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LIslam et les garçons
Les savants de l'Islam et les miracles du Coran
Auguste Mouliéras - Le Maroc inconnu Tome 2.pdf
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Coïter un garçon nest pas permis par la charia, bien que Mahomet lui-même semble nen avoir rien dit explicitement dans le Coran. La seule mention est celle de la mission de Loth (sourates 7 verset 80, 21 verset 74, 27 verset 55, 29 verset 28), qui doit corriger ceux qui sadonnent à lhomosexualité entre adultes. Mais le péché est de faire de son semblable une femme un objet passif de la relation sexuelle. Pas question de toucher aux enfants (musulmans), mais si la situation nest pas celle dégaux, ça se discute : ainsi les esclaves ne sont pas concernés puisquobjets conquis, les efféminés et travestis non plus car créés ainsi par Dieu, ni les éphèbes qui sont pubères mais pas finis, et tourmentés de désirs quand on ne peut les marier dès 14 ans. Ils sont surtout dune beauté reconnue au paradis à légal des houris (sourate 52 verset 24 et 56 verset 17).
Si la beauté des adolescents vient de Dieu, nest-il pas licite de les adorer ? Mais lacte dadoration signifie-t-il baiser ? Grandes discussions dans lhistoire entre les oulémas, juristes et soufis. LIslam a choisi de faire comme tout le monde méditerranéen après lempire romain, dériger la Morale contre le sexe (moyen de contrôle clérical), les femmes tentatrices en premier et les adolescents en second. La finalité est la procréation, le moindre mal la chasteté (linverse des prescriptions chrétiennes). Tout le reste détourne de ladoration de Dieu seul. Cela dit, la loi est une chose, les murs une autre. Le monde musulman est très vaste et les façons de faire diverses.
Fréquenter un éphèbe est un péché véniel qui peut être pardonné en regard des feux de lenfer si lon touche une femme qui nest pas la sienne ! Les murs bédouines et paysannes se conjuguent avec la religion pour interdire absolument la défloration hors mariage. On ne saurait plus de qui sont les enfants ! La femme est un bien, que lon vendra à une autre famille par mariage pour se lallier. Ce pourquoi le mariage entre cousins est si courant : la dot ne sort pas de la famille élargie. Comme partout où le sexe opposé est « interdit », sauf à être membre dune vaste tribu et assez riche pour être marié dès 14 ou 15 ans, les célibataires forcés trouvent dautres voies pour le désir sexuel irrépressible. Ils se font parfois sodomites.
Selon Auguste Mouliéras à la fin du XIXème siècle au Maroc, « les Arabes et les Berbères du sud et du centre ne connaissent que la femme, tandis que des Djebala, le Sous et le Rif préfèrent les gitons. Cest à ce goût particulier quils reçoivent leur surnom de Kaoum Lout (peuple de Loth) » p.15.
Il explique : « Près de la mosquée du village se trouve le beït eç-çohfa, arsenal communautaire. Les soldats du corps de garde, illettrés la plupart, nayant ni la distraction de la lecture, ni le passe-temps des cartes, eurent lidée de se divertir en faisant du temple de Mars une maison de prostitution, abominable lieu de débauche, où le giton et la âïla se livrent à la bestialité des brutes, dont ils sont la propriété, la chose, les esclaves. ( ) Maintenant, comment concilier deux sentiments, en si apparence contraires le zèle religieux et la lubricité ? Où trouver un homme plus dévot que le Djebalien, et, en même temps, plus impudique ? Si vous avez étudié lHistoire en philosophe, sans esprit de secte, uniquement préoccupé de chercher la vérité, vous avez pu constater que le fanatisme a été la cause de toutes les horreurs, de tous les fléaux, de toutes les infamies qui ont désolé, pendant tant de siècles et chez toutes les nations, notre malheureux globule. » p.17
Il décrit : « La fête commence. On se donne dabord le baiser de paix, en embrassant lépaule de tous ceux que lon rencontre. La mosquée se remplit de monde et de victuailles. Cest un envahissement de grands plats de bois, débordants de kouskous, des viandes, du miel, des assiettes creuses, pleines de pâtes, potages, beurre, raisins secs, figues. Des groupes se forment dans la salle même de la prière on saccroupit en rond. Au centre, prennent place les anciens du village avec linstituteur. Toutes les mains se mettent à pétrir des boulettes de kouskous, très adroitement lancées dans la bouche, à distance, sans jamais manquer le but. Il y a des gloutons qui se mettent à quatre pattes, humant longuement le miel des gaçaâ. Le bruit des mâchoires se ralentissant, les estomacs donnent des signes non équivoques de satiété. Alors un vieillard récite à haute voix la fatiha, premier chapitre du Coran, répétée à voix basse par toute lassistance. On laisse dans un coin les reliefs du festin. à la disposition des pauvres et des étrangers. Tout le monde se porte hors du village, dans une sorte de cirque, où, jusquà la tombée de la nuit, se livrent les mêmes simulacres de combat.
Après lénorme repas du soir, fait comme toujours à la mosquée, les célibataires et les jeunes gens, ne pouvant plus souffler, tellement ils sont repus, vont naturellement terminer la soirée au beït eç-çohfa. Ce jour-là, le derviche avait rôdé dans tout le bourg dEç-Çafiy yin observant avec attention des murs si nouvelles pour lui. La nuit, ne sachant que faire, il sétait faufilé dans un coin obscur du maudit immeuble, regardant de tous ses yeux lincroyable spectacle offert par une population éhontée. Deux filles et deux gitons exécutaient, au milieu de la pièce, les danses les plus lascives aux sons dun assourdissant orchestre composé de tambourins, flûtes en roseau, guellal et raïta (sorte de hautbois). Lépaisse fumée des pipes de kif et des lampes à huile, les cris, les rires ; les allées et venues des uns et des autres, les coups sourds du guellal, les notes stridentes des raïta, les évolutions des danseurs, lair abruti et terrible de tous ces hommes ivres, latroce puanteur de ce charnier humain très mal aéré, tout ce quil voyait, tout ce quil entendait ahurissait lexplorateur, le jetait au comble de létonnement. Il distinguait confusément, le long des murs, les armes de ces gredins, détranges panoplies montrant leurs interminables fusils arabes, des poignards, des poires à poudre, des sabres. Étendus sur le dos, à plat ventre, accroupis sur de mauvaises nattes dalfa, ceux que la fumée du chanvre navait pas encore terrassés, empilaient autour deux des monceaux de figues et de raisins secs, conservant à portée de la main dénormes plats de viande, des poules rôties ou bouillies, du kouskous, des théières, des tasses fumantes de thé, du çamet [gelée de raisin] enivrant. A chaque instant, les prêtresses de Vénus et les éphèbes quittaient la danse, se mêlaient aux groupes, répondant aux obscénités par des attitudes provocantes. Les gitons surtout navaient aucune pudeur.
Ainsi, dans cette délicieuse contrée des Djebala, surnommée Ech-Cham Ee-Cerir (la petite Syrie), tant la nature la gratifiée de ses dons, toutes les nuits, tous les soirs que Dieu fait, depuis Tétouan jusquà lOuad Çbou, des milliers de satyres ardents souillent, dans leurs priapées nocturnes, des êtres humains des deux sexes, en présence souvent de leurs compagnons de débauche » p.20.
« En parcourant ce pays, si différent de sa patrie, le derviche, qui nest pas un ange, devait succomber un jour ou lautre aux tentations de la chair. Jusquà présent, il avait constamment refusé toutes les bonnes fortunes qui se présentaient à lui, évitant de se mêler des affaires qui ne le regardaient pas, fuyant les prostitués des deux sexes. Son séjour chez les Beni-Zéroual, où il célébra trois fois la Fête des Moutons, en 1872, 1873 et 1875, lui fut fatal. En 1874, revenu à El-Djaya après de longues courses poussées jusquà la Méditerranée, on lavait vu reparaître dans le hameau des Beni-bou-Zoulaih. Pour son malheur, un jeune écolier, comme il y en a tant dans les abominables universités djebaliennes, sattacha à lexplorateur, sinstruisant près de lui, prodiguant à son mentor une fidélité de chien couchant. Le vagabond était servi comme un prince. Léphèbe lui évitait toutes les corvées, faisant chauffer, apportant leau de ses ablutions, allant mendier pour lui la nourriture quotidienne, lui procurant toutes les douceurs quun instituteur marocain est en droit dattendre de son élève. Un mercredi matin, le derviche, dans le but de faire une surprise agréable à son page, lui annonça son intention de le mener au Souk el-Arbâ, tout près de Zrarda. Lenfant, ravi, sécria Partons tout de suite. Ils se mirent en route. Il est de mode, chez les Djebaliens, de ne jamais conduire un giton ou une gitonne au marché sans lui acheter des mehasin, cest-à-dire des raisins secs, des noix, des amandes, oranges, sucreries, etc. Aller au souk est une fête pour ces misérables créatures. Aussi Mohammed gava lécolier de friandises avec les 2 ou 3 sous quil avait gagnés en vendant des talismans. Leurs emplettes faites, les deux amis sortirent du marché.
En gravissant la côte, au-dessous de Zrarda, ils saperçurent quils étaient suivis. Cétait un groupe dindividus, vêtus de djellabas noires, le fusil sur lépaule, le sabre au côté. Les malandrins, pressant le pas, eurent bientôt fait de les rejoindre. Halte-là aïl, dirent-ils au giton à moitié mort de peur. Immédiatement, un fort gaillard, saisissant lenfant par la main, lentraîna sous bois. Pendant ce temps, deux hommes immobilisaient lexplorateur, lui faisant subir un long interrogatoire. Doù es-tu ? De Cenhadja. Et le giton ? Des Beni-bou Zoulath. Comment ! Tu es Cehnadjen et tu te permets denlever un aïl de notre tribu ? Mohammed expliqua que cétait son élève ; il faisait son instruction, lui enseignait le Coran ( )
Un peu plus tard, réfugié dans une mosquée, il entend une agitation à lextérieur : cest le garçon qui sest échappé. Mohammed sortit, aperçut lenfant debout contre le mur de la mosquée, entouré dune meute de clercs qui lui faisaient des avances. A la vue de son maître, laïl se précipita vers lui, le tira à lécart, lui raconta que ses agresseurs, après lui avoir fait subir dans le bois les derniers outrages, lavaient entraîné dans ce hameau, au beit eç-çohfa, où il avait été obligé de danser avec les autres gitons et gitonnes. Profitant dun moment dinattention de ses geôliers, il avait fui, espérant trouver à la mosquée aide et protection auprès de linstituteur. Et maintenant, ses terreurs redoublaient en présence des étudiants, de cette bande de satyres, dont lunique désir était de lui faire subir lhorrible supplice de la touiza. Il y a, chez ces brutes humaines, une coutume dune immoralité, dune atrocité révoltante. Quand un giton ou une gitonne tombe, à la suite dun vol ou dune guerre, entre les mains des clercs de la mosquée ou des célibataires du club de la Gamelle (béït eç-çohfa), on le fait danser dabord. Ensuite, tous les assistants, à tour de rôle, souillent la malheureuse victime. Cette abomination, la plus monstrueuse de toutes celles qui se passent sur notre petit tas de boue, a reçu le nom de touiza, par analogie avec la corvée de labour chez les Arabes. On punit aussi de la touiza tout mignon, toute courtisane, qui tente de sévader, qui vole ses maîtres, leur désobéit, etc. » p.40.
« Et si quelquun savise de sélever contre labominable coutume, on lui répond, en haussant les épaules : Cest écrit sur le soulier : tout sodomisé devient sodomite. Il est impossible davouer plus cyniquement la lèpre générale qui ronge la société ( et) a contaminé les femmes messariennes elles-mêmes. Moitié par lubricité, moitié par vengeance, elles se ruent sur les gitons, les entraînent à lécart, et alors ce sont des scènes que je me refuse à décrire. Dans les petits centres dépourvus de bèït-eç-çohfa, les célibataires, les travailleurs des champs, les veufs, nont que la ressource du gros bétail » p.472.
« Quelle énumération fastidieuse de villages-lupanars ! Cest dabord Zahdjouka, avec ses cent joueurs de hautbois et son corps de ballet ; ensuite le hameau de Lekkous ; puis le bourg de Méliana, où les tambourinaires et les violonistes efféminés sont en majorité ensuite encore Ktama, vaste coïtorium, métropole des gitons danseurs et des ballerines demi-nues, bétail humain dont léconomiste est cependant obligé de soccuper parce quil fait lobjet de transactions commerciales incessantes. On le vend, on lachète ce bétail, on lexpose sur les marchés, en vantant la marchandise, la perversité connue de certains sujets, leurs grâces, lincomparable maestria de leurs déhanchements. Ceux-ci, aux talents cachés et délirants, valent jusquà trois cents francs, et on les conduit à grand orchestre au temple de Vénus, ou à la maison paternelle, au milieu des femmes légitimes et des enfants » p.511.
« On se chuchote à loreille, entre initiés, cette incroyable aventure. Un jour, un homme surprend son grand gaillard de fils avec son giton. Il sort, sans rien dire aux coupables, ne desserre plus les dents de la journée, perdu dans une méditation profonde. Le soir, en soupant, sadressant à sa digne progéniture : Mon enfant, dit-il, toi qui es taleb, ne sais-tu pas que Dieu a dit « Ne coïtez pas ce que vos pères ont coïté ? » Pardon sidi, répond létudiant très ferré sur le Coran. Dieu a dit « Ne coïtez point les femmes que vos pères ont coïtées ». Mais il na jamais dit les hommes [Coran, chapitre 4, verset 26] » p.513.
Eh bien !
http://argoul.com/2012/08/28/lislam-et-les-garcons
Last edited by Dejuificator II (06-08-2015 15:35:38)
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La pédérastie en Islam, une autre façon de voir la religion
http://www.the-savoisien.com/wawa-consp … hp?id=2333
Pour plus de vidéos sur les miracles du Coran :
https://www.youtube.com/results?search_query=Bacha+bazi
Ca se passe comme ça aux Emirats !
pd bougnoule.mp4 6.0 Mo
https://mega.co.nz/#!yldUQJBa!zfmYSXEud … wejybOt46k
Reportage sur les savants de l'Islam
http://www.youtube.com/watch?v=a-gioRtWjNQ
Film documentaire La danse des garçons afghans de Najibullah Quraishi
http://www.youtube.com/watch?v=9MpnpcCLvtM
http://www.youtube.com/watch?v=RuqZq657-gA
http://www.youtube.com/watch?v=z9-5NbVo5FY
Bacha Bazi (bača bāzī, persan : بچه بازی, littéralement « jouer avec les enfants » en dialecte iranien et « jouer avec les garçons » en dialecte afghan), également connu sous le nom baccha (du persan bačeh بچه « enfant, jeune homme ») ou bača beri (garçon imberbe), est une forme d'esclavagisme sexuel, la prostitution de garçons pré-pubères, d'adolescents vendus à des hommes riches ou puissants pour des divertissements sous forme de danse et des activités sexuelles. Cette entreprise prospère en Afghanistan, où de nombreux hommes les possèdent comme symbole de leur statut social. Certaines des personnes concernées déclarent avoir des relations sexuelles forcées. Les autorités tentent, mais beaucoup doutent que ça soit efficace, de réprimer la pratique car la plupart des hommes sont puissants, bien armés, voire d'anciens commandants.
Le film documentaire La danse des garçons afghans de Najibullah Quraishi à propos de la pratique a été projeté par le Royal Society of Arts le 29 mars 20105 et diffusé par la chaîne de télévision américaine PBS Frontline le 20 avril 2010. La pratique est illégale en vertu de la loi afghane, étant « à la fois contre la charia et le code civil 6, mais les lois sont rarement appliquées contre les délinquants puissants.
Last edited by Dejuificator II (06-08-2015 14:24:23)
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