Big Bucks, Big Pharma

Moderator: Le Tocard

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Commodore

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Image[center][large]Big Bucks, Big Pharma :
Marketing Disease & Pushing Drugs
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[justify]Big Bucks, Big Pharma pulls back the curtain on the multi-billion dollar pharmaceutical industry to expose the insidious ways that illness is used, manipulated, and in some instances created, for capital gain. Focusing on the industry?s marketing practices, media scholars and health professionals help viewers understand the ways in which direct-to-consumer (DTC) pharmaceutical advertising glamorizes and normalizes the use of prescription medication, and works in tandem with promotion to doctors.
Combined, these industry practices shape how both patients and doctors understand and relate to disease and treatment. Ultimately, Big Bucks, Big Pharma challenges us to ask important questions about the consequences of relying on a for-profit industry for our health and well-being.[/justify]
[center][large]Big Bucks Big Pharma.flv (148.61 MB)
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Last edited by Commodore on Thu Jun 09, 2011 2:05 pm, edited 1 time in total.
Aryan Crusader
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Joined: Sat Jun 11, 2011 6:08 pm

Post by Aryan Crusader »

[center][large]Maladies à vendre[/large][/center]


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[center]Maladies a vendre.mp4 (170.85 MB)
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[justify]Réalisateur : Anne Georget
Producteurs : The Factory

Comment l'industrie pharmaceutique fabrique des malades à grand renfort de marketing avec la complicité des autorités et des médecins.

Jusque dans les années 1980, l'industrie pharmaceutique orientait ses efforts vers la guérison des maladies existantes, même si les pathologies affectant les populations pauvres, comme la malaria, étaient négligées parce que peu rentables. Désormais, la tendance s'est inversée. Pour garantir leurs retours sur investissement et recycler leurs médicaments, les firmes inventent des pathologies sur mesure, si possible chroniques. Une publicité déguisée en information médicale, doublée d'un intense lobbying, se charge de les "vendre" au grand public et aux praticiens. Ce film ? auquel l'industrie a refusé de participer ? démonte les mécanismes d'une médecine sous l'emprise du marché.

Comment augmenter la consommation de médicaments ? En abaissant par exemple la norme du taux de cholestérol afin de promouvoir des molécules, qui, prises sans nécessité, comportent des risques sanitaires. Ou en décelant dans la population féminine une nouvelle forme de dépression cyclique (le "syndrome dysphorique menstruel"), traitée avec une version du Prozac rebaptisée. D'astucieux stratèges ont aussi fait décoller le marché des antidépresseurs au Japon, où la dépression constituait un état rare, en popularisant le "rhume de l'âme". De la "dysfonction érectile" au "trouble bipolaire", une analyse décapante qui permet de mesurer, au gré des spots TV et des sites "d'information", le marketing du diagnostic et son pouvoir[/justify]
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