WAWA CONSPI - The Savoisien

MimilleLaBordille

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Meynié Georges - l'Algérie juive (deux ouvrages rares et instructifs).

Meynié Georges

Les Juifs en Algérie
http://www.balderexlibris.com/index.php … en-Algerie
http://www.histoireebook.com/index.php? … en-Algerie

L'Algérie juive
http://www.balderexlibris.com/index.php … erie-juive
http://www.histoireebook.com/index.php? … erie-juive

Pour redevenir les maîtres chez nous, nous devons, sans hésitation, broyer la
tête du serpent que nous avons réchauffé dans notre sein.
Meynié G. Les juifs en Algérie p. IX

à EDOUARD DRUMONT
à JACQUES DE BIEZ

Messieurs et chers confrères,
J'arrive en retardataire y mais j'arrive les armes à la main.
Lorsque vous avez sonné le tocsin, je suis accouru à votre appel.
Vous avez pris vos positions, je marcherai en éclaireur.
tous les Français formeront le contingent de nôtre armée : vous serez de droit
les généraux, mais vous m'accorderez l'insigne honneur d'être votre porte-drapeau
Vous avez démasqué l'ennemi ; je vous aiderai à le traquer.
En attendant le jour de la victoire, recevez les hommages confraternels de votre jeune compagnon d'armes. GEORGES MEYNIÉ

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Les juifs en Algérie

Les hommes et les personnages

Le devoir de chaque Français, qu'il habite la France ou l'Algérie, est de combattre les Juifs, parce que nous avons déjà appris à nos dépens qu'ils sont une race léthifère. Ils sont, en effet, à l'espèce humaine ce que l'Upas est au règne végétal.
Les théories humanitaires, excellentes en principe, doivent en pratique être mûries en serre chaude et appliquées avec une extrême réserve.
Il est des antipathies de race que nul effort humain ne saurait éteindre, car cet effort est stérilisé d'avance par des résistances inattendues, des incompatibilités radicales.
S'il se trouve encore en France, des hommes assez indifférents pour négliger cette importante question juive, qui est
enfin à l'ordre du jour, nous avons constaté par le coup porté par l'Algérie juive qu'il n'en était pas ainsi en Algérie. A côté de certaines lettres injurieuses et toujours anonymes de youddis enrichis par le vol ou l'usure, nous avons reçu, de Français ou d'Arabes, de nombreux remerciements pour la campagne que nous venions d'entreprendre.
Chacun de ces derniers correspondants nous donnait des faits à l'appui de la théorie que nous avions exposée ; malheureusement, il nous a été impossible de les mettre tous à profit.
Le Juif qui, depuis deux mille ans, gonfle son parasitisme de tous les sucs de l'arbre social dont il est le lierre tenace, le puceron avide, le Juif a trouvé sur sa route la nation réputée la plus généreuse, la plus chevaleresque du monde ; il s'est attaché à ses flancs, et, lentement, patiemment, sournoisement, l'a envahie, l'a possédée, l'a dépouillée, l'a gangrenée.
C'est avec le sang de 1893 que la France baptise les Juifs français, c'est sur les ruines de l'Alsace-Lorraine qu'un décret du gouvernement de la Défense Nationale les proclame citoyens français en Algérie. Parasites mortifères, ils ont porté la décomposition dans notre milieu social. Non seulement ils ont épuisé notre vitalité mais encore ils ont sapé notre moralité.
Adorateurs du veau d'or, ils nous tiennent par l'or ; ils nous ont, par contagion, conquis à leur culte.

Petit intermède musical

http://www.youtube.com/watch?v=lyER6lt8T38

Berceuses Yiddish - Talila

Talila est une chanteuse yiddish et actrice française, née après la seconde guerre mondiale. Elle en a de la chance.
Évolution intéressante de la société, cette année, pour la première fois depuis 30 ans, il lui a été rappelé que sa religion lui interdit de chanter devant des hommes. Sans doute ce chant réveillerait-il le traumatisme du 8ème jour ? On ressent toute la tristesse d'avoir eu à faire souffrir sous la torture de l'excision du prépuce son enfant. Le traumatisme est grand pour l'un et l'autre.
Mais comment peuvent-ils se réjouir de l'horreur qu'il inflige même à leur enfant ?

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L'Algérie juive

Quant aux mœurs des Juifs, nous nous bornerons à dire qu'elles changent suivant les pays
où ils se trouvent. Ce qui les suit partout, c'est le parasitisme, l'égoïsme, la lâcheté et l'hypocrisie.
Meynié G. L'Algérie juive p. XVIII

L'arabe et le juif avant la conquête

Avant la conquête de l'Algérie, ce pays était habité par les Arabes et les Juifs. Les premiers, anciens Maures, avaient été autrefois un des peuples les plus civilisés du monde ; ce n'est qu'après avoir été chassés d'Espagne qu'ils s'étaient réfugiés dans le nord de l'Afrique. Leurs mœurs changèrent alors brusquement; ils devinrent sédentaires et paresseux, et vécurent dans la plus complète ignorance.
Lors de leur invasion, leur nouveau territoire n'était habité que par les Juifs qui n'avaient pas encore su se faufiler dans les divers États civilisés de l'Europe. La lâcheté naturelle du Juif le plaça bien vite sous la domination des nouveaux arrivants qui le considérèrent moins qu'un esclave, puisqu'il était pour eux une chose de nulle valeur.
Bien que partisans de la liberté, les Arabes se pliaient volontiers sous le joug de leurs chefs arabes. Ils étaient sous le pouvoir du dey d'Alger.
Au point de vue administratif, le territoire était divisé en bach-aghaiats, hghaiats, caïdats et cheickats, à la tête desquels étaient les bachaghas, aghas, caïds et cheicks. La justice était rendue par les cadis, qui avaient comme auxiliaires les bach-adels et les adels.
Chaque Arabe avait droit de vie et de mort sur le Juif sans avoir aucun compte à rendre à ses chefs hiérarchiques. Le Juif n'appartenait pas exclusivement a une personne déterminée, il était la chose de tous et devait par suite se plier aux ordres de chacun. Lorsqu'un Juif rencontrait un Arabe, il se prosternait humblement devant son redoutable maître.
Les femmes juives étaient à la merci des Arabes qui, a leur gré, allaient les trouver dans leurs gourbis ou leur ordonnaient de se rendre chez eux, sans redouter la moindre objection de la part des parents. C'était même un honneur pour une femme ou une fille juive d'avoir été violée par un Arabe.
Nos lecteurs qui ne connaissent le Juif que superficiellement seront étonnés de ces détails précis et se demanderont pourquoi le Juif ne se révoltait pas et n'essayait pas de reprendre sa suprématie ? Nous nous bornerons à répondre que le Juif ne luttera jamais ouvertement, qu'il préférera toujours ramper et se plier aux dernières humiliations plutôt que de se révolter ; nous ajouterons qu'il est aujourd'hui ce qu'il a toujours été, qu'il ne changera jamais de caractère, et qu'il ne feint la hardiesse que lorsqu'il se sent soutenu.

Last edited by MimilleLaBordille (30-12-2010 10:51:39)