[large]Strauss-Kahn ou le Gouvernement mondial pour 2012 ![/large]
[right][small]Dominer l'économie mondial.[/small][/right]
[large]Sortir de la crise ?[/large]
Partout il fallait augmenter les déficits publics pour soutenir une demande privée qui s'était effondrée...
[center][youtube]http://www.youtube.com/watch?v=C64Mg5gecmM[/youtube][/center]
Seules les idées de gauche peuvent nous foutre dans la merde...
Allez voter pour eux ! Même ceux que vous croyez être avec vous du genre de la marine la peine à quoi ?
Tous nos politiques sont des vendus ou bien des lopes à l'affut de prébendes. Chez les grecs, pauvre d'eux, ils se sont fait bien voir et sans vaseline.
Faut expliquer à la populace façon Tavistock ...
La vidéo qui va bien ou on peut écouter le grand prophète, bien nourri, bandeur à souhait, suant sa suffisance, de notre soumission à venir.
http://www.dailymotion.com/video/xfn2d2 ... from=embed
Cela se passe en famille, toute l'interview.
Patrick Cohen reçoit dans le 7/9 de France Inter, Dominique Strauss-Kahn, Directeur Général du FMI .
(8h20 - 15 Novembre 2010).
Gaston Strauss-Kahn ou le Gouvernement mondial pour 2012 !
Moderator: Le Tocard
[large]Cocorico ! Trichet prend position pour une dictature mondiale ![/large]
16 novembre 2010 (Nouvelle Solidarité) ? A la tête du quatuor des collabos français de haut niveau (composé de Lamy à l?OMC, DSK au FMI et Noyer à la BRI), Jean-Claude Trichet ne cache plus sa volonté de ramener le monde à un règne féodal des puissances monétaristes. Le 13 novembre, dans une interview au Progrès, le gouverneur de la BCE a demandé la fin de l?ordre « westphalien », selon lequel le monde opère sur la base d?Etats-Nations souverains coopérant dans leur intérêt mutuel.
« Nous avons encore aujourd?hui une gouvernance bâtie sur les Etats souverains eux-mêmes, un monde « westphalien » et qui ne correspond pas aux besoins nouveaux de gouvernance d?une économie mondiale intégrée. Le grand défi de la période présente est d?accélérer le passage à une gouvernance mondiale qui soit à la mesure du monde nouveau que nous avons progressivement créé, particulièrement au cours des vingt dernières années après l?effondrement de l?empire soviétique et la conversion des grands pays émergents à l?économie de marché. »
Mais ne nous emportons pas contre ce pauvre Jean-Claude, qui après-tout, est sincère dans sa démarche : il sert de son mieux les intérêts en place. Rétablissons des deux côtés de l?Atlantique la séparation Glass-Steagall entre banque de dépôt et banque d?affaire pour mettre en faillite les spéculateurs, et les Trichet disparaîtront avec les actifs toxiques qu?ils ont couvés. La seule question est de le faire à temps, avant que la politique d?hyperinflation des banques centrales ne nous explose à la figure.
16 novembre 2010 (Nouvelle Solidarité) ? A la tête du quatuor des collabos français de haut niveau (composé de Lamy à l?OMC, DSK au FMI et Noyer à la BRI), Jean-Claude Trichet ne cache plus sa volonté de ramener le monde à un règne féodal des puissances monétaristes. Le 13 novembre, dans une interview au Progrès, le gouverneur de la BCE a demandé la fin de l?ordre « westphalien », selon lequel le monde opère sur la base d?Etats-Nations souverains coopérant dans leur intérêt mutuel.
« Nous avons encore aujourd?hui une gouvernance bâtie sur les Etats souverains eux-mêmes, un monde « westphalien » et qui ne correspond pas aux besoins nouveaux de gouvernance d?une économie mondiale intégrée. Le grand défi de la période présente est d?accélérer le passage à une gouvernance mondiale qui soit à la mesure du monde nouveau que nous avons progressivement créé, particulièrement au cours des vingt dernières années après l?effondrement de l?empire soviétique et la conversion des grands pays émergents à l?économie de marché. »
Mais ne nous emportons pas contre ce pauvre Jean-Claude, qui après-tout, est sincère dans sa démarche : il sert de son mieux les intérêts en place. Rétablissons des deux côtés de l?Atlantique la séparation Glass-Steagall entre banque de dépôt et banque d?affaire pour mettre en faillite les spéculateurs, et les Trichet disparaîtront avec les actifs toxiques qu?ils ont couvés. La seule question est de le faire à temps, avant que la politique d?hyperinflation des banques centrales ne nous explose à la figure.
[large]La pyramide européenne future assise du NOM[/large]
[justify]Quelques images à l'usage de ceux qui croient encore au droit de vote, à la sainteté des dirigeants religieux, au Père Noël, etc.[/justify]
[center]Les faiseurs apparents du NOM
La véritable chienlit est encore cachée[/center]
[center]ON va tous vous niquer[/center]
[center]Le peuple d'Akum
Tu la sens mon p'tit Lulu[/center]
[center]______________________[/center]
[justify]Quelques images à l'usage de ceux qui croient encore au droit de vote, à la sainteté des dirigeants religieux, au Père Noël, etc.[/justify]
[center]Les faiseurs apparents du NOM
La véritable chienlit est encore cachée[/center]
[center]ON va tous vous niquer[/center]
[center]Le peuple d'Akum
Tu la sens mon p'tit Lulu[/center]
[center]______________________[/center]
Last edited by TitiLeParisiard on Fri Nov 19, 2010 8:54 am, edited 1 time in total.
[large]Les comptes publics de la Grèce sont plus dégradés qu'on ne le pensait[/large]
[justify]L'office européen des statistiques, Eurostat, a révisé à la hausse le niveau de la dette et du déficit publics de la Grèce, pour 2009. Désormais, le déficit a représenté l'année dernière 15,4% du PIB et la dette 126,8%.[/justify]
En Grèce, chaque révision des statistiques des finances publiques fait apparaître une situation qui s'avère bien pire que prévu initialement. Lundi, l'Office des statistiques européennes, Eurostat, a indiqué que le déficit public grec en 2009 a représenté, 15,4% du PIB, contre 13,9 % estimé précédemment. devenant le premier déficit de la zone en dépassant celui de l'Irlande.
Seule consolation pour Athènes, les experts de Bruxelles précisent que " Eurostat et l'office statistique grec ont clarifié, au cours d'une série de visites méthodologiques, toutes les questions soulevées lors de la dernière réserve".
La dette publique, elle, a représenté en 2009 126,8% du PIB, pour s'élever à 298 milliards d'euros, devenant dan s ce cas aussi la première en pourcentage de l'Union européenne puisque elle dépasse désormais celle de l'Italie, qui s'affiche à 116% du PIB.
Cette nouvelle dégradation des comptes publics hellènes est due à la prise en compte du solde négatif réalisées en 2007 sur des opérations ("swap") sur les marchés financiers qui se sont traduites par un impact de 5,323 milliards d'euros sur le budget 2009.
Cette révision a surtout pour conséquence de rendre impossible pour le gouvernement d'Athènes l'objectif initial de ramener cette année son déficit public à 7,8% du PIB et 7% en 2011. Athènes cherche en effet à faire preuve de vertu budgétaire pour pouvoir revenir au plus tôt sur les marchés financiers pour pour emprunter. D'ores et déjà, le gouvernement grec prévoit un déficit de l'ordre de 9,4% du PIB pour cette année.
Dimanche, le Premier ministre grec, George Papandreou, qui avait révélé lors de son élection en septembre 2009 que les statistiques du pays ne reflétaient pas la réalité de la situation, a d'ailleurs évoqué l'option d'un rééchelonnement des remboursements de la dette souveraine. Dès sa prise de fonction, le responsable socialiste a dû adopter un train de mesures de rigueur, et faire appel à Bruxelles pour recevoir après des mois d'atermoiements une aide de 110 milliards de la part de l'Union européenne et du Fonds monétaire international (FMI).La Grèce ne pouvait en effet plus emprunter en raison des taux records exigés par les investisseurs.
Conséquence de cette politique de rigueur, le pays connaît une récession économique. Selon Eurostat, le PIB s'est contracté au troisième trimestre de 1,1%, par rapport au deuxième trimestre, et le taux du chômage s'élève désormais à 12%.
[center]Notre souffrance est leur bonheur[/center]
_______________________
[small]par tequila_sunrise[/small]
Les chiffres avancés par les merdiats sont tous absolument faux. L?endettement est dénué de provisions.
Pour l?Allemagne, l?endettement total atteint 418% du PIB ; pour la France il est de 549% ; pour la Grèce, il est de 875%.
Pour les Etats-Zunis tel que le calcule la firme Sportt Asset Management (SAM) de Toronto, la dette totale s?élève à 110 trillions de dollars US soit 730% du PIB.
Quel que soit la dette il est impossible de la payer, il s?agit juste de retarder l?échéance. Alan Greenspam n?avait pas exagéré en confiant en 2004 que l?or monterai au delà des 3000$ l?once, car "la création monétaire doit correspondre à la richesse créée".
______________
Gaston du FMI peut être fière de son propos
Très curieusement, le gouvernement socialiste s?en est bien tiré aux élections, et le PASOK (parti au pouvoir) a même repris le pouvoir aux élections municipales à Athènes.
Faut-il comprendre alors que finalement, la population donnerait "raison" à la rigueur gouvernementale ? La question reste posée.
L?aggravation du déficit annoncé peut résulter de la minoration antérieure des véritables déficits afin de se concilier l?aide de l?Union dans son plan de sauvetage ; en gros, le "mistigri" ressortirait à présent. Une autre possibilité, est que la Rigueur extrême achève une économie déjà moribonde. Tuant la consommation, encourageant l?épargne (comme aux Etats-Unis) la rigueur passé un certain degré est un remède pire que le mal.
Comme indiqué dans l?article :
"Conséquence de cette politique de rigueur, le pays connaît une récession économique. Selon Eurostat, le PIB s?est contracté au troisième trimestre de 1,1%, par rapport au deuxième trimestre, et le taux du chômage s?élève désormais à 12%."
Le constat est alors celui-ci : la généralisation de la "rigueur" à d?autres cas désespérés, l?Irlande et le Portugal sans oublier la Grande-Bretagne, qui s?est dotée d?un plan drastique...ne pourra que précipiter l?apocalypse économique et financière de l?ensemble de l?Union Européenne, et bien entendu, aux Etats-Unis aussi (bien que la "rigueur" n?y soit pas encore à l?ordre du jour grâce à la "planche à dollars").
[center][large]La solution est pourtant simple[/large][/center]
[justify]La seule façon d?en sortir, serait la remise à zéro des dettes, largement "fictives" et contractées auprès des "marchés financiers", autrement dit, auprès des usuriers des banques internationales et des milliardaires spéculateurs qui ont déclenché la crise ...[/justify]
[justify]L'office européen des statistiques, Eurostat, a révisé à la hausse le niveau de la dette et du déficit publics de la Grèce, pour 2009. Désormais, le déficit a représenté l'année dernière 15,4% du PIB et la dette 126,8%.[/justify]
En Grèce, chaque révision des statistiques des finances publiques fait apparaître une situation qui s'avère bien pire que prévu initialement. Lundi, l'Office des statistiques européennes, Eurostat, a indiqué que le déficit public grec en 2009 a représenté, 15,4% du PIB, contre 13,9 % estimé précédemment. devenant le premier déficit de la zone en dépassant celui de l'Irlande.
Seule consolation pour Athènes, les experts de Bruxelles précisent que " Eurostat et l'office statistique grec ont clarifié, au cours d'une série de visites méthodologiques, toutes les questions soulevées lors de la dernière réserve".
La dette publique, elle, a représenté en 2009 126,8% du PIB, pour s'élever à 298 milliards d'euros, devenant dan s ce cas aussi la première en pourcentage de l'Union européenne puisque elle dépasse désormais celle de l'Italie, qui s'affiche à 116% du PIB.
Cette nouvelle dégradation des comptes publics hellènes est due à la prise en compte du solde négatif réalisées en 2007 sur des opérations ("swap") sur les marchés financiers qui se sont traduites par un impact de 5,323 milliards d'euros sur le budget 2009.
Cette révision a surtout pour conséquence de rendre impossible pour le gouvernement d'Athènes l'objectif initial de ramener cette année son déficit public à 7,8% du PIB et 7% en 2011. Athènes cherche en effet à faire preuve de vertu budgétaire pour pouvoir revenir au plus tôt sur les marchés financiers pour pour emprunter. D'ores et déjà, le gouvernement grec prévoit un déficit de l'ordre de 9,4% du PIB pour cette année.
Dimanche, le Premier ministre grec, George Papandreou, qui avait révélé lors de son élection en septembre 2009 que les statistiques du pays ne reflétaient pas la réalité de la situation, a d'ailleurs évoqué l'option d'un rééchelonnement des remboursements de la dette souveraine. Dès sa prise de fonction, le responsable socialiste a dû adopter un train de mesures de rigueur, et faire appel à Bruxelles pour recevoir après des mois d'atermoiements une aide de 110 milliards de la part de l'Union européenne et du Fonds monétaire international (FMI).La Grèce ne pouvait en effet plus emprunter en raison des taux records exigés par les investisseurs.
Conséquence de cette politique de rigueur, le pays connaît une récession économique. Selon Eurostat, le PIB s'est contracté au troisième trimestre de 1,1%, par rapport au deuxième trimestre, et le taux du chômage s'élève désormais à 12%.
[center]Notre souffrance est leur bonheur[/center]
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[small]par tequila_sunrise[/small]
Les chiffres avancés par les merdiats sont tous absolument faux. L?endettement est dénué de provisions.
Pour l?Allemagne, l?endettement total atteint 418% du PIB ; pour la France il est de 549% ; pour la Grèce, il est de 875%.
Pour les Etats-Zunis tel que le calcule la firme Sportt Asset Management (SAM) de Toronto, la dette totale s?élève à 110 trillions de dollars US soit 730% du PIB.
Quel que soit la dette il est impossible de la payer, il s?agit juste de retarder l?échéance. Alan Greenspam n?avait pas exagéré en confiant en 2004 que l?or monterai au delà des 3000$ l?once, car "la création monétaire doit correspondre à la richesse créée".
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Gaston du FMI peut être fière de son propos
Très curieusement, le gouvernement socialiste s?en est bien tiré aux élections, et le PASOK (parti au pouvoir) a même repris le pouvoir aux élections municipales à Athènes.
Faut-il comprendre alors que finalement, la population donnerait "raison" à la rigueur gouvernementale ? La question reste posée.
L?aggravation du déficit annoncé peut résulter de la minoration antérieure des véritables déficits afin de se concilier l?aide de l?Union dans son plan de sauvetage ; en gros, le "mistigri" ressortirait à présent. Une autre possibilité, est que la Rigueur extrême achève une économie déjà moribonde. Tuant la consommation, encourageant l?épargne (comme aux Etats-Unis) la rigueur passé un certain degré est un remède pire que le mal.
Comme indiqué dans l?article :
"Conséquence de cette politique de rigueur, le pays connaît une récession économique. Selon Eurostat, le PIB s?est contracté au troisième trimestre de 1,1%, par rapport au deuxième trimestre, et le taux du chômage s?élève désormais à 12%."
Le constat est alors celui-ci : la généralisation de la "rigueur" à d?autres cas désespérés, l?Irlande et le Portugal sans oublier la Grande-Bretagne, qui s?est dotée d?un plan drastique...ne pourra que précipiter l?apocalypse économique et financière de l?ensemble de l?Union Européenne, et bien entendu, aux Etats-Unis aussi (bien que la "rigueur" n?y soit pas encore à l?ordre du jour grâce à la "planche à dollars").
[center][large]La solution est pourtant simple[/large][/center]
[justify]La seule façon d?en sortir, serait la remise à zéro des dettes, largement "fictives" et contractées auprès des "marchés financiers", autrement dit, auprès des usuriers des banques internationales et des milliardaires spéculateurs qui ont déclenché la crise ...[/justify]