[large]Le meilleur des mondes[/large]d'après le roman d'Aldous Huxley
Première adaptation cinématographique du roman d'Aldous Huxley :
Le meilleur des mondes - 1998 Aldous Huxley.avi (714.0 MB)
https://mega.co.nz/#!7RFh1KbA!JjgT0w_jD ... E9E461_m1k
Le roman : http://www.freepdf.info/index.php?post/ ... des-mondes
http://www.histoireebook.com/index.php? ... des-mondes
[justify][small]La plus célèbre utopie de notre époque (avec le 1984 de Orwell) sous forme de récit ironiquement grinçant et dont les épisodes anticipatoires véhiculent des éléments prophétiques qui n?ont pas fini de nous surprendre depuis sa première édition en 1932.[/small][/justify]
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[justify]L? « Aspen Institute for Humanistic Studies » fut fondé en 1949 au Colorado par Robert Maynard Hutchins, Grand Commandeur de l?Ordre de Saint Jean de Jérusalem ? une branche de la Side Mansory, la haute maçonnerie britannique ? président de l?Université Rockefeller de Chicago entre 1929 et 1950 (créateur avec Jean-Antoine Borgese dans l?immédiat après-guerre du mouvement pour le Gouvernement mondial), directeur des programmes de la Fondation Ford au début des années cinquante, en rapport avec Aldous Huxley pour l?étude des drogues, et impliqué dans les années soixante, alors qu?il était déjà retraité, dans un trafic de drogue. A côté d?Hutchins, il y avait de nombreux fabiens du C.F.R. américain et du R.I.I.A. britannique qui, sous le prétexte d? « études humanistes », allaient coopter des personnalités du monde économique et industriel pour les orienter vers des analyses et des prospectives « globales », à savoir mondialistes au sens technocratique, pour ensuite les faire insérer dans les programmes de gouvernement de leur pays respectifs.
L?Aspen Institute a des antennes à Berlin depuis 1970, à Rome depuis 1985. Il possède depuis 1986 un château à Canisy en Normandie, où se tiennent souvent ses assemblées. Il a aussi, sous un autre nom, un siège à Tokyo. Le chef et responsable financier actuel de l?Aspen Institute est Robert O. Anderson, ancien secrétaire au Trésor américain, un des directeurs du C.F.R. depuis 1974, membre du Bilderberg et de la Trilatérale, journaliste à l? « Observer » - propriété des Astor, dirigeant de la multinationale du pétrole Atlantic Richfield Corporation (A.R.C.O.). Anderson est également l?un des fondateurs du mouvement écologiste « vert » dans le monde. Il faut rappeler que, selon le journal « Nuova Solidarietà » du 1 octobre 1988, l?Atlantic Ritchfield Corporation (A.R.C.O.) et la Volkswagen seraient les multinationales principales responsables du déboisement sauvage de la région de l?Amazonie.
L?objectif de l?Aspen Institute, selon celui qui était alors président de la section italienne, Gianni de Michelis ? présent aussi aux Symposiums du World Economic Forum à Davos ? objectif exprimé au cours d?un congrès qui s?est tenu à Venise le 5 septembre 1986 est :« de mettre autour d?une même table les principaux protagonistes du monde politique, économique, financier pour formuler des suggestions et des propositions qui, comme c?est arrivé dans le passé, seront examinées par les organes responsables ; la prochaine réunion du Fonds Monétaire International, ainsi que celle du « G7 » (groupe des sept pays les plus industrialisés du monde) représentent pour cet objectif des rendez-vous importants ».
Intentions très proches de celles du Bilderberg, mais probablement dans un rapport de subordination à ce dernier et avec des valeurs plus nettement culturelles, - formations de cadres pour l?establishment ? mais aussi économiques, monétaires et commerciales.
L?institut Aspen organise dans diverses nations un ou deux « séminaires » par an, selon les nécessités, pour faire le point sur la situation économique, commerciale, financière en rapport avec la situation politique du moment. Participent à ces « séminaires » des personnalités et des cadres des gouvernements européens, américains et japonais. Parmi les thèmes obligés de ces derniers temps : Union Européenne, financements pour les pays de l?Est et l?ex-Union Soviétique, propositions et solutions pour conférer un plus grand pouvoir aux Nations Unies et à ses organismes.
Ces dernières années de nombreuses personnalités du C.F.R américain et d?autres, comme Robert Mc Namara, Felix Rohatyn, banquier et membre influent de la Commission Trilatérale qui, depuis son bureau du 32e étage du Rockefeller Plaza dirige depuis 1989 les destinées de la grande banque d?affaires Lazard Frères ; Robert D. Hormats, membre du Bilderberg Group et de la Trilatérale, vice-président de la puissante banque Goldman-Sachs (d?où vient aussi Kissinger) de Wall Street ; Helmut Schmidt, membre du Bilderberg Group, de la Trilatérale, de l?important Institut d?Etudes Stratégiques de Londres, de l?Institut d?Affaires Internationales allemand (D.G.A.P.) ; le japonais Ogata, membre de la Commission Trilatérale, Jacques Delors, président de la C.E.E. et membre de la Trilatérale, et une troupe dense d?italiens dont la liste a été publiée en partie dans « Le Monde » du 11 mai 1987. Parmi eux Giorgio La Malfa (Bilderberg, Trilatérale, Institut d?Affaires Internationales Italien) ; Silvio Berlusconi, ex-membre de la loge P2 et appartenant à la Trilatérale ; Luciano Benetton, propriétaire de la multinationale de l?habillement du même nom, cotée en bourse à New York, et partisan intéressé de la société multi-ethnique et multiraciale ; Gianni et Umberto Agnelli, les Rockefeller italiens ; Giorgio Benvenuto, syndicaliste de l?U.I.L., membre de l?I.A.I. italien et de la Commission Trilatérale, et une pléiade d?hommes politiques en vue.[/justify]