Centralisation Robert Faurisson

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SigelVictoria

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[---][center][large]Robert Faurisson[/large][/center][---]
[right][small]E-books de Robert Faurisson[/small][/right]
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[large]Le problème des chambres à gaz - 1986[/large]

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[justify]ImageJe m?appelle Robert Faurisson. J?ai 52 ans. Je suis professeur à l?université Lyon 2. Dans cette université, j?ai longtemps enseigné la critique de textes et documents. La critique de textes et documents consistent, dans un texte, dans un document quelconque, à discerner ou à essayer de discerner le sens et le contresens, le vrai et le faux. Cela peut consister à analyser une photographie, à voir ce qu?elle est en réalité, et à ce qu?on cherche à lui faire dire. J?ai commencé à m?intéresser au problème des chambres à gaz vers 1960. J?ai appris soudain vers 1960 deux surprenantes nouvelles.

La 1ère est la suivante : les historiens ont admis qu?il n?avait pas existé en fait de chambre à gaz homicide dans tous les camps situées dans l?ancien Reich. Dieu sait pourtant si nous possédions des témoignages sur les gazages de Dachau, de Ravensbruck, de Oranienburg. Eh bien soudain, nous apprenions qu?à Dachau, qu?à Ravensbruck, qu?au Oranienburg, il n?y avait pas eu de gazage. On ajoutait cependant, qu?il y en avait eu en Pologne. La 2e nouvelle importante, a été la suivante : vers 1960, j?ai appris qu?un ancien déporté du nom de Paul Rassinier avait osé déclaré « Il n?a pas existé non plus de chambre à gaz dans les camps de Pologne. Il n?en a existé dans aucun camp NAZI ».

J?ai été vivement surpris par cette affirmation. J?ai voulu en savoir plus. J?ai donc lu les ouvrages de Paul Rassinier. Son travail m?a paru sérieux et c?est à partir de 1974 que, pour ma part, je me suis acharné à étudier les textes, les documents, les photographies présentés par ceux qui disaient au contraire « les chambres à gaz ont existé ». Je me suis rendu sur place, en Pologne. Je suis allé là où on me disait « Voici! une ancienne chambre à gaz » ou « Voici! les ruines d?une ancienne chambre à gaz ». Je suis allé à Auschwitz, je suis allé à Maidanek. En France, je me suis rendu près de Strasbourg ou Struthof. En Autriche, je suis allé à Mauthausen. J?ai étudié des milliers de documents, en particulier en France, au Centre de Documentation Juive Contemporaine.
Et peu à peu, je suis arrivé à la conclusion suivante : C?est Paul Rassinier qui a raison. Il n?a jamais existé de chambres à gaz homicides chez les Allemands. Pas même à Auschwitz, vraiment dans aucun camp. C?est une conclusion grave. Elle m?a valu depuis 1978 de nombreux ennuis. On a dit que j?étais NAZI, je ne suis pas NAZI. On a dit que j?étais fou, je ne pense pas l?être. On a dit aussi que je niais l?existence des fours crématoires et des camps de concentration. Alors là je tiens à rectifier ces erreurs. Je le ferai de la façon suivante : je dirai ce qui d?une part pour moi, a vraiment existé et ce qui d?autre part, n?a pas existé. Ce qui a vraiment existé, ce sont les persécutions contre les Juifs, et contre d?autres. Cela c?est la vérité.

ImageCe qui est vrai c?est qu?une partie des Juifs européens ont été déportés vers des camps. C?est vrai en particulier pour les Juifs qui étaient établis en France. Le quart d?entre eux ont été déportés. Les trois-quarts des Juifs installés en France n?ont pas été déportés. Il est également vrai qu?il y a existé des camps de travail forcé et des camps de concentration. Il est vrai que certains de ces camps ne différaient guère des bagnes. Je dois dire que pour tous ceux qui ont eu à subir ces souffrances, j?ai du respect et de la compassion, et je vous demande de me croire. J?en viens à la question des fours crématoires. Ils ont existé, c?est vrai. On y brûlait des cadavres. On peut même affirmer, que là où il y avait des risques d?épidémies, il valait mieux de brûler les cadavres, que de les enterrer.

Et Dieu sait si dans les camps allemands, des épidémies de typhus ont provoqué des morts innombrables pendant la guerre. J?en arrive maintenant, à ce qui pour moi, et pour beaucoup d?autres auteurs car je suis loin d?être le seul maintenant, n?a pas existé. Eh bien ce qui n?a pas existé, ce sont les chambres à gaz homicides. Il n?a pas existé de ces pièces où on aurait fait entrer des enfants, des femmes, des vieillards, des hommes pour les asphyxier par des gaz, et notamment par le gaz appelé Zyklon B. Il s?agit là d?une rumeur, d?une légende. Le Zyklon B lui a bien existé. Il existe depuis 1917 et on l?utilise encore un peu partout dans le monde aujourd?hui, comme un puissant désinfectant. Mais pour des raisons techniques, que je vous expliquerai, les Allemands n?ont pas utilisé le Zyklon B pour tuer quiconque.

Autre question grave, le génocide a-t-il existé? Je réponds : non. Ce point est délicat. Je voudrais bien me faire comprendre sur ce point là. Un génocide serait l?extermination délibérée d?un groupe humain en raison de sa race. Cela consisterait par exemple à dire : Vous êtes juif? Très bien, c?est pour moi une raison suffisante de vous tuer. Eh bien, on dit qu?Hitler a dit cela, et on dit que les Allemands l?ont fait. Ce n?est pas conforme à la vérité. D?abord, on n?a jamais trouvé un texte où Hitler ait dit cela. Et on ne peut pas citer une seule preuve de l?intention de génocide. Je reconnais que dans la dernière guerre, comme dans toute guerre, il y a eu des horreurs, des crimes, des massacres.
Mais massacre ne signifie pas génocide. Du côté des vainqueurs, comme du côté des vaincus. Mais je ne vois rien, dans les faits qui prouvent l?extermination délibérée d?un groupe humain, quel qu?il soit. Songez un peu que si Hitler avait voulu tuer tous les Juifs qu?il avait sous la main, il n?y aurait plus aujourd?hui de Juifs européens. Il n?y aurait pas d?ancien d?Auschwitz et de tant d?autres camps. Il n?y aurait pas notamment, des enfants qui par exemple sont nés à Auschwitz. Je vais vous montrer des documents. Comme je veux aller directement au c?ur de mon sujet, ces documents se limiteront essentiellement à Auschwitz. Ce que vous aller faire, c?est en quelque sorte une visite d?Auschwitz. Mais je vous demande d?avoir présente à l?esprit une question.

Cette question est la suivante : Y a-t-il eu oui ou non, d?après ce que l?on me montre, des chambres à gaz à Auschwitz? Je vous préviens que les documents que je vais vous présenter sont surtout d?origine polonaise ou soviétique. Il y aura aussi des photos de ce qu?on voit aujourd?hui sur place. Mais, c?est par des photos d?origines américaines que je commencerai. Elles concernent une véritable chambre à gaz homicide. C?est-à-dire une installation utilisée pour exécuter les condamnés à mort. Vous verrez la chambre à gaz de Baltimore. Et je vais vous dire pourquoi je crois utile de procéder ainsi. C?est que je peux, veux vous faire voir la réalité des choses. J?ai remarqué en effet qu?on emploie beaucoup l?expression de chambre à gaz sans faire l?effort de réfléchir à ces mots : chambre à gaz.

On croit volontiers qu?une chambre à gaz pourrait être par exemple une simple pièce, comme une chambre à coucher, où l?on ferait pénétrer du gaz. C?est une grave erreur. Une chambre à gaz est forcément quelque chose d?extrêmement compliquée. Le gaz est en effet une arme très difficile à manier. Autant il peut être facile de se tuer soi-même avec du gaz, autant il est difficile de tuer quelqu?un d?autre avec du gaz sans courir soi-même de terribles risques. Au lendemain de la guerre de 14, les Américains se sont dits « Essayons de trouver une méthode humaine pour exécuter nos condamnés ». Et ils se sont dits « Nous allons utiliser l?acide cyanhydrique qui est un gaz mortel. Cela sera facile! ». Mais c?est quand ils ont voulu passer à la réalisation qu?ils se sont rendus compte à quel point c?était difficile. Et si je vous montre la chambre à gaz de Baltimore, où on utilise l?acide cyanhydrique pour tuer les condamnés, c?est que précisément, figurez-vous, le Zyklon B se trouve être de l?acide cyanhydrique. Vous allez voir cette chambre à gaz de Baltimore. Je ne vais pas vous en donner des explications en détail, je veux simplement vous montrer à quel point c?est compliqué et à quel point ce que l?on vous montre en Pologne, en Autriche ou ailleurs est absolument dérisoire en comparaison. Et je vous préviens que les chambres à gaz américaines dont je vous parle datent d?avant la guerre. Il ne s?agit pas d?une sophistication américaine. Je vais me contenter de vous montrer 8 photographies de la chambre à gaz de Baltimore.

Première photographie, voici la salle où se tiennent les témoins de l?exécution. La chambre à gaz, vous le remarquez, est hexagonale. Ici, trois pans sont visibles. La porte qui est à droite donne sur un couloir qui à gauche fait le tour des 3 pans non visibles sur cette photo et à droite donne sur 2 cabines : celle du médecin et celle des 2 opérateurs. Sachez que à ces opérateurs, il faut 2 journées de travail pour préparer la mise en marche de la chambre à gaz.

Quant à l?opération de mise à mort, elle se déroule en 47 étapes. Je passe à la 2e photographie. Voici l?une des vitres de la salle des témoins. À travers cette vitre on aperçoit un puissant pilier de soutènement en acier. La chambre à gaz, comme le pilier, sont en acier et les vitres sont particulièrement épaisses. Pourquoi cela? Je vous le dirai plus loin. Voici la 3e photographie : le siège du condamné avec ses attaches. C?est sous le siège que se trouve le creuset où l?on dépose les boulettes de cyanure. De l?extérieur de la chambre, on man?uvre un levier qui fait tomber ces boulettes dans un bain d?acide sulfurique. À droite, au sol, le conduit grillagé de communication avec la machinerie et la cabine des opérateurs est visible. 4e photographie :
la porte d?entrée de la chambre à gaz. Remarquez comme elle est particulièrement lourde. Elle se ferme avec un volant pour obtenir une bonne herméticité. 5e photographie : la même porte d?acier vu du côté des gonds. Et voici pourquoi les Américains emploient de l?acier et font leurs chambres à gaz aussi robustes. C?est pour éviter le risque d?implosion. En effet, le risque d?implosion vient de ce qu?il faut avant le jour de l?exécution : faire le vide de la pièce pour s?assurer de l?herméticité des joints. Au moment de l?exécution, il faut faire un vide partiel. D?abord pour mettre la pièce en sous-pression et éviter que le gaz ne tende à sortir de la pièce. Enfin, pour augmenter la proportion de gaz dans l?habitacle. À gauche, on aperçoit la porte de la cabine du médecin.

6e photographie : au sommet de la chambre à gaz, vous voyez l?extracteur. Le ventilateur si vous voulez, qui va extraire l?acide cyanhydrique pour le conduire vers un barboteur ou un épurateur. 7e photographie. Au fond du couloir, le barboteur ou épurateur, c?est la que ce fait la neutralisation du gaz cyanhydrique par de l?ammoniaque et de la soude. Et le résidu sera rejeté par une cheminée située au plus haut point du pénitencier. On aperçoit à droite, la fenêtre de la cabine des 2 opérateurs. 8e et dernière photo : la cabine des 2 opérateurs. Voici quelques commentaires de plus. Je vous ai dit qu?il fallait 47 opérations différentes. Certaines sont simples, mais d?autres sont délicates. Et je prendrai un exemple.

La 47e opération est la suivante. Elle consiste, dit le règlement, simplement à enlever le corps. Or sachez que pour enlever le corps, il faut que le médecin et les 2 assistants aient attendu près d?une heure pour pénétrer dans la chambre et cela avec un masque à gaz. Ils sont munis d?un tablier de caoutchouc et de gants de caoutchouc. Le médecin secoue la chevelure du mort pour en chasser autant que possible les molécules d?acide cyanhydrique, que les fumées d?ammoniaque et le système de ventilateurs orientables n?ont peut-être pas neutralisés. Les 2 assistants eux, doivent laver le corps avec un jet. Ils doivent notamment laver la bouche, toutes les ouvertures du corps et ils ne doivent surtout pas oublier les plis des bras et des genoux. Un gazé est un corps très délicat à manier.
Le total de l?opération dure plus d?une heure, alors que le condamné meurt en quelques minutes. Gazer, vous le voyez, n?est pas une sinécure. Or, tout ce qu?on vous montrera à Auschwitz et ailleurs, n?est pas sérieux en comparaison de cela. Il s?agit de simples pièces où aucun gazage n?était possible. Rendons nous maintenant en Pologne, à Auschwitz. Et voyons ce qu?on nous y présente en fait de chambre à gaz. (la vidéo coupe)... Soviétique. Il s?agit non pas, de tout ceux qui étaient internés à Auschwitz, mais de ceux que les Allemands avaient laissé sur place, les considérant comme trop faibles. Je vous demande, d?essayer de discerner chaque personnage, son habillement, son état de santé apparent. Voici une autre vue de ces libérés du 27 janvier.

Les autres avaient été amenés par les Allemands qui ne voulaient pas laisser tomber aux mains des Russes, des gens capables de travailler, ou capables de s?enrôler dans une armée qui se serait battue contre les Allemands. Voici d?autres vues des faibles qui ont été laissé sur place. C?est l?hiver polonais. Voici une dernière vue proche de la précédente. Que faisait-on à Auschwitz? Eh bien, les Allemands cherchaient surtout à exploiter la main d??uvre. Ici l?atelier de couture pour les femmes. Et là, vous avez une vue des usines, mais une vue tout à fait partielle. Auschwitz était d?abord et avant tout un énorme complexe industriel.

D?ailleurs cette partie là, on l?appelle Auschwitz 3. J?insisterai sur le point suivant. On vous parle d?Auschwitz en insistant surtout sur son caractère ultra secret. C?est là qu?en très grand secret on exécutait les gens. Réfléchissez. À proximité de l?endroit où on aurait exécuté les gens, voici ces usines où se côtoyaient des internés, aussi bien que des civils polonais ou des travailleurs libres. Il aurait été absurde de mettre des usines de ce genre si proche de camps d?extermination ultra secrets. Ici vous avez un atelier d?apprentissage. Les enfants qui avaient plus de 12 ans étaient formés par les Allemands pour devenir soit soudeur, soit maçon, soit autre chose. Nous en arrivons maintenant à notre sujet principal, c?est-à-dire la chambre à gaz.

Vous apercevez ici, ce que les Polonais appellent le crématorium 1 appartenant à Auschwitz 1. C?est une vue de l?extérieur. À gauche, vous êtes sensés avoir, une fois que vous pénétrez dans le lieu, la salle des crématoires, et à droite, la chambre à gaz. Quant à la cheminée elle, c?est un détail mais elle est construite non pas à partir du toit mais en dehors. Je vais vous montrez maintenant, la porte d?entrée de la prétendu chambre à gaz. Il me semble que nous sommes bien loin des chambres à gaz américaines, qu?il n?y a aucune précaution particulière. Et que cela ressemble diantrement à une porte tout simplement d?abri anti-aérien. Voici cette même porte, cette fois-ci, ouverte. Nous pénétrons dans la salle des fours crématoires. C?est ce qu?aujourd?hui, par millions, les touristes visitent.

Vous en voyez un double à votre gauche, un double à votre droite. J?ai eu la curiosité de poser la question suivante à un responsable du musée. Je lui ai dit : « Est-ce que ces fours sont authentiques ou s?agit-il de fours reconstitués ». Il m?a répondu : « Oh! Il s?agit de fours authentiques ». À ce moment-là j?ai passé mon doigt sur la porte d?un des fours crématoires et je lui ai montré qu?il n?y avait aucune trace de suie. Alors, piteusement, il a admis devant moi, qu?il s?agissait de fours reconstitués. Et c?est à partir de là, que j?ai eu l?idée de rechercher les plans, non seulement de ces fours, mais de la prétendue chambre à gaz attenante. En effet, j?ai dit à ce responsable : « S?il s?agit d?une reconstitution, il y a dû y avoir des ouvriers, des ingénieurs, des architectes indiquant comment il fallait procéder. Je voudrais retrouver ces photographies ». Et c?est ainsi, que je suis arrivé à retrouver les documents suivants. Voici l?explication qui est aujourd?hui donnée aux touristes. On leur dit : « Voici la salle des fours crématoires. Le double four à gauche, le double four à droite. Et dans cette grande salle sur la droite, la chambre à gaz. Les victimes entraient par la porte Est.
Il s?y trouvait une anti-chambre. Ils passaient par cette anti-chambre, et c?est là que les gens étaient transformés en cadavres. Puis les cadavres étaient apportés dans la salle de crémation ». C?est du moins le récit. Lorsque je suis allé rechercher les plans, voici ce que j?ai découvert. Je peux dire que j?ai découvert un véritable pot aux roses. J?ai découvert qu?en fait, cet endroit n?avait jamais existé tel qu?on le présente aux touristes, mais qu?il avait connu 2 états successifs. Voici le 1er état, vous vous apercevez que la salle est en cul-de-sac. Et ce que l?on peut lire sur le plan, c?est que ici se trouvait la réserve de coque, ici se trouvait les urnes.

Là, ce que les Allemands appellent : leichenhalle, c?est-à-dire la chambre froide, ou la morgue où l?on installait les corps. Puis venait une pièce qui s?appelait waschraum, une salle de lavage. Et enfin sur la gauche, ce que les Allemands appellent aufbarunsraum c?est-à-dire le dépositoire. L?endroit où l?on pouvait venir voir le corps dans son coffre éventuellement. Ceci, c?est le premier état. Cet endroit s?est trouvé de cette façon jusqu?en juillet 1943. Puis en juillet 1943 que c?est-il passé? Les Allemands ont transformé cet endroit. Et de ce crématorium, ils ont fait un abri anti-aérien avec une salle d?opération.

En effet, l?hôpital SS se trouvait à 20 mètres de là. Et c?est alors qu?ils ont créé cette pièce avec anti-chambre. Et ils ont créé, ainsi que vous le remarquez, une succession de pièces dont la disposition est très caractéristique d?ailleurs de l?abri anti-aérien. Et ici se trouvait une salle d?opération. Pour le reste, c?est-à-dire les fours crématoires, ce reste était neutralisé. Alors je me répète, ce que vous voyez aujourd?hui est une tromperie. Les Polonais ont laissé l?anti-chambre pour laisser croire que les victimes pénétraient par là puis étaient brûlés dans cette pièce. En réalité, il y avait un cul-de-sac comme c?est souvent le cas d?ailleurs dans les chambres froides. Je passe à la photo suivante.

Voici justement l?entrée de la porte Est. Et le petit regard donne tout simplement sur l?intérieur de l?anti-chambre. Sur votre extrême droite vous apercevrez une porte de bois. Elle est tout ce qu?il y a de plus simple. C?est comme une porte d?appartement. Vous avez maintenant une vue de ce que les touristes aperçoivent à partir de la porte Est. Vous remarquerez un détail qui est tout de même très curieux pour une chambre à gaz. C?est que dans le fond se trouve une porte vitrée. Or si on gazait des gens là-dedans il serait très facile de briser la vitre, et le gaz s?en irait ailleurs. Vous remarquerez également que les murs sur le bas sont peints. Comment se fait-il qu?on ait peint le bas d?une chambre à gaz?
Quant à la porte de droite, elle donne directement sur la salle des fours. Vous remarquerez peut-être, ici, qu?il semble que des pans de murs aient été abattus. Vous le verrez mieux sur d?autres photos. Voici la même photo, mais en vue rapprochée. Toujours à droite, la salle des fours crématoires. Nous sommes maintenant dans l?autre sens. Nous regardons vers la porte Est. Voyez cette simple porte. Et notez svp, premièrement à gauche : l?accès direct à la salle des fours crématoires, et puis, le long des parois, le long des murs, vous voyez que des parois manifestement, ont été abattues. Il s?agit des parois de l?abri anti-aérien.

Nous sommes ici sur le toit. Nous avons un simple trou, très grossièrement fait. C?est par là que les SS auraient déversé le Zyklon. C?est un travail qui est vraiment tout ce qu?il y a de plus succinct. Ici je suis en train de soulever la trappe, par laquelle les SS auraient déversé le Zyklon. Je répète que le Zyklon c?est de l?acide cyanhydrique. C?est un gaz qui est très dangereux. Il se serait répandu vers l?hôpital SS qui se trouvait à 20 mètres et d?autres parts, je ne comprends pas comment on aurait pu l?utiliser, lui qui est inflammable et explosible à proximité des fours crématoires. Voici ce même endroit par lequel les SS étaient sensés jeter les granulés de Zyklon.

ImageC?est un travail extrêmement simple. Ici des cheminées qui peuvent vous faire impression, mais il s?agit des cheminées de la buanderie. Enfin, pour en terminer avec Auschwitz 1, le camp principal, je vous présente une vue de l?orchestre. Un orchestre joué, et joué parfois en blanc. Et il existait à Auschwitz 1, et comprenez-moi bien je ne veux pas parler là, je ne veux pas dire par là qu?il s?agissait d?un lieu de plaisir, mais il y existait, également, une piscine qu?on ne montre pas aujourd?hui aux touristes. J?en ai terminé, pour l?instant, avec Auschwitz 1. C?est-à-dire avec ce que les visiteurs d?aujourd?hui visitent principalement en fait de chambre à gaz. Nous allons passer maintenant à Auschwitz 2 appeler également Birkenau.

B-I-R-K-E-N-A-U. C?est l?endroit par excellence où nous nous attendons à trouver de formidables crématoires appeler : Krema 2, Krema 3, Krema 4 et Krema 5 dont on ne voit aujourd?hui que des ruines. Nous nous attendons, selon la légende, à de formidables usines de morts ou au moins à des ruines formidables, des ruines gigantesque, nous verrons ce que nous trouvons en fait. Mais avant d?en venir immédiatement à ces Krema 2, 3, 4 et 5, je vais vous montrer pour la première fois une vraie chambre à gaz, mais autoclave. C?est-à-dire servant à nettoyer les vêtements.
Les Allemands en faisaient grand usage et il y en avait justement à Auschwitz 2 ou Birkenau. Voici donc un autoclave pour vêtements. On y gazait les vêtements. Vous remarquerez à quel point cette chambre à gaz, appeler en allemand d?ailleurs Gaskammer, ou Gasraum, semble infiniment plus compliquée dès lors qu?il s?agit de tuer des poux dans des vêtements que lorsqu?il s?agissait comme pour Auschwitz 1 de tuer des hommes. La même autoclave, LE même autoclave aperçut de l?autre côté. Ici, nous apercevons enfin les fameux Krema 2, 3, 4 et 5.

En haut et à gauche K 2, en haut et à gauche K 3, en haut et à droite K 4, en haut et à droite K 5. Mais nous avons une première surprise, c?est que dans cet endroit qui aurait dû être ultra secret, se trouve tout à fait en haut du plan, le sauna. C?est-à-dire, l?endroit où les gens étaient douchés. Devant le K 3 se trouve un espace vide. C?était un terrain de football, un terrain de sport. Sur la droite de cet espace vide se trouvaient les installations hospitalières d?Auschwitz 2 ou Birkenau qui étaient, tout le monde s?accorde à le dire, d?un modernisme extrême. Et enfin, sur la droite, en haut, avant K 4 et K 5, vous apercevez tout un ensemble de baraquements. C?était ce que l?on appelait le Canada, c?est-à-dire l?endroit où l?on déposait toute sorte d?objets appartenant aux déportés. Par conséquent, de quels que côtés que l?on considère l?emplacement de K 2, K 3, K 4 et K 5, on s?aperçoit que l?endroit n?avait vraiment rien de particulièrement secret, au contraire. Nous savons même que parfois, lorsque l?on jouait au football, lorsque les déportés jouaient au football, le ballon pouvait aller dans le cour, dans LA cour du Krema 3. Ici, cette photo polonaise, ce croquis, est plus honnête que le précédent. Il indique en effet, si vous le remarquez, les lettres S-P. C?est-à-dire que l?on vous note bien ici, honnêtement, dans une édition qui est plutôt récente qu?il y avait Sport Platz, une place de sport. Voici ces fameux Krema 2 et Krema 3, je vous demande d?apporter beaucoup d?attention à leur lecture. Prenons le crématorium 2. Vous avez en noir la partie qui sortait du sol. Ce qui est tout de suite à droite était l?emplacement de la cheminée. Puis, dans le prolongement, en grisaille, vous aviez un espace semi enterré sur lequel je reviendrai. À gauche, également un espace semi enterré. Passons maintenant au crématorium 3. Vous voyez qu?il est construit en miroir avec également la salle qui était des crématoires, l?emplacement de la cheminée. Puis, en grisé, cet espace au nord et cet espace sur la droite. Ici nous avons une double photo qui montre des scènes d?arrivées. Les gens arrivaient, parfois, c?était rare, en wagon de 3e classe, mais le plus souvent, en wagon de marchandise. Voici une autre arrivée de déportés qui est assez connue. C?est là que se passait ce que l?on appel la sélection. Le tout est de savoir ce qu?était cette sélection. À droite, vous aviez les hommes. À gauche, les femmes et les enfants. Et, on nous dit que femmes et enfants allaient vers la mort, tandis que les hommes allaient vers le travail. Mais ce qu?il faut dire, et ce qu?il faut répéter avec insistance, c?est que les Allemands ne tenaient pas du tout à ce qu?arrive des enfants. Ce sont les gouvernements des pays respectifs d?où avait lieu les déportations qui insistaient, Laval par exemple à insister pour que les familles ne soient pas séparées.

Les Allemands eux, tenaient aux gens capables de travailler. Ils tenaient aux gens capables, euh, de travailler, de 16 à 55 ans par exemple. Voici une autre scène d?arrivée. Serge Klarsfeld a produit de très nombreuses photos et toutes ressemblent à celle-ci. Aucune ne montre de scène de brutalité, je ne veux pas dire par là qu?il n?y en avait pas. Mais des très nombreuses scènes qu?on nous montre ne prouvent aucune brutalité particulière. Voici une arrivée encore et tout à fait au fond, vous devez apercevoir sur la gauche une cheminée, et puis sur la droite une autre cheminée. Eh bien, à gauche, c?est la cheminée du Krema 2 et à droite, c?est la cheminée du Krema 3. Je m?attendais selon la légende à quelque chose d?absolument gigantesque. Or cela me paraît bien modeste, bien menu.

Voici la photo, dite de la femme à l?écharpe. Eh bien cette femme se trouve en train de regarder le Krema 2 et elle a derrière elle le Krema 3. Sur la gauche la cheminée est coupée par la photo, mais voici ce Krema qu?on s?attendait à voir absolument gigantesque et situé dans un endroit ultra secret. Ici, nous avons une photo du Krema 2 ou du Krema 3 dans son intégralité. La cheminée ne fait pas plus de 7 mètres. Et si on pouvait discerner cette photo de très près, on y verrait une douzaine d?hommes au travail. Il s?agit ici d?une reconstitution faite par un Russe. Le bâtiment reste petit malgré l?effet de perspective qu?on a essayé de lui donner. Vous remarquez qu?on a dessiné de la fumée, comme si ces bâtiments expiraient de la fumée jour et nuit. Sur ce point, nous verrons ce qu?il faut penser, je vous en parlerai plus tard. Ceci est une maquette du musée d?Auschwitz pour le Krema 2. Un camion est en train de décharger des cadavres. Ici, un des dessins qui prétend représenter ce que il se passait selon la légende. La partie gauche semi enterrée servait paraît-il de vestiaire. Les gens pénétraient là, se dévêtaient de leurs vêtements. Puis sur la droite, se trouvait semi enterrée elle aussi, la chambre à gaz. C?est une maquette qui est simplifiée. Nous allons en voir une maintenant, qui est plus compliquée et à laquelle je vous demande d?accorder toute votre attention.
Cette maquette, je vous la présente en 2 photographies distinctes. D?un côté, une photographie qui représente les gens en train de pénétrer dans le vestiaire et de se dévêtir. Et de l?autre côté, une photo qui vous représente un amoncellement de cadavres de gens gazés. Cette maquette devrait être universellement connue. Enfin voilà comment les choses se passaient. Or, elle n?est pas connue cette maquette. Elle est quasi inconnue. Pourquoi? Parce qu?elle est absurde. Elle permet de toucher du doigt l?absurdité de la reconstitution polonaise. En effet, comment pouvait-on faire pénétrer ainsi 2 000 cadavres dans la seconde photographie, celle où vous voyez les cadavres amoncelés? Comment pouvaient-on les extirper?
Puisque chaque four ne peut brûler qu?un cadavre en 1 heure et demi. Il y avait 15 fours. Cela fait 15 cadavres en 1 heure et demi. Il aurait fallu pour consommer l?ensemble des cadavres amoncelés, plus de 8 jours. Et tout cela au milieu des vapeurs d?acide cyanhydrique que tous les systèmes de ventilation du monde, n?auraient pu extirper. Figurez-vous que le commandant du camp d?Auschwitz qui s?appelait Höss dont le nom n?est pas à confondre avec Hess, est passé aux aveux et a dit aux Polonais que les membres du commando pénétraient ainsi dans cette salle pleine de cadavres, en fumant ou en mangeant, sans masque à gaz pour en retirer des cadavres. C?est absolument impossible.

Je répète que le Zyklon B est inflammable et explosible. Voilà donc ce que l?on nous demande de croire. Voilà ce qui est radicalement impossible. Si cette pièce a existé, elle n?a certainement pas pu être une chambre à gaz. Reportons-nous aux plans car ils ne mentent pas. Vous voyez qu?il y a 5 fours, plus un four à brûler des ordures. Donc on amenait des ordures, donc il n?y avait pas de secret. Je vous présente cette fois-ci un grand plan, qui est une pièce capitale. C?est le plan d?ensemble du Krema 2. Il nous dévoile la réalité des choses. Et la réalité, c?est que les 2 pièces sont enterrées, qui sont enterrées, n?étaient nullement un vestiaire et une chambre à gaz, mais tout simplement, ainsi que cela figure, mais c?est peu lisible pour vous probablement, c?était ce que les Allemands appelaient des Leiche Keller 1, Leiche Keller 2, Leiche Keller 3. C?était en réalité des chambres froides enterrées. Pourquoi enterrées? Précisément pour les protéger de la chaleur. Celle de gauche mesure 50 mètres de long sur 8 de large. Celle d?en bas, 30 m de long sur 7 m de large. Elles sont, vous le remarquez, en cul-de-sac. Regardons de près le Leiche Keller 1. Il a une porte qui est à double battants, ce qui est une absurdité pour une chambre à gaz. En haut et à droite figure ici un tout petit monte-charge de 2 mètres 10 sur 1 mètre 35. Ce qui serait de dimension dérisoire pour transporter des milliers de corps d?ici vers la salle des fours.

Et je voudrais vous raconter une anecdote à propos de ce plan. Un jour, j?ai voulu soumettre ce plan à un spécialiste français constructeur de fours crématoires. Et j?ai observé ce spécialiste pendant qu?il regardait le plan. J?ai remarqué qu?il s?intéressait à la disposition des fours, et qu?il semblait négliger tout le reste. Je lui ai demandé alors : « Et le reste? » et il m?a fait une curieuse réponse. Il m?a dit, comme si cela allait de soi : « Le reste doit être du 7-8 mètres ». Je lui ai dit : « Vous avez raison, la pièce de gauche a 8 mètres de large, et celle d?en bas a 7 mètres de large ». Mais j?ai ajouté :
« Mais pourquoi me dites-vous du 7-8 mètres? Qu?est-ce que cela signifie dans votre esprit ». Il m?a répondu : « C?est la largeur habituel des chambres froides ». C?est alors, et alors seulement, que j?ai fait remarqué à cet homme qu?il y avait en effet le mot de Leiche Keller et qu?il s?agissait bien d?une chambre froide. Il m?a alors fournit l?explication suivante sur cette largeur de 7-8 mètres. Il m?a dit : « Elle est habituel parce qu?on prévoit d?un côté 2 mètres pour un cadavre, de l?autre côté 2 mètres pour un autre cadavre, et puis, entre les 2, un espace de 3-4 mètres pour le mouvement des chariots autour des piliers de soutènement ». Je lui ai alors dit : « Eh bien figurez-vous, qu?on dit habituellement que cet endroit était une chambre à gaz ».
Alors, d?un air un peu étonné, le spécialiste m?a répondu : « C?est surprenant! Connaissant les Allemands comme je les connais, car je travaille avec eux, je suppose que s?ils avaient voulu faire une chambre à gaz, ils n?auraient pas fait une chambre froide ». Je voudrais ici, ajouter, qu?il ne faut pas s?imaginer que ces endroits étaient constamment, et dans tous les coins, plein de cadavres. Le plan que nous avons là, n?est qu?un plan de masse. Il ne nous fournit malheureusement pas de détails sur la disposition précise des lieux. Voyez Leiche Keller 3 par exemple. n?imaginez pas que c?était un endroit plein de cadavres. Par un plan que je ne vous montre pas ici, je peux vous dire qu?il y avait en fait : un bureau, un petit couloir, une petite pièce où l?on extrayait les dents en or, c?est vrai, et un endroit appelé Tresor Raum (chambre au trésor) où l?on mettait de côté les valeurs trouvées sur les cadavres. Ceci est une représentation en coupe, non seulement des fours, mais des Leiche Keller 1 et 2. On s?aperçoit que, sur la gauche, le four avait une cheminée qui ne dépassait pas 7 mètres. Quant aux Leiche Keller 1 et 2, on voit qu?ils dépassaient le sol de peu. Leurs hauteurs étaient de 2 mètres 40, ils s?agissaient de pièces bien simples et bien nues. On le voit encore mieux sur cette coupe. Cette photo est tout à fait exceptionnelle. Elle a été prise par quelqu?un qui a réussi la performance de s?introduire sous les ruines du Krema 2. En effet on nous dit que les Allemands avaient fait sauter les Krema avant de partir. Ce qui en soit d?ailleurs, est possible, mais constitue en même temps une absurdité. S?ils avaient voulu cacher la trace de leurs crimes, il n?aurait pas fallu qu?ils fassent exploser. Car si vous faites exploser, les blocs de bétons montent en l?air, retombent et les traces du crime sont en dessous. Eh bien il est possible de se glisser sous les ruines du Krema 3, et voici la photo qui a été prise du plafond. Vous vous apercevez qu?il s?agit d?un plafond nu, un coffrage de béton, et on voit même, en cet emplacement, la trace d?une pièce de bois qui à cause du froid, car cela a été construit en hiver, est restée collée au plafond. Je ne vois ici, absolument aucune trace de ces fameuses douches par lesquelles le gaz, dit-on, arrivait. J?en arrive aux Krema 4 et 5. Je vous ai parlé du Krema 1, situé à Auschwitz 1, puis je vous ai parlé des Krema 2 et 3 situé à Auschwitz 2. J?en arrive maintenant aux Krema 4 et 5 situés eux aussi à Auschwitz 2. On en parle rarement, et pour une bonne raison. C?est qu?on atteint ici au comble de l?absurdité. Les Krema 4 et 5 étaient plus petits, bien que possédant 2 cheminées au lieu d?une. Voici le plan, voici les 2 cheminées avec la salle des fours. Voici ce qui était sensé être le vestiaire. Puis, en plus petit, voici ce qui était sensé être 3 chambres à gaz différentes.
En dessous, vous en avez le plan. Vous m?en excuserez il est inversé. C?est-à-dire que les cheminées sont placées ici. Voici la salle de crémation. On nous raconte donc ceci : C?est que l?on faisait rentrer les gens dans cette salle. Ils se déshabillaient. Puis on les amenait, regardez bien, dans 3 petites salles situées ici. 1, 2, 3. On les y gazait, puis on ramenait les corps? ici. Et on procédait enfin à la crémation. C?est un curieux aller-retour. La vérité est différente. La vérité, la voici. Cette fois-ci, j?ai rétabli l?emplacement du crématoire là où il doit être.
Voici ses 2 cheminées, voici donc la salle de crémation. Voici une vaste salle qui pouvait être la morgue. Ensuite nous avions bel et bien, en Allemand Arzt Zimmer (la chambre du médecin). Puis, nous avions un endroit où l?on entreposait du charbon, et non point du coque. La coquerie se trouvait ici, pour les fours. Et s?il y avait du charbon, c?est que les 3 petites pièces, figurez-vous, contenaient des poêles. Des poêles que l?on chauffait d?ailleurs en introduisant le charbon de l?extérieur. Alors que venaient faire des poêles dans une pièce, ou dans des pièces où on aurait gazé les gens? Ce qui est le plus amusant, si l?on veut, dans ce mensonge, je reviens au premier plan, c?est que l?on nous dit que les SS, pour gazer les pauvres malheureux, prenaient une échelle, ouvrait la petite fenêtre que vous voyez ici, une autre là, une autre par derrière, introduisaient le Zyklon, fermaient la fenêtre ou la faisait fermer, et puis les gens périssaient ainsi. Autrement dit, le récit est tellement absurde qu?il suppose le procédé suivant : le SS montait sur son échelle, frappait sans doute à la vitre, demandait aux gens de bien vouloir ouvrir, les gens ouvraient, il dispersait le Zyklon et il leurs demandait de refermer la fenêtre et de mourir bien paisiblement. Voilà à quelle absurdité on en arrive dès lors que l?on examine les lieux.

Nous avons toutes sortes de documents sur la construction, sur? de ces chambres à gaz. Je vais vous en montrer toute une série en les commentant d?ailleurs très peu. Simplement pour vous prouver que les Allemands n?en faisaient pas une affaire de secret. Voici une première photo, on y voit des ingénieurs et des ouvriers au travail. Voici les fours, et voici les rails devant les fours. Voici les fours terminés. Voici le Krema 4 ou le Krema 5 en construction avec des ouvriers sur le toit. Voici une autre photo du même genre. Encore une. Encore une autre. Voici les Krema 4 ou 5 sous la neige. Les voici encore sous la neige. Et voici encore en construction sous la neige. La photo suivante, est plus importante. Elle montre le K 4 ou le K 5 avec des promeneurs, sur la neige. Vous voyez qu?il n?y avait aucun secret. Et vous notez, dans le fond, les petites fenêtres par lesquelles les SS étaient sensés projeter le gaz, montés sur une échelle. Cette scène nous est présentée, au musée d?Auschwitz, comme une scène dite de gazage.
Or en réalité, on y voit des cadavres, comme de typhique et de la fumée, peut-être de la fumée de feu de bois pour combattre l?odeur. Ici, une autre photo, qu?on a osé appeler : scène de gazage. Il s?agit de femmes nues qui ont été prises en photographie subrepticement. Là, de vieilles femmes, dans leur baraquement. Il s?agit d?un document, qui est d?origine soviétique. Cela a été pris à la libération. Ces vieilles femmes, en fait sont en train de reconstituer une scène. Moi je pensais que les vieilles femmes on les gazait à Auschwitz, il faut croire que non. On les voit ici, bien vivante. Cette photo représente

2 cadavres d?enfants par terre, puis 1 enfant debout, puis une vieille femme debout. J?ai montré cette photographie à des médecins, et voici les réflexions qui m?ont été faites : l?enfant debout est en bonne santé, la femme souffre d?oedèmes de malnutrition apparemment à voir ses mains. Quant aux 2 enfants, ils sont morts dans leurs lits et ont été sortis de leurs lits pour être mis dehors et pour être photographiés dehors.
Ici, il s?agit d?enfants au moment de la libération, il paraît que les enfants aussi étaient gazés, il faut croire que ceux-là ne l?ont pas été. Je dois ajouter à ce propos que beaucoup d?enfants sont nés à Auschwitz.

Des enfants juifs, des enfants de Tsiganes, des enfants polonais. Et il existe une ?uvre que tous spécialistes devraient connaître qui s?appellent L?Anthologie d?Auschwitz, où il est question d?études qui ont été faites précisément 20 ans après la guerre. C?est-à-dire en 1965 sur les enfants qui étaient nés à Auschwitz et qui étaient devenus entre temps adulte. Cette photo est d?origine soviétique. Elle est relativement peu connue. Elle montre des enfants libérés. Des enfants libérés d?Auschwitz, vers le 27 janvier 1945. Ils sont accompagnés de nurses et de bonnes s?urs.
Vous avez ici l?intérieur des baraquements d?Auschwitz 2 ou de Birkenau et, dans le désordre bien entendu puisque, sous l?ordre allemand il ne se trouvait pas ainsi. Et sur le montant, les montants de bois, vous voyez des formules du genre de : « Sois honnête » ou bien « La parole est d?argent mais le silence est d?or ». Des formules un petit peu boy scout. Au musée, derrière une vitrine sont exposés des vestiges des Krema. Et je crois que ces vestiges sont très importants. En effet ce qui est intéressant, c?est que chacun des objets qu?on y montre, peut attester de l?existence de fours crématoires, mais aucun, pas le moindre, pas le moindre objet matériel ne peut attester de l?existence de chambres à gaz. Il n?y a pas le plus faible indice matériel.

Je pourrais vous montrer de nombreuses photos de ruines des Krema, mais je pense qu?il vous suffira de celle-ci. En effet, il s?agit de, des ruines de la prétendue chambre à gaz du crématorium 2. Voyez à quel point, elle est lilliputienne par rapport à tous ce que l?on peut se représenter, par rapport à tous ce que l?on peut nous raconter. Au fond, à gauche, ce que vous apercevez, ce sont des bacs de décantation. Pendant la guerre, les Alliés ont pris des photos aériennes d?Auschwitz. Ces photos ne nous ont été révélées que très récemment. Et elles prouvent que les chambres à gaz n?ont pu être qu?imaginaire. Les Alliés surveillaient Auschwitz de très près à cause de son importance industrielle considérable. De décembre 1943 à janvier 1945, ils ont effectué 32 missions aériennes à partir de la base de San Severo en Italie. Pas une de ses missions n?a montré les crématoires crachant de la fumée nuits et jours. Pas une des photos prises n?a montré de foules humaines agglutinées à proximité des Krema. Pourtant, dans les comptes rendus de missions, dès qu?il y a trace de fumée ou trace de vapeur, cela est mentionnée. Par conséquent, l?observation était extrêmement précise. Regardons bien cette diapo. Parmi toutes les photos j?ai choisi celle-ci qui date du 25 août 1944. C?était paraît-il l?époque où les gazages atteignaient leur point culminant. Or, que voyons nous? En haut à droite, nous voyons bien le Krema 2 et en miroir le Krema 3. Voyons ce Krema 2. Nous voyons bien l?ombre portée de sa cheminée. Aucune trace de fumée.

Nous voyons les 2 Leiche Keller. Le Leiche Keller 2, sensé être vestiaire, et le Leiche Keller 1, sensé être chambre à gaz. Aucune foule ne figure aux alentours. Et au lieu d?un terrain qui devrait être piétiné, nous avons en bas à droite un jardin bien dessiné. Nous avons un portail qui est ouvert. Rien ne cache ce lieu, du reste du camp. J?estime que ces photos aériennes, dont je ne donne ici qu?un exemple et qui nous ont été révélés en 1969, devraient porter le coup de grâce à la légende des chambres à gaz. J?ajoute un point. J?ajoute que les techniciens des services de renseignements alliés disposaient d?une foule d?informations considérables sur Auschwitz. Sur ses usines, sur ses camps. Ils savaient jusqu?aux noms des ingénieurs. Et ils savaient même que certains d?entre eux faisaient 70 km en voiture pour se rendre à leur travail.
S?il y avait eu à Auschwitz la moindre entreprise d?extermination, il n?y a nul doute que les services d?observation aériennes britanniques ou américaines en auraient été immédiatement avisés. Je voudrais vous parler du Zyklon B. On fait tout un mystère autour de ce produit. Or ce produit, je vous l?ai dit, existait dès 1917. On l?employait et on l?emploie encore aujourd?hui comme désinfectant et insecticide. On l?emploie donc depuis 54 ans. Il se vend à Paris. C?est un produit dangereux. Il faut près de 24 heures d?aération pour pénétrer avec un masque dans une pièce qui a été traité au Zyklon. Je répète donc, qu?on se moque de nous quand on nous dit que presque tout de suite après le gazage de 2 000 personnes, les membres d?un commando spécial pouvaient venir sur place pour sortir les cadavres et qu?ils le faisaient négligemment soit en mangeant soit en fumant.

Aujourd?hui le Zyklon est encore utilisé en France, en Europe, aux États-Unis et il a même gardé son nom. Voici un ouvrage, qui date de 1972, et qui nous montre une brochure, euh, vantant les mérites du Zyklon B. Le Zyklon pouvait se présenter sous la forme de disques. On voit ici des hommes en train de répandre des disques de Zyklon dans une minoterie. Vous noterez qu?ils portent des masques. Il peut être aussi présenté sous la forme de granulés. Ici on voit 2 hommes en train de procéder au gazage d?un terrier de renards. Bien qu?ils soient en plein air, ils portent des masques. Ici, le gazage d?un entrepôt de café. Ici, le gazage d?un navire.

Ici une chambre à gaz mobile. Qui a d?ailleurs très bien pu donner naissance au mythe des chambres à gaz roulantes. Les 2 photos que je vais vous montrer sont très peu connues. Elles sont d?origine soviétique. Elles nous montrent, des conteneurs de Zyklon B. Vous remarquez 2 déportés. Vous remarquez 2 Russes. Et derrière, notez bien la forme de cette porte. Eh bien, on nous dit ici, on nous disait en 945, que c?est ici que se trouvait la chambre à gaz. Or cet endroit, aujourd?hui se trouve plusieurs kilomètres de l?endroit qu?aujourd?hui on nous fait visiter comme chambre à gaz. Et cela vous pouvez le constater d?une façon très simple, remarquez bien la forme de la porte, mieux reproduite ici, vous ne retrouvez nullement ce qui aux touristes, aujourd?hui, est présenté comme étant à Auschwitz 1, la chambre à gaz. Il y a donc, tromperie une fois de plus. Les Russes pendant un certain temps ont décidé de dire que la chambre à gaz se trouvait à tel endroit, puis par la suite les Polonais ont changé d?avis.

Il faut comprendre, par conséquent, que ce que les Russes nous montrent ici comme chambre à gaz homicide, était en réalité une chambre à gaz ou un dépôt de Zyklon B non homicide. L?affaire est toute simple, il y a eu confusion entre chambre à gaz non homicide et chambre à gaz homicide. L?historien Henri Amouroux a coutume de dire que sur le chapitre de la seconde guerre mondiale : « On a menti, beaucoup menti ». On ne peut que l?approuver. Et les chambres à gaz constituent un exemple de ces mensonges. Je prendrai un exemple reconnu de mensonge, c?est celui de la chambre à gaz de Dachau. Voici par exemple, une photographie très connue, qui a circulé dans le monde entier et qui représente un soldat américain devant la prétendue chambre à gaz de Dachau. En réalité, il s?agit d?une chambre à gaz de désinfection. Cette photo est à peu près aussi connue. Elle représente des officiels américains consternés en train de visiter ce que l?on appelle : la chambre à gaz de Dachau. Sur laquelle, je le répète, il y a eu de très nombreux témoignages. Eh bien aujourd?hui que voyons nous? Aujourd?hui et depuis 1960, on reconnaît qu?il n?y a jamais eu de chambres à gaz à Dachau. Voici l?inscription officielle en 5 langues telle qu?elle peut se lire aujourd?hui. Je lis la version française. Pour Dachau, chambre à gaz: "chambre de douche camouflée" - ne fut jamais utilisée. Autrement dit, il n?y a jamais eu de gazage. Ce qui est intéressant, c?est que les personnes officielles de Dachau se permettent d?appeler cette pièce : chambre à gaz.

ImageIls n?ont aucune raison de le faire. Et je leur ai posé la question, je leur ai dit : « De quel droit pouvez-vous baptiser de chambre à gaz une pièce qui n?a jamais été utilisée en tant que tel? Une pièce dont vous nous le dites, qu?elle a été commencée en 1942 et non terminée en 1945. Comment peut-on savoir qu?une pièce qui n?est pas terminée, est destinée à devenir une fois terminée, une chose que l?on n?a jamais vue dans sa vie? » Eh bien, bien entendu, je n?ai jamais eu de réponse sur ce point là. Voilà donc un exemple de mensonge, et de mensonge officiel. Mais on pourrait multiplier les exemples de supercheries. Voici un exemple. Regardez bien cette double photo. En haut, des hommes, dont on ne saurait dire d?ailleurs s?ils ont été photographiés dans un camp allemand ou ailleurs, et en bas, les mêmes mais avec à leurs pieds, des cadavres accumulés. On a trouvé, que cela ne suffisait pas assez, alors, on en a ajouté. Voici une photo, qui figure aujourd?hui dans un manuel d?histoire distribué aux enfants de France et qui est sensé représenter une chambre à gaz. Or, réfléchissez un instant. Il s?agit, tout simplement, d?une salle de bain. Il y a des vitres. Dans une chambre à gaz vous ne risqueriez pas d?avoir des vitres. Il suffirait de les briser et tout serait fini. J?en termine avec la photo de madame Simone Weil. Et pourquoi? Ce n?est pas que je veuille m?en prendre à elle spécialement. Tout le monde sait qu?elle a été déportée à Auschwitz et qu?elle y a souffert. Mais voici qui est très intéressant. Figurez-vous que madame Simone Weil, est née Simone Jacob. Elle est née le 13 juillet 1927. Or, officiellement, cette Simone Jacob, née le 13 juillet 1927 à Nice,
eh bien, a été enregistrée comme gazée le 16 avril 1944 à Auschwitz. Madame Simone Weil n?a pas été gazée, elle vit. Elle fait partie de ceux qui prétendent qu?il y avait des chambres à gaz à Auschwitz. Elle reconnaît n?avoir rien vu de tel, mais elle nous le certifie que les chambres à gaz ont existé. Je dis moi, qu?il s?agit d?un acte de foi religieux et que cela n?a rien de scientifique. Et c?est ainsi que l?on nous a inventé d?innombrables faux gazés. J?en viens à ma conclusion. Je dirais ceci. La croyance dans les chambres à gaz, est une sorte de croyance religieuse. C?est une croyance : les yeux fermées. Et ce que je vous suggère seulement c?est d?ouvrir les yeux. D?apprendre à voir les textes, les documents, les photographies avec vos propre yeux.

ImageGeorges Wellers a écrit, pour me répondre parce que j?avais dit que les chambres à gaz n?avaient pas existé, il a écrit un livre qui s?appelle : Les chambre à gaz ont existé. Je vous recommande de lire son livre. Mais tâchez de savoir le lire de près. Et regardez comment on peut cherchez à tromper les gens, et à faire dire aux mots ce qu?ils ne disent pas. Pour commencer, faites une chose très simple. Regardez la documentation photographique de ce livre. Vous remarquerez que monsieur Georges Wellers, en 1980-1981, n?a pas osé donner une seule photo d?une seule chambre à gaz. Ou de ce qui pourrait ressembler à une chambre à gaz. Il nous montre des crématoires et il compte sur notre crédulité pour y voir des chambres à gaz. 100 fois, j?ai proposé un débat à ceux que j?appelle les exterminationiste. J?appelle exterminationiste ceux qui croient que les exterminations et les chambres à gaz ont existé. Jamais ils n?ont accepté ce débat. Au lieu de cela, je suis couvert d?insultes et je suis traîné en justice. La justice française pour sa part, a répondu tout récemment, qu?elle n?avait pas le droit de se prononcer en matière d?histoire. Néanmoins, elle m?a très lourdement condamnée. Pourquoi? Eh bien parce que selon elle, je cause du tort aux déportés et en particulier aux Juifs, en niant l?existence des chambres à gaz et du génocide. Je dis que cela est une opinion. Pour moi, en tant que chercheur, je ne dois faire plaisir, ou déplaisir, à personne. Je dois ne me préoccuper ni de Pierre ni de Paul. De toute façon, il faut dire la vérité. Il faut la chercher en tout cas.

Il ne faut pas la cacher. Même si les tribunaux pensent le contraire. J?ai du respect une fois de plus, je tiens à le souligner, pour les vraies souffrances des vrais déportés. J?ai du respect, pour les souffrances des Juifs. Mais par-dessus tout, je crois qu?il faut avoir du respect pour la vérité, et pour la recherche de la vérité. C?est en tout cas mon devoir, et je crois que mon devoir, c?est le vôtre aussi.

Fin.

aufbarunsraum n'est pas le vrai terme. Si un Allemand ou bien quelqu'un qui connait la langue allemande peut nous dire le vrai terme, ainsi soit-il. De même pour les autres termes en Allemand.[/justify]
[right][small]http://www.erichufschmid.net/HoloHoax/Faurisson-video-F.html[/small][/right]
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KingdomOfTruth

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[center]1986 - Robert Faurisson - Das Problem Der Gaskammern

[large]Das Problem Der Gaskammern - 1986[/large][/center]



[center]Robert Faurisson - Das Problem Der Gaskammern - 1981 - 1h11m.mkv (191.2 MB)
https://mega.co.nz/#!SE8HlBiS!AyD-7XFgb ... PKQk12dvNo




REVISIONISMUS IN DEUTSCHER SPRACHE



Image[/center]
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Image

[center]Robert Faurisson
[large]The gas chambers problem[/large]



http://rutube.ru/video/509c7947904e8aa45ccaa9c40aa22938/
http://rutube.ru/video/f3611a478a2f05b4 ... d844d4a95/
http://rutube.ru/video/0bb465048c94991f ... 00d14a612/
http://rutube.ru/video/dbfbe65be36e53a9 ... 7b533642a/
http://rutube.ru/video/2d0c4a00d87b4619 ... 94d58cf5c/[/center]



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[center][large]Witnesses to the Gas Chambers of Auschwitz
by Robert Faurisson[/large][/center]


Image[justify]SUMMARY : An eye-witness testimony must always be verified. There are two essential means of substantiating such testimony in criminal cases: confronting the account with the material elements (in particular, with expertise as to the crime weapon), and the detailed cross-examination of the witness on what he purports to have seen. Thus, in the proceedings where it had been a question of the homicidal gas chambers of Auschwitz, no judge nor any attorney was able to claim any kind of expertise regarding the weapon of the crime; moreover, no lawyer ever cross-examined the witnesses by asking them to describe with precision even one of these chemical slaughter-houses. That is, up until 1985. When witnesses that year were finally cross-examined on these subjects during the first Zündel trial in Toronto, their rout was total. Because of this resounding set-back and by reason of other calamities previous to or following 1985, the defenders of the thesis of Jewish extermination have begun to abandon a history of Auschwitz primarily founded on testimonies and are obliging themselves, at the present time, to replace it with a scientific basis, or, at least, one which appears scientific, founded on factual research and proofs. The "testimonial history" of Auschwitz in the manner of Elie Wiesel and Claude Lanzmann is discredited. Its time has passed. It remains for the exterminationists to attempt to work like the revisionists on the facts and the evidence.

In the present study, "gas chambers" is intended to mean "homicidal gas chambers," or "Nazi gas chambers." By "Auschwitz," it is necessary to understand this as Auschwitz I or Auschwitz Stammlager, as well as Auschwitz II or Birkenau. Finally, by "gas chamber witnesses," I am indiscriminately designating those who claim to have participated in a homicidal gassing operation at these locations and those who are content to say they either saw or perceived a homicidal gas chamber there. In sum, by "witnesses," I mean those whom one usually designates as such, whether it is a matter of judicial witnesses or media witnesses; the first have expressed themselves under oath in the docket of a legal proceeding, while the second have given testimony in books, magazine articles, films, on television or the radio. It so happens certain witnesses have alternately been of both the judicial and media types.

This study is devoid of any psychological or sociological consideration for the Auschwitz gas chamber testimonies, as well as any consideration along the lines of what is physical, chemical, topographical, architectural, documentary, and historical by which these testimonies are unacceptable. It aims above all to make evident a point which the revisionists have so far not mentioned but which is nonetheless of prime importance: up until 1985, no judicial witness of these gas chambers had been cross-examined on the material nature of the facts reported; when, in Toronto, at the first Zündel trial in 1985, I was able to cause such witnesses to be cross-examined, they collapsed; since this date, there are no longer any gas chamber witnesses presented in court except perhaps at the trial of Demjanjuk in Israel where, there again, the witnesses revealed themselves as false.
To begin, I will digress upon the grievous causes by which, since 1983, Simon Veil1 was led to recognize that there existed no witnesses of the gas chambers.

1. The Thesis of Simone Veil

After the end of the war, the illusion that there were innumerable witnesses to the Auschwitz gas chambers was gradually accepted. By the end of the 1970s, with the arrival of historical revisionism into the media arena, particularly in France, it began to occur to certain individuals that these witnesses were perhaps not as numerous as one had believed. It is thus that, during the preparations for a major trial which Jewish organizations had intended against me during the early 1980s, their lawyers and in particular, Robert Badinter, the future Minister of Justice, experienced severe difficulties uncovering evidence and witnesses. With staff in hand in the manner of the pilgrim, they were obliged to go to Poland and to Israel so as to bring back, if possible, that which they could not find in France. All for naught. My first trial took place in 1981, followed by the appeal in 1983. Not one single witness took the risk of appearing in court. On April 26, 1983 the Paris Court of Appeal rendered its verdict. Naturally, I was found guilty, as one might have expected, for "harm to others," which is in fact to say for harm caused to Jews for the exposition of my theses in the mainstream press. Yet the court coupled this verdict with remarks sufficient to cause my adversaries a fair degree of consternation. My work was judged to be substantial and yet dangerous. It was dangerous because, in the opinion of the judges, it appeared I allowed other persons the possibility of exploiting my discoveries for reprehensible ends! All the while, this same work was substantial in the sense that, in the opinion of the court, one could uncover neither negligence, frivolousness, willful ignorance, nor lies -- and this contrary to what had been affirmed by the adversarial party which had accused me of "causing harm to others by falsification of history." (sic)
On the subject of testimonies, the court went so far as to pronounce:
"The researches of Mr. Faurisson have dealt with the existence of the gas chambers which, to believe multiple testimonies, would have been used during the Second World War to systematically put to death a portion of those persons deported by the German authorities." [my italics]

The court perfectly summarized what it called my "logical thread" and my "reasoning" by specifying that, for me, the existence of the gas chambers, such as usually described since 1945, conflict with an absolute impossibility, which suffices by itself to invalidate all the existing testimonies or, at the least, to stamp them with suspicion [my italics].

Finally, the court, drawing a practical conclusion from these considerations, decreed the right of every Frenchman not to believe in the evidence and witnesses of the gas chambers. It stated:
"The value of the conclusions defended by Mr. Faurisson [as to the problem of the gas chambers] rests therefore upon the sole appreciation of the experts, the historians and the public."

Two weeks later, Simone Veil publicly reacted to this judicial decision -- upsetting for her and her co-religionists -- with a declaration of extreme importance. She admitted the absence of proofs, of traces and even witnesses of the gas chambers, but added this absence was easily explained because:
"Everyone knows [she asserts] that the Nazis destroyed these gas chambers and systematically eradicated all the witnesses."

To begin with, "everyone knows" is not an argument worthy of a jurist. Furthermore, S. Veil, believing perhaps to be getting out from behind the eight-ball, made her case only worse; in effect, in order to uphold what she was claiming, it would have been necessary for her to prove not only that the gas chambers had existed but that the Nazis had destroyed them and that they liquidated all the witnesses: a vast criminal undertaking about which one wonders on what order, when, with whom and by what means the Germans would have carried it out in greatest secrecy.

But what does it matter? We shall take note of this concession by S. Veil: there is neither proof, nor traces, nor witnesses to the gas chambers. It so happens that, in trying to reassure her circle, S. Veil clothed this surprising concession with conventional parlance. Here is, therefore, in her own words, what she confided in an "interview-event" for France-Soir Magazine (May 7, 1983, p. 47), of which the title was: "Simone Veil's warning in regard to Hitler's diaries: `We risk banalizing genocide'":

What strikes me nowadays is the paradox of the situation: someone publishes a diary attributed to Hitler by sheer dint of publicity and a great deal of money without, it seems, taking very great precautions to assure himself of its authenticity, yet, at the same time, in the course of a trial brought against Faurisson for having denied the existence of the gas chambers, those lodging the complaint are obliged to apply a formal proof about the reality of the gas chambers. Yet everyone knows that the Nazis destroyed these gas chambers and systematically eradicated all the witnesses.

A choice so full of consequences as that of S. Veil is not to be explained solely by the disaster of April 26, 1983 but by an entire series of events which, for her, made 1982 a dark year in terms of the history of the gas chambers and the credibility of witnesses. I will recall here but three of these events:

1) On April 21, 1982, historians, politicians and former deportees founded an association in Paris having as its objective the research of evidence for the existence and operation of the gas chambers (ASSAG: Association pour l'étude des assassinats par gaz sous le régime national-socialiste; Association for the study of killings by gas under the national-socialist regime); one year later, this association had still not discovered any proof [this is still the case today in 1993, since, envisioned according to its own statutes for a "duration limited to the realization of its objective," this association has not disbanded];

2) In May, 1982, the Minister for Veterans' Affairs launched a noteworthy "Deportation Exposition, 1933-1945" in Paris; this exposition was supposed to continue by touring throughout France; I immediately sent out a text in which I demonstrated the fallacious character of this exposition: no evidence - except fraudulent evidence - nor any precise testimony for the existence of Nazi gas chambers was able to be shown to visitors; additionally, Ms. Jacobs, the person responsible for this initiative by the Ministry, took it upon herself to immediately cancel this would-be vagabond exposition;

3) From June 29 to July 2, 1982 an international symposium was held at the Sorbonne on "Nazi Germany and the extermination of the Jews"; this colloquium had been announced as a decisive reply to the revisionist offensive in France; it was supposed to have concluded with a resounding press conference; in reality, it was totally different: the first day of the proceedings, we distributed in the Sorbonne's entrance hall recent copies of my Response to Pierre Vidal-Naquet (not without risk to ourselves); the colloquium was carried out behind closed doors and in a turbulent atmosphere; finally, during the press conference, the two colloquium organizers, historians François Furet and Raymond Aron, weren't even mentioning the words "gas chamber(s)."

I often say it's on this date of July 2, 1982 that the myth of the Nazi gas chambers and their associated witnesses died or entered their final death throws, at least on the level of historical research. At the very heart of the Sorbonne, one had thus disconcertingly discovered the absence of any solid proof and any witness worthy of trust. Notwithstanding, one had previously trumpeted that this colloquium would put an end to "the ineptitude of Faurisson" by bringing forth a mass of evidence and testimonies. Such a silence after all that fanfare was truly eloquent.

2. The Written Testimony of Fajnzylberg-Janowski

I said earlier that at my trial not a single witness took the risk of appearing before the court. At the last minute, my accusers had nonetheless provided the written testimony of a Jew who was living in Paris but whom one intentionally kept from appearing in the dock. This Jew was the famous Alter Szmul Fajnzylberg, born in Stockek, Poland, October 23, 1911. This former Polish waiter, an atheistic Jew and Communist political delegate for the international brigades serving in Spain, had been imprisoned during a period of three years at Auschwitz-Birkenau.

In his brief written testimony, he essentially stated that, working in the Auschwitz crematory (the Altes Krematorium, or Krematorium I), he had spent a good deal of his time locked up with his comrades in the coke-room, for, on each occasion that the SS gassed Jews in the adjoining room, they took the precaution of sequestering the Sonderkommando in the coke-room so that no Jew might visibly confirm the gassing operation! Once the gassing operation was completed, the Germans freed the Sonderkommando members and made them collect and incinerate the victims. Thus, the Germans would have dissimulated the crime and yet revealed its results!
This unseeing witness is equally known by the names Alter Feinsilber, Stanislaw Jankowski or Kaskowiak. One can read his testimony in another form in the Auschwitz Diaries.2

3. The Unravelling of the Witnesses at the First Zündel Trial (1985)

The important victory won by Revisionism in France on April 26, 1983 would go on to confirm itself in 1985 with the first Zündel trial in Toronto. I would like to dwell a moment on this trial in order to underscore the impact on everyone's point of view, and especially as far as the testimonies on the Auschwitz gas chambers are concerned: for the first time since the war, Jewish witnesses were subjected to a regular cross-examination. Moreover, without wanting to minimize the importance of the second Zündel trial (that of 1988), I should like it to be understood that the 1985 trial already contained the seeds for all that was attained in the 1988 trial, including the report by Leuchter and all the scientific reports which, in the aftermath, would proliferate in the wake of the Leuchter Report.

In 1985, as also afterwards in 1988, I served as advisor to Ernst Zündel and his lawyer, Douglas Christie. In 1985, I accepted this heavy responsibility only under condition that all the Jewish witnesses would, for the first time, be cross-examined on the material nature of the reported facts, bluntly and without discretion. I had noted, in effect, that from 1945 to 1985, Jewish witnesses had been granted virtual immunity. Never had any defense lawyer thought or dared to ask them for material explanations about the gas chambers (exact location, physical appearance, dimensions, internal and external structure), or about the homicidal gassing (the operational procedure from beginning to end, the tools employed, the precautions taken by the executioners before, during and after execution). On rare occasions, as at the trial of Tesch, Drosihn and Weinbacher3, lawyers formulated some unusual questions of a material nature, hardly troublesome for the witness, but these always found themselves on the fringes of the more fundamental questions which should have been asked. No lawyer ever demanded clarifications on a weapon which, indeed, he had never seen and that no one had ever shown him. At the major Nuremberg Trial of 1945-46, the German lawyers had manifested total discretion on this point. At the proceedings against Eichmann in Jerusalem in 1961, the lawyer Dr. Robert Servatius had not wanted to raise the question; in a letter on this subject dated June 21, 1974, he wrote me: "Eichmann hat selbst keine Gaskammer gesehen; die Frage wurde nicht diskutiert; er hat sich aber auch nicht gegen deren Existenz gewandt" [Eichmann himself had not seen any gas chamber; the question was not discussed; but neither did he raise the issue of their existence]. At the Frankfurt Trial of 1963-65, the lawyers showed themselves to be particularly timid; I should mention that the atmosphere was rather inhospitable for the defense and the accused. This show trial will remain as a blot on the honor of German justice as on the person of Hans Hofmeyer, initially Landgerichtsdirektor, then Senatspräsident. During more than 180 sessions, the judges and juries, the public prosecutors and the private parties, the accused and their attorneys, as well as the journalists who had come from around the world, accepted as a complete physical representation of the "crime weapon" a mere map of the camp of Auschwitz and a map of the camp of Birkenau, whereupon five minuscule geometric figures were inscribed for the location of each of the alleged homicidal gas chambers, with the words, for Auschwitz: "Altes Krematorium," and for Birkenau: "Krematorium II," "Krematorium III," "Krematorium IV," and "Krematorium V"! These maps4 were displayed in the courtroom. The Revisionists have often compared the Frankfort trial with the 1450-1650 trials against witchcraft. Nevertheless, at least during those trials, someone sometimes bothered to describe or depict the witches' sabbath. At the Frankfurt trial, even among the lawyers who made difficulties for a witness like Filip Müller, not one asked of a Jewish witness or a repentant German defendant to describe for him in greater detail what he purported to have seen. Despite two judicial visits to the scene of the crime at Auschwitz, accompanied by some German lawyers, it seems not one of the latter insisted on any technical explanations or criminological expertise regarding the murder weapon. To the contrary, one of them, Anton Reiners, a Frankfurt lawyer, pushed complacency to the point of having himself photographed by the press while raising the chute cover by which the SS supposedly sprinkled Zyklon B granules into the alleged Auschwitz gas chamber.

And so at Toronto in 1985, I had fully decided to do away with these anomalies, to break the taboo and, for starters, pose, or rather have Douglas Christie pose, questions to the experts and Jewish witnesses as one normally poses in every trial where one is supposed to establish whether a crime has been committed and, if so, by whom, how and when. Fortunately for me, Ernst Zündel accepted my conditions and Douglas Chritie consented to adopt this course of action and to pose to the experts and witnesses the questions that I would prepare for him. I was convinced that, in this manner, all might change, and the veil woven by so many false testimonies could be torn away. While I was not counting on Ernst Zündel's acquittal and we were all resigned to paying the price for our audacity, I nevertheless had hope that with the aid of this far-sighted man of character, and thanks to his intrepid lawyer, history, if not justice, would at last carry him into legend.
From the moment of the first cross-examination, a tremor of panic began to creep its way amid the ranks of the prosecution. Every evening and throughout most of the night, I would prepare the questions to ask. In the morning, I would turn over these questions, accompanied by the necessary documents, to lawyer Doug Christie who, for his part and with the aid of his female collaborator, conducted the essentially legal aspects of the effort. During the cross-examinations, I maintained a position close to the lawyer's podium and unremittingly furnished, on yellow notepads, supplementary and improvisational questions according to the experts' and witnesses' responses.

The expert cited by the prosecution was Dr. Raul Hilberg, author of The Destruction of European Jews. Day after day, he was subjected to such humiliation that, when solicited in 1988 by a new prosecutor for a new trial against Ernst Zündel, he refused to return to give witness; he explained the motive for his refusal in a confidential letter wherein he acknowledged his fear of having to once again confront the questions of Douglas Christie. From the cross-examination of Dr. Raul Hilberg, it was definitively brought out that no one possessed any proof for the existence either of an order, a plan, an instruction, or a budget for the presumed physical extermination of the Jews; furthermore, no one possessed either an expertise of the murder weapon (whether gas chamber or gas van), or an autopsy report establishing the murder of a detainee by poison gas. However, in the absence of evidence regarding the weapon and victim, did there exist witnesses of the crime?

A testimony must always be verified. The usual first means of proceeding to this verification is to confront the assertions of the witness with the results of investigations or expert opinion regarding the material nature of the crime. In the case at hand, there were neither investigations, nor expertise relative to the alleged Auschwitz gas chambers. Here is what made any cross-examination difficult. Yet, this difficulty should not serve as an excuse, and one might even say that a cross-examination becomes ever more indispensable because, without it, there no longer remains any way of knowing whether the witness is telling the truth or not.

4. Jewish Witnesses Finally Cross-examined: A. Friedman and Dr. R. Vrba

For those persons interested in the technical and documentary means by which we were nevertheless in a position to severely cross-examine the two principal Jewish witnesses, Arnold Friedman and Dr. Rudolf Vrba, I can do no better than to recommend a reading of the trial transcript: Queen versus Zündel, Toronto, Ontario, Canada, January 7, 1985. Pages 304-371 cover the questioning and cross-examination of Arnold Friedman; the latter breaks down on pages 445-446 when he ends by acknowledging that he in fact saw nothing, that he had spoken from hearsay because, according to him, he had met persons who were convincing; perhaps, he added, he would have adopted the position of Mr. Christie rather than that of these other persons if only Mr. Christie had been able to tell him back then what he was telling him now!

Dr. Vrba was a witness of exceptional importance. One might even say about this trial in Toronto that the prosecution had found the means of recruiting "Holocaust" expert number one in the person of Dr. Raul Hilberg, and witness number one in the person of Dr. Rudolf Vrba. The testimony of this latter gentleman had been one of the principal sources of the famous War Refugee Board Report on the German Extermination Camps - Auschwitz and Birkenau, published in November 1944 by the Executive Office of President Roosevelt. Dr. R. Vrba was also the author of I Cannot Forgive (Bantam Books, New York, 1964), written in collaboration with Alan Bestic who, in his preface declares with regard to him: "Indeed I would like to pay tribute to him for the immense trouble he took over every detail; for the meticulous, almost fanatical respect he revealed for accuracy" (p.2).
Never perhaps had a court of justice seen a witness express himself with more assurance on the Auschwitz gas chambers. Yet, by the end of the cross-examination, the situation had reversed itself to the point where Dr. R. Vrba was left with only one explanation for his errors and his lies: in his book he had, he confessed, resorted to "poetic license" or, as he was wont to say in Latin, to "licentia poetarum"!

In the end, a bit of drama unfolded: Mr. Griffiths, the prosecutor who had himself solicited the presence of this witness numero uno and yet now apparently exasperated by Dr. Vrba's lies, fired off the following question:
You told Mr. Christie several times in discussing your book I Cannot Forgive that you used poetic license in writing that book. Have you used poetic license in your testimony? (p. 1636).

The false witness tried to parry the blow but prosecutor Griffiths hit him with a second question equally treacherous, this time concerning the number of gassing victims which Vrba had given; the witness responded with garrulous nonsense; Griffiths was getting ready to ask him a third and final question when suddenly, the matter was cut short and one heard the prosecutor say to the judge: "I have no further questions for Dr. Vrba" (p. 1643).

Crestfallen, the witness left the dock. Dr. Vrba's initial questioning, cross-examination and final questioning filled 400 pages of transcripts (pp. 1244-1643). These pages could readily be used in an encyclopedia of law under a chapter on the detection of false witnesses.

5. The Prosecution Gives Up On Calling Witnesses

Three years later, in 1988, during the second trial against Ernst Zündel, the public prosecutor deemed it prudent to abandon any recourse to witnesses. Canadian justice had apparently understood the lesson of the first trial: there were no credible witnesses to the existence and operation of the Nazi gas chambers.

Little by little, every other country in the world has learned this same lesson. At the trial of Klaus Barbie in France, in 1987, there was talk about the gas chambers of Auschwitz but no one produced any witnesses who could properly speak about them. The attorney Jacques Vergès, courageous yet not foolhardy, preferred to avoid the subject. This was a stroke of luck for the Jewish lawyers who feared nothing so much as to see me appearing at the side of Mr. Vergès. If this gentleman had accepted my offer to counsel him, we in France might have been able to strike a tremendous blow against the myth of the gas chambers.

All the while in France, during several Revisionist trials, Jewish witnesses sometimes came to evoke the gas chambers but none of them testified before the court as to having seen one or having participated in a homicidal gassing.

Today, gas chamber witnesses are making themselves extremely scarce and the Demjanjuk trial in Israel, which once again has revealed how much false testimony is involved in the matter, has contributed to the suppression. Several years ago, it happened that I was aggressively questioned at the rear of a law court by elderly Jews who presented themselves as "living witnesses to the gas chambers of Auschwitz," showing me their tatoos. It was necessary for me only to ask them to look me in the eyes and to describe for me a gas chamber that inevitably they retorted: "How could I do this? If I had seen a gas chamber with my own eyes I would not be here today to speak with you; I myself would have been gassed also." This brings us back, as one can see, to Simone Veil and her declaration of May 7, 1983, about which we already know what we should think.

6. The Media Witnesses

Aside from the judicial witnesses, there are media witnesses to the gas chambers, or homicidal gassing, at Auschwitz or Birkenau. Here one thinks of the names of Olga Lengyel, Gisela Perl, Fania Fénelon, Ota Kraus, Erich Kulka, Hermann Langbein, André Lettich, Samuel Pisar, Maurice Benroubi, André Rogerie, Robert Clary,... My library is full of these accounts which duplicate themselves over and over. Paul Rassinier was the first to show us in what manner the falsehood of these testimonies might be demonstrated; he did this notably for Auschwitz in Le Véritable Procès Eichmann ou les Vainqueurs incorrigibles (The True Eichmann Trial or, the Incorrigible Victors, Les Sept Couleurs, 1962), where Appendix V is devoted to Médecin à Auschwitz (Doctor at Auschwitz) regarding Miklos Nyiszli.

From the 1950s to the 1980s, the Revisionists found merit in undertaking studies critical of testimonies. Nowadays, it seems to me this exercise has become superfluous. Let us abstain from chasing after ambulances and instead leave the care of criticizing this sub-literature to the Exterminationists themselves, and in particular Jean-Claude Pressac, because - so far as one can determine at present - the most virulent anti-Revisionists end by putting themselves into the school of the Revisionists. The result is sometimes rife with pungency. In October 1991, the periodical Le Déporté pour la liberté (Deportee for Liberty), an organ of l'Union nationale des associations de déportés, internés et familles de disparus (UNADIF; National Union of Associations of Deportees, Prisoners and Families of the Missing), announced on its cover-page: "In the inner pages of this issue, part one of the testimony of Henry Bily, one of the rare escapees from a Sonderkommando." In his follow-up of November 1991, Mr. Bily continued the account of his Auschwitz experience under the title of "Mon histoire extraordinaire" (My Amazing Story).

However, in the following instalment of Déporté pour la liberté, that of December 1991-January 1992, there appeared a "Clarification regarding insertion of the text of Henry Bily in our columns." The review's director and editor uncovered the falsehood: in the major portion of his testimony, Mr. Bily had proceeded to:

copy word for word without any citation of references, from passages (notably chapters 7 and 28) of the book by Dr. Myklos Nyiszli: Médecin à Auschwitz, written in 1946 and translated and published in 1961 by René Julliard publishing house. Unfortunately, the original errors committed by Dr. Nyiszli have also been repeated; finally, the most extensive borrowing has to do with the description of the Sonderkommando functions at Auschwitz-Birkenau, in which Henry Bily declares [deceivingly] to have worked... The result of this analysis is that it is in no way possible to consider Henry Bily's text as an original and personal testimony.

To an attentive reader of this declaration, the sentence "Unfortunately, the original errors committed by Dr. Nyiszli have also been resumed" might allow one to perceive that, worst of all, Mr. Bily, a petty Jewish tradesman, had recopied a testimony which itself had already been false. As I have recently mentioned, Paul Rassinier had long ago proved that Médecin à Auschwitz, a work dear to Jean-Paul Sartre who in 1951 published parts of it in Les Temps modernes, could only be one of the greatest impostures. Many Revisionists, and in particular Carlo Mattogno, have since confirmed this assessment. As for me, in my report regarding Jean-Claude Pressac's book Auschwitz: Technique and Operation of the Gas Chambers (Beate Klarsfeld Foundation, New York, 1989), I have inserted a section entitled: "Pressac's (involuntary) buffoonery in regard to M. Nyiszli." I recommend the reading of this section to people interested in false testimonies on Auschwitz, false testimonies which pharmacist J.C. Pressac tries to defend at any price by way of convolutions, laborious inventions and flighty speculations, thus unintentionally discrediting them once and for all (R. Faurisson, "Auschwitz: Technique and Operation of the Gas Chambers (1989) or, Pottering and Sputtering at Auschwitz and Birkenau According to J.C. Pressac," Revue d'histoire révisionniste, November 1990, pp. 126-130).

7. False Witnesses Elie Wiesel and Primo Levi

A few words force themselves to our attention in regard to Elie Wiesel and Primo Levi.
Regarding the former, I come back to my article "Un grand faux témoin: Elie Wiesel" [A Prominent False Witness: Elie Wiesel] (Annales d'histoire révisionniste, Spring 1988, pp. 163-168; see also "Un grand faux témoin: Elie Wiesel (suite)" [A Prominent False Witness: Elie Wiesel (Continued)], Nouvelle Vision, September 1993, pp. 19-24). In Night (preface by François Mauriac, Les Editions de Minuit, 1958), a biographical account particularly regarding his internment at Auschwitz and Buchenwald, Mr. Wiesel does not even mention the gas chambers but it appears, by way of a sort of universal media convention, that he is considered as a witness par excellence on the "Holocaust" and the gas chambers. According to him, if the Germans exterminated large numbers of Jews, it was by forcing them either into raging fires or ovens! The conclusion of his testimony includes an extremely curious episode (pp. 129-133) over which I have been waiting years for Elie Wiesel to furnish us an explanation: in January 1945 he tells us, the Germans gave him and his father the choice between staying behind in the camp to await the arrival of the Soviets, or leaving with the Germans; after agreeing between them, the father and son decided to depart for Germany with their executioners instead of staying in place to await their Soviet liberators...5

Curiously, for several years now, Primo Levi has been posthumously elevated by the media to the rank of first importance among witnesses of the Auschwitz gas chambers. He is the author of Se questo è un uomo ("If This Be A Man," Julliard Press, pocket edition, 1993). The first part of the book is the longest and the most important; it comprises 180 pages (pp. 7-186) and was edited in 1947; the author says, starting on page 19, that it was after the war he learned about the gassing of the Jews at Birkenau; he himself was working at Buna-Monowitz and had never set foot in Birkenau; also, he only spoke in extremely vague terms and but six times about "the" gas chamber (pp. 19, 48, 51, 96, 135 and 138) and on one occasion about the gas chambers (page 159); he is satisfied to nearly always mention it in the singular and as a rumor about which "everyone is talking" (page 51). Suddenly, in his "Appendix" written in 1976, being some 30 years later, the gas chambers make a forceful entry: in the space of 26 pages (pp. 189-214), which, in view of their more compact typography, can be considered as 30, the author mentions on 11 occasions (page 193, two times; page 198, three times; page 199, once; page 201, two times; pages 202, 209 and 210, once each); on two occasions, he speaks of "gas" and on nine occasions of "gas chambers" (always in the plural); he writes as if he had seen them: "The gas chambers were in effect camouflaged as shower rooms with plumbing, faucets, dressing rooms, clothes hooks, benches, etc." (page 198). He does not fear to write additionally: "The gas chambers and the crematory ovens had been deliberately conceived to destroy lives and human bodies by the millions; the horrible record for this is credited to Auschwitz, with 24,000 deaths in a single day during the month of August 1944" (pp. 201-202).

Elie Wiesel and Primo Levi are not the only ones to have thus "enriched" their recollections.

Primo Levi was a chemical engineer. Regarding his crack-up or delirium from a scientific point of view in If This Be A Man, one should consult Pierre Marais' En lisant de près les écrivains chantres de la Shoah - Primo Levi, Georges Wellers, Jean-Claude Pressac ("A Close Reading of the Siren Writers of the Shoah - Primo Levi, Georges Wellers, Jean-Claude Pressac), La Vieille Taupe, 1991, 127 pages; see in particular "Le chimiste, la batterie de camion et... les chambres à gaz" ("The Chemist, the Truck Battery and... the Gas Chambers"), the chapter which involves Primo Levi (pp. 7-21). The latter committed suicide on April 11, 1987. It was to his very nature of being a Jew that he owes not having been shot by the Fascist militia on December 13, 1943 at the age of 24. "The Fascists had captured him in the role of a partisan (he was still carrying a pistol), and he declared himself a Jew in order not to be immediately shot. And it is in the role of a Jew that he was delivered over to the Germans. The Germans sent him to Auschwitz..." (Ferdinando Camon, "Chimie/Levi, la mort" ("Chemistry/Levi, death"), Libération, April 13, 1987, page 29).

[large]CONCLUSION[/large]

From 1945 to 1985, the presumed judicial witnesses of the Auschwitz gas chambers have benefitted from an extraordinary privilege: they have always been spared the ordeal of cross-examination regarding the material nature of the purported facts they related. In 1985, at the first of two Zündel trials in Toronto, attorney Douglas Christie was fully agreeable, based on my suggestion and offer of assistance, to conduct the cross-examination according to standard procedure for these type of witnesses. The result was the unmasking of witnesses Arnold Friedman and Dr. Rudolf Vrba. This reversal was so serious that today one can no longer find witnesses willing to take the risk of swearing before the dock of a court of law that they saw a homicidal gassing, whether at Auschwitz or any other concentration camp within the Third Reich.

The would-be media witnesses continue to proliferate in the world of radio, television and books, where they hardly run the risk of being put into difficulty by embarrassing questions. Yet even these witnesses are becoming more and more vague, making themselves liable to denunciation by representatives of the exterminationist thesis. These latter are in effect aligning themselves more and more with the Revisionist school because they realize that up until now they have stood by the lies of too many false witnesses, lies which end by costing their own cause too dearly.

As there are notoriously more and more risks now in presenting oneself as a witness of the gas chambers -- as again did the Jew Filip Müller in 1979 -- the solution which nowadays tends to prevail is the one which, since May 7, 1983, Simone Veil has had to adopt in the aftermath of the April 26 decision by the Paris Court of Appeal, a decision which recognized that my work on the problem of the gas chambers was serious insofar as I demonstrated that the accepted testimonies flew in the face of strong physical-chemical impossibilities. The solution, or moreover, the evasion, advocated by Ms. Veil consisted in saying that, if there were in effect no proofs, no traces, and no witnesses of the crime, it was because the Germans had destroyed all the evidence, all the traces, and all the witnesses. Such a statement, besides being absurd, would in turn necessitate evidence which Ms. Veil has not provided. But this matters little. Let us take note of this statement and, like Ms. Veil and those who in practice seem to rally to her thesis, let us also put to good use the evidence long brought to light by the Revisionists: not only do there exist no proofs and no traces of Nazi gas chambers, but there are no witnesses for them either.

Today, at the close of 1993, the testimonies regarding the Auschwitz gas chambers are discredited, even among the Exterminationists. History as founded upon these testimonies is beginning to give way to history founded either on facts or arguments of a scientific nature. It is this which I had advocated in my article of December 29, 1978 in the Monde and in my letter to the Monde of January 16, 1979. It was necessary to wait more than ten years to see our adversaries venture into the arena where I had invited them to join us in being evaluated: the field of science. Jean-Claude Pressac had been appointed, notably by Mr. and Mrs. Klarsfeld, to denounce "testimonial history" and to replace it with a scientific basis or, at least, one with a scientific appearance.

Claude Lanzmann and the supporters of "testimonial history" are upset,6 to the satisfaction, by the way, of the Revisionists. A half-century of unsubstantiated testimonies must now be definitively succeeded by an inquiry for facts and proofs along a judicial, scientific and historical basis.

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FOOTNOTES

1. S. Veil, former Minister of Justice, former President of the European Parliament.
2. Hefte von Auschwitz, Sonderheft (I), Handschriften von Mitgleidern des Sonderkommandos, Verlag Staatliches Auschwitz-Museum, 1972, pp. 32-71.
3. On the cross-examination of the witness Dr. Charles Sigismund Bendel by attorney Dr. Zippel, see "Excerpt from transcript of proceedings of a Military Court for the Trial of War Criminals held at the War Crimes Court, Curiohaus, Hamburg, on Saturday 2nd March, 1946, upon the trial of Bruno Tesch, Joachim Drosihn and Karl Weinbacher," transcript, pp. 30-31 (doc. NI-11953). Regarding this abominable trial, it is indispensable to read: Dr. William Lindsay, "Zyklon B, Auschwitz, and the Trial of Bruno Tesch," The Journal of Historical Review, Fall 1983, pp.261-303. This study has been reproduced in part by Udo Walendy in Historische Tatsachen, Nr. 25 (1985), pp. 10-23.
4. For a representation of these two maps, see Hermann Langbein, Der Auschwitz-Prozess, Eine Dokumentation, 2. Bänder, Frankfurt, Europäische Verlagsanstalt, 1965, 1027 p., pp. 930-933. For an authoritative study of the trial, see Dr. Wilhelm Staeglich, Auschwitz: A Judge Looks at the Evidence, Institute for Historical Review, 1986.
5. One point which cannot fail to be interesting is that in the German translation of this book (Die Nacht zu begraben, Elisha, with German translation by Curt Meyer-Clason, Ullstein, 1962, pp. 17-153), the crematory ovens of the original French version are done away with to be replaced by gas chambers (which also applies to Buchenwald). I owe this discovery to the Swiss Revisionist Jürgen Graf and I am indebted to A.W., a German Revisionist living in France, for a list of 15 instances where the German translator thought it good to use the word "gas" where it was not used in the original text (see Annex). In December 1986, I made my way to Oslo to attend the awarding of the Nobel Peace Prize to Elie Wiesel. Assisted by friends, I distributed a tract previously titled "Elie Wiesel, A Prominent False Witness." Some months later, Pierre Vidal-Naquet, one of my most implacable adversaries, denounced Mr. Wiesel as a man "who talks any rubbish that comes into his head... It suffices to read certain of his descriptions in Night to know that certain of his accounts are not exact and that he ends by transforming himself into a Shoah peddler. He commits an injustice, an immense injustice to historical truth" (Interview by Michel Folco, Zéro, April 1987, page 57).
6. See notably the article by Robert Redeker which he published in his review Les Temps Modernes, under the title: "La Catastrophe du révisionnisme" ("The Revisionist Catastrophe," November 1993, pp. 1-6); here, Revisionism is presented as a catastrophic sign of a changing time: "Auschwitz" was - and for the author, still is - a "mystique," which is to say a belief enveloped by religious reverence; yet, he says in a deploring tone that "Auschwitz" is becoming the subject of historical and technological considerations. This article was in printing when there appeared in L'Express a substantial write-up on the new book by Jean-Claude Pressac (September 23, 1993, pp. 76-80, 82-87). Claude Lanzmann virulently protested against this turn of events taken by "Holocaust" history. He wrote: "Even if it is in order to refute them, we thus legitimize the arguments of the Revisionists, which become the only criterion by which every text and every author is now judged. The Revisionists occupy the entire playing field" (Le Nouvel Observateur, September 30, 1993, page 97).

This is a chapter of Grundlagen, translated from the original French by Daniel D. Desjardins and originally displayed on the Net by the CODOH (www.codoh.com).See the original text in French and in its German translation, as published by Grabert in 1993 in Germany. The book was banned, seized and burned by the Federal authorities.[/justify]
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Post by Dejuificator II »

[center]Un homme
[large]Robert Faurisson répond aux questions de Paul-Eric Blanrue[/large]



[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=Rrpppz5ijOw[/youtube][/center]


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[center][youtube]http://www.youtube.com/watch?v=WFBEOM4vD-U[/youtube]

Ce documentaire d?1h30 sortira officiellement sur Internet en Septembre 2011.

D?intérêt public, il sera mis à la disposition de tous.
[/center]


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[small]Image HQ[/small]
Image[large]"A terre, Faurisson en Professeur Tournesol.
Se portent à son secours Dieudonné en Tintin et Paul-Eric Blanrue en Capitaine Haddock.
Je ne connais pas l'auteur du dessin. Je lui dis ma gratitude.[/large]



Réaction de Robert Faurisson au dessin ci-contre :

[justify]Qu'il sache que, le 16 septembre 1989, lors de la plus grave des dix agressions que j'ai subies de 1978 à 1993, j'avais à mes côtés "Pupuce", une toy, c'est-à-dire, une chienne plus petite encore qu'une caniche naine. Avant de tomber sous les coups de mes trois agresseurs, j'ai eu le temps d'apercevoir en un éclair, à quelques mètres de nous, une Pupuce totalement pétrifiée. Quand, de retour de l'hôpital et après avoir recouvré l'usage de la parole, j'ai voulu lui parler, elle a refusé de me répondre. Je me suis toujours demandé pourquoi. Peut-être mes cris l'avaient-ils effrayée ; peut-être s'était-elle imaginé qu'ils lui étaient adressés. Il a fallu longtemps pour que nous reprenions nos conversations. Elle est morte quelques années plus tard. Il paraît que, dans un journal (?) de l'époque, ma petite chienne a été décrite comme un berger allemand (natürlich !). Le 17 septembre, apprenant mon nom dans la presse, le jeune homme qui s'était porté à mon secours et m'avait sauvé la vie a confié à la police qu'il regrettait son geste. J'ignorais encore ce repentir quand, plusieurs semaines après mon hospitalisation, je suis allé au domicile de ses parents avec une impressionnante boîte de chocolats. L'accueil a été glacial mais la boîte de chocolats a été acceptée par le jeune homme et ses parents. Souvenirs ! Souvenirs !


Je rappelle que je n'ai pas fait un seul jour de prison pour la cause révisionniste et que, sujet britannique et citoyen français, j'ai la chance de vivre dans un pays de cocagne : la France. Somme toute, il semble que j'aie eu la baraka. Pourvu que cela dure ! A l'époque la plus éprouvante, j'ai eu un bon avocat et toutes sortes d'appuis. Enfin, je constate que, sur le plan strictement scientifique et historique, le révisionnisme a gagné la partie. Il reste beaucoup à faire mais je sais que la relève est assurée. La fin de 2011 et le début de 2012 s'annoncent intéressants. Nous allons en faire voir de toutes les couleurs à nos saigneurs et maîtres.

"Experto, crede, Roberto" (Crois-en Robert [de Sorbon ?] qui en a l'expérience). Bien à vous. RF"[/justify]
Last edited by Dejuificator II on Tue Jul 19, 2011 12:56 pm, edited 1 time in total.
Nous serons toujours là.
Dejuificator II
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Post by Dejuificator II »

[center][large]Entretien avec Faurisson[/large]



[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=zUkgqfAjY2U[/youtube]

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=fB7tTBBqN08[/youtube]

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=Z6ho0oyYe70[/youtube][/center]
Nous serons toujours là.
BPriest
Rebut de la société marchande
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[center][large]Téléchargement[/large][/center]


[center]Le problème des chambre à gaz


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Robert Faurisson, un Homme



Taille : 324 Mo | Lien : UpToBox[/center]



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[center][large]Main basse sur la mémoire
Les pièges de la Loi Gayssot[/large]




Main basse sur la mémoire Les pièges de la loi Gayssot.mp4 346.1 MB
https://mega.co.nz/#!7Qsg1DoR!X9Psgh2zU ... 1BMqzAMvCw





[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=bamTZx2wWt4[/youtube][/center]


[justify]Vingt ans après l'adoption de la loi Gayssot, de nombreux historiens, philosophes, hommes politiques de tous bords, dénoncent les dérives qu'elle a engendrées. La « mère de toutes les lois mémorielles », votée en 1990, pénalise la contestation de l'existence des crimes contre l'humanité, tels que définis par le Tribunal de Nuremberg.

Présentée à l'époque comme un rempart contre l'antisémitisme, son bilan est pourtant aujourd'hui désastreux : atteintes aux libertés, concurrence génocidaire, surenchère victimaire, renouveaux identitaires et racistes, gigantesques détournements financiers. Au plan international, le verrou idéologique institutionnalisé par la loi Gayssot participe également à justifier les guerres coloniales de ces dernières années et à couvrir la politique d'Israël d'une caution inoxydable.

Un film documentaire de Béatrice Pignède[/justify]






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[center][large]Professor Robert Faurisson in Sweden[/large]
An Introduction to Holocaust Revisionism

1992



[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=MFmHaygOF_g[/youtube]


Robert Faurisson in Sweden 1992 An Introduction to Holocaust Revisionism.mkv 518.0 MB
https://mega.co.nz/#!www30KKa!2OyfXSHgX ... OyUsLkwomE
[/center]



[justify]Prof. Robert Faurisson visited Sweden in March 1992, invited by Ahmed Rami (founder of Radio Islam).

The Swedish school system teach pupils to be critical, this is just what Prof. Faurisson tried to do in his historical research which he in this movie demonstrates. Prof. Faurisson can today be considered as the Galileo Galilei of our time !
In 1633, Galilei was put before the Inquisition court, where he was forced to renounce everything concerning the so-called "false doctrine", namely that the earth was round. In 1983, 350 years later, Prof. Faurisson was put before court because of preaching a so called "false doctrine", namely not believing in the Holocaust gas chambers, the "Holocaust Doctrine".[/justify]





[center]Séjour à Stockholm
(17-21 mars 1992)

par Robert Faurisson
[/center]


[justify]Le 17 mars, je me suis rendu à Stockholm à l'invitation de mon ami Ahmed Rami, responsable, dans cette ville, de Radio Islam.

Je remercie les autorités suédoises d'avoir résisté aux pressions des juifs et d'avoir permis que je séjourne à Stockholm.

En revanche, la presse suédoise a communié dans l'abjection. Rarement ai-je constaté de la part de journalistes une telle ignorance du sujet que je venais traiter (le révisionnisme historique), une telle déformation de la vérité des faits et une telle aptitude à l'insulte, à l'outrage et à la diffamation. Le quotidien Expressen a dépassé tous les journaux dans ce concours d'ignominie.

Il n'est pas surprenant qu'au soir de mon arrivée, Ahmed Rami, deux jeunes Suédois et moi-même ayons failli être lynchés par un groupe de jeunes gens armés de bâtons, de couteaux et de bombes lacrymogènes et emmenés par des responsables d'un club d'étudiants juifs. J'ai ainsi vécu ma huitième agression en douze ans. Toutes les agressions antérieures avaient eu lieu en France. Je me suis beaucoup déplacé à l'étranger mais je n'y avais jamais été attaqué. C'est donc, je le répète, à Stockholm que j'ai, pour la première fois, subi à l'étranger une agression de cette sorte.

La communauté juive suédoise encourt une grave responsabilité dans les pressions, les mensonges, les outrages et les violences physiques dont j'ai été la victime lors de mon bref séjour à Stockholm. C'est elle, en particulier, qui a obtenu par la menace l'annulation de toutes les conférences qu'Ahmed Rami avait organisées pour m'y donner la parole.

Néanmoins, ce séjour a constitué un éclatant succès pour le révisionnisme historique : les médias ont dû battre en retraite, j'ai pu longuement m'exprimer sur les ondes de Radio Islam et il se pourrait que le mensonge des prétendues chambres à gaz nazies et du prétendu génocide des juifs ait, en fin de compte, recu dans la capitale suédoise un coup décisif.

Dès mon arrivée, j'avais lancé aux médias suédois un défi à relever dans les 24 heures. Je leur avais dit que, puisqu'ils croyaient à l'existence des chambres à gaz nazies comme aux Pyramides d'Egypte, ils n'avaient qu'à montrer le lendemain, soit dans les journaux, soit à la télévision, la photographie ou le dessin d'une seule de ces chambres à gaz. Dans un texte de trois pages, je leur rappelais qu'en trente années de recherches j'avais, en vain, cherché une telle chambre à gaz. Je n'en avais découvert ni à Auschwitz, ni dans un autre camp, ni dans un document, ni dans un livre. D'ailleurs, quand on sait ce qu'est le ZyklonB (puissant insecticide, à base d'acide cyanhydrique, inventé en 1922 et encore en usage aujourd'hui pour la désinfection) et quand on se rappelle comment fonctionne une chambre à gaz américaine pour exécuter un seul condamné à mort grâce au même acide cyanhydrique, on s'apercoit très vite que la prétendue "chambre à gaz nazie à ZyklonB" est impossible à concevoir. Elle n'a pas plus de réalité que les soucoupes volantes. Elle est l'équivalent d'un cercle carré ou d'un carré circulaire. Effectivement, les médias n'ont pas pu relever mon défi. Certains ont recouru, sans conviction, à des subterfuges que j'avais, par avance, dénoncés dans mon texte de trois pages.

Je pense que beaucoup de journalistes ont été suffoqués de découvrir que, jusque-là, ils avaient cru à l'existence d'une arme prodigieuse dont ils ne s'étaient représenté ni la forme ni le fonctionnement.

Pendant deux nuits, j'ai pu m'exprimer librement à Radio Islam. Je crois pouvoir dire que j'ai été en mesure de répondre à toutes les questions des auditeurs sans en esquiver aucune.

Le dernier jour, avant de prendre l'avion de retour, j'ai pu enregistrer une vidéo ayant pour sujet le révisionnisme historique.

Je nourrissais déjà une grande estime pour Ahmed Rami. Mon séjour, chez lui, à Stockholm, n'a fait qu'accroître cette estime : j'ai vu de près comment il vit, comment il lutte et de quel prestige il jouit dans son pays auprès des Suédois, auprès des musulmans, auprès de tous. Je le remercie, le félicite et lui redis toute ma considération.

25 mars 1992[/justify]
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