(dit Léon Trotsky)[/center]
[center][large]Staline[/large][/center]
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[/center][justify]Une caricature réaliste du pourvoyeur en sacrifice humain mis en offrande à leur $aigneur. N'oublions pas non plus la mise en place de la mort des premiers nés ou à naitre par avortement comme moyen de réduire la race slave. Ainsi que le métissage qui fut mis en pratique. Comme d'hab ! Quoi...
Ou un assassin nous cause d'un vrai génocideur. Dire que des pauvres imbéciles croient à ce que disent ces fous. Ce qui nous parait encore plus remarquable et le fait que beaucoup de gens de la droite du bout de la chaîne qui nous asservit vient de cette idéologie mortifère issu toute du livre maudit qui leur sert de Livre de vie et pour nous de Livre de mort.
Qu'on se rassure après avoir tué des millions de gens et avec l'aide des béhavioristes réduit une population à l'esclavage, qui font passez l'ancien du gaz pour un enfant de coeur, ils se sont entretués entre eux.
Pourquoi mettons nous en ligne cet immondice ? William Guy Carr nous en cause dans son ouvrage Des pions sur l'échiquier. Nous nous devions de vous le soumettre pour parfaire votre compréhension de la pensée de ce visionnaire. Si la lecture de ce livre vous permet de mieux appréhender votre avenir, nous en serions les plus heureux.
Cela sera notre gratification.[/justify]
Extrait :
La pointe de la critique marxiste était, entre 1890 et 1900, dirigée avant tout contre le mouvement populiste en dégénérescence, qui, avait une crainte superstitieuse du développement capitaliste, espérant pour la Russie une évolution historique « particulière », privilégiée. La défense de la mission progressive du capitalisme devenait donc le thème principal du marxisme de l'intelliguentsia et elle repoussait souvent au second plan le problème de la lutte de classe du prolétariat. Noé Jordania prêchait avec zèle dans la presse légale l'unité des intérêts de la « nation » : il entendait par là la nécessité d'une alliance du prolétariat et de la bourgeoisie contre l'autocratie. L'idée de cette alliance deviendra par la suite la pierre angulaire de la politique des menchéviks et les mènera, en fin de compte, à leur perte. Les historiens soviétiques officiels continuent, aujourd'hui encore, à attaquer sur tous les tons la conception de Jordania, depuis longtemps réfutée par le déroulement de la lutte, sans s'apercevoir que trente ans plus tard Staline fit une politique qui était celle des mencheviks, non seulement en Chine, mais encore en Espagne et même en France, c'est-à-dire dans des pays où elle a infiniment moins de justification qu'elle n'en avait en Géorgie semi-féodale sous la domination du tsar.
