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Adolf Hitler lance un dernier appel à la raison[/large][/center]
[center]Hitler Adolf - Adolf Hitler lance un dernier appel à la raison.pdf (6.65 MB)
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[justify]Députés! Hommes du Reichstag allemand! Au plein milieu de cette lutte titanesque, livrée pour la liberté et pour l'avenir de la nation allemande, je vous ai fait convoquer à cette séance. Les motifs de cette initiative résident dans la nécessité de permettre à notre propre peuple de se bien pénétrer de l'importance historique, véritablement unique, des événements que nous avons vécus, mais en même temps de remercier les valeureux soldats allemands. Ils s'inspirent en outre de l'intention de nous efforcer d'adresser un nouvel et dernier appel à la raison universelle. Celui qui compare les facteurs d'où est sorti ce règlement de comptes historiques avec l'ampleur, la grandeur et la portée des événements militaires, doit reconnaître qu'il n'y a aucune proportion entre les épisodes et les sacrifices de cette lutte et les raisons qui l'ont provoquée, à moins que ces raisons n'aient elles-mêmes été que les prétextes pour réaliser des intentions cachées. Le programme du mouvement national-socialiste, en tant qu'il se rapportait à la forme future des relations du Reich avec le reste du monde, était une tentative d'amener la révision du traité de Versailles en tout état de cause, mais autant que possible par la voie pacifique. Cette révision était une nécessité naturelle. L'intolérabilité des clauses du traité de Versailles ne résidait pas seulement dans l'humiliante discrimination infligée au peuple allemand et correspondant d'ailleurs à l'avilissement qui résultait du désarmement assuré de ce peuple, mais surtout dans la destruction matérielle, consécutive, du présent et dans l'anéantissement, projeté, de l'avenir d'un des plus .grands peuples civilisés du monde, dans . l'accumulation complètement absurde d'énormes quantités de pays sous la. domination de quelques États, dans la spoliation du vaincu, désormais privé des fondements irremplaçables de son existence et de ses biens vitaux les plus indispensables.
Le fait qu'au cours même de la rédaction de ce dictat, des hommes clairvoyants, ont, même dans les rangs de la partie adverse, mis en garde contre l'application définitive des clauses de cette ?uvre de folie, est une preuve de la conviction, qui régnait même dans ces milieux, qu'il était impossible de maintenir ce dictat dans les temps à venir. Évidemment, on a réduit leurs objections et leurs protestations au silence en assurant que la Société des Nations, nouvellement formée, garantissait, dans ses statuts, la possibilité de réviser ces . dispositions et même était compétente pour le faire. L'espoir d'une révision n'a donc jamais été considéré comme quelque chose d'illicite, mais comme quelque chose de naturel. Malheureusement, conformément à la volonté des hommes responsables du dictat de Versailles, l'institution de Genève ne s'est point considérée comme un organisme, chargé de préparer des révisions raison ·nables; dès le début, au contraire, elle s'est uniquement considérée comme le garant de l'exécution et du maintien impitoyable des clauses de Versailles. Tous les efforts tentés par l'Allemagne démocratique pour arriver, par la voie de la rev1s10n, à donner au peuple allemand l'égalité des droits, sont restés sans succès. Résolution de se libérer des chaînes de Versailles. Or, il est dans l'intérêt d'un vainqueur de présenter les stipulations qui lui sont utiles comme sacrées pour tous et il est dans la nature de l'instinct de conservation du vaincu de recouvrer les droits universels de l'homme. Pour lui, le dictat d'un vainqueur arrogant avait d'autant moins force de loi que cet adversaire n'était pas un loyal vainqueur. Un rare malheur a voulu que, dans les années 1914 à 1918, le Reich allemand ait été très mal dirigé. C'est à cette circonstance, c'est à !a foi, à la confiance du peuple allemand, - auquel les yeux n'avaient pas encore été ouverts, - dans la parole d'hommes d'État démocratiques qu'il fallut attribuer notre déclin. Aussi, pour tout honnête Allemand, la revendication anglo-française tendant à imposer le dictat de Versailles comme une sorte d'instauration d'un droit international, voire supérieur, n'était-elle qu'une insolente prétention et la supposition que justement des hommes d'État anglais ou français étaient les gardiens du droit ou même de la civilisation humaine, une impudente sottise. Impudence suffisamment illustrée par les résultats on ne peut plus médiocres obtenus dans ces domaines. En effet, aucune partie du monde n'a été gouvernée avec un tel minimum d'intelligence, de morale et de civilisation que cette partie qui fut livrée, à l'époque, aux fureurs de certains hommes d'État démocratiques.[/justify]
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Quand on comprend le discours, la gestuelle reprend un aspect tout à fait normal.[/small][/right]
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http://www.youtube.com/watch?v=SlSHRQvjlpM[/youtube]
[large]Adolf Hitler - Discours[/large][/center]
This is National Socialism - English French subtitles

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Extrait d'un commentaire sur youtube :
[justify]Cet homme en l'écoutant parler, il ne voulait que du bien pour son pays, il ne cherchait pas à le détruire, il avait compris que l'Allemagne courait un grand danger en laissant se développer dans son pays la corruption juive. Partout où les juifs ont séjourné, il y a eu de la corruption, la débauche, la prostitution et du vice.[/justify]
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L'importance considérable de la presse pour les fins du Judaïsme a été merveilleusement définie
par les mots attribués à Itzek-Aaron-Moïse Crémieux :
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C'est en vain que vous monopolisez les capitaux, le commerce, etc ... Tant que nous autres Juifs, ne serons pas maîtres de la presse périodique et n'aurons pas dans les mains la presse du monde entier, nos aspirations à la domination mondiale resteront une vaine chimère."
[right]Netchvolodow A. ;
L'Empereur Nicolas II et les Juifs, Page 351[/right][/justify]