[large]Robert Dun[/large]
Les catacombes de la libre pensée
http://www.balderexlibris.com/index.php ... bre-pensee
http://www.histoireebook.com/index.php? ... bre-pensee

Robert Dun, de son vrai nom Maurice Martin (1920 - 8 mars 2002), était un écrivain français autodidacte adepte du nationalisme européen et du néo-paganisme.
Robert Dun mettait toutefois en garde ses lecteurs contre la tentation d'un conflit ouvert contre les immigrés maghrébins, la véritable ligne de clivage n'étant pour lui pas raciale :
[justify]« Prenez garde, ouvriers européens : les mêmes qui vous ont submergés de dizaines de millions de musulmans pour écraser vos revendications peuvent vous exciter demain à vous battre contre ces mêmes musulmans devenus combattants. On vous dira qu?on s?est trompé (qui est ?on? ?), que ces hommes n?ont pas su profiter de l?évolution qu?on leur proposait. Ne tombez pas dans le piège.
J?ai dénoncé plus clairement que quiconque les bases pathologiques des religions du désert, marxisme inclus. Je suis bien loin de me laisser gagner par les mirages infantiles de l?islam. Mais si la crapulocratie s?en prend à l?islam, ce n?est pas à cause de ses dogmes infantiles, ni à cause des tchadors d?écolières manipulées. C?est parce que l?islam reste la seule force anticapitaliste, la seule capable de faire échouer le chancre mondial de la société de consommation.
La guerre civile mondiale, à la fois raciale, culturelle et sociale ne sera pas évitée. Mais les hommes libres n?y ont aucune place. Ne vous laissez pas entraîner dans le tourbillon de folie et ne vous battez qu?en cas d?absolue nécessité, si vous êtes personnellement attaqués. » (« Camarade, ne te trompe pas d'ennemi ! », L'Homme libre, fils de la terre, juin 1995).[/justify]
_____
Extrait :
[justify]"Depuis la parution du Message du Verseau, en Mai 77, onze ans se sont écoulés. Le bilan de cette période n'est pas aisé.
L'ouvrage avait été refusé par quarante-quatre maisons d'édition.
J'eus ensuite un mal incroyable à le tirer à mes frais. Après en avoir lu le texte dactylographié, un imprimeur me renvoya même le chèque provisionnel de 6000 F que je lui avais remis. Puis ce fut au tour des agences de diffusion de me refuser leurs services. Cela en dit long sur les réalités de la liberté d'expression en France et justifie pleinement la phrase du livre sur l'Occident : « un monde où l'on peut tout dire, sauf la vérité ».
Seul d'abord, puis avec l'aide de quelques amis et de lecteurs d'un très haut niveau culturel gagnés à mes visions et perspectives, j'ai réussi à écouler les deux mille huit cents exemplaires commercialisables en moins de cinq ans.
En outre, bien des concepts nouveaux et fondamentaux de ce livre, en particulier celui de « religions du désert », ainsi que tout l'ensemble sur le conditionnement géographique des psychismes et des cultures, sont devenus des éléments de réflexion à l'échelle mondiale.
Ce fait, allié à des revirements spectaculaires de lecteurs qui ont radicalement révisé leur vision de l'histoire, leurs options socio-politiques et parfois leur religion, incite de nombreux amis à me demander avec insistance une réédition de l'ouvrage. Mais les obstacles quasi infranchissables rencontrés il y a onze ans n'ont fait que s'aggraver. Il est plus que jamais impossible de contrecarrer efficacement les thèmes majeurs du matraquage médiatique. Je ne veux donc pas recommencer la ronde désespérante chez les éditeurs, d'autant moins que leur concentration en grands trusts de presse facilite le noyautage et le contrôle des comités de lecture par les cerbères des doctrines perfides et débilitantes que je combat dans la foulée de Nietzsche. Pour être plus clair, disons qu'il est à peu près impossible de publier quelque chose qui ne soit pas chrétien, juif, marxiste, musulman, ou de quelque manière asiatique ou pathologique.
La chute accélérée du niveau culturel fait aussi que la rentabilité d'une publication est d'autant plus improbable que son niveau est plus élevé, même si le langage en est simple, car, cette chute n'est pas seulement une affaire d'analphabétisme, c'est aussi un répugnant encanaillement des âmes."[/justify]