[large]Bardet Jean-Gaston[/large]
Joie de Qabalah - Kabbale de Mort
http://www.histoireebook.com/index.php? ... le-de-Mort
Je dors, mais mon coeur veille...
http://www.histoireebook.com/index.php? ... eur-veille
A lire aussi :
Jean de La Foye - Ondes de vie - Ondes de mort
http://www.the-savoisien.com/wawa-consp ... hp?id=2465
________________
Cet ouvrage expose, définitivement, la QaBaLaH, c'est-à-dire, l'authentique tradition mosaïque. Par contre, il dévoile tout le mal causé par la Kabbale judéo-grecque, celle des sociétés occultes.
Cette Kabbale,"comme un poison subtil" a infesté le judaïsme tout entier (Théodore Reinach). Plus grave, elle a sapé tout l'Occident. Sous les attaques millénaires des adeptes du Serpent, les "Ophites kabbalistes", vous assistez à un effondrement général des Nations.
Que vous méditiez sur les Prophéties de "l'Apocalypse" ou sur les équations du "Club de Rome", la planète n'a plus guère de ressources que pour un demi-siècle... C'est l'angoisse générale... qui sert de fond aux conciliabules privés des Chefs d'Etat. Peut-on faire machine arrière, comme l'ont réclamé les écologistes et Jean-Gaston Bardet, il y a 30 ans, en Demain c'est l'An 2000 ?
L'heure est venue "d'expérimenter les Ecritures" (René Schwob).
Pour que Jean Paul II puisse assumer sa tâche de Mondialisation du Christianisme, il fallait deux "pièces à conviction", sans contestation possible.
Le Témoignage du Père, par la Thorah hébraïque, et le Témoignage du Fils par le Saint Suaire, scientifiquement reconnu.
Ces deux rouleaux de la Loi et de la Grâce, se trouvent comme ressuscités à la veille du Troisième millénaire annonçant le MILLENIUM de Saint Jean.
[---]
Chaque main comporte 14 phalanges, au total 28, qui sont les 28 lettres du premier verset de la Thora qui fait passer le monde du néant à l'être
[center]________________[/center]
Sur le dessin à gauche, on trouve en bas les quatre lettres du tétragramme : [????], réparties sur deux mains. La première lettre (yod) est la main fermée, qui correspond au mot yad, qui veut dire "main" en hébreu. La seconde lettre est la main ouverte (hei est la cinquième lettre, le chiffre 5, les 5 doigts). La troisième lettre (vav) est la main tendue (mouvement vers l'autre). La quatrième lettre (hei) est à nouveau la main ouverte (réception). Le tétragramme s'écrit chaque fois qu'a lieu un échange, chaque fois que l'homme se souvient qu'être, c'est partager.
Dans le geste de bénédiction, le prêtre (Cohen) tend les mains vers le public.
Quand on compte avec son pouce sur les 4 autres doigts, on compte jusqu'à 12. On le fait 5 fois en comptant avec chaque doigt sur l'autre main. D'où le chiffrage traditionnel du temps (5 x 12 = 60) : on compte souvent par soixantaine dans la tradition biblique.
En frappant ses mains pendant la prière, on réunit les deux mains. Deux fois 14 font 28, qui est la valeur du mot koah (force).
Bardet Jean-Gaston : Joie de Qabalah - Kabbale de Mort
Moderator: Le Tocard
Portrait de Haïm Soutine assis (Amedeo Modigliani, 1916)
[center]________________[/center]
Soutine fait de la main droite le signe des Cohanim (prêtres). Les deux mains sont disposées d'une façon qui ressemble à l'imposition cabalistique (celle qui aurait été utilisée, depuis Moïse, pour la transmission de la prêtrise). Peut-être les juifs de l'Ecole de Paris se faisaient-ils ainsi connaître aux autres peintres? Les mains, posées tranquillement à plat, montrent un Soutine apaisé, inquiet, prêt à bondir, mais posant provisoirement et se posant là sur sa chaise [à comparer aux mains d'Artaud la veille de sa mort].
Soutine et Modigliani étaient des amis proches. C'est Modigliani qui a présenté à Soutine le marchand polonais Zborowski, son premier acheteur avant Barnes.
[center]________________[/center]
Soutine fait de la main droite le signe des Cohanim (prêtres). Les deux mains sont disposées d'une façon qui ressemble à l'imposition cabalistique (celle qui aurait été utilisée, depuis Moïse, pour la transmission de la prêtrise). Peut-être les juifs de l'Ecole de Paris se faisaient-ils ainsi connaître aux autres peintres? Les mains, posées tranquillement à plat, montrent un Soutine apaisé, inquiet, prêt à bondir, mais posant provisoirement et se posant là sur sa chaise [à comparer aux mains d'Artaud la veille de sa mort].
Soutine et Modigliani étaient des amis proches. C'est Modigliani qui a présenté à Soutine le marchand polonais Zborowski, son premier acheteur avant Barnes.