[large]Aux sources de l'escroquerie de la Réserve Fédérale : Le complot de l'île Jekyll ...[/large]
http://www.histoireebook.com/index.php? ... e-Federale
Le sujet se révèle passionnant et vous apprendra à comprendre pourquoi, bientôt votre oseille ne vaudra plus tripette.
Le bon Président de notre misère et toutes ces engeances, dont la dame Lagarde née Lalouette (je te plumerais ... (cliquez sur le lien youyoutube - pour reprendre en c?ur la rimaille de la bluette enfantine)) ne sont que des pions sur l'échiquier dans la paluche de ces seigneurs de la tune et du vieux monde.
Vivement demain que la pauvreté nous assaille avant de crever de faim. Peut-être que cela réveillera la province soumise France et l'Europe.
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[center][youtube]http://www.youtube.com/watch?v=gLs_CABx-Sc[/youtube][/center]
P.S. : J'ai un avantage, je ne supporte personne de ce monde de la politique,valet de la finance internationale, sauf peut-être Mme Lagarde née Lalouette, j'avoue avoir un faible pour elle. Son style propret, me donne des envies de manger une soupe de grenadier (plus vulgairement appelé [faire minette]. Hum ! mon Toby la Douceur, spécialiste du coup de chapeau, pas Toi ?
[center]C'est un gros coquin ce Ringard ![/center]
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[center][large]Aux sources de l'escroquerie de la Réserve Fédérale
Le machiavélisme des hécatonchires* de la finance internationale[/large][/center]
[right][small]* Du grec hekaton, cent et cheir, la main. Hécatonchire : qui a cent mains.[/small][/right]
[small]Les Hécatonchires étaient les fils d'Ouranos et de Gaïa, c'étaient des géants à cent bras et cinquante têtes. Victor Hugo a utilisé ce mot dans plusieurs oeuvres : " Rome a beaucoup de bras. C'est l'antique hécatonchire. On a cru cette bête fabuleuse jusqu'au jour où la pieuvre est apparue dans l'océan et la papauté dans le moyen âge. " (in Actes et paroles). Le mot se trouve également dans son William Shakespeare et dans divers poèmes.[/small]
Aline de Diéguez
[small]http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/mariali/picrochole/conspirateurs/conspirateur.htm[/small]
[right][small]Que peuvent les lois, là où seul l'argent est roi ?
Pétrone
Si la population comprenait le système bancaire, je crois qu'il y aurait une révolution avant demain matin.
L'industriel Henry Ford.[/small][/right]
On parle ici et là de " finance de marché ", d' " ingénierie financière de Wall Street " de " non-coïncidence de l'intérêt des parties «, de "dysfonctionnements structurels de la finance dérégulée" du "rôle des monnaies ", comme si les opérations financières étaient mues par un petit moteur intérieur, se déroulaient dans la stratosphère et n'étaient pas connectés à la politique des Etats.
J'ai voulu montrer que derrière le théâtre d'ombres du vocabulaire abscons de spécialistes, des mains bien réelles s'activent dans les coulisses, les mains avides des hécatonchires de la finance internationale. Derrière les chiffres, les graphiques et les abstractions, une poignée d'hommes en chair en os agissent. Leurs cerveaux échafaudent les plans par lesquels ils défendent avec ténacité, et de génération en génération, des intérêts privés au détriment des intérêts des nations.
La crise financière actuelle n'est incompréhensible que pour ceux qui ne veulent pas savoir. C'est pourquoi j'ai essayé de remonter à sa source et de montrer que si le meccano s'est déréglé une fois de plus, c'est qu'il est programmé de telle sorte que des crises périodiques sont inscrites dans le patrimoine génétique de son code de fonctionnement parce que ces crises sont hautement profitables à ses concepteurs.
Il se peut que l'exceptionnelle habileté des spéculateurs de la "finance déstructurée" à jouer à saute-mouton par-dessus les crises qu'ils ont régulièrement provoquées depuis plus d'un siècle, les ait à ce point enhardis que leur voracité a, cette fois, détraqué la machinerie monétaire dont ils avaient si ingénieusement ajusté les rouages. Peut-être apprendrons-nous dans un très proche avenir qu'une nouvelle "conspiration des hécatonchires" est en gestation en quelque île des Caraïbes ou du Pacifique afin, diront-ils, d'?uvrer pour le salut de l'humanité et de "sauver" le système monétaire.
L'escroquerie de la Réserve Fédérale : Le complot de l'île J
Moderator: Le Tocard
[large]Qui a coulé le Titanic ?[/large]
[small]Source : Doug Yurchey, World-Mysteries, traduction et commentaire : C.R.O.M.)[/small]
[small]Pour plus de détails cliquer avantageusement sur l'image[/small]
[center][small]« L?homme à la croisée des chemins », Diego Ribera, 1933.
Fresque murale de 99 m2, destinée au Rockefeller Center de New York,
elle fut enlevée à cause du visage de Lénine représenté par l?artiste socialiste mexicain.[/small][/center]
[center]______________[/center]
[center]Titanic - [small]Photographie Francis Browne[/small][/center]
En 1910, sept hommes se rencontrèrent sur l?île de Jekyll, au large des côtes de la Géorgie, aux États-Unis, pour mettre au point l?avènement de ce qui allait devenir la banque "nationale" américaine : la Federal Reserve. Nelson Aldrich et Frank Valderclip représentaient l?empire financier des Rockefeller. Henry Davidson, Charles Norton et Benjamin Strong représentaient J.P. Morgan. Paul Warberg représentait la dynastie européenne de la Banque Rothschild. Habituellement en concurrence acharnée, ils firent cette fois cause commune.
Ces trois puissantes familles étaient en réalité, sans le savoir, sous le contrôle de l?Ordre des Illuminés de Bavière, ceux que l?on a vulgarisés sous le nom d?illuminati. Et ce sont ces illuminati qui, après avoir fait acheter la White Star Lines par J.P. Morgan, ordonnèrent, en 1909, la construction du Titanic pour une raison que nous allons bientôt comprendre.
[center]Bruce Ismay est né le 12 décembre 1862.
Il est décédé le 17 octobre 1937 en Irlande.[/center]
[small]Il est le Président de la White Star Line. Lors d'un dîner avec Lord Pirrie, il a eu l'idée de construire trois grands navires afin de concurencer la Cunard Line qui disposait à l'époque du navire le plus grand et puissant : le Lusitania.
Une fois le Titanic prêt à naviguer, Bruce Ismay prit place à bord pour son voyage inaugural, en compagnie de son valet John Richard Fry, et le règlement veut que le Commandant est le seul maître à bord. Or, Mr Ismay exerça une grande influence sur le Commandant Smith afin que ce dernier pousse les machines au maximum, dans un but notamment de faire parler du Titanic...
Or, le destin a fait du Titanic une légende dont on parle encore actuellement, mais d'une façon peu différente que l'espérait Bruce Ismay...[/small]
[center]Depuis le tout début, le luxueux paquebot était voué à un destin funeste.[/center]
Il se trouvait qu?un certain nombre de personnages influents n?étaient pas favorables au projet de création de la Federal Reserve. Benjamin Guggenheim, Isaac Strauss et John Jacob Astor s?opposaient à sa formation. Non seulement ces hommes ? indiscutablement les plus riches au monde ? étaient contre l?institution de la Federal Reserve mais, en outre, ils auraient usé de leur richesse et de leur influence pour faire éviter la Première Guerre Mondiale.
On leur déroula le tapis rouge afin qu?ils embarquent pour le voyage inaugural du plus grand navire jamais construit. La campagne en faveur de « l?insubmersibilité » du Titanic promettait aux passagers un haut niveau de sécurité. Il fallait, en fait, que l?élimination du trio Guggenheim-Strauss-Astor ait lieu d?une manière si absurde que personne ne puisse penser à un meurtre.
Le capitaine du Titanic s?appelait Edward Smith. C?était un initié illuminati qui travaillait pour J.P. Morgan. Lorsque le navire appareilla de Southampton, dans le Sud de l?Angleterre, un certain Francis Browne se trouvait à bord pour la première partie du voyage entre Southampon et Queenstown, en Irlande. Celui qui deviendra l?une des personnalités les plus puissantes de l?Irlande était le maître spirituel d?Edward Smith. Francis Browne profita de la première partie de la traversée pour photographier les victimes. Il en profita probablement aussi pour rappeler au capitaine les implications de son serment et, le matin suivant, lui souhaita bon vent?
Le capitaine Smith avait une foi inébranlable en son supérieur. Browne l?instruisit sur ce qu?il devrait faire une fois rendu dans les eaux de l?Atlantique Nord. Cela faisait 26 ans que le capitaine Smith voyageait dans l?Atlantique Nord. C?était le plus grand spécialiste au monde de ces eaux froides. Le capitaine savait très bien pourquoi ce navire avait été construit. Il avait toujours été convenu qu?il coulerait lors de son premier voyage.
Par une nuit sans lune, il donna, en secret, l?ordre de propulser le Titanic à pleine vitesse, soit 22 n?uds, à travers une gigantesque zone de glace d?une surface de 80 miles carrés ! Il savait parfaitement qu?il s?y trouvait des icebergs. Il avait reçu des ordres et rien ne l?aurait fait dévier de sa mission.
Les agissements du Capitaine Smith au cours de ses dernières heures ne furent pas dignes de sa fonction. Il semblait toutefois lutter contre sa conscience. Devait-il se conduire en brave capitaine, ou obéir à son maître et couler le navire ?
On avait fait en sorte qu?il n?y ait pas assez de canots de sauvetage. Dès la collision, la plupart des canots furent mis à flot avec seulement quelques passagers à leur bord : des femmes et des enfants. On envoya des fusées éclairantes blanches. Or les bateaux qui croisaient à proximité pensèrent qu?il y avait une fête à bord puisque les fusées de secours sont habituellement rouges. Ces exemples n?illustrent pas l?arrogance d?un équipage qui croyait le Titanic insubmersible. Non ! Ces défaillances étaient programmées.
Ces riches parmi les riches qui s?opposaient à la mise en place de la Federal Reserve périrent au beau milieu des classes moyennes et défavorisées. Le navire insubmersible, le palace flottant avait été conçu pour devenir leur tombeau. Le naufrage du Titanic reste peut-être le plus grand désastre du 20ème siècle, après les deux guerres mondiales.
Le 14 avril (la même date que celle de l?assassinat d?Abraham Lincoln) de l?année 1912, le Titanic heurta un iceberg et toute opposition à la Federal Reserve fut gommée. En décembre 1913, l?institution bancaire vit le jour aux États-Unis. Huit mois plus tard, grâce à la Federal Reserve, les illuminati disposaient de suffisamment de fonds pour déclencher la Première Guerre mondiale.
__________________
[justify]Commentaire du C.R.O.M. : Faire construire et couler le plus grand navire du monde rien que pour éliminer trois individus ? Voilà qui fera sourire nombre de sceptiques rationalistes. Pourtant les initiés savent que la probabilité de réussite d?une action est proportionnelle au sacrifice qui est accepté en vue de sa réalisation. La fameuse devise "la fin justifie les moyens" peut aussi être comprise comme "la grandeur de la fin nécessite des moyens équivalents". Or, magiquement parlant, tuer les trois hommes les plus riches de la planète n?est pas une mince affaire.
L?histoire secrète de ce monde montre, en tout cas, que les hautes sphères de l?Ordre Mondial n?ont jamais hésité à perdre de grandes quantités d?argent ? voire à sacrifier certains des leurs ? pour faire avancer leur plan. Étant donné que la mise en place de la Federal Reserve pouvait leur assurer, à terme, le contrôle de toutes les richesses de la planète, qu?avaient-ils à perdre ?[/justify]
[---]
Officiellement, le « Titanic » a été découvert par l?équipe américaine de Robert Ballard le 1er septembre 1985.
Mais 7 ans avant la découverte officielle du Titanic, en 1978, l?épave était déjà située sur des cartes secrètes de la Royal Navy. Elle avait été repérée par un navire britannique. Nous étions alors en pleine guerre froide, et la zone où a sombré le transatlantique faisait partie du futur couloir de patrouille des submersibles stratégiques britanniques et américains. Un couloir qui part des côtes américaines et va du côté de Mourmansk. Mais la réalité est quelque peu différente. Révélations.
L?histoire était jolie, pimentée de la dose de mystère et de suspens nécessaire. Avec une happy end à l?américaine bien enlevée. Belle, mais fausse. Eté 1985 : l?équipe franco-américaine dirigée par Jean-Louis Michel, ingénieur à l?Ifremer, et le géologue Robert Ballard, du Woods Hole Institute ( Cape Cod, Etats-Unis ), patrouille depuis six semaines au sud de Terre-Neuve dans l?espoir de repérer l?épave du Titanic. Espoir jusque-là déçu. Le Suroît, navire océanographique de l?Ifremer, appelé à une autre mission, a dû quitter la zone. Les chercheurs sont réunis à bord du Knorr, le navire de l?organisme américain. Quand, le 1er septembre, au milieu de la nuit, l?engin sous-marin qui scrute le fond détecte la masse significative d?une chaudière. L?épave fantasmatique est enfin retrouvée.
Depuis des années, des passionnés prospectaient en vain à la recherche de ce paquebot mythique. Comme Jacky Grimm, un richissime aventurier texan déjà parti à la poursuite du monstre du loch Ness et du yéti, qui avait entrepris vers 1975 des recherches avec des moyens modernes, issus de la prospection pétrolière. Suite à ces échecs successifs, on avait fini par penser que le navire naufragé à l?extrémité du plateau des Grands Bancs au sud de Terre-Neuve, une zone sismique très active, avait été recouvert par des avalanches sous-marines.
« C?était tout du moins la version officielle », raconte aujourd ?hui Paul Henry Nargeolet. Officier de marine et chef du département engins sous-marins du Groupe d?Intervention sous la mer, puis responsable du département des engins sous-marins à l?Ifremer, cet ancien plongeur-démineur est l?homme au monde qui connaît le mieux l?épave du Titanic. Il aura réalisé plus de trente plongées sur le transatlantique. Et l?histoire qu?il raconte aujourd?hui est bien loin de celle que les médias ont rapportée à l?époque.
Première révélation : l?épave perdue ne l?était pas pour tout le monde. Elle fut en réalité localisée bien avant sa découverte officielle. « En 1978, P.H. Nargeolet, un navire océanographique anglais avait détecté un grand bateau coupé en deux. Les Britanniques partageaient alors avec la marine américaine la prospection de la future zone de patrouille des sous-marins nucléaires. » Pourquoi les Britanniques gardent-ils le secret ? Tout simplement parce que le Titanic était une « planque » idéale pour les sous-marins stratégiques. Une telle masse métallique peut en effet parasiter les moyens de détection ennemis. Autre révélation : « Pendant la phase de préparation de la recherche, Robert Ballard connaissait ces renseignements et les cartes secrètes où figurait l?épave, affirme P.H. Nargeolet. J?en ai la preuve : un journaliste anglais m?a avoué qu?il lui avait donné des informations avant même de trouver le Titanic. » Alors pourquoi toute cette mise en scène ? Un petit retour en arrière s?impose. Dans les années 70, le jeune géologue Robert Ballard rencontre Jean-Louis Michel, alors chercheur au Cnexo ( centre national d?exploitation des océans, futur Ifremer ) au cours de l?expédition océanographique Famous ( French Américan Mid Ocean Survey ). Dix ans plus tard, le scientifique américain développe pour le compte de la marine américaine un traîneau sous-marin doté de caméras vidéo. Jean-Louis Michel est, quant à lui, le concepteur d?un sonar remorqué Sar pouvant atteindre 6000 mètres de profondeur. « Robert Ballard a expliqué qu?il pourrait être intéressant de faire des essais communs sur le Titanic? », se souvient P.H. Nargeolet.
[center]on le disait insubmersible et que même Dieu n'aurait pu le couler...[/center]
En réalité, Ballard a besoin de la caution de l?organisme scientifique français pour monter une expédition sur le paquebot et vendre les droits photographiques aux médias. Son système Argo ne pouvant prospecter une zone au milieu de l?Atlantique, s?adjoindre les services du Sar lui permet d?offrir des garanties de réussite. Un accord vite conclu, les prospections commencent en août 1985. « Tous les renseignements disponibles indiquaient que l?épave se trouvait à l?ouest du 50° degré de longitude, raconte P.H. Nargeolet. Or, le Carpathia a récupéré les rescapés trois heures après le naufrage par 49° 53° ouest. Cette position sensiblement différente pouvait en partie se justifier par la présence du Gulf Stream. Mais les naufragés n?ont pas pu dériver d?une quinzaine de milles en trois heures. Les historiens ont cru à la position donnée par le Titanic, ce qui était une erreur. »
Pourquoi cette différence ?
L?équipage du Titanic s?estimait plus à l?ouest, car il naviguait à l?estime depuis son dernier point de midi, soit depuis près de douze heure, alors qu?il venait de rentrer en plein dans le Gulf Stream. Or les différentes campagnes d?exploration menées dans la zone ont parfois rencontré des courants de 4 n?uds. L?équipe franco-américaine décide donc de prospecter à partir de la zone où ont été recueillis les naufragés. Le bateau de l?Ifremer, armé du Sar, programmé pour prospecter à 180 mètres du fond, doit couvrir les 85% de la zone où l?épave a le plus de chances de se trouver. En cas d?échec, il est prévu que le navire américain prenne le relais. En réalité, Robert Ballard s?est réservé la zone de l?épave.
Ironie de l?affaire : lorsque l?expédition démarre, par la zone attribuée à l?Ifremer, le Sar repère à sa première descente une importante anomalie magnétique. Cette anomalie correspond ( on le saura plus tard ) au Titanic. Mais personne n?y croit sauf les deux ingénieurs du Leti ( Laboratoire d?électronique et de technologie d?instrumentation ) qui s?occupent du magnétomètre. « Sur le bateau, les autres ont pensé qu?il s?agissait d?un « rat bleu »- une incohérence technologique en langage de sous-marinier. S?ils avaient cru au tracé magnétique, le Titanic aurait été trouvé dans la demi-heure suivante », reconnaît Paul Henri Nargeolet. La campagne du Suroît se termine fin août sans que le sonar soit repassé aux abords de l?épave. Toute l?équipe de recherche embarque alors sur le Knorr, venu prendre la relève avec l?Argo. « L?Argo n?a rien avoir avec le Saroît, précise Nargeolet. Dans un cas, il s?agit d?un sonar qui balaye une vaste zone, dans l?autre, d?une caméra au bout d?un fil, qui fait des « spaghettis » au fond : le chariot va où il veut. Dès que le bateau avance, il part en pendule à 500 mètres, et se balade de façon désorganisée. »
Par chance, au moment où l?engin passe au-dessus d?une des chaudières, Jean-Louis Michel surveille l?écran vidéo. Il comprend aussitôt l?intérêt de la silhouette détectée par les caméras. Et identifie l?épave. Le scénario est alors bouclé : les Américains peuvent s?attribuer officiellement la découverte du Titanic. Pour que les médias ne soient pas pris au dépourvu, un journal anglais a reçu dès le vendredi l?annonce de la découverte « pressentie » pour la nuit du samedi au dimanche suivante ! Et un hélicoptère, lui aussi commandé la veille, est sur place le dimanche matin pour récupérer les photos? « Ballard savait que la prospection arrivait dans la bonne zone, sourit P.H. Nargeolet. Il était donc sûr de trouver l?épave, à quelques heures près? » A quelques heures près? Au moment où l?Argo repère la chaudière du Titanic, Robert Ballard dort. Du sommeil du juste?
[small]Source : Doug Yurchey, World-Mysteries, traduction et commentaire : C.R.O.M.)[/small]
[small]Pour plus de détails cliquer avantageusement sur l'image[/small]
[center][small]« L?homme à la croisée des chemins », Diego Ribera, 1933.
Fresque murale de 99 m2, destinée au Rockefeller Center de New York,
elle fut enlevée à cause du visage de Lénine représenté par l?artiste socialiste mexicain.[/small][/center]
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[center]Titanic - [small]Photographie Francis Browne[/small][/center]
En 1910, sept hommes se rencontrèrent sur l?île de Jekyll, au large des côtes de la Géorgie, aux États-Unis, pour mettre au point l?avènement de ce qui allait devenir la banque "nationale" américaine : la Federal Reserve. Nelson Aldrich et Frank Valderclip représentaient l?empire financier des Rockefeller. Henry Davidson, Charles Norton et Benjamin Strong représentaient J.P. Morgan. Paul Warberg représentait la dynastie européenne de la Banque Rothschild. Habituellement en concurrence acharnée, ils firent cette fois cause commune.
Ces trois puissantes familles étaient en réalité, sans le savoir, sous le contrôle de l?Ordre des Illuminés de Bavière, ceux que l?on a vulgarisés sous le nom d?illuminati. Et ce sont ces illuminati qui, après avoir fait acheter la White Star Lines par J.P. Morgan, ordonnèrent, en 1909, la construction du Titanic pour une raison que nous allons bientôt comprendre.
[center]Bruce Ismay est né le 12 décembre 1862.
Il est décédé le 17 octobre 1937 en Irlande.[/center]
[small]Il est le Président de la White Star Line. Lors d'un dîner avec Lord Pirrie, il a eu l'idée de construire trois grands navires afin de concurencer la Cunard Line qui disposait à l'époque du navire le plus grand et puissant : le Lusitania.
Une fois le Titanic prêt à naviguer, Bruce Ismay prit place à bord pour son voyage inaugural, en compagnie de son valet John Richard Fry, et le règlement veut que le Commandant est le seul maître à bord. Or, Mr Ismay exerça une grande influence sur le Commandant Smith afin que ce dernier pousse les machines au maximum, dans un but notamment de faire parler du Titanic...
Or, le destin a fait du Titanic une légende dont on parle encore actuellement, mais d'une façon peu différente que l'espérait Bruce Ismay...[/small]
[center]Depuis le tout début, le luxueux paquebot était voué à un destin funeste.[/center]
Il se trouvait qu?un certain nombre de personnages influents n?étaient pas favorables au projet de création de la Federal Reserve. Benjamin Guggenheim, Isaac Strauss et John Jacob Astor s?opposaient à sa formation. Non seulement ces hommes ? indiscutablement les plus riches au monde ? étaient contre l?institution de la Federal Reserve mais, en outre, ils auraient usé de leur richesse et de leur influence pour faire éviter la Première Guerre Mondiale.
On leur déroula le tapis rouge afin qu?ils embarquent pour le voyage inaugural du plus grand navire jamais construit. La campagne en faveur de « l?insubmersibilité » du Titanic promettait aux passagers un haut niveau de sécurité. Il fallait, en fait, que l?élimination du trio Guggenheim-Strauss-Astor ait lieu d?une manière si absurde que personne ne puisse penser à un meurtre.
Le capitaine du Titanic s?appelait Edward Smith. C?était un initié illuminati qui travaillait pour J.P. Morgan. Lorsque le navire appareilla de Southampton, dans le Sud de l?Angleterre, un certain Francis Browne se trouvait à bord pour la première partie du voyage entre Southampon et Queenstown, en Irlande. Celui qui deviendra l?une des personnalités les plus puissantes de l?Irlande était le maître spirituel d?Edward Smith. Francis Browne profita de la première partie de la traversée pour photographier les victimes. Il en profita probablement aussi pour rappeler au capitaine les implications de son serment et, le matin suivant, lui souhaita bon vent?
Le capitaine Smith avait une foi inébranlable en son supérieur. Browne l?instruisit sur ce qu?il devrait faire une fois rendu dans les eaux de l?Atlantique Nord. Cela faisait 26 ans que le capitaine Smith voyageait dans l?Atlantique Nord. C?était le plus grand spécialiste au monde de ces eaux froides. Le capitaine savait très bien pourquoi ce navire avait été construit. Il avait toujours été convenu qu?il coulerait lors de son premier voyage.
Par une nuit sans lune, il donna, en secret, l?ordre de propulser le Titanic à pleine vitesse, soit 22 n?uds, à travers une gigantesque zone de glace d?une surface de 80 miles carrés ! Il savait parfaitement qu?il s?y trouvait des icebergs. Il avait reçu des ordres et rien ne l?aurait fait dévier de sa mission.
Les agissements du Capitaine Smith au cours de ses dernières heures ne furent pas dignes de sa fonction. Il semblait toutefois lutter contre sa conscience. Devait-il se conduire en brave capitaine, ou obéir à son maître et couler le navire ?
On avait fait en sorte qu?il n?y ait pas assez de canots de sauvetage. Dès la collision, la plupart des canots furent mis à flot avec seulement quelques passagers à leur bord : des femmes et des enfants. On envoya des fusées éclairantes blanches. Or les bateaux qui croisaient à proximité pensèrent qu?il y avait une fête à bord puisque les fusées de secours sont habituellement rouges. Ces exemples n?illustrent pas l?arrogance d?un équipage qui croyait le Titanic insubmersible. Non ! Ces défaillances étaient programmées.
Ces riches parmi les riches qui s?opposaient à la mise en place de la Federal Reserve périrent au beau milieu des classes moyennes et défavorisées. Le navire insubmersible, le palace flottant avait été conçu pour devenir leur tombeau. Le naufrage du Titanic reste peut-être le plus grand désastre du 20ème siècle, après les deux guerres mondiales.
Le 14 avril (la même date que celle de l?assassinat d?Abraham Lincoln) de l?année 1912, le Titanic heurta un iceberg et toute opposition à la Federal Reserve fut gommée. En décembre 1913, l?institution bancaire vit le jour aux États-Unis. Huit mois plus tard, grâce à la Federal Reserve, les illuminati disposaient de suffisamment de fonds pour déclencher la Première Guerre mondiale.
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[justify]Commentaire du C.R.O.M. : Faire construire et couler le plus grand navire du monde rien que pour éliminer trois individus ? Voilà qui fera sourire nombre de sceptiques rationalistes. Pourtant les initiés savent que la probabilité de réussite d?une action est proportionnelle au sacrifice qui est accepté en vue de sa réalisation. La fameuse devise "la fin justifie les moyens" peut aussi être comprise comme "la grandeur de la fin nécessite des moyens équivalents". Or, magiquement parlant, tuer les trois hommes les plus riches de la planète n?est pas une mince affaire.
L?histoire secrète de ce monde montre, en tout cas, que les hautes sphères de l?Ordre Mondial n?ont jamais hésité à perdre de grandes quantités d?argent ? voire à sacrifier certains des leurs ? pour faire avancer leur plan. Étant donné que la mise en place de la Federal Reserve pouvait leur assurer, à terme, le contrôle de toutes les richesses de la planète, qu?avaient-ils à perdre ?[/justify]
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Officiellement, le « Titanic » a été découvert par l?équipe américaine de Robert Ballard le 1er septembre 1985.
Mais 7 ans avant la découverte officielle du Titanic, en 1978, l?épave était déjà située sur des cartes secrètes de la Royal Navy. Elle avait été repérée par un navire britannique. Nous étions alors en pleine guerre froide, et la zone où a sombré le transatlantique faisait partie du futur couloir de patrouille des submersibles stratégiques britanniques et américains. Un couloir qui part des côtes américaines et va du côté de Mourmansk. Mais la réalité est quelque peu différente. Révélations.
L?histoire était jolie, pimentée de la dose de mystère et de suspens nécessaire. Avec une happy end à l?américaine bien enlevée. Belle, mais fausse. Eté 1985 : l?équipe franco-américaine dirigée par Jean-Louis Michel, ingénieur à l?Ifremer, et le géologue Robert Ballard, du Woods Hole Institute ( Cape Cod, Etats-Unis ), patrouille depuis six semaines au sud de Terre-Neuve dans l?espoir de repérer l?épave du Titanic. Espoir jusque-là déçu. Le Suroît, navire océanographique de l?Ifremer, appelé à une autre mission, a dû quitter la zone. Les chercheurs sont réunis à bord du Knorr, le navire de l?organisme américain. Quand, le 1er septembre, au milieu de la nuit, l?engin sous-marin qui scrute le fond détecte la masse significative d?une chaudière. L?épave fantasmatique est enfin retrouvée.
Depuis des années, des passionnés prospectaient en vain à la recherche de ce paquebot mythique. Comme Jacky Grimm, un richissime aventurier texan déjà parti à la poursuite du monstre du loch Ness et du yéti, qui avait entrepris vers 1975 des recherches avec des moyens modernes, issus de la prospection pétrolière. Suite à ces échecs successifs, on avait fini par penser que le navire naufragé à l?extrémité du plateau des Grands Bancs au sud de Terre-Neuve, une zone sismique très active, avait été recouvert par des avalanches sous-marines.
« C?était tout du moins la version officielle », raconte aujourd ?hui Paul Henry Nargeolet. Officier de marine et chef du département engins sous-marins du Groupe d?Intervention sous la mer, puis responsable du département des engins sous-marins à l?Ifremer, cet ancien plongeur-démineur est l?homme au monde qui connaît le mieux l?épave du Titanic. Il aura réalisé plus de trente plongées sur le transatlantique. Et l?histoire qu?il raconte aujourd?hui est bien loin de celle que les médias ont rapportée à l?époque.
Première révélation : l?épave perdue ne l?était pas pour tout le monde. Elle fut en réalité localisée bien avant sa découverte officielle. « En 1978, P.H. Nargeolet, un navire océanographique anglais avait détecté un grand bateau coupé en deux. Les Britanniques partageaient alors avec la marine américaine la prospection de la future zone de patrouille des sous-marins nucléaires. » Pourquoi les Britanniques gardent-ils le secret ? Tout simplement parce que le Titanic était une « planque » idéale pour les sous-marins stratégiques. Une telle masse métallique peut en effet parasiter les moyens de détection ennemis. Autre révélation : « Pendant la phase de préparation de la recherche, Robert Ballard connaissait ces renseignements et les cartes secrètes où figurait l?épave, affirme P.H. Nargeolet. J?en ai la preuve : un journaliste anglais m?a avoué qu?il lui avait donné des informations avant même de trouver le Titanic. » Alors pourquoi toute cette mise en scène ? Un petit retour en arrière s?impose. Dans les années 70, le jeune géologue Robert Ballard rencontre Jean-Louis Michel, alors chercheur au Cnexo ( centre national d?exploitation des océans, futur Ifremer ) au cours de l?expédition océanographique Famous ( French Américan Mid Ocean Survey ). Dix ans plus tard, le scientifique américain développe pour le compte de la marine américaine un traîneau sous-marin doté de caméras vidéo. Jean-Louis Michel est, quant à lui, le concepteur d?un sonar remorqué Sar pouvant atteindre 6000 mètres de profondeur. « Robert Ballard a expliqué qu?il pourrait être intéressant de faire des essais communs sur le Titanic? », se souvient P.H. Nargeolet.
[center]on le disait insubmersible et que même Dieu n'aurait pu le couler...[/center]
En réalité, Ballard a besoin de la caution de l?organisme scientifique français pour monter une expédition sur le paquebot et vendre les droits photographiques aux médias. Son système Argo ne pouvant prospecter une zone au milieu de l?Atlantique, s?adjoindre les services du Sar lui permet d?offrir des garanties de réussite. Un accord vite conclu, les prospections commencent en août 1985. « Tous les renseignements disponibles indiquaient que l?épave se trouvait à l?ouest du 50° degré de longitude, raconte P.H. Nargeolet. Or, le Carpathia a récupéré les rescapés trois heures après le naufrage par 49° 53° ouest. Cette position sensiblement différente pouvait en partie se justifier par la présence du Gulf Stream. Mais les naufragés n?ont pas pu dériver d?une quinzaine de milles en trois heures. Les historiens ont cru à la position donnée par le Titanic, ce qui était une erreur. »
Pourquoi cette différence ?
L?équipage du Titanic s?estimait plus à l?ouest, car il naviguait à l?estime depuis son dernier point de midi, soit depuis près de douze heure, alors qu?il venait de rentrer en plein dans le Gulf Stream. Or les différentes campagnes d?exploration menées dans la zone ont parfois rencontré des courants de 4 n?uds. L?équipe franco-américaine décide donc de prospecter à partir de la zone où ont été recueillis les naufragés. Le bateau de l?Ifremer, armé du Sar, programmé pour prospecter à 180 mètres du fond, doit couvrir les 85% de la zone où l?épave a le plus de chances de se trouver. En cas d?échec, il est prévu que le navire américain prenne le relais. En réalité, Robert Ballard s?est réservé la zone de l?épave.
Ironie de l?affaire : lorsque l?expédition démarre, par la zone attribuée à l?Ifremer, le Sar repère à sa première descente une importante anomalie magnétique. Cette anomalie correspond ( on le saura plus tard ) au Titanic. Mais personne n?y croit sauf les deux ingénieurs du Leti ( Laboratoire d?électronique et de technologie d?instrumentation ) qui s?occupent du magnétomètre. « Sur le bateau, les autres ont pensé qu?il s?agissait d?un « rat bleu »- une incohérence technologique en langage de sous-marinier. S?ils avaient cru au tracé magnétique, le Titanic aurait été trouvé dans la demi-heure suivante », reconnaît Paul Henri Nargeolet. La campagne du Suroît se termine fin août sans que le sonar soit repassé aux abords de l?épave. Toute l?équipe de recherche embarque alors sur le Knorr, venu prendre la relève avec l?Argo. « L?Argo n?a rien avoir avec le Saroît, précise Nargeolet. Dans un cas, il s?agit d?un sonar qui balaye une vaste zone, dans l?autre, d?une caméra au bout d?un fil, qui fait des « spaghettis » au fond : le chariot va où il veut. Dès que le bateau avance, il part en pendule à 500 mètres, et se balade de façon désorganisée. »
Par chance, au moment où l?engin passe au-dessus d?une des chaudières, Jean-Louis Michel surveille l?écran vidéo. Il comprend aussitôt l?intérêt de la silhouette détectée par les caméras. Et identifie l?épave. Le scénario est alors bouclé : les Américains peuvent s?attribuer officiellement la découverte du Titanic. Pour que les médias ne soient pas pris au dépourvu, un journal anglais a reçu dès le vendredi l?annonce de la découverte « pressentie » pour la nuit du samedi au dimanche suivante ! Et un hélicoptère, lui aussi commandé la veille, est sur place le dimanche matin pour récupérer les photos? « Ballard savait que la prospection arrivait dans la bonne zone, sourit P.H. Nargeolet. Il était donc sûr de trouver l?épave, à quelques heures près? » A quelques heures près? Au moment où l?Argo repère la chaudière du Titanic, Robert Ballard dort. Du sommeil du juste?