présenté par René-Louis Berclaz[/large][/center]
[justify]Né à Athènes en 1939, Constantin Plevris est avocat, ancien juge à la Cour suprême, professeur de sociologie politique et de guerre psychologique auprès de l?Académie militaire d?Athènes, expert auprès des services de renseignements grecs et auteur de nombreux ouvrages sur l?histoire, la sociologie, la politique et la culture de son pays. Il a fondé et dirigé plusieurs mouvements ou partis politiques nationalistes. Constantin Plevris était lié avec Giorgio Almirante (1914-1988), Pino Rauti (1926-2012) et Pino Romualdi (1913-1988), des hommes politiques survivants de la République sociale italienne (RSI).
Constantin Plevris a publié en juin 2006 un livre de 1400 pages, « Juifs : toute la vérité » qui a défrayé la chronique et pour lequel il fut inculpé en décembre 2006 d?incitation à la violence raciale, en vertu d?une interprétation inédite de l?art. 191 du Code pénal, lequel concerne la diffusion de fausses nouvelles. Cette inculpation faisait suite à une dénonciation du Conseil central des communautés juives de Grèce. Cette affaire était une première en Grèce, puisqu?il n?existe pas dans ce pays de législation similaire à celle en vigueur dans les autres pays d?Europe, réprimant la liberté d?expression sous prétexte de «racisme» ou de «révisionnisme».
Lors de son procès, en décembre 2007, Constantin Plevris fut condamné à 14 mois de prison avec sursis. Son éditeur fut acquitté. En appel, Constantin Plevris obtint gain de cause et le Tribunal d?appel prononça son acquittement le 27 mars 2007.
Dans l?ouvrage incriminé, Constantin Plevris considère que Joseph Goebbels était un des esprits les plus brillants du siècle, un philosophe ayant une profonde compréhension de la psychologie des foules. Constantin Plevris y écrit que le Zyklon B était un gaz toxique utilisé par les Allemands pour des motifs sanitaires et non pas pour mettre à mort des Juifs dans des chambres à gaz dont l?existence n?a jamais été prouvée. Constantin Plevris n?a pas hésité à dire dans son livre que les Juifs mettaient Jésus et Hitler dans le même bain : en l?occurrence, selon le Talmud, ce bain est un chaudron rempli d?excréments en ébullition dans lequel le Christ serait plongé pour l?éternité. Il considère que Hitler était la figure historique la plus impressionnante des Temps modernes, précisant que Hitler aurait pu débarrasser l?Europe des Juifs, mais qu?il ne l?a pas fait. Le tribunal d?appel a jugé que de telles considérations ? le fait d?admirer Hitler, de mettre en cause l?Holocauste et de croire au bien-fondé des Protocoles des Sages de Sion ? ne constituait pas une incitation à la violence visant les Juifs.
Traduction de l?entretien accordé par Constantin Plevris au journaliste Peter Papaherklis et publié par « Barnes Review » fin 2009.
Peter Papaheraklis (TBR) : Je suis reçu chez Constantin Plevris pour l?interroger sur son dernier livre, intitulé « Les Juifs : toute la vérité »?
Plevris : J?ai accumulé dans ce livre de 1400 pages publié il y a trois ans une masse de faits, de documents, de preuves, de photos et de références basés sur les travaux de 270 auteurs. Dès sa publication, ce livre a fait l?objet d?une plainte émanant du Conseil central des Juifs de Grèce, lequel a bénéficié du soutien du Congrès juif européen. Ces gens sont intervenus au niveau des plus hautes autorités de l?Etat : le Premier ministre, le Ministre de la Justice, afin de censurer ce livre et obtenir ma condamnation pour un délit qui n?existe pas dans le code pénal grec. Après trois années de procédures et de combats juridiques acharnés, j?ai finalement gagné à 100% devant la Cour suprême d?Athènes. La Justice a prévalu face aux pressions, le tribunal a confirmé son indépendance et a appliqué le droit.
TBR : Que pensez-vous de l?Holocauste ?
Plevris : Je ne crois pas à l?Holocauste. Bien sûr, nombre de Juifs sont morts pendant la guerre, mais il n?existe aucune preuve que les Allemands avaient l?intention de les exterminer.
TBR : Depuis quand avez-vous eu cette conviction ?
Plevris : J?ai publié en 1968 déjà un livre sur l?Holocauste intitulé « Le Mythe ». Il est tout simplement impossible d?exterminer six millions de Juifs, puisqu?il n?y avait que 4 200 000 Juifs dans les pays occupés par l?Allemagne pendant la Deuxième guerre mondiale selon les statistiques officielles. Même en les arrêtant tous, Hitler n?aurait jamais pu tuer six millions de Juifs. Mais Hitler n?a jamais prévu de tuer les Juifs : il voulait dans un premier temps les regrouper à Madagascar. Quoi qu?il en soit, près de 3 300 000 Juifs « survivants » ont reçu des indemnités de la République fédérale allemande parce qu?ils prétendent qu?ils ont été déportés et internés dans des camps de concentration. Tout cela est expliqué en détail dans mon livre.
TBR : Avez-vous déjà été à Auschwitz ou dans d?autres camps ?
Plevris : Bien sûr. Je me suis rendu à Auschwitz et à Dachau. Il n?y a pas de chambres à gaz dans aucun de ces camps, ni ailleurs.
TBR : Est-il illégal de mettre en doute l?Holocauste dans votre pays ?
Plevris : Non, absolument pas, au contraire de ce qui arrive en Allemagne et en Autriche, pour ne citer que les pays les plus répressifs. Là-bas, c?est illégal, mais pas ici, car la Grèce respecte la liberté d?expression : vous êtes libre d?y exprimer vos idées et de publier vos opinions.
TBR : Cette liberté, ce sont les Grecs de l?Antiquité qui les premiers l?ont défendue ?
Plevris : Bien sûr. Nous avons ici le culte du dialogue. Vous vous exprimez, je réponds, et nous discutons librement et sans préjugé de choses et d?autres. A plusieurs reprises, j?ai invité des Juifs à venir dialoguer à la télévision, mais ils ont toujours refusé. Pourquoi ? Parce qu?ils savent bien qu?ils ont tort et que j?ai raison. Et ce n?est pas seulement à propos de l?Holocauste, car mon livre ne cache rien des tribulations impliquant autant les Juifs que les Grecs à travers l?Histoire.
TBR : La Deuxième guerre mondiale a été dramatique pour les Grecs. Combien sont-ils morts pendant ce conflit ?
Plevris : Environ un demi-million ; 520 000 pour être exact.
TBR : Le peuple grec a connu d?autres drames au cours de l?Histoire?
Plevris : Il y a eu en 1922 le génocide du Pont, en bordure de la Mer Noire. Autour de la Grèce, il y a des Etats comme l?Albanie, la Macédoine, la Bulgarie, la Turquie, qui ont été créés sur des terres grecques. Les populations grecques de ces territoires ont été asservies et même massacrées. Ce sont là de vrais génocides ! Et personne n?est venu nous donner de l?argent ! L?Holocauste juif est une entreprise avec un objectif économique et politique. Les Juifs en ont profité. Il y a trente ans, je me souviens qu?il était écrit sur les plaques mémorielles d?Auschwitz que 4 millions de Juifs y furent tués. Par la suite, le nombre des victimes a été revu à la baisse et les plaques corrigées mentionnent maintenant un million et demi de morts : mais l?argent perçu en trop sur la foi du chiffre de 4 millions n?a pas été restitué pour autant !
TBR : L?historien romain Dion Cassius affirme 200 ans après J.- C. que les Juifs ont tué 220 000 Grecs en Cyrénaïque et 240 000 à Chypres. Qu?en pensez-vous ?
Plevris : Ce n?est pas seulement Dion Cassius qui l?affirme. Les historiens modernes le disent aussi, y compris Edward Gibbon dans son célèbre « Histoire du Déclin et de la Chute de l?Empire romain ». Les chiffres sont peut-être discutables mais ces massacres sont un fait incontestable.
TBR : Quels sont les aspects les plus contestables du mythe de l?Holocauste ?
Plevris : Nous devons tout d?abord faire preuve de bon sens. Si les Juifs disent la vérité, s?ils ont raison, ils ne doivent pas pénaliser ceux qui contestent leurs affirmations. Si vous êtes dites la vérité et que quelqu?un nie vos propos, vous devriez être capable de prouver la véracité des faits que vous avancez. Mais les Juifs refusent d?emblée tout débat et utilisent l?argument de la force au lieu de convaincre par la force de l?argument. Cette négation du débat est tout simplement incroyable pour moi. Si je veux me ridiculiser, je peux toujours dire que la Révolution américaine ne s?est jamais produite. Depuis quand faut-il sanctionner celui qui dit des bêtises puisqu?il se discrédite lui-même ? Encore faut-il prouver qu?il s?agit bel et bien de fausses allégations, ce qui ne devrait pas être le comble de la difficulté quand on dispose de tous les moyens nécessaires pour se faire entendre : pourtant, même cela les Juifs le refusent. Il n?est pas seulement interdit de nier l?Holocauste, le simple doute suffit à vous mettre hors la loi, alors que le doute est la mère du bon sens. En Allemagne et en Autriche, la manifestation du bon sens est un crime, ce qui revient à dire que les Allemands authentiques ont disparu de ces deux pays germaniques, ce qui est une forme de génocide culturel !
TBR : Quels sont les autres aspects de l?Holocauste que vous remettez en question ?
Plevris : J?ai toujours utilisé des arguments scientifiques ou de bon sens. Les Allemands sont venus en Grèce en 1941, ils ont arrêté des Juifs et ils les ont mis dans des wagons en partance pour la Pologne ou ailleurs à l?Est, là où il y avait des camps de concentration. Quel était le motif de ces déplacements ? Les Juifs nous disent : « Pour nous tuer ». Mais alors, pourquoi les Allemands ne les ont-ils pas tués sur place, en s?épargnant des frais de transport, d?organisation. N?oublions pas que l?effort de guerre était prioritaire. C?est une question de bon sens.
TBR : Comment votre livre a-t-il été reçu par le public grec ?
Plevris : Trois ans après sa sortie, il en est à sa quatrième édition.
TBR : C?est en effet un succès énorme.
Plevris : Oui, et ce succès populaire confirme celui obtenu devant les tribunaux. C?est la première fois que les Juifs n?ont pas obtenu une condamnation pénale contre un auteur publiant un ouvrage contraire à leurs intérêts.
TBR : Comment voyez-vous la politique israélienne vis-à-vis du peuple palestinien ?
Plevris : J?ai publié dans mon livre environ cinquante photographies où l?on voit l?armée israélienne commettre des crimes de guerre contre des enfants palestiniens. Toutes les preuves sont parfaitement documentées mais ce n?est pas demain que l?on verra un nouveau tribunal de Nuremberg juger les crimes sionistes.
TBR : J?ai vraiment été frappé en voyant la photographie de deux enfants palestiniens en train de lancer des pierres contre un char. Cette image vaut mille mots.
Plevris : Oui, cette image est d?autant plus parlante parce que les Juifs ne montrent jamais leur vrai visage mais élaborent sans cesse des représentations d?eux-mêmes en fonction de l?intérêt du moment, mais qui ne correspondent pas à la réalité. Ce que l?Histoire nous apprend avec certitude, c?est que les Juifs étaient les esclaves des Egyptiens, des Assyriens et des Babyloniens, puis des Perses, des Grecs, des Romains, des Byzantins, des Arabes, des Turcs, des Allemands. De là vient le mythe compensatoire du Peuple élu? Et d?esclaves, les Juifs sont devenus trafiquants d?esclaves parce que l?on fait bien ce que l?on connait bien. Et maintenant, ils ont un Etat, non pas parce qu?ils ont les capacités d?avoir un Etat, mais parce qu?ils sont aidés principalement par les Etats-Unis et l?Allemagne. Si ces aides disparaissent, Israël disparaîtra et les Juifs redeviendront esclaves?
TBR : Etes-vous au courant de l?agression israélienne contre le USS Liberty en 1967, le Rachel Corrie, ainsi que des violences subies en Israël par des journalistes américains, européens et japonais, mais dont la presse ne parle pas?
Plevris : J?ai consacré un chapitre de mon livre à l?affaire du USS Liberty, parce que ce cas démontre que les Juifs n?ont aucune gratitude envers le bienfaiteur américain. Il faut dire que de nombreux Juifs ont été condamnés pour espionnage aux Etats-Unis. Quand je parle de Juifs, je n?englobe pas tous les Juifs, car il faut reconnaître qu?il y a aussi des Juifs honnêtes. Si un Juif renonce au Talmud et aux mythes fondateurs comme ceux du Peuple élu et de l?Holocauste, il devient fréquentable mais je n?en connais pas beaucoup?
Lors de mon procès, j?ai déclaré à la Cour : « Regardez, ces gens prétendent qu?ils sont le peuple élu de Dieu et ils ont le culot de m?accuser de racisme ! ». Quoi qu?il en soit, quand j?affirme quelque chose, j?accepte le débat, la controverse, la discussion. En ce qui concerne les Juifs, il faut mettre les cartes sur la table. Mais les Juifs refusent toujours. C?est pourquoi je soupçonne que quelque chose cloche avec eux : parce qu?ils refusent le libre débat !
TBR : Les Juifs ont prétendu avoir été diffamé par votre livre? Est-ce vrai ?
Plevris : Le président du tribunal de première instance était contre moi, raison pour laquelle j?ai été condamné à 14 mois de prison avec sursis. J?ai pu en appel démontrer que ce juge avait violé la loi en me condamnant. Il a été révoqué par le Ministère de la Justice. En appel, les cinq juges, suivant en cela l?avis du procureur, ont décidé que je n?étais pas coupable ! Jamais dans mon livre je n?ai incité à commettre des actes illégaux, jamais ! Je me suis toujours efforcé de prouver mes dires, et si les Juifs avaient été en mesure de démontrer que je me trompe quelque part, croyez bien qu?ils l?auraient fait ! Mais ils ne l?ont pas fait, et pour cause ! Ils ont choisi pour me contrer la procédure judiciaire. Et ils ont perdu : totalement et définitivement.
TBR : Quel fut le rôle joué par Mme Andrea Gilbert, une dirigeante du Conseil central des communautés juives de Grèce ?
Plevris : S?il vous plaît ! Je n?ai aucune envie de parler de cette lesbienne ! Comment une femme qui ne respecte pas sa propre nature peut-elle respecter la vérité ! Or, non seulement elle est lesbienne, mais aussi présidente de la Fédération lesbienne grecque.
TBR : Quel est donc ce Conseil central des communautés juives de Grèce ?
Plevris : Ce Conseil a prétendu que quelqu?un, après avoir lu mon livre, est allé profaner le cimetière de Patras en dessinant des croix gammées sur des tombes juives ! Quand j?ai demandé si le profanateur avait été arrêté, on m?a dit que oui, que c?était le fils d?un rabbin ! C?était un agent provocateur !
TBR : Si vous n?avez pas été sanctionné pour incitation à la violence contre les Juifs, pouvez-vous justifier des violences que d?autres ont commis dans le passé ?
Plevris : Je suis contre toute forme de violence. Quand vous êtes en mesure de prouver à 100% que la vérité est de votre côté, vous n?avez pas besoin de la violence. Les Juifs nous accusent d?inciter à la violence, mais eux-mêmes sont auteurs d?actes violents. Regardez ce qui se passe en Palestine !
TBR : Il semble que vos ennemis ont été très sélectifs dans leurs accusations. Votre livre contient de très larges citations du Talmud, des preuves évidentes de la haine anti-chrétienne des Juifs. De tout cela, ils n?en parlent pas. Comment pouvez-vous l?expliquer ?
Plevris : Les Juifs refusent le débat dès qu?il devient brûlant pour eux?
TBR : Comment voyez-vous l?avenir de la Grèce ?
Plevris : L?avenir de la Grèce est très problématique avec les millions d?immigrants en provenance d?Albanie, du Pakistan, d?Afrique et de partout. Ces gens ont bouleversé l?équilibre de la nation.
TBR : Quelle est la population de la Grèce actuellement ?
Plevris : Nous en sommes à 11 millions, dont 20% d?étrangers. Ces gens sont indésirables et ils doivent retourner dans leur pays. Mais les partis politiques au pouvoir font valoir les Droits de l?homme en faveur de ces étrangers, mais pas pour les Grecs. Le vrai racisme est celui des étrangers aux dépens de la population de souche.
TBR : En 1968 déjà, vous avez écrit un livre sur l?Holocauste. Que pouvez-vous nous dire de ce livre ?
Plevris : Le titre de ce livre, « Le Mythe », est significatif du problème qu?il aborde : celui du mythe de l?Holocauste.
TBR : A l?époque où vous avez écrit ce livre, vous étiez un précurseur en Grèce et même dans le monde entier ?
Plevris : C?est exact. D?ailleurs, les Juifs se sont plaints, mais en ce temps-là j?étais secrétaire général au ministère de la Sécurité nationale et je pensais n?avoir rien à craindre d?eux. Lorsqu?on a 28 ans, on n?a peur de rien !
TBR : Vos livres révisionnistes ont-ils été traduits dans d?autres langues ?
Plevris : « Le Mythe » a été traduit en allemand et en arabe. J?aimerais bien traduire mes autres livres en anglais, mais le travail de tous les jours ne m?en a pas donné l?occasion.
TBR : Combien d?exemplaires de votre dernier livre « Les Juifs : toute la vérité » avez-vous vendu ?
Plevris : Entre 30 et 40 000 exemplaires.
TBR : Quel message voudriez-vous communiquer à nos lecteurs en guise de conclusion ?
Plevris : En Europe, nous appartenons à des Nations différentes, mais notre point commun, c?est d?être de race blanche. Les races, qu?elles soient blanche, jaune, noire ou rouge, doivent préserver leur identité. Mais les Juifs veulent mélanger les races pour créer le « Goy universel », un zombi taillable et corvéable à merci. Ce n?est pas un hasard si les peuples sont noirs en Afrique, jaunes en Asie et blancs en Europe, car ces particularités font partie de l?ordre naturel des choses. Notre devoir est de préserver l?identité et le cadre naturel de chaque race car nous avons tous le droit d?être blanc, noir ou jaune et de vivre dans notre lieu d?origine.
TBR : M. Plevris, je vous remercie vivement de m?avoir accordé cet entretien.
Saluons encore l?érudition sans faille de Constantin Plevris et remercions-le pour sa détermination exemplaire à défendre le bon droit et le bon sens, socle des droits fondamentaux. Notons bien que le juge inique à l?origine de la condamnation en première instance de Constantin Plevris fut destitué et que les plaignants n?ont pas contesté le jugement d?acquittement en s?abstenant de recourir devant la Cour européenne des Droits de l?homme. Les plaignants auraient eu avec ce procès l?occasion de prouver la véracité de leurs allégations, puisque l?inculpation portait sur la diffusion de « fausses nouvelles ». Ils n?ont pas pu en faire la démonstration, ce qui revient à dire que les « fausses nouvelles » n?étaient pas si fausses que ça et que les plaignants étaient des diffamateurs.
C?est la raison pour laquelle les pays soumis à la mafia juive ont dû élaborer une nouvelle législation pour éviter d?entrer dans le vif du sujet en prétendant que les publications révisionnistes constituaient une « incitation à la haine raciale », ce qui est une vue de l?esprit qui reste à démontrer. En rupture avec la doctrine juridique des Etats de droit censés ne juger que des faits, de telles lois réhabilitent le procès d?intention où l?on juge des idées. Le quotidien de Berlin TAZ du 9 février 2007 a d?ailleurs relevé, lors du procès de l?avocate révisionniste Sylvia Stolz, que le tribunal avait rejeté toutes les preuves soumises à l?appréciation de la cour, pour la bonne et simple raison « qu?il est complètement indifférent de savoir si l?Holocauste a vraiment eu lieu ou n?a pas eu lieu. Sa négation est illégale en Allemagne et c?est tout ce qui compte pour le tribunal. » Cette déclaration méprisante fait l?impasse sur le sort des victimes de la Deuxième guerre mondiale puisque que des juges allemands se disent indifférents de savoir si l?Holocauste a vraiment eu lieu ou n?a pas eu lieu. Cette déclaration est une offense à la mémoire des victimes présumées et des présumés coupables puisque ces juges renoncent sciemment à faire la lumière sur des crimes incroyables, quand bien même des documents probatoires sont entre leurs mains. Le déni de droit est flagrant et constitue un outrage envers les justiciables qui croient à l?impartialité des juges et une forfaiture car un tribunal a le devoir d?entendre les parties et de se prononcer sur les preuves soumises à leur appréciation. Quand il s?agit de juger des révisionnistes, trois mille ans de culture gréco-latine, deux mille ans d?humanisme chrétien et deux cents ans de raison critique sont balayés d?un revers de manche par des juges à la botte pour complaire aux sectateurs du culte nécromancien de l?Holocauste. L?affaire Plevris est l?exception qui confirme la règle et son jugement exemplaire démontre que le mythe de l?Holocauste ne résiste pas à un procès impartial.[/justify]
http://www.propagandes.info/blog/juifs- ... s-berclaz/
[justify]Né à Athènes en 1939, Constantin Plevris est avocat, ancien juge à la Cour suprême, professeur de sociologie politique et de guerre psychologique auprès de l?Académie militaire d?Athènes, expert auprès des services de renseignements grecs et auteur de nombreux ouvrages sur l?histoire, la sociologie, la politique et la culture de son pays. Il a fondé et dirigé plusieurs mouvements ou partis politiques nationalistes. Constantin Plevris était lié avec Giorgio Almirante (1914-1988), Pino Rauti (1926-2012) et Pino Romualdi (1913-1988), des hommes politiques survivants de la République sociale italienne (RSI).
Constantin Plevris a publié en juin 2006 un livre de 1400 pages, « Juifs : toute la vérité » qui a défrayé la chronique et pour lequel il fut inculpé en décembre 2006 d?incitation à la violence raciale, en vertu d?une interprétation inédite de l?art. 191 du Code pénal, lequel concerne la diffusion de fausses nouvelles. Cette inculpation faisait suite à une dénonciation du Conseil central des communautés juives de Grèce. Cette affaire était une première en Grèce, puisqu?il n?existe pas dans ce pays de législation similaire à celle en vigueur dans les autres pays d?Europe, réprimant la liberté d?expression sous prétexte de «racisme» ou de «révisionnisme».
Lors de son procès, en décembre 2007, Constantin Plevris fut condamné à 14 mois de prison avec sursis. Son éditeur fut acquitté. En appel, Constantin Plevris obtint gain de cause et le Tribunal d?appel prononça son acquittement le 27 mars 2007.
Dans l?ouvrage incriminé, Constantin Plevris considère que Joseph Goebbels était un des esprits les plus brillants du siècle, un philosophe ayant une profonde compréhension de la psychologie des foules. Constantin Plevris y écrit que le Zyklon B était un gaz toxique utilisé par les Allemands pour des motifs sanitaires et non pas pour mettre à mort des Juifs dans des chambres à gaz dont l?existence n?a jamais été prouvée. Constantin Plevris n?a pas hésité à dire dans son livre que les Juifs mettaient Jésus et Hitler dans le même bain : en l?occurrence, selon le Talmud, ce bain est un chaudron rempli d?excréments en ébullition dans lequel le Christ serait plongé pour l?éternité. Il considère que Hitler était la figure historique la plus impressionnante des Temps modernes, précisant que Hitler aurait pu débarrasser l?Europe des Juifs, mais qu?il ne l?a pas fait. Le tribunal d?appel a jugé que de telles considérations ? le fait d?admirer Hitler, de mettre en cause l?Holocauste et de croire au bien-fondé des Protocoles des Sages de Sion ? ne constituait pas une incitation à la violence visant les Juifs.
Traduction de l?entretien accordé par Constantin Plevris au journaliste Peter Papaherklis et publié par « Barnes Review » fin 2009.
Peter Papaheraklis (TBR) : Je suis reçu chez Constantin Plevris pour l?interroger sur son dernier livre, intitulé « Les Juifs : toute la vérité »?
Plevris : J?ai accumulé dans ce livre de 1400 pages publié il y a trois ans une masse de faits, de documents, de preuves, de photos et de références basés sur les travaux de 270 auteurs. Dès sa publication, ce livre a fait l?objet d?une plainte émanant du Conseil central des Juifs de Grèce, lequel a bénéficié du soutien du Congrès juif européen. Ces gens sont intervenus au niveau des plus hautes autorités de l?Etat : le Premier ministre, le Ministre de la Justice, afin de censurer ce livre et obtenir ma condamnation pour un délit qui n?existe pas dans le code pénal grec. Après trois années de procédures et de combats juridiques acharnés, j?ai finalement gagné à 100% devant la Cour suprême d?Athènes. La Justice a prévalu face aux pressions, le tribunal a confirmé son indépendance et a appliqué le droit.
TBR : Que pensez-vous de l?Holocauste ?
Plevris : Je ne crois pas à l?Holocauste. Bien sûr, nombre de Juifs sont morts pendant la guerre, mais il n?existe aucune preuve que les Allemands avaient l?intention de les exterminer.
TBR : Depuis quand avez-vous eu cette conviction ?
Plevris : J?ai publié en 1968 déjà un livre sur l?Holocauste intitulé « Le Mythe ». Il est tout simplement impossible d?exterminer six millions de Juifs, puisqu?il n?y avait que 4 200 000 Juifs dans les pays occupés par l?Allemagne pendant la Deuxième guerre mondiale selon les statistiques officielles. Même en les arrêtant tous, Hitler n?aurait jamais pu tuer six millions de Juifs. Mais Hitler n?a jamais prévu de tuer les Juifs : il voulait dans un premier temps les regrouper à Madagascar. Quoi qu?il en soit, près de 3 300 000 Juifs « survivants » ont reçu des indemnités de la République fédérale allemande parce qu?ils prétendent qu?ils ont été déportés et internés dans des camps de concentration. Tout cela est expliqué en détail dans mon livre.
TBR : Avez-vous déjà été à Auschwitz ou dans d?autres camps ?
Plevris : Bien sûr. Je me suis rendu à Auschwitz et à Dachau. Il n?y a pas de chambres à gaz dans aucun de ces camps, ni ailleurs.
TBR : Est-il illégal de mettre en doute l?Holocauste dans votre pays ?
Plevris : Non, absolument pas, au contraire de ce qui arrive en Allemagne et en Autriche, pour ne citer que les pays les plus répressifs. Là-bas, c?est illégal, mais pas ici, car la Grèce respecte la liberté d?expression : vous êtes libre d?y exprimer vos idées et de publier vos opinions.
TBR : Cette liberté, ce sont les Grecs de l?Antiquité qui les premiers l?ont défendue ?
Plevris : Bien sûr. Nous avons ici le culte du dialogue. Vous vous exprimez, je réponds, et nous discutons librement et sans préjugé de choses et d?autres. A plusieurs reprises, j?ai invité des Juifs à venir dialoguer à la télévision, mais ils ont toujours refusé. Pourquoi ? Parce qu?ils savent bien qu?ils ont tort et que j?ai raison. Et ce n?est pas seulement à propos de l?Holocauste, car mon livre ne cache rien des tribulations impliquant autant les Juifs que les Grecs à travers l?Histoire.
TBR : La Deuxième guerre mondiale a été dramatique pour les Grecs. Combien sont-ils morts pendant ce conflit ?
Plevris : Environ un demi-million ; 520 000 pour être exact.
TBR : Le peuple grec a connu d?autres drames au cours de l?Histoire?
Plevris : Il y a eu en 1922 le génocide du Pont, en bordure de la Mer Noire. Autour de la Grèce, il y a des Etats comme l?Albanie, la Macédoine, la Bulgarie, la Turquie, qui ont été créés sur des terres grecques. Les populations grecques de ces territoires ont été asservies et même massacrées. Ce sont là de vrais génocides ! Et personne n?est venu nous donner de l?argent ! L?Holocauste juif est une entreprise avec un objectif économique et politique. Les Juifs en ont profité. Il y a trente ans, je me souviens qu?il était écrit sur les plaques mémorielles d?Auschwitz que 4 millions de Juifs y furent tués. Par la suite, le nombre des victimes a été revu à la baisse et les plaques corrigées mentionnent maintenant un million et demi de morts : mais l?argent perçu en trop sur la foi du chiffre de 4 millions n?a pas été restitué pour autant !
TBR : L?historien romain Dion Cassius affirme 200 ans après J.- C. que les Juifs ont tué 220 000 Grecs en Cyrénaïque et 240 000 à Chypres. Qu?en pensez-vous ?
Plevris : Ce n?est pas seulement Dion Cassius qui l?affirme. Les historiens modernes le disent aussi, y compris Edward Gibbon dans son célèbre « Histoire du Déclin et de la Chute de l?Empire romain ». Les chiffres sont peut-être discutables mais ces massacres sont un fait incontestable.
TBR : Quels sont les aspects les plus contestables du mythe de l?Holocauste ?
Plevris : Nous devons tout d?abord faire preuve de bon sens. Si les Juifs disent la vérité, s?ils ont raison, ils ne doivent pas pénaliser ceux qui contestent leurs affirmations. Si vous êtes dites la vérité et que quelqu?un nie vos propos, vous devriez être capable de prouver la véracité des faits que vous avancez. Mais les Juifs refusent d?emblée tout débat et utilisent l?argument de la force au lieu de convaincre par la force de l?argument. Cette négation du débat est tout simplement incroyable pour moi. Si je veux me ridiculiser, je peux toujours dire que la Révolution américaine ne s?est jamais produite. Depuis quand faut-il sanctionner celui qui dit des bêtises puisqu?il se discrédite lui-même ? Encore faut-il prouver qu?il s?agit bel et bien de fausses allégations, ce qui ne devrait pas être le comble de la difficulté quand on dispose de tous les moyens nécessaires pour se faire entendre : pourtant, même cela les Juifs le refusent. Il n?est pas seulement interdit de nier l?Holocauste, le simple doute suffit à vous mettre hors la loi, alors que le doute est la mère du bon sens. En Allemagne et en Autriche, la manifestation du bon sens est un crime, ce qui revient à dire que les Allemands authentiques ont disparu de ces deux pays germaniques, ce qui est une forme de génocide culturel !
TBR : Quels sont les autres aspects de l?Holocauste que vous remettez en question ?
Plevris : J?ai toujours utilisé des arguments scientifiques ou de bon sens. Les Allemands sont venus en Grèce en 1941, ils ont arrêté des Juifs et ils les ont mis dans des wagons en partance pour la Pologne ou ailleurs à l?Est, là où il y avait des camps de concentration. Quel était le motif de ces déplacements ? Les Juifs nous disent : « Pour nous tuer ». Mais alors, pourquoi les Allemands ne les ont-ils pas tués sur place, en s?épargnant des frais de transport, d?organisation. N?oublions pas que l?effort de guerre était prioritaire. C?est une question de bon sens.
TBR : Comment votre livre a-t-il été reçu par le public grec ?
Plevris : Trois ans après sa sortie, il en est à sa quatrième édition.
TBR : C?est en effet un succès énorme.
Plevris : Oui, et ce succès populaire confirme celui obtenu devant les tribunaux. C?est la première fois que les Juifs n?ont pas obtenu une condamnation pénale contre un auteur publiant un ouvrage contraire à leurs intérêts.
TBR : Comment voyez-vous la politique israélienne vis-à-vis du peuple palestinien ?
Plevris : J?ai publié dans mon livre environ cinquante photographies où l?on voit l?armée israélienne commettre des crimes de guerre contre des enfants palestiniens. Toutes les preuves sont parfaitement documentées mais ce n?est pas demain que l?on verra un nouveau tribunal de Nuremberg juger les crimes sionistes.
TBR : J?ai vraiment été frappé en voyant la photographie de deux enfants palestiniens en train de lancer des pierres contre un char. Cette image vaut mille mots.
Plevris : Oui, cette image est d?autant plus parlante parce que les Juifs ne montrent jamais leur vrai visage mais élaborent sans cesse des représentations d?eux-mêmes en fonction de l?intérêt du moment, mais qui ne correspondent pas à la réalité. Ce que l?Histoire nous apprend avec certitude, c?est que les Juifs étaient les esclaves des Egyptiens, des Assyriens et des Babyloniens, puis des Perses, des Grecs, des Romains, des Byzantins, des Arabes, des Turcs, des Allemands. De là vient le mythe compensatoire du Peuple élu? Et d?esclaves, les Juifs sont devenus trafiquants d?esclaves parce que l?on fait bien ce que l?on connait bien. Et maintenant, ils ont un Etat, non pas parce qu?ils ont les capacités d?avoir un Etat, mais parce qu?ils sont aidés principalement par les Etats-Unis et l?Allemagne. Si ces aides disparaissent, Israël disparaîtra et les Juifs redeviendront esclaves?
TBR : Etes-vous au courant de l?agression israélienne contre le USS Liberty en 1967, le Rachel Corrie, ainsi que des violences subies en Israël par des journalistes américains, européens et japonais, mais dont la presse ne parle pas?
Plevris : J?ai consacré un chapitre de mon livre à l?affaire du USS Liberty, parce que ce cas démontre que les Juifs n?ont aucune gratitude envers le bienfaiteur américain. Il faut dire que de nombreux Juifs ont été condamnés pour espionnage aux Etats-Unis. Quand je parle de Juifs, je n?englobe pas tous les Juifs, car il faut reconnaître qu?il y a aussi des Juifs honnêtes. Si un Juif renonce au Talmud et aux mythes fondateurs comme ceux du Peuple élu et de l?Holocauste, il devient fréquentable mais je n?en connais pas beaucoup?
Lors de mon procès, j?ai déclaré à la Cour : « Regardez, ces gens prétendent qu?ils sont le peuple élu de Dieu et ils ont le culot de m?accuser de racisme ! ». Quoi qu?il en soit, quand j?affirme quelque chose, j?accepte le débat, la controverse, la discussion. En ce qui concerne les Juifs, il faut mettre les cartes sur la table. Mais les Juifs refusent toujours. C?est pourquoi je soupçonne que quelque chose cloche avec eux : parce qu?ils refusent le libre débat !
TBR : Les Juifs ont prétendu avoir été diffamé par votre livre? Est-ce vrai ?
Plevris : Le président du tribunal de première instance était contre moi, raison pour laquelle j?ai été condamné à 14 mois de prison avec sursis. J?ai pu en appel démontrer que ce juge avait violé la loi en me condamnant. Il a été révoqué par le Ministère de la Justice. En appel, les cinq juges, suivant en cela l?avis du procureur, ont décidé que je n?étais pas coupable ! Jamais dans mon livre je n?ai incité à commettre des actes illégaux, jamais ! Je me suis toujours efforcé de prouver mes dires, et si les Juifs avaient été en mesure de démontrer que je me trompe quelque part, croyez bien qu?ils l?auraient fait ! Mais ils ne l?ont pas fait, et pour cause ! Ils ont choisi pour me contrer la procédure judiciaire. Et ils ont perdu : totalement et définitivement.
TBR : Quel fut le rôle joué par Mme Andrea Gilbert, une dirigeante du Conseil central des communautés juives de Grèce ?
Plevris : S?il vous plaît ! Je n?ai aucune envie de parler de cette lesbienne ! Comment une femme qui ne respecte pas sa propre nature peut-elle respecter la vérité ! Or, non seulement elle est lesbienne, mais aussi présidente de la Fédération lesbienne grecque.
TBR : Quel est donc ce Conseil central des communautés juives de Grèce ?
Plevris : Ce Conseil a prétendu que quelqu?un, après avoir lu mon livre, est allé profaner le cimetière de Patras en dessinant des croix gammées sur des tombes juives ! Quand j?ai demandé si le profanateur avait été arrêté, on m?a dit que oui, que c?était le fils d?un rabbin ! C?était un agent provocateur !
TBR : Si vous n?avez pas été sanctionné pour incitation à la violence contre les Juifs, pouvez-vous justifier des violences que d?autres ont commis dans le passé ?
Plevris : Je suis contre toute forme de violence. Quand vous êtes en mesure de prouver à 100% que la vérité est de votre côté, vous n?avez pas besoin de la violence. Les Juifs nous accusent d?inciter à la violence, mais eux-mêmes sont auteurs d?actes violents. Regardez ce qui se passe en Palestine !
TBR : Il semble que vos ennemis ont été très sélectifs dans leurs accusations. Votre livre contient de très larges citations du Talmud, des preuves évidentes de la haine anti-chrétienne des Juifs. De tout cela, ils n?en parlent pas. Comment pouvez-vous l?expliquer ?
Plevris : Les Juifs refusent le débat dès qu?il devient brûlant pour eux?
TBR : Comment voyez-vous l?avenir de la Grèce ?
Plevris : L?avenir de la Grèce est très problématique avec les millions d?immigrants en provenance d?Albanie, du Pakistan, d?Afrique et de partout. Ces gens ont bouleversé l?équilibre de la nation.
TBR : Quelle est la population de la Grèce actuellement ?
Plevris : Nous en sommes à 11 millions, dont 20% d?étrangers. Ces gens sont indésirables et ils doivent retourner dans leur pays. Mais les partis politiques au pouvoir font valoir les Droits de l?homme en faveur de ces étrangers, mais pas pour les Grecs. Le vrai racisme est celui des étrangers aux dépens de la population de souche.
TBR : En 1968 déjà, vous avez écrit un livre sur l?Holocauste. Que pouvez-vous nous dire de ce livre ?
Plevris : Le titre de ce livre, « Le Mythe », est significatif du problème qu?il aborde : celui du mythe de l?Holocauste.
TBR : A l?époque où vous avez écrit ce livre, vous étiez un précurseur en Grèce et même dans le monde entier ?
Plevris : C?est exact. D?ailleurs, les Juifs se sont plaints, mais en ce temps-là j?étais secrétaire général au ministère de la Sécurité nationale et je pensais n?avoir rien à craindre d?eux. Lorsqu?on a 28 ans, on n?a peur de rien !
TBR : Vos livres révisionnistes ont-ils été traduits dans d?autres langues ?
Plevris : « Le Mythe » a été traduit en allemand et en arabe. J?aimerais bien traduire mes autres livres en anglais, mais le travail de tous les jours ne m?en a pas donné l?occasion.
TBR : Combien d?exemplaires de votre dernier livre « Les Juifs : toute la vérité » avez-vous vendu ?
Plevris : Entre 30 et 40 000 exemplaires.
TBR : Quel message voudriez-vous communiquer à nos lecteurs en guise de conclusion ?
Plevris : En Europe, nous appartenons à des Nations différentes, mais notre point commun, c?est d?être de race blanche. Les races, qu?elles soient blanche, jaune, noire ou rouge, doivent préserver leur identité. Mais les Juifs veulent mélanger les races pour créer le « Goy universel », un zombi taillable et corvéable à merci. Ce n?est pas un hasard si les peuples sont noirs en Afrique, jaunes en Asie et blancs en Europe, car ces particularités font partie de l?ordre naturel des choses. Notre devoir est de préserver l?identité et le cadre naturel de chaque race car nous avons tous le droit d?être blanc, noir ou jaune et de vivre dans notre lieu d?origine.
TBR : M. Plevris, je vous remercie vivement de m?avoir accordé cet entretien.
Saluons encore l?érudition sans faille de Constantin Plevris et remercions-le pour sa détermination exemplaire à défendre le bon droit et le bon sens, socle des droits fondamentaux. Notons bien que le juge inique à l?origine de la condamnation en première instance de Constantin Plevris fut destitué et que les plaignants n?ont pas contesté le jugement d?acquittement en s?abstenant de recourir devant la Cour européenne des Droits de l?homme. Les plaignants auraient eu avec ce procès l?occasion de prouver la véracité de leurs allégations, puisque l?inculpation portait sur la diffusion de « fausses nouvelles ». Ils n?ont pas pu en faire la démonstration, ce qui revient à dire que les « fausses nouvelles » n?étaient pas si fausses que ça et que les plaignants étaient des diffamateurs.
C?est la raison pour laquelle les pays soumis à la mafia juive ont dû élaborer une nouvelle législation pour éviter d?entrer dans le vif du sujet en prétendant que les publications révisionnistes constituaient une « incitation à la haine raciale », ce qui est une vue de l?esprit qui reste à démontrer. En rupture avec la doctrine juridique des Etats de droit censés ne juger que des faits, de telles lois réhabilitent le procès d?intention où l?on juge des idées. Le quotidien de Berlin TAZ du 9 février 2007 a d?ailleurs relevé, lors du procès de l?avocate révisionniste Sylvia Stolz, que le tribunal avait rejeté toutes les preuves soumises à l?appréciation de la cour, pour la bonne et simple raison « qu?il est complètement indifférent de savoir si l?Holocauste a vraiment eu lieu ou n?a pas eu lieu. Sa négation est illégale en Allemagne et c?est tout ce qui compte pour le tribunal. » Cette déclaration méprisante fait l?impasse sur le sort des victimes de la Deuxième guerre mondiale puisque que des juges allemands se disent indifférents de savoir si l?Holocauste a vraiment eu lieu ou n?a pas eu lieu. Cette déclaration est une offense à la mémoire des victimes présumées et des présumés coupables puisque ces juges renoncent sciemment à faire la lumière sur des crimes incroyables, quand bien même des documents probatoires sont entre leurs mains. Le déni de droit est flagrant et constitue un outrage envers les justiciables qui croient à l?impartialité des juges et une forfaiture car un tribunal a le devoir d?entendre les parties et de se prononcer sur les preuves soumises à leur appréciation. Quand il s?agit de juger des révisionnistes, trois mille ans de culture gréco-latine, deux mille ans d?humanisme chrétien et deux cents ans de raison critique sont balayés d?un revers de manche par des juges à la botte pour complaire aux sectateurs du culte nécromancien de l?Holocauste. L?affaire Plevris est l?exception qui confirme la règle et son jugement exemplaire démontre que le mythe de l?Holocauste ne résiste pas à un procès impartial.[/justify]
http://www.propagandes.info/blog/juifs- ... s-berclaz/