On pourra dire merci à des gugus comme Morphéus.
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[justify]Madame, Monsieur,
Suite à une longue réflexion, nous prenons la décision d?arrêter la diffusion de la lettre confidentielle LIESI au format PDF, et nous vous prions de bien vouloir nous excuser pour ce désagrément. Nous conservons uniquement sa diffusion au format papier. Le numéro 228 a été posté hier, 15 avril 2011 à l?ensemble de tous les abonnés.
La raison principale est la préservation du caractère confidentiel de la lettre, ceci alors que depuis quelques mois nous constatons sa publication sur des sites internet ou même sa diffusion par e-mails, sans notre autorisation, jusqu'à plusieurs centaines d?exemplaires !
Nous déplorons cette diffusion par des personnes insouciantes qui ne comprennent pas que nos «démoncraties » représentent déjà un paradigme de dictature. Cette diffusion sauvage finit par nous exposer dangereusement, ainsi que nos sources.
La perte d'abonnements au format PDF constitue immanquablement un coût important pour nous, mais c?est le prix à payer pour la survie de LIESI. Cette décision survient avec la publication du numéro 228 dont le caractère confidentiel est plus que jamais nécessaire.[/justify]
La rédaction de LIESI.
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DES RÉVOLUTIONS ARABES ORIENTÉES = DES RÉVOLUTIONS DU CARTEL BANCAIRE
La Banque Zitouna au c?ur des enjeux dans les révolutions arabes
[justify]Dans le précédent Morphéus nous avons évoqué les révolutions arabes en insistant sur la fait qu?elles n?étaient pas totalement fortuites. Le processus de mondialisation par régionalisation et destruction des états nations est évidemment à l??uvre dans cette histoire. Suite à cet article, j?ai été invité sur Radio Ici et Maintenant à faire une émission sur le sujet. Nous avons alors révélé que les tenants de la démocratie avaient été formé aux USA depuis au moins trois ans, que les tracts en arabes invitant à la révolte au nom d?Allah ont été conçu au Pentagone et que certaines de nos sources disposaient dès décembre 2010, de la liste des révolutions à venir dans les pays arabes avec les dates de déclenchement de ces dernières. La Tunisie figurait évidemment en premier pour une raison expliquée avec brio par Mr Delacroix ci-dessous.[/justify]
Extraits de LIESI n° 226 (Lettre d?Informations Économiques et Stratégiques Internationales)
Chute prévisible des banques occidentales
Contrairement à la croyance populaire, les finances mondiales ne sont pas sous le contrôle des banques centrales, mais de leurs actionnaires, c?est-à-dire de quelques familles richissimes. Comme elles contrôlent l?émission monétaire des pays par l?intermédiaire de leur banque centrale, et comme elles prêtent de l?argent à ces pays à un coût de plus en plus élevé, ces familles oligarchiques gagnent de plus en plus d?argent et donc de pouvoir.
La Tunisie, l?Egypte, le Yémen, la Jordanie et l?Algérie, etc., tous ces pays sont sous leur contrôle. Un problème se pose cependant. Depuis la financiarisation des économies occidentales et la faillite des banques de l?Ouest, un sujet inquiète le cartel bancaire : le fulgurant développement du système des banques islamiques au Moyen-Orient. Pour les responsables du système bancaire islamique pratiquant la charia, l?usure ou l?intérêt sont interdits. De même que tous les investissements dans des biens ou des services contraires à l?Islam sont condamnés. En revanche, les investisseurs perçoivent un revenu de leur placement ; ce profit est généré par l?objet de l?investissement et non par l?argent lui-même. Cela permet une plus grande stabilité en période économique très houleuse, comme aujourd?hui. De fait, le développement de la banque islamique se heurte aux principes usuraires du cartel bancaire Rothschild/Rockefeller.
[right][small]Mohamed Ridha Chalghoum, ministre des finances tunisien (à droite),
avec Taoufik Baccar, gouverneur de la Banque centrale (à gauche),
le 28 mai 2010, à l'ouverture du siège de la banque Zitouna,
en compagnie de Sakher el-Materi, fondateur de la banque et filleul de l'ex-président Ben Ali.
AFP PHOTO/FETHI BELAID[/small][/right]
Création de la Banque Zitouna
[justify]Tant que les taux d?intérêt restent bas, la situation est sous contrôle, mais dans la perspective (prochaine) de leur hausse, le système de la banque islamique devient une menace évidente pour le cartel bancaire. Il y a 1 500 milliards de dollars de richesse privée à capter dans le Golfe. Or, justement, c?est en Tunisie que fut créée la première banque islamique de l?Afrique du Nord ! La Zitouna Bank (prêteur sans intérêts) fut en effet ouverte le 26 mai 2010 par Sakher El Materi, gendre de l?ex-président tunisien Ben Ali ! The Telegraph du 19 octobre 2010 affirmait que « le président Ben Ali soutenait un projet consistant à faire de la Tunisie un centre régional de la finance islamique pour l?ensemble de l?Afrique du Nord ». Le journal britannique révélait que des financiers saoudiens, impliqués dans ce projet, espéraient que ce dispositif pourrait permettre à la Tunisie de tirer profit de sa position stratégique au sein de la Méditerranée et devenir de fait un pont entre l?Union européenne et les économies à croissance forte de l?Afrique du Nord et de l?Afrique subsaharienne.[/justify]
La peur du Cartel Bancaire
Depuis le développement de ce processus, et craignant un effet boule de neige, il y eut des discussions serrées au sein du cartel bancaire. La finance islamique représente mille milliards de dollars américains sur le marché financier international. En outre, selon un haut responsable de Zitouna Banque, certains pays arabo-musulmans auraient même exprimé leur intérêt pour y investir, dont les Emiratis, les Qataries, les Koweïtiens et bien entendu les Saoudiens. Face au succès du système financier islamique, à son développement, à son principe « Vous ne pouvez pas faire de l?argent à partir de rien », le cartel bancaire a conclu que le réseau des banques occidentales classiques était menacé. D?où l?urgence d?une décision. Le problème a été étudié d?autant plus sérieusement qu?en 2009, les actifs bancaires de la finance islamique atteignaient déjà 400 milliards de dollars.
Zitouna une menace pour Rothschild
En novembre 2010, The Banker publiait un document listant les 500 institutions financières islamiques « faisant référence ». En tête, des banques iraniennes (sept des dix premières banques du classement) ! Finalement, l?exécutif du cartel bancaire décida de donner une leçon aux dirigeants et banquiers islamiques, comme on l?avait fait avec Saddam Hussein dans un autre domaine, lorsque ce dernier avait annoncé ne plus vendre le pétrole d?Irak en dollar US. Notre source fréquentant l?exécutif du cartel bancaire indiquait récemment que les financiers musulmans du Bahrein, qui ont l?intention d?attirer les investissements de l?ensemble du monde musulman en se présentant comme les gardiens scrupuleux de !a bonne gouvernance de la finance islamique, sont en pleine réflexion... Plus, le 28 mai 2010, un peu plus de sept mois avant le coup d?état du cartel bancaire contre Ben Ali, Business Time signalait : « L?Afrique du Nord a commencé à adopter les règles de la finance islamique après l?avoir étudiée durant des années. La Tunisie est une des économies les plus ouvertes de la région et elle attire déjà de nombreux capitaux de l?Union européenne. Un phénomène qui va s?amplifier à partir de 2014, puisque le gouvernement de Ben Ali a affirmé qu?il ferait de sa monnaie (le dinar tunisien) une devise entièrement convertible ».
Dans la foulée, Finance News du 31 mai 2010 indiquait : « Zitouna Bank cherche à donner une dimension régionale à ses activités, tout particulièrement dans la région du Maghreb, d?autant plus qu?elle est la première banque spécialisée n?appartenant pas à un groupe bancaire étranger. La banque, pratiquant !e modèle de la finance islamique, cherchera à établir des relations solides avec les banques du Maghreb et celles de la Méditerranée pour assurer une évolution satisfaisante des opérations financières de ses clients ». « L?institution financière est en train d?établir des relations très solides avec douze banques islamiques proche de l?institut bancaire du Bahrein ».
II ne fait aucun doute que le développement de cette pratique de la charia au niveau bancaire, constitue une menace pour les profits des banques centrales contrôlées par le cartel bancaire. D?ailleurs, quelques semaines après le limogeage de l?ancien agent de la CIA Ben Ali, la presse financière internationale posait cette question : « Le départ brutal de Sakher El Materi et la mise sous séquestre de toutes ses possessions sonneraient-ils le glas de la finance islamique grand public en Tunisie ? » Commentaire de la presse tunisienne : « Dans cette période d?ambiguïté dans laquelle baigne le pays, on va certainement transiter par des situations où les appréciations générales restent tributaires du bon vouloir de certaines personnes qui veulent se préserver et protéger leurs intérêts ».
Zitouna saisie par la Rothschild
Le 20 janvier 2011, la Zitouna-Bank était saisie par la Banque centrale tunisienne, sous le contrôle des Rothschild, les leaders du cartel bancaire. Tous les pions politiciens de l?Occident, sous la coupe du cartel bancaire, ordonnèrent à l?unisson le gel des « méchants tunisiens ».
II faut maintenant suivre de près l?évolution des banques islamiques en Egypte et tous les autres pays arabes, africains où les pions du cartel bancaire feront tout pour les mettre en difficulté, ce afin de montrer leur vulnérabilité et de nuire ainsi à la confiance qu?elles inspirent dans le monde islamique et même en Occident.
Révolutions du Cartel bancaire au nom de la démocratie
Les financiers des révolutions spontanées en Tunisie et en Egypte sont tellement généreux qu?ils se disent prêts à offrir la « démocratie » aux peuples concernés. Cette démocratie qui permet à un dirigeant arabe d?être un bon démocrate s?il obéit gentiment à Washington, et peu importe alors s?il ordonne de faire tirer sur la foule et de tuer des gens ; comme c?est aujourd?hui le cas en Arabie Saoudite ou au Bahrein ! Ces démocrates arabes seront toujours reçus avec tapis rouge par les chantres de la religion démocratique en Occident. Curieusement, l?un des hommes qui s?apprête, en Egypte, à offrir les services du cartel bancaire, est El Baradei. Ce que les médias cachent soigneusement est qu?El Baradei est administrateur de l?International Crisis Group, organisme chapeauté par les Rothschild... Un autre membre de ce groupe est Z. Brzezinski, le mentor d?Obama. G. Soros est aussi de la partie comme membre du comité exécutif.
Comme cela fut fait pour l?Occident, le cartel bancaire veut imposer ses propres règles bancaires d?usure et de servage aux autres peuples. Les musulmans doivent emprunter aux banques du Cartel et Ben Ali a commis une grave erreur : penser un seul instant qu?il pourrait faire de la Tunisie le centre financier de l?Afrique du Nord et promouvoir les règles de la finance islamique. II a oublié qu?il n?était qu?un pion sur un jeu d?échiquier où les joueurs sont capables de sacrifier une pièce pour la remplacer.
La Guerre pour la Rothschild et la Rockefeller
Avec le développement de la banque islamique sans intérêts certains pays d?Afrique et du Golf trouvaient là un moyen d?échapper aux règles destructrices du système bancaire occidental ou du FMI. La Tunisie, s?apprêtait d?ailleurs à abandonner les règles du jeu bancaire de l?establishment. Depuis quelques semaines, le leader Kadhafi a commencé à négocier des échanges avec Hugo Chavez, afin de ne plus vendre son pétrole en dollars. La clique Rockefeller a cependant l?intention de reprendre le contrôle du pétrole libyen. Comme les Etats-Unis sont déjà impliqués militairement à de multiples endroits, Barack Obama a eu pour consigne d?activer les seconds couteaux pour agir au nom du Cartel. C?est là qu?intervient Monsieur Nicolas Sarkozy mettant l?armée française au service du Cartel en Afrique, engageant une guerre en Libye et en Côte d?Ivoire Cela explique aussi la retenue d?Angela Merkel et de Berlusconi qui, tous deux, se rapprochent inéluctablement du Kremlin...
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Un autre modèle, à découvir :
N'oublions pas que les chrétiens aussi ne doivent pas prêter avec usure
[large]La Finance islamique ; La Finance et l'éthique.[/large]
La finance islamique arrive en France
[small]d'Houssen ISSOP-MAMODE d'Acacia Finance[/small]
A La Réunion, de plus en plus notre communauté recherche des formules innovantes leur permettant d?investir tout en respectant nos principes religieux. La question du crédit bancaire se pose alors avec son incontournable taux d'intérêts. Plus que le montant du taux, c'est le principe de l'emprunt avec intérêt qui pose problème. Sous la dénomination de « Riba », la pratique de l'intérêt est prohibée. Malheureusement cette pratique est la règle dans l'ensemble du système bancaire classique. Au c?ur du dispositif de l'économie islamique, on retrouve le souci permanent d'éviter le Riba.
Il convient donc de rappeler que parallèlement à l?interdiction de l?usure, la Shariah a prévu un système financier alternatif. Pas de placement dans des produits dangereux comme le tabac. Aucun investissement dans des entreprises qui touchent à l'alcool ou à la pornographie. Pas de taux d'intérêts ... La question est alors naturelle : comment fonctionne une banque islamique ?
Le Système Financier Islamique
Le principe général de la banque islamique est de s'engager à partager à la fois les profits et les pertes de ses clients (..) Il s'agit, en somme, de traduire, dans l'univers de l'économie et des finances, le système de valeurs appliqué par les musulmans que nous sommes dans les aspects de notre vie quotidienne.
Selon cette approche, l'objectif clé est de promouvoir, dans le contexte économique actuel, un ensemble de produits financiers qui exclue la pratique de Riba (l'intérêt). L'accent est alors mis sur le partage des pertes, des risques tout comme des bénéfices entre les investisseurs et les acteurs d'un projet. La valeur du travail se trouve ainsi rehaussée. Dans l'esprit, les instruments financiers Shariah compatibles sont difficilement comparables aux usages des banques classiques. Mais sur un plan technique, leur rapprochement n'est pas dénué de sens.
Des outils financiers basés sur l'éthique
Un client présente un dossier de crédit ordinaire. La banque accepte de fournir une partie des capitaux propres et du fond de roulement nécessaire. En cas de profits, ils sont partagés entre le client et la banque selon un ratio convenu au départ. En cas de pertes, elles sont partagées selon le degré de participation de chaque parti au capital. Ce mode de financement est appelé Moucharaka. Il convient au projet à long et moyen termes.
La Moudaraba est un mode de financement comparable à ce qui se fait dans les sociétés d'investissement. La banque peut fournir la totalité des capitaux requis pour le projet que présente un client. Ce dernier n'apporte alors que ses compétences et sa capacité de gérer le projet. Les profits sont partagés par les deux partis selon un taux préfixé. Les pertes sont entièrement supportées par la banque. Le client perd néanmoins la valeur du travail qu'il a fourni durant l'exercice de son projet.
Le système de l'Ijar est facilement assimilable à un système de location ou de crédit-bail. Il convient au financement de véhicules, machines, etc. La banque prend l'engagement d'acheter les équipements ou les bâtiments dont le client a besoin pour son projet. Elle les met à sa disposition moyennant un loyer direct durant une période de temps déterminée. Le système peut être amélioré dans certains cas où le client prend l'option de devenir propriétaire du matériel au terme de la période de location. On parle alors de Ijar wa Iktina. Dans ce cas, le client ouvre un compte d'épargne où il verse régulièrement un certain montant. Par la suite, le réinvestissement du capital accumulé travaille en sa faveur et lui permet d'amortir le coût de la location de départ. Un versement d'acompte peut intervenir dans certains cas.
Pour les financements à court terme, le principe utilisé est généralement le Mourabaha. La banque s'engage à fournir des biens selon un contrat de gré à gré prévoyant la revente au client avec une marge bénéficiaire fixée d'avance. Ce qui évite au client de souscrire un emprunt avec intérêts, comme dans une banque classique. Ce mode de financement est de loin le plus pratiqué dans les banques islamiques déjà existantes à travers le monde : c?est ce principe qui a été mis en ?uvre dans la plupart des solutions de placement Shariah compatible proposée actuellement à La Réunion.
Il existe aussi le Baïmouwajal, un système de financement de projet où la banque permet un paiement différé. Les frais de ce crédit sont aussi fixés d'avance.
Autant de possibilités de financements qui ont de quoi donner des idées aux banques des pays d?Europe. Aujourd?hui l?Angleterre s?est lancée, demain la France ?
Le système de banque islamique a un marché à prendre en France.
Le marché de la finance islamique est en pleine expansion, car les musulmans des pays occidentaux gagnent de plus en plus d'argent. Aujourd?hui les gens sont devenus regardants sur l'usage qui est fait de leur argent et ne se laissent plus guider par le seul appât du gain. Les investisseurs sont généralement disposés à réduire leurs gains à condition que leur argent soit utilisé à des fins conformes à leurs valeurs.
Quatre-vingts pays dans le monde ont déjà des institutions bancaires à caractère islamique avec des résultats satisfaisants. Elles ont en commun, le respect de l'éthique musulmane dans leurs modes de fonctionnement. Autrement, ces banques offrent les services habituels des banques classiques : comptes courants, cartes de crédits, crédit immobilier ? etc. Dans les pays du Golfe l'expérience de banque islamique a déjà fait ses preuves depuis longtemps, en Europe on commence à peine à l?envisager.
http://zarabes.blogspirit.com/archive/2 ... rance.html
Et en visitant le blog de illusions de mouvements, je trouve ceci, qui confirme mon article (NB j'avais prévu depuis longtemps de vous parler de la finance islamique, j'ai préparé toutes sortes d'infos à ce sujet que j'approfondirai une autre fois - Eva)
En réalité, et Benoît XVI nous pardonnera, au moment où nous traversons une crise financière qui balaie tous les indices de croissance sur son passage, c?est plutôt le Coran qu?il faut relire que les textes pontificaux. Car si nos banquiers, avides de rentabilité sur fonds propres, avaient respecté un tant soit peu la charia, nous n?en serions pas là.
Il ne faut pourtant pas voir la finance islamique comme un exercice de troc moyenâgeux, car les pays du Golfe nous ont montré combien leur mentalité entrepreneuriale savait épouser le XXIe siècle. Simplement, leurs banquiers ne transigent pas sur un principe sacré : l?argent ne doit pas produire de l?argent. La traduction de cet engagement est simple : tout crédit doit avoir en face un actif bien identifié. Interdits, les produits toxiques ; oubliés, les ABS et CDO que personne n?est capable de comprendre. Autrement dit, l?argent ne peut être utilisé que pour financer l?économie réelle. Il n?y a donc pas de hasard : si les banques du Golfe sont sorties indemnes de la crise du subprime, c?est qu?elles n?y sont pas entrées.
Le respect de ce principe du Coran est également fort utile dans la relation que chacun entretient avec l?argent, qu?il s?agisse des entreprises ou des particuliers : les personnes morales n?ont ainsi pas le droit de s?endetter au-delà de leur capitalisation boursière ; quant aux personnes physiques, elles ne peuvent de facto souffrir de surendettement.
Voilà des règles qui ne peuvent pas nuire. Et même si elles reposent sur un texte qui date du VIIe siècle, Benoît XVI aura du mal à faire des sermons davantage puisés dans l?actualité.
DES RÉVOLUTIONS ARABES ORIENTÉES = DES RÉVOLUTIONS DU CARTEL
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