[large]Séverin Jules[/large]
Le monopole universitaire
Qu'est-ce que vaut la marchandise au point de vue technique ?
[small]ouvrage précédé d'une lettre Édouard Drumont et d'une lettre d'Ernest Renauld[/small]
http://www.pdfarchive.info/index.php?po ... versitaire
http://www.freepdf.info/index.php?post/ ... versitaire
http://www.histoireebook.com/index.php? ... versitaire
http://www.balderexlibris.com/index.php ... versitaire
[right][small]L'école sectaire officielle est l'école du crétinisme.[/small][/right]
En complément de ce remarquable ouvrage sur l'éducation juive et protestante que subissent les catholiques et accessoirement nos bons arabes, lorsqu'ils vont à l'école.
La fausse éducation nationale : http://www.the-savoisien.com/wawa-consp ... php?id=827
Aux sources de l'inéducation nationale par la République franc-maçonne.
La lecture de ce document rare et introuvable éclaira d'un jour nouveau ce que nous voyons dans nos salles de classes et ailleurs dans notre société.
Un auteur inconnu de tous, ressurgit du cloaque dans lequel on a voulu le précipiter à jamais.
[right]Merci Lenculus pour cette recension.[/right]
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[center]RÉCAPITULATION DES CHAPITRES[/center]
* Introduction
* L'Enseignement Protestant dans nos Écoles d'Agriculture et de commerce : l'économie politique juive
* L'Influence du protestantisme en philosophie ; la philosophie juive
* L'Enseignement protestant en histoire ; erreurs et mensonges historiques. La révocation de l'Édit de Nantes ; la Saint-Barthélemy ; l'Inquisition ; Galilée, victime de l'inquisition ; le Père Loriquet ; les Crimes des Borgia ; Marie la Sanglante ; Paris vaut bien une messe
* Conséquences des Mensonges historiques pour justifier la Révolution ; leur enseignement rendu obligatoire
* Les Beaux-Arts païens ; la Littérature païenne
* La franc-maçonnerie, son origine, initiation à ses mystères, -Maçonnerie, l'action maçonnique au XVIIIe siècle, ses chefs occultes, Que dire ? Que faire ? Nécessité d'une franc-maçonnerie blanche. Doctrines de la maçonnerie : morale, serments, destruction de la famille, assassinats et révolutions, grands Empire maçonnique
* Le travail des philosophes au XVIIIe siècle ; l'action de Voltaire ; quelques citations des philosophes
* Destruction de l'enseignement chrétien en France et en Europe. Destruction des corporations et fondation de l'Internationale
* Les Juifs prennent la direction de la franc-maçonnerie ; les doctrines de la barbarie antique restaurées ; le Talmud et la Kabale
* Préparatifs de la Révolution française dans les Loges ; la Révolution en sort tout entière ; échec de la Révolution en 1799
[center]Histoire d'un siècle maçonnique[/center]
* Napoléon. Le concordat. Le droit moderne ; le droit romain ; jurisprudence juive ; Le Monopole Universitaire. Conséquences actuelles du règne de Napoléon ou notre constitution calquée de l'Empire
* La Restauration ; 1815 - 1830 ; La Franc-Maçonnerie sous la Restauration ; La Révolution de juillet préparée de longue main dans les loges
* La génération de 1830 ; Louis-Philippe ; La Franc-Maçonnerie sous Louis-Philippe ; Les Juifs sous Louis-Philippe
* La révolution italienne ; la révolution de 1848 ; Le plan de Palmerston
* Napoléon III. La guerre de Crimée ; la guerre d'Italie ; l'unité italienne ; les traités de commerce de 1860 ; la guerre prusso-autrichienne ; la guerre de 1870. Conséquences actuelles du règne de Napoléon III, sous une République qui a encore perfectionné les rouages du despotisme
* La politique de Pie IX ; L'Assemblée de 1871 paralysée dans ses bonnes intentions ; travail des sectes de 1870 à 1873
* Triomphe des francs-maçons en 1877. L'étalon d'or ; l'enseignement juif et protestant en médecine ; l'enseignement allemand en chimie ; corruption des sciences depuis 1870 ; les lois Ferry
* La résistance des catholiques ; la politique des intérêts ; la politique de Léon XIII
* La délivrance du pays. Liste des principaux francs-maçons au pouvoir en 1877
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Séverin Jules - Le monopole universitaire (1905) Education n
Moderator: Le Tocard
Extrait :
[right][large]L?Enseignement juif et protestant en médecine[/large][/right]
[justify]Claude Bernard, Berzélius, et tous nos grands chimistes, comme Boussingault, Péligot et tant d?autres, avaient analysé avec le plus grand soin toutes les déperditions journalières du corps, le rôle des aliments selon leur nature, et en avaient suivi les transformations pas à pas.
Payen, le physiologiste, avait donné la composition de ces derniers dans le Traité des substances alimentaires, et, s?appuyant sur les données fournies par les chimistes du plus grand renom, dont les travaux ont fait le tour de l?Europe, y sont en vénération et universellement observés, sauf en France aujourd?hui, avait tracé un ensemble de règles pour équilibrer les recettes du corps à ses dépenses journalières.
Il fallait à l?homme en moyenne 20 gr. d?azote correspondant à 125 gr. d?albumine des ?ufs, ou de fibrine de la viande, ou de gélatine du veau ou du poisson, de caséine du fromage, mais qui ne s?usait que par le travail ; allant par conséquent de 12 à 26, selon le travail effectué, ? de plus 50 gr. de graisse : gras de la viande, beurre ou huile, pour la digestion des légumes, pour assouplir les cellules du corps et en permettre le développement, ? et 300 gr. de carbone combustible pour la chaleur vitale, dont 100 tout au plus peuvent être fournis par la combustion de l?aliment gras et azoté, et dont 200 au moins devaient être fournis par les hydrates de carbone : l?amidon du pain blanc, la fécule des légumes, le sucre des fruits et l?alcool du vin, de la bière ou du cidre.
L?amidon, la fécule et le sucre, se changent dans le foie en glucose, disait Claude Bernard, se rendent par la veine hépathique dans les poumons et concourent à la chaleur vitale et à la respiration. Et cette matière sucrée, il n?y a que deux malades à l?extrémité chez qui il ne l?avait pas trouvée.
Ces travaux ont fait le tour du vieux monde, ont reçu en Allemagne les meilleures applications pour l?alimentation même des animaux au repos, au travail et à l?engraissement, comme j?en ai constaté le bien fondé et les résultats merveilleux, dans mes années de culture, et pas un chimiste n?a varié d?un iota depuis cette époque pour les chiffres indiqués.
Il appartenait au juif Germain Sée, que Gougenot des Mousseaux appelle un révolutionnaire de la plus haute volée, de changer tout cela. Dans sa physiologie, où il exagère les qualités reconstituantes de l?azote (c. à d. de la viande), il prétend que la chaleur vitale est fournie par la graisse. Or la graisse ne brûle qu?en petite quantité, ce qui est saponifié par l?alcali du sang, et, dans ses abus, a porté l?humanité aux maladies causées par la graisse en excès, comme l?obésité, les tumeurs et les kystes.
Ces viandes grasses, que l?Allemagne débarque chez nous en abondance, seraient, nous dit-on sans cesse, un aliment complet ; et comme on en consomme énormément aujourd?hui, il s?en est suivi, par l?abus de l?aliment nerveux, des névroses et des insomnies ; par la combustion incomplète de la matière azotée en excès, de l?acide urique, principe de l?arthritisme, du rhumatisme, de la goutte, de la gravelle, etc.
On condamna, d?après cet enseignement, l?amidon du pain blanc, les légumes déclarés débilitants, le sucre par crainte du diabète, qui pourtant n?atteint que les grands mangeurs de viande, et finalement l?alcool ; or, il y a trente ans, c?était un dogme qu?on devait traiter les pneumonies par l?alcool. Les aliments caloriques et respiratoires venant à manquer, on condamna l?humanité à toutes les maladies de refroidissement peu à peu.
Les réclames tapageuses de Liébig, vendeur de viandes de la Plata ; les sociétés de tempérance fondées en France par l?Angleterre dans le but avoué de nous vendre le thé anglais au lieu du vin français, vinrent encore aggraver le mal.
Ces réclames intéressées et ce but mercantile ayant altéré toutes les santés, restait le jardin des plantes et la pharmacie végétale, qui apportaient un remède à ces abus, car les herboristes opèrent encore beaucoup de guérisons.
Mais cet esprit, qui commençait à poindre vers la fin de l?Empire et s?est épanoui depuis, remplaçant les études consciencieuses et le souci de la vie humaine par les spéculations les plus tapageuses, atteignit insensiblement son paroxysme par les nouveaux Maîtres que l?Allemagne nous envoya depuis 1870. Or, en Allemagne, un tiers des médecins sont juifs. Les juifs ont monopolisé les produits chimiques qu?on a entièrement substitués aux plantes.
L?arsenic brûle l?estomac : le bromure attaque le cerveau ; la strychnine détraque le système nerveux.. Qu?importe, si le juif emplit sa caisse !
Aujourd?hui, on ne cite plus Claude Bernard, on a tronqué Payen, on viole les règles de l?hygiène alimentaire, on s?adresse à des réactifs qui ne réagissent pas, et, dans tous les salons, on ne parle plus que de maladies, que de morts subites. Les médecins avouent qu?ils ne connaissent plus les causes et les remèdes de nos maux si divers. Ajoutez à cela les falsifications impunies des denrées alimentaires, le Tout à l?Égout construit à l?inverse des prescriptions de la Commission d?hygiène, l?air et l?eau contaminés, l?orgie poussée à l?extrême dans un but de dépravation sectaire, et cette soif de l?or, qui suffit de nos jours à excuser les pires entreprises, même au dépens de la santé et de la vie de ses semblables.
Violant toutes les règles de l?hygiène, n?ayant plus pour les malades que des remèdes de spéculation, des spécialités lucratives et la réclame intéressée, tout échoue !
Alors vient l?opération inéluctable, si merveilleuse dans quelques-uns de ses succès, mais, exécutée même par ceux qui n?ont pas la science des Maîtres et opèrent quelquefois sans cause, avec médecins rabatteurs et pour la forte somme.
La science périt, dès lors, ainsi que la conscience (1) ![/justify]
_________________
[small]1 ? (n.d.l.r.) M. Jules Séverin a reproduit ces règles de l?hygiène, ces remèdes aujourd?hui oubliés, et augmentés des découvertes réellement scientiques de notre temps, dans un petit livre : Médecine anti?juive et française, qui se vend à la Librairie Antisémite, 45, rue Viviennes, à Paris. Prix : 1 fr. 50.
Nous le recommandons vivement à nos lecteurs.[/small]
[---]
[center][youtube]http://www.youtube.com/watch?v=GlewpXgr4zI[/youtube][/center]
[center]On est 6 millions, pas plus ni moins
une grande armée[/center]
[right][large]L?Enseignement juif et protestant en médecine[/large][/right]
[justify]Claude Bernard, Berzélius, et tous nos grands chimistes, comme Boussingault, Péligot et tant d?autres, avaient analysé avec le plus grand soin toutes les déperditions journalières du corps, le rôle des aliments selon leur nature, et en avaient suivi les transformations pas à pas.
Payen, le physiologiste, avait donné la composition de ces derniers dans le Traité des substances alimentaires, et, s?appuyant sur les données fournies par les chimistes du plus grand renom, dont les travaux ont fait le tour de l?Europe, y sont en vénération et universellement observés, sauf en France aujourd?hui, avait tracé un ensemble de règles pour équilibrer les recettes du corps à ses dépenses journalières.
Il fallait à l?homme en moyenne 20 gr. d?azote correspondant à 125 gr. d?albumine des ?ufs, ou de fibrine de la viande, ou de gélatine du veau ou du poisson, de caséine du fromage, mais qui ne s?usait que par le travail ; allant par conséquent de 12 à 26, selon le travail effectué, ? de plus 50 gr. de graisse : gras de la viande, beurre ou huile, pour la digestion des légumes, pour assouplir les cellules du corps et en permettre le développement, ? et 300 gr. de carbone combustible pour la chaleur vitale, dont 100 tout au plus peuvent être fournis par la combustion de l?aliment gras et azoté, et dont 200 au moins devaient être fournis par les hydrates de carbone : l?amidon du pain blanc, la fécule des légumes, le sucre des fruits et l?alcool du vin, de la bière ou du cidre.
L?amidon, la fécule et le sucre, se changent dans le foie en glucose, disait Claude Bernard, se rendent par la veine hépathique dans les poumons et concourent à la chaleur vitale et à la respiration. Et cette matière sucrée, il n?y a que deux malades à l?extrémité chez qui il ne l?avait pas trouvée.
Ces travaux ont fait le tour du vieux monde, ont reçu en Allemagne les meilleures applications pour l?alimentation même des animaux au repos, au travail et à l?engraissement, comme j?en ai constaté le bien fondé et les résultats merveilleux, dans mes années de culture, et pas un chimiste n?a varié d?un iota depuis cette époque pour les chiffres indiqués.
Il appartenait au juif Germain Sée, que Gougenot des Mousseaux appelle un révolutionnaire de la plus haute volée, de changer tout cela. Dans sa physiologie, où il exagère les qualités reconstituantes de l?azote (c. à d. de la viande), il prétend que la chaleur vitale est fournie par la graisse. Or la graisse ne brûle qu?en petite quantité, ce qui est saponifié par l?alcali du sang, et, dans ses abus, a porté l?humanité aux maladies causées par la graisse en excès, comme l?obésité, les tumeurs et les kystes.
Ces viandes grasses, que l?Allemagne débarque chez nous en abondance, seraient, nous dit-on sans cesse, un aliment complet ; et comme on en consomme énormément aujourd?hui, il s?en est suivi, par l?abus de l?aliment nerveux, des névroses et des insomnies ; par la combustion incomplète de la matière azotée en excès, de l?acide urique, principe de l?arthritisme, du rhumatisme, de la goutte, de la gravelle, etc.
On condamna, d?après cet enseignement, l?amidon du pain blanc, les légumes déclarés débilitants, le sucre par crainte du diabète, qui pourtant n?atteint que les grands mangeurs de viande, et finalement l?alcool ; or, il y a trente ans, c?était un dogme qu?on devait traiter les pneumonies par l?alcool. Les aliments caloriques et respiratoires venant à manquer, on condamna l?humanité à toutes les maladies de refroidissement peu à peu.
Les réclames tapageuses de Liébig, vendeur de viandes de la Plata ; les sociétés de tempérance fondées en France par l?Angleterre dans le but avoué de nous vendre le thé anglais au lieu du vin français, vinrent encore aggraver le mal.
Ces réclames intéressées et ce but mercantile ayant altéré toutes les santés, restait le jardin des plantes et la pharmacie végétale, qui apportaient un remède à ces abus, car les herboristes opèrent encore beaucoup de guérisons.
Mais cet esprit, qui commençait à poindre vers la fin de l?Empire et s?est épanoui depuis, remplaçant les études consciencieuses et le souci de la vie humaine par les spéculations les plus tapageuses, atteignit insensiblement son paroxysme par les nouveaux Maîtres que l?Allemagne nous envoya depuis 1870. Or, en Allemagne, un tiers des médecins sont juifs. Les juifs ont monopolisé les produits chimiques qu?on a entièrement substitués aux plantes.
L?arsenic brûle l?estomac : le bromure attaque le cerveau ; la strychnine détraque le système nerveux.. Qu?importe, si le juif emplit sa caisse !
Aujourd?hui, on ne cite plus Claude Bernard, on a tronqué Payen, on viole les règles de l?hygiène alimentaire, on s?adresse à des réactifs qui ne réagissent pas, et, dans tous les salons, on ne parle plus que de maladies, que de morts subites. Les médecins avouent qu?ils ne connaissent plus les causes et les remèdes de nos maux si divers. Ajoutez à cela les falsifications impunies des denrées alimentaires, le Tout à l?Égout construit à l?inverse des prescriptions de la Commission d?hygiène, l?air et l?eau contaminés, l?orgie poussée à l?extrême dans un but de dépravation sectaire, et cette soif de l?or, qui suffit de nos jours à excuser les pires entreprises, même au dépens de la santé et de la vie de ses semblables.
Violant toutes les règles de l?hygiène, n?ayant plus pour les malades que des remèdes de spéculation, des spécialités lucratives et la réclame intéressée, tout échoue !
Alors vient l?opération inéluctable, si merveilleuse dans quelques-uns de ses succès, mais, exécutée même par ceux qui n?ont pas la science des Maîtres et opèrent quelquefois sans cause, avec médecins rabatteurs et pour la forte somme.
La science périt, dès lors, ainsi que la conscience (1) ![/justify]
_________________
[small]1 ? (n.d.l.r.) M. Jules Séverin a reproduit ces règles de l?hygiène, ces remèdes aujourd?hui oubliés, et augmentés des découvertes réellement scientiques de notre temps, dans un petit livre : Médecine anti?juive et française, qui se vend à la Librairie Antisémite, 45, rue Viviennes, à Paris. Prix : 1 fr. 50.
Nous le recommandons vivement à nos lecteurs.[/small]
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[center][youtube]http://www.youtube.com/watch?v=GlewpXgr4zI[/youtube][/center]
[center]On est 6 millions, pas plus ni moins
une grande armée[/center]
Last edited by MarcusSeagal on Wed Aug 31, 2011 3:41 pm, edited 1 time in total.