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Grandjean Georges
La destruction de Jérusalem, premier progrome
Une reprise d'un livre rare de Lenculus
http://www.freepdf.info/index.php?post/ … er-pogrome
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http://www.histoireebook.com/index.php? … er-pogrome
A lire aussi :
Izoulet Jean - Paris, capitale des religions ou la mission d'Israël
Eliphas Lévi (ex-abbé Constant), Numérologie et Kabbale : cours de philosophie occulte
"Un jour viendra où un pape inspiré du Saint-Esprit déclarera que toutes les excommunications sont levées,
que tous les anathèmes sont rétractés, que tous les chrétiens sont unis à lÉglise,
que les Juifs et les Musulmans sont bénis et appelés par elle ;
que tout en conservant lunité et linviolabilité de son dogme, elle permet à tous les cultes de sen
rapprocher par degré en embrassant tous les hommes dans la communion de son amour et de ses prières...
Il faut, en répandant lesprit de charité universelle, préparer lavènement de ce grand jubilé..."
Eliphas Lévi (ex-abbé Constant), Cours de philosophie occulte, le 21 Janvier 1862.
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Le Temple était pourri jusquaux tréfonds du Saint-des-Saints.
Par son faste, par son luxe il rappelait les Temples de Babylone. En fin de compte il était devenu le centre dune monstrueuse escroquerie dont lunivers romain était le théâtre et dont Jehovah était président dhonneur au Grand Conseil dadministration !
Les Grands Prêtres se succédaient à la cadence des Ministres de la IIIe République. En conséquence, ils étaient méprisés. « En trois ans, Issachar de Kéfar, Barkaï, Siméon Kanthera, Jonathan, Mathias, Ehonée, avaient occupé le siège pontifical. Tous, au reste, se valaient et ne valaient rien qui vaille. Un ban de gangsters de la religion. Le Tabernacle devenu le coffre-fort ; lautel la grosse caisse. Le parvis des Gentils lesplanade, où sassemble la clientèle ; la Cour des Juifs, le péristyle. Il pendait des cymbales aux sept branches du Chandelier. La Table eut été le folklore des valeurs en bourse.
Laristocratie sacerdotale ne sétait pas améliorée depuis Caïphe, malgré les sévérités dHérode Agrippa. Mêmes débordements, mêmes débauches de belles Juives, même morgue, même rapacité, même étalage de lucre. Le pontificat sachetait à prix dor ; il devenait, entre les mains de pareils aventuriers, un pressoir à superstitions, une pompe à offrandes : tout Israël crachait de force... au tabernacle.
Les pontifes traînaient des robes dun prix fabuleux quils exhibaient parmi les mendiants de « La Belle ». Dautres portaient ces fines étoffes, chères aux éphèbes et aux femmes, sous lesquelles les corps apparaissent nus. La tunique dIsmaël Sen Fabi avait coûté 100 mines grecs, celle dElizzer ben Harom 20.000, cest-à-dire 1.400.000 francs-or !
Dans cet antre, lon goinfrait comme les Dieux de lOlympe, pendant que le peuple des foulons, des vanniers, des marchands dhuile, et des tanneurs, grignotait les olives du Scopus et les barbeaux maigres du Cédron. De dégoût, la racaille, qui crevait de faim, vomissait. Johanan, fils de Nédevaï, réclamait pour son entretien 300 veaux, autant de tonneaux de vin et 40 paniers de pigeons. Phinebas assassinait pour une poignée dor.
Les dîmes tardaient-elles à rentrer ! Les valets, les soldats du temple se précipitaient chez les fellahs, pillaient, fouettaient, torturaient les réfractaires. Ainsi le peuple et les prêtres inférieurs, réduits au dénuement par les exactions de laristocratie, sunissaient-ils dans une haine salvatrice et commune.
La satire suivante conservée par le Talmud montre que la révolte menaçait.
Quelle peste que la famille Boethes !
Malheur à leurs bâtons
Quelle peste que la famille de Hannam !
Malheur à leurs sifflements de vipères
Quelle peste que la famille Kataros !
Malheur à leurs plumes
Quelle peste que la famille dIsmaël fils de Phabi !
Malheur à leurs poings.
Ils sont grands prêtres, leurs fils sont trésoriers, leurs gendres commandants et leurs valets frappent le peuple de lanières de cuir !
Comme d'hab !
La cellule cancéreuse de l'humanité
L'encens utilisé pour masquer l'odeur acre
de la fumée des animaux (humains) sacrifiés et brûlés sur l'autel
http://www.youtube.com/watch?v=JfpntiyhJfM
Le discours n'a pas changé en 5770 ans, toujours à l'identique. Ils ne changeront jamais, comprenez le, animaux à visage humain, que nous sommes, nous le resterons pour servir l' "Elu" et lui donné plaisir, joie, santé, bonheur.
Last edited by MarcusSeagal (24-08-2011 15:50:34)