[center][large]Joachim von Ribbentrop[/large][/center]
[center]La lutte de l'Europe pour sa liberté[/center]
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[small]Von Ribbentrop Joachim - La lutte de L Europe pour sa liberte.pdf (1.49 MB)[/small]
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Discours prononcé par le ministre des affaires étrangères von Ribbentrop
le 26 novembre 1941, à Berlin
(Wesel - Allemagne, 30 avril 1893 - Nuremberg - Allemagne, 16 octobre 1946)
[justify]En janvier 1933, il organise à son domicile les négociations entre Hitler, le Chancelier démissionnaire Franz von Papen et le fils du président Hindenburg, pour la nomination de Hitler comme Chancelier. En 1935, il devient ministre sans portefeuille et conseiller officieux de Hitler pour les affaires étrangères, parce qu'il parlait couramment le français et l'anglais et qu'il se prévalait de connexions internationales. Il accroît son influence en prenant systématiquement le parti le plus extrême, le seul que voulait entendre Hitler, ce qui revient à marginaliser le ministre des affaires étrangères en titre, Konstantin von Neurath. Ce dernier, pour tenter de le discréditer, interdit aux services de son ministère de corriger les fréquentes fautes de syntaxe de son rival, dans ses notes adressées à Hitler, en vain. En juin 1935, il négocie, sur un coup de bluff, un accord naval germano-britannique permettant au Troisième Reich d'accroître sensiblement sa flotte : pour cela, il affirma à John Simon, Secrétaire au Foreign Office, que si les propositions allemandes n'étaient pas acceptées dans leur intégralité, il repartait immédiatement. Il permit ainsi à la Kriegsmarine d'atteindre 35 % du tonnage de la Royal Navy en navires de surface et 45 % pour les sous-marins. Il devint à ce moment le spécialiste du Parti Nazi pour la diplomatie et augmenta son influence sur Hitler.[/justify]
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[center]La fine équipe à Paris[/center]
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[justify]Je vous remercie d'être venus à cette réunion d'aujourd'hui destinée à offrir aux membres du Gouvernement allemand présents à Berlin, aux représentants de l'État, du Parti et de l'Armée, aux représentants de l'art, de la science et de l'industrie, à des hommes de tous les domaines de la vie allemande, l'occasion de lier connaissance avec nos hôtes étrangers que nous sommes heureux de voir au milieu de nous.
Je salue particulièrement les représentants allemands et étrangers de la Presse et de la Radio.
Messieurs, nous avons l'honneur de voir ces jours dans notre capitale les ministres des Affaires Étrangères de la plupart des États européens; ainsi que les représentants des États de l'Extrême-Orient qui sont nos amis, à savoir les représentants de l'Italie, du Japon, de la Hongrie, du Mandehoukouo, de l'Espagne, de la Roumanie, de la Bulgarie, de la Slovaquie, de la Croatie, de la Finlande et du Danemark: Avec les représentants de ces États amis de l'ordre, auxquels s'est jointe la Chine, nous avons confirmé hier un pacte sacré contre le Komintern, pacte, exprimant la volonté de leurs peuples de collaborer jusqu'à ce que nos pays soient définitivement sauvés du communisme et de n'avoir de cesse que soient extirpés jusqu'aux derniers restes de cette forme de démence la plus effroyable dont ait jamais été atteinte l'humanité.
Nous exprimons ici encore une fois la joie toute particulière et la satisfaction du peuple allemand en présence de cet événement significatif qui forme étape dans la voie vers l'union et la refonte de l'Europe et vers l'établissement d'un ordre de choses plus équitable dans le reste du monde également. Messieurs, je désire profiter de l'occasion qui s'offre aujourd'hui pour vous donner un bref aperçu de l'origine de la guerre et du cours qu'elle a pris jusqu'à présent, ainsi que du point de vue du gouvernement, allemand relativement à la situation actuelle de la politique étrangère.
Grâce à l'héroïsme de l'Armée allemande et des troupes alliées de l'Italie, de la Roumanie, de la Hongrie et de la Slovaquie, grâce à ce valeureux peuple du Nord et aux contingents de volontaires de l'Espagne, de la France, de la Croatie, du Danemark, de la Norvège, des Pays-Bas et de la Belgique ; la puissance politique du communisme et du bolchevisme est brisée et, pour reprendre un mot du Führer, ne se relèvera jamais.[/justify]
von Ribbentrop Joachim - La lutte de l?Europe pour sa libert
Moderator: Le Tocard