Nourrisson Paul

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[center][large]Nourrisson Paul[/large][/center]
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[center][large]Les Jacobins au Pouvoir[/large]
NOUVELLES ÉTUDES SUR LA FRANC-MAÇONNERIE CONTEMPORAINE
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[center][large]Nourrisson Paul - Les Jacobins au Pouvoir.pdf (14.76 MB)
http://www.histoireebook.com/index.php? ... temporaine[/large][/center]

[center]INTRODUCTION[/center]

[justify]Ce n'est point pour la triste satisfaction de constater les ravages du mal dont nous avions depuis longtemps, à côté d'autres écrivains et publicistes, affirmé la gravité, que nous rassemblons ici les études publiées depuis plusieurs années. Nous n'avions aucun mérite à prévoir des faits qui devaient être la conséquence logique des résolutions prises et des desseins poursuivis par une secte dont la tyrannie ne connaît plus de limites. Depuis que cette action néfaste s'est manifestée avec une évidence qui ne peut plus être méconnue, depuis surtout que les documents authentiques qui démontrent cette action ont été de tous côtés mis au jour, un grand mouvement s'est fait dans l'esprit public. La question maçonnique est posée, dégagée des absurdités ou des fables dont on l'avait obscurcie pour le plus grand avantage de ceux qui trouvaient un facile moyen de défense dans le ridicule dont ils couvraient de trop crédules adversaires.[/justify]

[center]La question maçonnique est devenue une question politique et sociale :[/center]

[justify]des écrivains d'opinions bien diverses l'ont compris, la presse le reconnaît. De cette question ainsi posée, les candidats aux élections municipales ou législatives s'inquiètent, l'opinion publique s'en préoccupe.
C'est un premier et important résultat. Mais, pour que l'opinion publique s'attache de plus en plus, sous toutes ses formes, à cette lutte pour la liberté, il faut que la lumière se fasse aussi de plus en plus sur ces doctrines et sur ces actes dont il suffit de montrer la réalité pour provoquer le réveil des sentiments de liberté et de patriotisme, nous dirons même du simple instinct de conservation, chez les citoyens que menace et qu'étreint déjà la plus odieuse des oppressions.
Dans une précédente étude ',nous avions montré, en groupant les différents documents que nous avions jusqu'alors analysés, que la Franc-Maçonnerie, société illégale et occulte, cherchait à s'emparer des pouvoirs publics.[/justify]

[center]Aujourd'hui son but est atteint :
les jacobins sont au pouvoir.
[/center]

Image[justify]Il faut le constater et considérer en même temps l'usage qu'ils en font pour montrer au pays, s'il en est temps encore, que le salut ne peut venir que d'un soulèvement de toutes ses forces vives contre une tyrannie qui fausse la Constitution et supprime toutes les garanties du droit et delà liberté. Cette tyrannie nous ramène aux excès révolutionnaires des plus mauvais jours de notre histoire nationale; elle nous fait rétrograder jusqu'aux actes de la monarchie absolue, les plus énergiquement flétris par les prétendus libéraux qui obéissent aux Loges.
« Louis XIV, disait récemment le Temps à propos du projet de loi sur l'enseignement secondaire voté par le Sénat, Louis XIV ne procédait pas différemment, il n'allait pas plus loin dans l'arbitraire, lorsqu'il fermait les écoles protestantes et jansénistes. Au moins Louis XIV était-il dans la logique de son principe. Il n'avait pas la prétention de passer pour libéral, et ne présentait pas les dragonnades comme une ?uvre d'émancipation de l'esprit humain. Pourquoi nos jacobins appliquent-ils à l'enseignement une législation qu'ils n'oseraient appliquer, par exemple, à la presse? Voyez-vous le Conseil des ministres pouvant supprimer un journal par simple décret, sans jugement ? »

Les jacobins sont donc au pouvoir, et les jacobins actuels sont les adeptes du club qu'on appelle le Grand-Orient. La chose est manifeste quand on se reporte aux comptes rendus annuels des Couvents. Déjà au Couvent de 1899, dans un discours que nous avons cité dans notre précédente publication, le F.'. Desmons saluait les membres du ministère Waldeck-Rousseau en ces termes : « C'est nous qui avons été appelés à les engager, à accepter cette mission. » On verra par l'analyse que nous donnons plus loin des dernières assemblées générales de la rue Cadet, que la secte acclame le ministère Combes et voit en lui l'exécuteur de ses volontés. Dans l'exaltation de la victoire elle va jusqu'à commettre une infraction à sa règle primordiale du secret, et décide l'envoi à la presse « profane » de son adresse de confiance et de félicitations au ministère de son choix et de la réponse déférente du chef de ce ministère. Elle proclame avec orgueil, par la bouche du président du conseil de Tordre, que c'est elle qui fait et défait les ministères, que le fameux bloc est le bloc « maçonnique ». Le chef de l'État, salué dans les derniers Couvents comme l'instrument des jacobins au pouvoir, le chef de l'État, auquel on adresse les plus insolentes injonctions, témoigne au pouvoir occulte et tout-puissant la même bienveillance que ses prédécesseurs.
Il suffit, pour en citer un exemple notable, de relever le discours prononcé par le F.'. Delpech, président du conseil de l'Ordre, lors du voyage en Algérie du président de la République, en lui présentant les délégations des Loges d'Algérie et de Tunisie : « Nous avons voulu apporter l'expression de notre profond respect au chef honoré de cette démocratie dont nous sommes les soldats actifs... Ces haines (les haines du fanatisme) dont le germe est ancien, grondent encore en quelques âmes réfractaires à l'idéal des sociétés nouvelles; notre association a pour objet de les contenir, de les apaiser, et même de les éteindre en projetant de la lumière dans les cerveaux obscurs. » Et, à cette tirade prétentieuse du représentant sans mandat légal d'un pouvoir contraire à la constitution, M. Loubet répond « de la manière la plus aimable ». C'est ce que nous apprend le compte rendu du Grand-Orient du 30 juin 1903.

Ce pouvoir qu'ont usurpé les Jacobins, qu'en font-ils? Les débats parlementaires, les lois votées dansées dernières années, les mesures prises parle ministère actuel et par celui qui Ta précédé, quand on les rapproche des délibérations maçonniques, qui ont élaboré ces lois et préparé ces mesures, le montrent clairement : la guerre au catholicisme, la guerre à la liberté religieuse, tel est leur idéal constant.
C'est ce qu'exprimait un des principaux organes de la secte au lendemain du dernier Convent. Dans son numéro du 27 septembre 1903 le journal l'Action se félicitait de voir se dégager du dernier Convent la manifestation de « l'entente entre les Trois Points et la Défroque ». De son côté, à la protestation de M. Ribot qui reprochait au Président du conseil de ramener toutes les questions à la lutte contre le cléricalisme, M. Combes répondait à la Chambre, dans la séance du 22 janvier dernier : « Je n'ai pris le pouvoir que pour cela. »

Voilà qui est bien net : toute la politique intérieure et extérieure d'un grand pays comme la France se ramène à la lutte contre la liberté religieuse. C'est vers ce point que converge toute la législation de ces dernières années, et par-dessus tout la loi sur le contrat d'association que M. Waldeck-Rousseau a fait voter sans pouvoir ignorer ce qu'en ferait la Maçonnerie au pouvoir, que M. Combes a fait appliquer de façon à satisfaire les jacobins les plus exigeants. Ajoutons ici, comme corollaires, la suppression constamment poursuivie de toute liberté d'enseignement, la démolition de l'armée, et l'oubli de tout patriotisme; tel est le programme des jacobins au pouvoir. Il n'est que juste, dans ces conditions, de constater « que le gouvernement de la République obéit à une puissance occulte qui, pour satisfaire sa haine contre l'Église, n'hésite pas à mettre les trois quarts des citoyens hors de la loi ». Il n'est que légitime, puisque la « question cléricale » domine toutes les autres, de réclamer tout d'abord, au nom de la liberté, la séparation de l'État et de la Franc-Maçonnerie qui le dirige illégalement.
Nous n'aurions pas besoin d'insister davantage pour montrer la nécessité de la connaissance des délibérations et documents maçonniques comme condition première de la lutte antijacobine, si nous n'avions à répondre à une objection qui s'est élevée contre l'opportunité de cette lutte elle-même.

Cette objection a été soulevée, sous une forme ironique, par nos adversaires : « Si vous savez, s'écriait le journal l'Action dans le numéro déjà cité, si vous savez que depuis vos crises de rage épileptique qui ont fini par répandre cette persuasion que la Maçonnerie est puissante et fort républicaine, puisqu'elle vous exaspère à ce degré, tout un monde de libres penseurs, de socialistes, s'est précipité vers les Loges; si vous savez que des rapprochements sous l'acacia entre bourgeois et ouvriers, entre radicaux et socialistes, préparent la discipline parmi les électeurs et parmi les parlementaires de toutes opinions républicaines, vous n'êtes pas si bêtes de crier au bloc maçonnique et d'en avoir peur ». De son côté, au dernier Couvent le F.'. Habier, président de l'assemblée, proclamait « que les Frères affluent de plus en plus nombreux dans les temples, quelque difficile qu'en puisse être l'accès ».

Plus troublant est le reproche qu'adresse aux militants de la campagne antimaçonnique, dans le numéro du 1er novembre 1903 de la Revue des Deux Mondes l'auteur anonyme d'un article intitulé : « Où est le Gouvernement ? » L'auteur de cet article veut bien reconnaître à la maçonnerie une certaine puissance, il admet que le gouvernement « n'est plus du tout place Beauveau, mais un peu rue Tiquetonne et aussi un peu rue Cadet; » que « la France est gouvernée du fond d'un antre par un gouvernement qui n'est pas son gouvernement ». Mais il ajoute : « que, s'il l'ose avouer, la Franc-Maçonnerie lui a toujours paru une institution au moins aussi ridicule que redoutable; et qu'il n'approuve pas, comme susceptible de lui donner de la prise sur les faibles d'esprit et de caractère, la campagne qui consiste à la peindre comme toute-puissante. »

Donc : ne montrez pas la force de la Maçonnerie, vous augmentez par là sa puissance. Telle se présente l'objection qui nous toucherait profondément si nous en admettions la valeur.
Que la Maçonnerie soit ridicule, la chose ne peut être mise hors de doute, et c'est ce qui lui cause un si grave préjudice dans les milieux populaires et même auprès de beaucoup de ses adeptes, honteux parfois de la comédie qu'on leur fait jouer. Que son influence ait augmentée numériquement en raison des attaques qui ont révélé sa puissance, c'est ce qu'on ne saurait non plus contester, bien qu'il faille, sur ce point, se mettre en garde contre certaines exagérations intéressées. Encore faudrait-il remarquer, comme certains maçons l'ont constaté eux mêmes, que cette affluence de candidats dans les Loges ne leur a peut-être pas apporté un grand accroissement de force réelle. Les demandes multipliées d'initiation n'ont eu la plupart du temps pour cause que des appétits qu'il n'est pas toujours possible de satisfaire. Plus d'une fois les Loges ont ont accueilli « le profane » et, après avoir encaissé ses cotisations, ne lui ont donné avec « la lumière » que des encouragements pour l'avenir, et parfois même, nous en avons trouvé la preuve, des observations ironiques sur son dévouement trop empressé.
ImageEst-on bien certain qu'une grande affluence dans « les temples » soit une cause de prospérité pour une association qui a la prétention de rester secrète et qui se vante d'être « une sélection » ?
Sans compter que nombre de ces adeptes s'empresseraient de se tourner vers un nouveau pouvoir se levant à l'horizon, fût-il « despotique ». Bien des indices permettent aujourd'hui de le supposer; et l'histoire nous apprend que les jacobins sont toujours devenus les plus fidèles serviteurs des régimes autoritaires.
Mais admettons que la campagne antimaçonnique ait eu pour résultat de grossir le nombre des adhérents réellement dévoués de la secte : pense-t-on qu'il faille pour cela en prononcer la condamnation?
Comment veut-on, si on est convaincu que la Maçonnerie est une cause de division et d'affaiblissement pour le pays, ce que nous accorderont bien les moins prévenus, comment veut-on la combattre sans avoir pour soi l'opinion publique? Et comment avoir pour auxiliaire l'opinion publique si on ne l'éclairé d'abord sur la réalité du péril? ? Ces hommes peuvent-ils quelque chose? Ont-ils réellement une action sur la marche des affaires du pays ? Telle est la question que posaient tout d'abord et que posent encore, quoique plus rarement, aux promoteurs de la camipagne antimaçonnique, les plus sincères partisans de la cause de la liberté.

Faire toucher du doigt la vérité, montrer que la Maçonnerie fait peser sur le pays une oppression effroyable, n'est-ce pas la première nécessité de la résistance ? Nous n'avons jamais pensé, nous l'avouons, que le meilleur moyen de conjurer un danger, ne fût pas d'en montrer toute l'étendue à ceux qu'on veut entraîner à la lutte.
Croit-on, du reste, que la campagne antimaçonnique soit demeurée sans résultat ? Croit-on qu'à côté des ambitieux vulgaires qui se précipitent dans les Loges, un certain nombre de gens honnêtes et d'esprits droits, n'en soient point sortis? Croit-on que la Maçonnerie envisage avec sécurité l'avenir, quelle que soit pour le moment sa jactance? Croit-on que les masses populaires voient sans méfiance ce pouvoir qui les dirige et qui les tient à l'écart.
Croit-on que les hommes politiques qui ont pactisé avec la secte n'en conçoivent pas de secrètes inquiétudes : des exemples fameux et multipliés leur apprennent que l'initiation peut être un moyen de parvenir, mais aussi, à un moment donné, une tare ineffaçable devant le suffrage universel, dans un pays où il est ombrageux vis-à-vis de toute contrainte?
Compte-t-on pour rien l'adhésion à la campagne antimaçonnique de tant d'esprits éclairés, de tant d'écrivains d'élite qui, chaque jour plus nombreux, reconnaissent la gravité du mal qu'ils avaient nié jusqu'alors ? Compte-t-on pour rien ce mouvement de l'opinion publique que nous avons rappelé, de l'opinion publique qui s'affirme davantage à chaque instant, et qui demande à être renseignée sur une question dont elle pressent l'importance sans même encore complètement la comprendre?


C'est à ce besoin que nous avons voulu répondre en essayant, une fois de plus, de mettre en lumière ce qu'on s'obstine à cacher, et ce que chacun devrait connaître. Nous n'estimerons pas avoir fait une ?uvre inutile si nous avons pu collaborer, pour une faible part, à tant d'efforts généreux qui se révèlent à l'heure actuelle contre l'irréductible et aveugle ennemi de toute liberté.[/justify]
[right]Avril 1904.[/right]

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[center][large]Paul Nourisson est un avocat et essayiste français connu pour ses opinions antimaçonniques.[/large][/center]

[justify]Il a été avocat à la cour d'appel de Paris. Il collabora au Comité catholique au Correspondant, à La Croix. Il a publié des articles dans notamment la Réforme sociale, à la ligue Défense nationale contre la franc-maçonnerie et à la Revue catholique des institutions et du droit.[/justify]



Livres

[small]* Un ami de Pascal, Jean Domat, 1939, Paris, recueils Sirey.
* La Question des congrégations, L. Tenin (1923)
* L'Association contre le crime, L. Larose (1901)
* Étude sur la répression des outrages aux bonnes moeurs au point de vue de la nature de l'infraction, de la pénalité et de la juridiction, L. Larose et L. Tenin (1905)
* L'Assemblée générale du Grand-Orient de France en 1903, Au Comité catholique de défense religieuse, (1904)
* Un siècle de politique maçonnique, Éditions eSpese (1929)
* L'Ouvrier et les accidents, L. Larose et Forcel (1887)
* La Franc-maçonnerie et la paix sociale, Aux bureaux du Comité catholique (1899)
* Le Grand danger tout par l'État, L. Larose et L. Tenin (1909)
* Le Club des Jacobins sous la troisième République, études sur la franc-maçonnerie contemporaine, Perrin (1900)
* Faculté de droit de Paris. Droit romain de l'Erreur dans les contrats. Droit français des Libéralités aux établissements religieux et aux établissements de bienfaisance. Thèse..., Impr. de la Société de typographie (1884)
* La Franc-Maçonnerie et la liberté de l'enseignement, Impr. de De Soye et fils (1899)
* La Loi du 12 mars 1920 sur les syndicats professionnels et son extension nécessaire Supplément à l'histoire de la liberté d'association, Tenin (1922)
* Trois précurseurs de la liberté d'association Berryer, Montalembert, Lamartine, L. Tenin (1922)
* La Criminalité de l'enfance, discours prononcé à la 21e assemblée des catholiques, le 14 mai 1892, Impr. de P. Jacquin (1892)
* La Franc-maçonnerie et la paix sociale, Aux bureaux du Comité catholique (1895)
* Étude critique sur la puissance paternelle et ses limites d'après le Code civil, les lois postérieures et la jurisprudence, L. Larose (1898)
* Qui nous gouverne ? est-ce le Parlement ? Non ! c'est la franc-maçonnerie... Le Convent maçonnique en 1902, compte-rendu, Copin-Albancelli (1903)
* Le club des jacobins sous la troisième république. études sur la franc-maçonnerie contemporaine, Perrin et Cie, 1900.
* Précis de la législature sur les outrages aux bonnes moeurs et les spectacles dangereux pour la moralité publique, Impr. de E. Desfossés (1924)
* La Responsabilité des accidents du travail et le projet de loi adopté par la Chambre des députés, le 10 juillet 1888, L. Larose et Forcel (1889)
* Histoire de la liberté d'association en France depuis 1789, L. Tenin (1920)
* Le convent maconnique en 1905. compte rendu extrait du correspondent
* Comité de défense des enfants traduits en justice. Des réformes à apporter au Code pénal pour fortifier la répression des délits et des crimes contre la moralité des mineurs de seize ans, et de la participation des sociétés privées à la poursuite de ces faits, rapport lu à la séance du 28 juin 1897, Aux bureaux du journal ela Loie (1897)
* Où en est la question des congrégations ? Supplément à l'histoire légale des congrégations religieuses, Librairie du eRecueil Sireye (1930)
* L'École buissonnière à Londres, Impr. de De Soye et fils (1898)
* Histoire légale des congrégations religieuses en France depuis 1789, Recueil Sirey (1928)
* Les Jacobins au pouvoir, nouvelles études sur la franc-maçonnerie contemporaine, Perrin (1904)
* Jean-Jacques Rousseau et Robinson Crusoé, Éditions eSpese (1931)
* Visions de pèlerinage, souvenirs de Palestine, J. Gabalda et fils (1928)[/small]


Brochures

[small]* Le Club des Jacobins sous la troisième République le dernier convent du Grand-Orient de France, Impr. de De Soye et fils (1899)
* 'L'Assemblée générale du Grand-Orient de France en 1902, Au Comité catholique de défense religieuse (1903)
* M. Hubert-Valleroux par Paul Nourrisson, Impr. de G. Pauc (1922)
* La Poursuite par les associations, l'état actuel de la question, Librairie du eRecueil Sireye (1932)
* La Question des enfants martyrs et la protection des femmes à Londres, Impr. de De Soye et fils (1897)
* La Liberté de l'enseignement au couvent de 1898, Société générale d'éducation et d'enseignement (1899)[/small]
Last edited by Libris on Sat May 28, 2011 12:18 pm, edited 1 time in total.
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