Abbé Rouquette - Les sociétés secrètes chez les musulmans (1

Moderator: Le Tocard

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Riton le Besogneux

Post by Riton le Besogneux »

[center][large]Abbé Rouquette[/large]
de la Société des Missions africaines de Lyon
[/center]





Les sociétés secrètes chez les musulmans (1899)
http://www.histoireebook.com/index.php? ... mulsulmans


et voir aussi l'ouvrage de :
[large]Rinn Louis[/large]
Marabouts et Khouans - Etude sur l'Islam en Algérie
http://www.histoireebook.com/index.php? ... et-Khouans

[right][small]"Le Khouan doit être entre les mains de son Cheikh ou de son Moqaddem comme un cadavre"[/small][/right]
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[large]C'est mal barré avec celui-là !!![/large]
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[justify]Je n'avais que vingt-deux ans, quand je jetai à la hâte sur le papier ces quelques notes, qui, contre mon intention, sont devenues un gros volume, publié sous ma seule responsabilité. Ce fut l'affaire de six mois.
C'était, en effet, une véritable collaboration que le docteur Rachs m'avait proposée. Je devais lui fournir les documents, et profiter de ma connaissance assez approfondie de la langue arabe, pour donner au volume une tournure assez orientale, qui pût le faire mieux apprécier.
[/justify]
[...]
Avant de donner les notions générales sur les sociétés secrètes musulmanes, il faut, pour des lecteurs qui n'ont peut-être jamais visité l'Afrique et n'ont eu aucun rapport avec les Musulmans, parler des doctrines politiques de l'Islam. Nous verrons que les sociétés secrètes sont intimement liées avec l'existence même de la religion musulmane, et que celle-ci est un danger permanent pour la civilisation.

[...]
Sois entre les mains de ton Cheikh comme le cadavre entre les mains de celui qui le lave. Le Moqaddem [small](1)[/small] tient pour le Khouan [small](2)[/small] la place de Dieu même, il doit donc lui obéir comme il obéit à Dieu même ; Jésus-Christ nous a dit à peu près la même chose : « Celui qui vous écoute m'écoute, disait-il à ses apôtres ; qui vous méprise, me méprise ». Quelle différence entre l'obéissance chrétienne et celle du Musulman ; celle du chrétien, c'est celle d'un homme, celle du Musulman, c'est celle d'une brute. Un religieux se rend toujours compte de son action, il examine et sait les motifs de son obéissance. Il sait qu'il n'est pas obligé d'agir quand son supérieur lui commande des choses en dehors des règles, ou contraires à une loi supérieure. Rien de tel dans le Musulman, et c'est ce qui nous révolte, car on ne peut aller plus loin dans le mépris de son semblable. Cet homme que Dieu a fait à son image, que Jésus-Christ a racheté de son sang, cet homme ne devient qu'une brute entre les mains de son Cheikh ; nous n'avançons rien de trop. Qu'on lise les paroles des auteurs musulmans : Jamais pareil esclavage n'a régné dans nos ordres religieux ; jamais personne n'a obligé aucun religieux à penser comme lui, et ne lui a défendu tout raisonnement bon ou mauvais.
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(1) - la fonction du moqaddem dans notre société islamique : Ils sont des milliers à s?occuper de nous. Ils sont parmi nous, ils sont partout, en ville comme à la campagne, L?armée des Mqadmine en d?autres termes les délégués de quartier, fait partie de notre quotidien, pour le meilleur et pour le pire. Il y a même des femmes dans leurs rangs, même si celles-ci relèvent en fait du passé. Mais qu?il s?agisse de leur rendre hommage ou de les dénigrer, difficile d?évoquer sereinement le personnage et la fonction du moqaddem dans notre société.
Rappeler l'origine de l'institution éloigne peut-être du vécu qu'en ont ceux qui la subissent mais ramène aussi à la réalité de l'institution : Contrôler, surveiller les individus, et par suite, les dénoncer.
(2) - Secte religieuse islamique.
Riton le Besogneux

Post by Riton le Besogneux »

Devons nous devenir des martyrs ? Car on met souvent sur le dos de la juiverie les exactions, mais nous avons pu constater que lorsque l'on cause du Momo, cela devient un autre crime encore plus grand. Pourquoi ? Ont-ils peur ? Non, simplement ainsi que la Shoah et divers, cela ne tiens que parce qu'ils créent la terreur.

Exemple :
[justify]Attention ce document est horrible, à l'image de ces gens conditionnés et de leurs prétendues religions d'amour et de paix.[/justify]
Source : Sofiane Abi - Le jour d?Algérie
Algérie : Mosquées saccagées, Corans brûlés, imams tabassés...
Des extrémistes anti-musulmans en Algérie ?
Durant près d?un mois, plusieurs débordements ont eu lieu dans certaines wilayas du pays. A Sidi Bel-Abbés comme à Annaba, Tizi Ouzou, Médéa et récemment Bordj Bou Arreridj, les agressions sont différentes mais se ressemblent au bout de compte. Souvent, il s?agit de jeunes personnes égarées, bourrées d?idées racistes anti-musulmanes enracinées par d?autres personnes.

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[center]T'as de beaux yeux, tu sais !!!
[large]La terreur je vous dis !!! la terreur !!![/large]
Tétouan : un imam agresse une fillette

Un imam agresse une fillette Nihad Afroun, un petit ange de six ans,[/center]
a été violemment battue par son instituteur à l'école Sidi Ahmed El Bekkal, à Tétouan.

Ces dernières n?hésitent pas à s?attaquer aux mosquées, à agresser les imams et fidèles, et surtout à brûler le Coran, pourtant sacré. Les idées anti-musulmanes sont-elles présentes dans la société ? Les jeunes Algériens sont-ils à l?abri de cette menace ? Des questions très inquiétantes qui nécessitent un véritable débat de société, mais aussi une réplique rapide avant que les choses ne s?aggravent et ne deviennent plus sérieuses avec le temps. Par ailleurs,l?imam de la mosquée Ibn Badis, sise dans la wilaya de Sidi Bel Abbés ainsi que quelques fidèles ont été tabassés par des inconnus et ce, durant les premiers jours du mois sacré.

170 paires de chaussures chinoises portent le nom d?Allah sur la semelle
[right][small]Pour certaines chaussures de ville et certaines basquettes, la semelle de celle-ci est faîtes soit en cuir de vachette, soit en cuir de porc.
Or, lorsqu'on marche, on transpire et un peu de la semelle déteint sur la chaussette... Le porc est impur, cela annule-t-il la prière ?[/small]
[/right]

Les débordements portés contre tous ce qui est Islam se poursuivent dans le monde, malheureusement quelquefois chez nous aussi. Pis, ces graves dérives commencent à devenir sérieuses dans notre pays. Ainsi,la brigade de la Gendarmerie nationale de la wilaya de Bordj Bou-Arreridj a saisi il y a quelques jours 170 paires de chaussures importées de Chine, sur la semelle desquelles était inscrit le nom d?Allah.

Ce n?est pas la première fois que la Gendarmerie Nationale de Bordj Bou Arréridj traite ce genre d?affaires, c?est la troisième prise depuis l?an dernier. Ce genre de produits est de plus en plus introduit en Algérie. Par ailleurs, il est à signaler un acte dangereux et sans précédent, voire pour la première fois en Kabylie. Un groupe de radicaux d?Aghrib ont saccagé, il y a quinze jours, lors de la prière hebdomadaire, et brûlé une grande partie des structures de base d?une mosquée en cours de construction dans leur village situé à 45 kilomètres au nord-est de Tizi-Ouzou.

Les détails de cette affaire qui a choqué la population, selon les témoignages recueillis auprès des citoyens et des membres de l?association religieuse du village, mais aussi les bandes vidéo du saccage, ont débuté la matinée du 18 août dernier puis durant la prière du vendredi, et se sont poursuivis jusque dans la soirée dans des scènes déplorables observées par tous dans le village. Les membres de l?association religieuse du village ont procédé, le matin, à l?organisation du travail de groupe «touiza», avec la collaboration de nombreux villageois, afin de poursuivre la construction de la mosquée et ériger ses piliers.

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[center]Sniff !!!...Sniff !!!!...
Mais !!!... Mais !... Cela sent l'urine de bouc !!!
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Une centaine de Corans souillés à Sétif depuis le début de l?année
Même à Sétif, cette très belle et paisible ville de l?Est du pays n?a pas échappé aux dépassements contre le Coran. Dix-sept exemplaires du Saint Coran ont été retrouvés, il y a vingt jours, déchirés et mélangés à des amas d?ordures à la mosquée El Houda de la ville d?El Eulma. L?acte est d?autant plus préoccupant qu?il ne s?agit pas d?une première.

En effet, le même fait a été signalé, il y a quelque temps, du côté de la même ville, où on avait retrouvé dans trois endroits différents des exemplaires du Saint Coran frappés par des clous, d?autre part, plusieurs autres exemplaires étaient souillés par des sécrétions humaines dans les sanitaires d?une mosquée à la cité 583 logts de Ain Oulmane. Les personnes coupables de ces graves dépassements seraient des réseaux spécialisés dans la sorcellerie, mais également des jeunes drogués qui, inconscients par le fait de la drogue, brûlent et déchirent le Coran. Aujourd?hui, et uniquement durant cette année, plus de 100 exemplaires du livre saint ont été souillés à travers plusieurs endroits dans la wilaya de Sétif. Face à cette atteinte du Coran, les services de sécurité ont ouvert une enquête pour identifier les auteurs de ces actes qui ont soulevé un sentiment d?indignation chez les citoyens et les fidèles.

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A 65 ans, il brûle le Coran
Le 17 août 2010, la petite localité d?El Bouni, abritant quelque 12 000 habitants, sise dans la wilaya de Annaba a été bouleversée par un drame commis par un père de famille sur tous les membres de sa famille. Le dénommé B. Med S., âgé de 65 ans, cadre dans une banque publique à Annaba, avait été présenté, deux jours après le drame devant le magistrat instructeur près le tribunal d?El Hadjar, pour attentat à la pudeur, sacrilège sur le Livre sacré (Coran), et coups et blessures sur son fils et sa mère. Les faits remontent au 17 août, quand l?épouse, mise en cause, s?est présentée à la Sûreté de daïra d?El Bouni, accompagnée de ses deux filles et son fils, pour porter plainte contre son époux ; qui avait cette nuit-là, et après avoir été débauché de son travail, fait une virée dans un bar pour prendre quelques bières. Ayant abusé de la consommation d?alcool, il commit l?irréparable.

Arrivé chez lui, le père surprendra son fils de 15 ans en pleine prière. Il accomplissait la prière d?El Icha ; c?est alors qu?il lui balance un coup de pied en plein ventre, et s?en prend à la «sedjada», (tapis de prière) qu?il brûlera, en commettant le sacrilège de brûler le Livre sacré (Coran). Ce père, fou furieux, poursuivra son comportement diabolique en portant atteinte à la pudeur de ses deux filles, âgées respectivement de 13 et 16 ans. Ne sachant plus à quel saint se vouer, notamment, après les révélations de ses deux filles victimes, la mère se présente chez un gynécologue qui atteste les viols. Ce qui lui permettra de déposer plainte auprès de la Sûreté de daïra d?El Bouni. Cette dernière dépêche ses éléments sur les lieux du drame, qui procèderont à l?arrestation du père indigne.
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