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Robert Faurisson
Robert Faurisson (né le 25 janvier 1929 à Shepperton, comté de Surrey, Royaume-Uni), est un universitaire français et professeur de lettres aujourd'hui retraité, avant tout connu comme militant et auteur révisionniste.
Il a prouvé l'Hoax des chambres à gaz et des camps d'extermination Nazi, qu'il qualifie de simples camps de concentration, et, plus généralement, la supercherie juive du prétendus génocide des Juifs commis par les nazis au cours de la Seconde Guerre mondiale.
Il a été condamné à plusieurs reprises en France par les juifs pour « contestation de crime contre l'humanité ».
Robert Faurisson se fait connaître du grand public en janvier 1979, lors de la publication d'une lettre tribune envoyée par lui au quotidien Le Monde, intitulée « Le Problème des chambres à gaz, ou la rumeur d'Auschwitz » et où il écrit notamment : « Jusqu'en 1960, j'ai cru à la réalité de ces gigantesques massacres dans les chambres à gaz.
Puis, à la lecture de Paul Rassinier, ancien déporté résistant et auteur du Mensonge d'Ulysse, j'ai commencé à avoir des doutes.
Après quatorze ans de réflexions personnelles, puis quatre ans d'une enquête acharnée, j'ai acquis la certitude, comme vingt autres auteurs révisionnistes, que je me trouvais devant un mensonge historique. »
Il ajoute : « Jamais Hitler n'a ordonné (ni admis) que quiconque fût tué en raison de sa race ou de sa religion » et qualifie « Les prétendues chambres à gaz et le prétendu génocide » de mensonge « permettant une gigantesque escroquerie politico-financière dont l'État d'Israël est le principal bénéficiaire ».
http://www.histoireebook.com/index.php? … son-Robert
«La libre pensée est exigeante, car elle suppose un effort pour penser par soi-même, alors que nous sommes gavé de prêt-à-penser.»
«Laxe américano-sioniste a phosphorisé les enfants allemands, atomisé les enfants japonais, traité les enfants vietnamiens à lagent orange et les enfants irakiens à luranium appauvri. Il est temps que les vaincus, les humiliés, les offensés répliquent par ce que jappelle depuis longtemps larme atomique du pauvre, cest-à-dire par le révisionnisme historique ; cette arme-là ne tue ni ne mutile personne ; elle ne tue que le mensonge, la calomnie, la diffamation, le mythe de la Shoah ainsi que labject Shoah-Business, cher à Bernard Madoff, à Elie Wiesel, à la cohorte des miraculés et aux assassins des enfants de Gaza»
Professeur Robert Faurisson.
Last edited by SigelVictoria (09-01-2011 16:16:36)
Le document NI-9912 : anéantit tous les prétendus « témoignages », sans exception, sur lemploi du Zyklon B par les nazis pour tuer des êtres humains. En effet, les déportés affirmant avoir travaillé à lextraction des cadavres des chambres à gaz nazies ne font jamais mention de la molndre mesure de protection : ni masque à gaz, ni vêtements spéciaux. Selon leurs récits, lextraction des cadavres de la chambre à gaz débutait aussitôt après lexécution et les déportés chargés de ce travail leffectuaient tout en fumant ou en mangeant un sandwich.
Remarques sur ce document
Robert FAURISSON
Il provient des archives des procès de Nuremberg. Il a été enregistré par les Américains à une date tardive : le 21 août 1947, sous la cote NI (Nuremberg, Industrialists). Il provient des archives de la Degesch. Il est répertorié sous quatre rubriques, dont la rubrique des « Atrocités » (sic).
Loriginal se présente sous la forme de quatre grandes pages à placarder. Il sagissait dune affichette qui a dû être distribuée à de très nombreux exemplaires, ici par lInstitut dHygiène de Prague en pleine guerre sans doute. Son contenu montre quil sagit de directives pour lemploi du Zyklon (acide prussique ou cyanhydrique) en vue dexterminer la vermine dans les bâtiments qui pouvaient être aussi bien civils que militaires (appartements, casernes, etc.). Ce document nous rappelle opportunément une vérité dexpérience : de toutes les armes mortelles, le gaz restera sans doute longtemps la moins maniable ; quand il tue, il tue si bien quil peut être fatal au tueur qui savise de lemployer. Autant il est facile de tuer avec de lacide prussique, autant il est difficile de tuer son prochain sans de terribles risques pour soi-même.
Ce document décrit les propriétés du Zyklon, son risque dexplosion, sa toxicité. Seules des personnes possédant un certificat délivré au terme dun entraînement spécial peuvent utiliser ce produit. Le programme dun gazage, puis ses préparatifs nécessitent des mesures et des travaux qui requièrent plusieurs heures, sinon plusieurs jours. Puis vient lopération elle-même. Parmi de nombreux détails on notera que le Zyklon ne se déverse pas en tas ou à la volée. Pour avoir son effet, il doit être étalé en couche mince sur des napperons de papier ; rien nira ségarer dans un coin et tout sera récupéré le moment venu. Il faudra de six à trente-deux heures pour tuer la vermine (seize heures en moyenne). Puis viendra le moment le plus critique : celui de laération. Le texte dit : « Laération présente le plus grand danger pour les participants comme pour les non-participants. Il faut donc y procéder avec une prudence particulière et toujours en portant le masque à gaz. » Cette aération devra durer « au moins vingt heures ». Des sentinelles, pendant tout ce temps et même par la suite, doivent rester près du bâtiment. Pour sassurer quil ne reste plus de gaz, les spécialistes, toujours portant leurs masques, pénètrent dans les locaux avec une bande de papier indicateur de gaz résiduel. Vingt heures auparavant, la simple ouverture des portes et fenêtres ainsi que les débouchages faciles (cet effort nest rien à côté du transport de milliers de cadavres !) avaient présenté un certain danger puisque, après chaque étage aéré, il leur avait fallu se rendre à lair libre et, là, ôter leur masque pour respirer lair frais pendant dix minutes au moins. Tout est à lavenant et je laisse au lecteur le soin de découvrir à chaque ligne de ce document combien par comparaison sont absurdes les récits de nos faux témoins.
Document NI-9912
Richtlinen für die Anwendung von Blausaüre (Zyklon) zur Ungeziefervertilgung (Entwesung)
[Traduction de ce document] Directives pour lutilisation de lacide prussique (Zyklon) en vue de lextermination de la vermine (désinfection).
I. Propriétés de lacide prussique
Lacide prussique est un gaz qui se dégage par évaporation.
Point débullition : 26°C.
Point de congélation : 15°C.
Poids spécifique : 0,69
Le liquide sévapore facilement.
Liquide : limpide comme de leau, incolore.
Odeur : caractéristique, douceâtre.
Pouvoir de pénétration : extraordinairement élevé.
Lacide prussique est soluble dans leau.
Risque dexplosion :
75 g dacide prussique par m3 dair. (Utilisation normale : env. 8-10 g par m3 dans ce cas, non explosif). Lacide prussique ne doit pas être mis en contact avec une flamme nue, des fils métalliques incandescents, etc. Il brûle alors lentement et perd complètement son effet. (Il se forme de lacide carbonique, de leau et de lazote.)
Toxicité pour les animaux à sang chaud :
Lacide prussique na presque pas deffet avertisseur ; cest pourquoi il est hautement toxique et hautement dangereux. Lacide prussique est un des poisons les plus violents. Il suffit dun mg par kg de poids corporel pour tuer un homme. Les enfants et les femmes sont généralement plus sensibles que les hommes. Des quantités très faibles dacide prussique ne sont pas nocives pour lhomme, même respirées de façon continue. Les oiseaux et les poissons sont particulièrement sensibles à lacide prussique.
Toxicité pour les insectes :
Leffet de lacide prussique sur les insectes ne dépend pas de la température autant quen dépend leffet dautres gaz ; cest-à-dire quil agit aussi aux basses températures (il agit encore à 5°C). Chez beaucoup dinsectes, particulièrement chez les punaises et les poux, les ufs sont plus sensibles que les imagos [1].
Toxicité pour les plantes :
Le degré de toxicité dépend de létat de végétation des plantes. Les plantes sclérophylles sont moins sensibles que les plantes à feuilles molles. Les moisissures et le bolet destructeur ne sont pas détruits par lacide prussique.
Les bactéries ne sont pas détruites par lacide prussique.
II. Forme dutilisation de lacide prussique
Le Zyklon est le produit obtenu par labsorption dun mélange dacide prussique et dun gaz irritant dans une substance porteuse. On utilise comme substance porteuse soit des disques de fibres ligneuses, soit une masse granuleuse rouge brun (Diagriess), soit de petits cubes bleus (Erco).
Le gaz irritant a, outre son rôle de gaz davertissement, lavantage de stimuler la respiration des insectes. Dégagement de lacide prussique et du gaz irritant par simple évaporation. Le Zyklon se conserve trois mois. Utiliser dabord les boîtes abîmées. Toujours utiliser complètement le contenu dune boîte. Lacide prussique liquide attaque les vernis, laques, peintures, etc. Lacide prussique gazeux ne cause pas de dégâts. Ladjonction du gaz irritant ne modifie pas la toxicité de lacide prussique ; mais elle réduit considérablement le danger.
On peut rendre le Zyklon inoffensif en le brûlant.
III. Possibilités dintoxication
1. Intoxications légères :
Vertiges, étourdissements, maux de tête, vomissements, indispositions, etc. Tous ces symptômes se dissipent si lon sort immédiatement à lair frais. Lalcool diminue la résistance lors dune opération de gazage par lacide prussique. Il ne faut donc pas boire dalcool avant le gazage (Vergasung).
Administrer : 1 comprimé de Cardiazol ou de Veriazol pour prévenir des troubles cardiaques ; le cas échéant, encore un comprimé après 2 à 3 heures.
2. Intoxications graves :
La personne intoxiquée saffaisse brusquement et reste sans connaissance. Premiers secours : de lair frais, retirer le masque à gaz, desserrer les vêtements, respiration artificielle, Lobelin par voie intramusculaire 0,01 g.
Les injections de camphre sont interdites.
[fin de la page 1 de loriginal]
3. Intoxications par la peau :
Mêmes symptômes quau point 1. Même traitement aussi.
4. Intoxications stomacales :
A traiter avec : Lobelin, 0,01 g par voie intramusculaire, sulfate de fer, magnésie calcinée.
IV. Protection contre le gaz
Pour les gazages au Zyklon, utiliser seulement le filtre spécial, par ex. la cartouche filtrante « J » (bleu brun) de la firme Auergesellschaft de Berlin, ou de la firme Drägerwerke de Lübeck.
Si le gaz traverse le masque, quitter immédiatement le bâtiment et changer le filtre après avoir vérifié aussi létanchéité du masque et de son ajustement. La cartouche filtrante est épuisée quand du gaz traverse le masque. Avec la cartouche « J », se déplacer deux minutes environ à lair libre afin dobtenir un certain degré dhumidité dans la cartouche filtrante par lair expiré.
On ne doit en aucun cas changer le filtre dans le local rempli de gaz.
V. Le personnel
Pour chaque désinfection, employer une équipe de désinfection de deux hommes au moins. Cest le chef de gazage qui est responsable du gazage. Cest à lui quincombent notamment linspection, laération, lautorisation daccès après gazage et les mesures de sécurité. Le chef de gazage doit désigner immédiatement son remplaçant pour le cas où il devrait sen aller. Il faut suivre immédiatement les instructions du chef de gazage.
Il est interdit, pour les travaux de gazage, dutiliser des personnes ou bien nayant pas suivi lentraînement spécial ou bien ayant suivi lentraînement mais ne possédant pas encore de certificat. Il est également interdit de faire entrer ces personnes dans des locaux emplis de gaz. Le chef de gazage doit toujours savoir où il peut atteindre ses hommes. Tous les hommes de léquipe doivent pouvoir présenter à tout moment lautorisation officielle quils ont obtenue pour utiliser lacide prussique en vue de la destruction des parasites.
Les présentes directives devront dans tous les cas être strictement suivies.
VI. Équipement
Chacun doit toujours avoir sur lui :
1. son propre masque à gaz ;
2. au moins deux cartouches spéciales contre lacide prussique-Zyklon ;
3. la notice : « Premiers secours aux personnes intoxiquées par lacide prussique » ;
4. les instructions de travail ;
5. le certificat dagrément.
Chaque équipe de désinfection doit toujours avoir avec elle :
1. au moins trois filtres spéciaux comme réserve supplémentaire ;
2. un appareil de détection du gaz restant ;
3. un nécessaire pour injections de Lobelin ;
4. des ampoules de Lobelin de 0,01 g ;
5. des comprimés (de Cardiazol), de Veriazol ;
6. un ouvre-boîtes à levier ou un marteau à points pour ouvrir les boîtes de Zyklon ;
7. des panneaux de signalisation du modèle prescrit ;
8. du matériel détanchéisation ;
9. des feuilles de papier comme napperons détalement ;
10. une lampe de poche électrique.
Toujours tenir les appareils bien propres et en ordre. Réparer immédiatement les appareils abîmés.
VII. Programme dun gazage
1. Le gazage est-il seulement réalisable ?
a) Type de bâtiment et situation.
b) Nature, état du toit.
c) Nature, état des fenêtres.
d) Présence de carneaux de chauffage, de cheminées daération, de brèches dans les murs, etc.
2. Déterminer la nature des parasites à détruire.
3. Calculer le cubage des locaux (ne pas se fier à des plans, mais mesurer soi-même. Prendre seulement les dimensions extérieures, maçonnerie incluse).
4. Préparer les gens. (A retirer [le jour venu] : animaux domestiques, plantes, nourriture, plaques photographiques non développées, tabacs et boissons, filtres de masques à gaz).
5. Déterminer les obturations particulièrement difficiles. (Cheminées daération, conduits, planchéiages pour gros orifices, toits).
6. Déterminer les mesures de sécurité adéquates. (Garde, équipe douvriers pour calfeutrer.)
7. Fixer le jour du gazage et le délai dévacuation.
8. Le cas échéant, faire prendre à temps des mesures de sécurité pour le voisinage.
9. Notifier aux autorités.
VIII. Préparatifs dun gazage
1. Obturation étanche.
2. Ouvrir totalité des portes, armoires, tiroirs, etc.
3. Défaire les lits.
4. Retirer les liquides à lair libre (restes de café, eau de lavage, etc.).
[fin de la page 2 de loriginal]
5. Retirer la nourriture.
6. Retirer plantes et animaux domestiques (aquariums, etc.).
7. Retirer plaques et films photographiques non développés.
8. Retirer pansements adhésifs, médicaments non emballés ou en sachets (spécialement charbon).
9. Retirer filtres de masques à gaz.
10. Préparer le contrôle du résultat.
11. Faire évacuer les gens.
12. Se faire remettre les clés (toutes les clés des portes).
IX. La concentration du gaz et sa durée daction dépendent :
de la nature des parasites,
de la température,
du degré de remplissage des locaux et
de létanchéité du bâtiment.
A des températures intérieures de plus de + 5°C, on prend généralement 8 g/m3 dacide prussique.
Durée daction : 16 heures à moins que des conditions particulières, une construction fermée, par ex., ne requièrent moins de temps. Quand il fait chaud, on peut descendre jusquà six heures. A des températures inférieures à + 5°C, allonger la durée daction jusquà trente-deux heures au moins.
La concentration et la durée susmentionnées sont à observer pour : punaises, poux, puces, etc. avec ufs, larves et pupes [2].
Pour les teignes : plus de + 10°C, 16 g/m3 et durée daction de 24 heures.
Mites de la farine : comme pour les punaises.
X. Gazage dun bâtiment
1. Vérifier si tout le monde a quitté le bâtiment.
2. Déballer les caisses de Zyklon. Pour chaque étage, préparer la quantité requise.
3. Répartir les boîtes. Un homme se rend dans le bâtiment : il y reçoit les boîtes apportées par léquipe douvriers et il les répartit. (Il les fait déposer à côté des napperons détalement.)
4. Renvoyer léquipe douvriers.
5. Placer les hommes de garde ; le chef de gazage leur donne ses consignes.
6. Vérifier quétanchéisation et évacuation sont complètes.
7. Mettre lensemble de protection contre le gaz.
8. Ouvrir les boîtes et déverser leur contenu. Répandre en couche mince pour que le Zyklon sévapore rapidement et pour obtenir au plus vite la concentration en gaz nécessaire. Le traitement commence par le dernier étage ; commencer par la cave avant le rez-de-chaussée, si la cave na pas dissues. Ne plus pénétrer, si possible, dans les locaux déjà traités. Le traitement sopère lentement et calmement. Aller avec une lenteur particulière dans lescalier. Ninterrompre le traitement quen cas de besoin.
9. Fermer à clé la porte de sortie, la rendre étanche (ne pas oublier le trou de serrure) et remettre la clé au chef de gazage.
10. On collera sur la porte un avis rédigé comme suit : « Attention ! Gaz toxiques. Danger de mort. Entrée interdite. » Lavis doit si nécessaire être rédigé en plusieurs langues. Il doit comprendre en tout cas au moins une tête de mort bien visible.
11. Ensemble de protection contre le gaz, appareils de réanimation et indicateurs de gaz résiduel doivent être à portée. Chacun des hommes de léquipe de gazage doit savoir où se trouvent ces objets.
12. Un homme au moins du personnel de gazage reste toujours à proximité immédiate du bâtiment soumis au gazage. Son emplacement doit être notifié à la garde.
XI. Aération
Laération présente le plus grand danger pour les participants comme pour les non-participants. Il faut donc y procéder avec une prudence particulière et toujours en portant le masque à gaz. En principe il faut aérer de façon à pouvoir gagner lair libre dans le plus bref délai et de façon que le gaz sévacue dun côté où tout risque est exclu pour les non-participants. Si laération est difficile, un homme ayant suivi lentraînement spécial reste devant le bâtiment pour observer lévacuation du gaz.
1. Veiller à ce quaucune personne étrangère au gazage ne se trouve aux environs du bâtiment.
2. Disposer les sentinelles de sorte que, sans être incommodées par le gaz qui sévacue, elles puissent néanmoins observer les accès au bâtiment.
3. Mettre le masque à gaz.
4. Entrer dans le bâtiment. Fermer les portes mais non à clé.
5. Ouvrir dabord les fenêtres du côté du bâtiment opposé à la direction du vent. Aérer étage après étage. Commencer par le rez-de-chaussée et faire une pause de dix minutes au moins après chaque étage.
6. Dans chaque pièce du bâtiment, il faut ouvrir les portes donnant accès au couloir, les portes de communication entre les chambres et ouvrir aussi les fenêtres. Si lon a des difficultés pour certaines fenêtres, on peut ne les ouvrir quaprès que la plus grande partie du gaz sest évacuée.
[fin de la page 3 de loriginal]
7. Les planchéiages et autres dispositifs détanchéité qui ne pourraient pas être facilement rangés peuvent nêtre retirés quaprès que la plus grande partie du gaz sest évacuée.
8. En cas de gel et de risque de gel, veiller à ce que le chauffage et les conduites deau ne gèlent pas.
9. Les chambres contenant des choses de valeur telles que garde-robes, etc., peuvent être refermées à clé dès que les fenêtres sont ouvertes.
10. Bloquer fenêtres et portes pour quelles ne se referment pas delles-mêmes.
11. Les obturateurs étanches des cheminées seront enlevés après la levée provisoire de linterdiction daccès.
12. Laération doit durer au moins vingt heures.
13. La garde doit rester près du bâtiment pendant toute la durée de laération.
XII. Levée provisoire de linterdiction daccès
Un local qui a été gazé peut redevenir provisoirement accessible dès que la bande de papier indicateur de gaz résiduel prend les fenêtres et portes étant ouvertes une coloration dun bleu plus pâle que le milieu de léchelle colorimétrique de référence. Dans les locaux provisoirement accessibles, on ne peut procéder quà des travaux daération et daménagement. En aucun cas on ne peut sy reposer ou dormir. Fenêtres et portes doivent rester constamment ouvertes.
XIII. Travaux de rangement après la levée provisoire de linterdiction daccès
1. Enlever les restants de Zyklon des locaux qui ont été gazés. Il faut en général comme pour les boîtes et caisses les renvoyer à lusine. Avant de les renvoyer des locaux qui ont été gazés, retirer des caisses linscription « Poison ». Les restants humides, mouillés ou salis, ainsi que les boîtes abîmées, ne peuvent en aucun cas être renvoyés. On peut les jeter aux ordures ou sur le crassier, mais il ne faut jamais les vider dans des eaux courantes.
2. Matelas, paillasses, coussins, meubles rembourrés ou autres objets semblables : les secouer ou les battre pendant une heure au moins dans le vestibule, sous la surveillance du chef de gazage ou de son représentant.
3. Si cest possible, renouveler le rembourrage des paillasses. Mais le vieux rembourrage naura pas à être brûlé ; on pourra le réutiliser après lavoir encore aéré.
4. Si les cheminées ont été obturées en haut, il faut retirer soigneusement ce qui les obture, sinon le danger existe quil ny ait pas assez de tirage pour le feu dans les poêles et les cuisinières, ce qui provoquerait des intoxications par loxyde de carbone.
5. Après la levée définitive dinterdiction daccès, rédiger un rapport de gazage en double exemplaire selon le modèle prescrit. Doivent notamment y figurer :
a) le cubage qui a été gazé,
b) la quantité de Zyklon utilisée,
c) le nom du chef de gazage,
d) les noms des autres membres du personnel,
e) la durée daction du gaz,
f) le jour et lheure dautorisation daccès aux locaux désinfectés.
XIV. Levée définitive dinterdiction daccès
1. En aucun cas moins de vingt et une heures après le début de laération.
2. Rapporter dans la pièce tous les objets quon avait sortis pour les battre.
3. Fenêtres et portes seront fermées pendant une heure.
4. Dans les locaux chauffables, la température doit être portée au moins à 15°C.
5. Détection du gaz résiduel. Même sil est placé entre des couvertures superposées, entre des matelas superposés et dans des locaux difficiles daccès et difficiles à aérer, le papier indicateur ne doit pas être dun bleu plus prononcé que le degré le plus clair de léchelle colorimétrique de référence. Si ce nest pas le cas, il faudra continuer laération et recommencer le contrôle du gaz résiduel après quelques heures.
6. Dans des bâtiments à réutiliser le plus rapidement possible pour y dormir, procéder au contrôle du gaz résiduel dans chaque pièce séparément. En aucun cas, on ne pourra dormir, pendant la nuit qui suit le gazage, dans une pièce qui a été gazée. Les fenêtres doivent toujours rester ouvertes pendant la première nuit où lon réutilisera la pièce.
7. Le chef de gazage ou son représentant ne peut pas quitter le bâtiment avant que la levée définitive dinterdiction daccès nait été accordée jusquà la dernière pièce.
Publié par lInstitut dHygiène du Protectorat de Bohême-Moravie à Prague. [fin de la page 4 et dernière de loriginal]
Notes :
[1] Un imago est un insecte adulte nayant plus à subir aucune mue.
[2] Une pupe est lenveloppe lymphale des insectes, et, plus particulièrement, des diptères.
exactitude
festschrift for Robert Faurisson
countess, lindtner, rudolf, eds.
Germar Rudolf - Exactitude festschrift for Robert Faurisson.pdf (1.74 MB)
http://www.pdfarchive.info/Ge/
On January 25, 1929, 75 years before this book was published, a man was born, who probably deserves the title of the most courageous intellectual of the last third of the 20th century and the beginning of the 21st century: Robert Faurisson.
With hitherto unheard of bravery and steadfastness, he challenged the dark forces of historical and political fraud, deception, and deceit with his unrelenting exposure of their lies and hoaxes. His method of analytical exactitude in historiography and his striving for clear brevity in presenting the results of his research have become both famous and infamous at once.
Over the last 30 years, Robert Faurisson has become a role model of character strength to many, a lodestar for his method to his disciples, an idol for his breathtaking research activities to his admirers.
This Festschrift is dedicated to him by some of his closest friends in his struggle for exactitude in historiography and his ongoing fi ght not only for historical and political, but also for individual justice.
Happy Birthday, Robert !
Biography of Robert Faurisson
Robert Faurisson was born in Shepperton, England, in January 25, 1929, of a French father and a Scottish mother. The eldest of seven children, his first schooling was in Singapore and in Kobe, Japan; from the age of seven, he attended various French catholic institutions, including a Jesuit college in Marseille and, in Paris, the Collège Stanislas. He pursued his studies in classics in Paris at the Lycée Henri-IV and the Sorbonne.
He holds the agrégation des lettres (French, Latin, Greek) and a doctorate in literature and the social sciences. He taught modern and contemporary French literature at the Sorbonne.
At the Université Lumière of Lyon, he developed a structure for the teaching of Criticism of texts and documents (literature, history, media).
In the 1960s and 70s, he made a name for himself with his method of decrypting literary works with a reputation for difficulty; in that period he published A-t-on lu Rimbaud?, A-t-on lu Lautréamont? and La Clé des Chimères et Autres Chimères de Nerval. From the late 70s onwards, he applied the same direct and pragmatic method to the study of difficult historic or literary subjects: the problem of the Nazi gas chambers, the confessions of the SS, the Diary of Anne Frank, etc. In 1978-1979, he was forced to give up his teaching activities.
Between 1978 and 1993, he suffered numerous physical assaults. He has been beleaguered with criminal proceedings. He has published four revisionist booklets and produced two chief revisionist works in French, one of which, the four volume Ecrits révisionnistes (1974-1998), was, owing to the laws against historical revisionism, edited privately and printed at his own expense.
Some of his revisionist writings were published from 1980 to 2002 in the American Journal of Historical Review; the first two were entitled The Mechanics of Gassings (Spring 1980) and The Gas Chambers of Auschwitz Appear to be Physically Inconceivable (Winter 1981); the last was My Revisionist Method (March/April 2002). R. Faurisson has lived with his French wife in the town of Vichy since 1957. They have three children and five grand-children. He is an atheist and apolitical.
Voir aussi : Germar Rudolf
Last edited by LouSomPauII (22-08-2011 19:49:45)
Offline
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