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[center][large]FORCES OCCULTES[/large][/center]
[center]Multilanguage :[/center]
[center]Deutsch - Français - English - Italiano - Polski - Hrvatski - Magyar[/center]
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Origine du film : France
Réalisateur : Jean Mamy (Paul Riche)
Acteurs : Maurice Remy - Marcel Vibert Boverio - Gisèle Parry
Durée : 51 minutes
Ce film fut tourné en 1943. Après la fin de la Deuxième Guerre Mondiale le scénariste du film, Jean-marie Rivière, fut emprisonné, tandis que le régisseur, Paul Riche, et le producteur, Robert Muzard, furent EXÉCUTÉS (+1949) à cause de leur rôle dans la réalisation de cette pellicule. Priez pour leur âme.
La Franc Maçonnerie est une élite organisée et corrompue au sein des Etats. Cette élite est elle-même contrôlée par une sorte de "haute maçonnerie" (Illuminati) dont la tête est sous le boisseau de la juiverie.
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http://aldebaranvideo.tv/index.php?tag/ ... les%20Mamy
Forces Occultes FR.avi 1.37 GB
Télécharger le DVD - Download[/center]
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[center]Les documents maçonniques[/center]
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Forces Occultes - DVD
Moderator: Le Tocard
[large]Ce film est une bombe, ce texte l'arme ...[/large]
Parlez en, diffusez-le, OSEZ !!! La parole vous rendra libre.
Demain, vos enfants n'auront pas ou plus honte de vous.
________________
[right][small]Puisse ce film, qui est un film de combat,
rassembler les énergies encore hésitantes
pour les dures et décisives batailles de demain.[/small][/right]
[center][large]______________________[/large][/center]
[center][large]______________________[/large][/center]
[center][large]Forces occultes[/large][/center]
[center]Film de J. Marqués-Rivière et Paul Riche, est présenté à Paris[/center]
[justify]C'EST le mardi 9 mars 1943 que le film Forces occultes a été présenté au public parisien. Il s'agissait là d'un événement que tout le monde attendait avec impatience et, à en juger par l'enthousiasme des spectateurs, personne n'a été déçu.
La projection du film a été précédée par une allocution de M. Marquès-Rivière, dont nous vous donnons le texte ci-après, car elle mérite, tant par sa clarté que par le courage dont son auteur fait preuve, d'être publiée « in extenso » dans les colonnes de notre revue (1).[/justify]
Monsieur l'Ambassadeur, Mesdames,
Messieurs,
Mes chers camarades,
[justify]J'ai l'honneur de vous présenter le film anti-maçon FORCES OCCULTES que j'ai fait en collaboration avec le metteur en scène Paul Riche et qui a été réalisé par le courageux directeur de Nova-Film, M. Musard.
Ce film veut être un acte politique, IL VEUT ÊTRE AUSSI UN ACTE RÉVOLUTIONNAIRE. Dans le silence de l'agonie de la France, il veut être enfin un cri d'alarme. Je sais que ce cri n'est pas unique je sais les efforts désespérés du petit nombre qui ne veut pas la disparition de notre pays dans un effacement rageur et stérile. C'est un cri de plus pour secouer ce bon sens populaire qui a toujours pensé qu'un crime capital méritait une peine capitale. Et puisque les grands Maçons d'hier sont toujours vivants, du moins seront-ils frappés en effigie par les images que vous allez voir dans un instant.
Crime capital, ai-je dit. Il est pitoyable que la mémoire si courte des Français leur ait déjà fait oublier les causes profondes de la situation présente. Car, enfin, qui dirigeait le régime pourri qui a ruiné et ensanglanté la France, qui en formait les cadres permanents et reconnus, sinon la Maçonnerie, paravent commode de la juiverie internationale ? Les Français sont d'ailleurs excusables de l'avoir oublié car, par une singulière pudeur. on ne paraît pas pressé de le leur rappeler. Un silence de bon ton est d'usage quand on parle de Franc-Maçonnerie et la dernière mode consiste à y joindre un tantinet d'indignation contre ceux qui veulent. parait-il, désunir de nouveau le pays.
N'y a-t-il pas une ligue, nouvellement née, à cet usage ? Et qui remplace fort bien la Ligue des Droits de l'Homme du juif Victor Basch.
Nous sommes donc coupables de crime de désunion et de rupture du silence paisible auquel a droit la Franc-Maçonnerie en France. Le crime est grand et il faut que je m'en explique devant vous.
Un peuple qui a subi pendant cent cinquante ans les prétendus bienfaits de la Révolution française et pendant soixante-dix ans la lourde dictature de l'anarchie démocratique ne saurait être transformé en deux années ; il a trop l'habitude de sa médiocrité sereine pour rechercher avec ardeur les responsables qui l'ont conduit à la guerre, à la défaite, à la ruine et au déshonneur. Ce peuple français, esclave de la défaite, ne peut plus réagir ; il est las, infiniment las, encore sous l'effet de la drogue des Blum, des Mandel et des Paul Reynaud. L'élite intellectuelle de ce pays, enjuivée depuis vingt ans, a déserté sa place et vous me permettrez de mettre bien à part ces bourgeois, humbles domestiques des Juifs, ruisselant de gaullisme, encroûtés dans une obstination sénile, qui ne voient rien, qui ne comprennent rien et qui veulent encore jouer au peuple le plus spirituel de la terre. Ceux-là, si c'était possible, je les abandonnerais bien volontiers au génial Père des peuples qui doit, disent-ils, les libérer. Je suis même assuré qu'il les libérerait définitivement.
Il semble qu'une vaste conspiration existât pour empêcher que le peuple français ne se réveillât ; cette mort apparente est, paraît-il, la meilleure solution présente, En réalité, nous retrouvons là l'esprit maçonnique, des démocraties judaïques, cette tromperie permanente de l'opinion publique.
Je ne vous rappellerai pas les méfaits de la Franc-Maçonnerie jusqu'en 1940 ils sont connus, avoués, prouvés par les textes maçonniques tirés des placards du Grand-Orient et des caves de la Grande Loge. La Maçonnerie ne peut plus nier son activité politique le silence et le mystère qui entouraient ses délibérations ont maintenant disparu ; les listes des députés, des politiciens, des hommes d'affaires, des fonctionnaires maçons ont été publiées. La Maçonnerie tenait le gouvernement de la France par les comités politiques, par les diverses Fraternelles et Amicales maçonniques, par les multiples filiales des Loges répandues sur le territoire comme une géante toile d'araignée, par les Maçons enfin placés partout, à tous les postes, des plus humbles aux plus honorifiques ; la lecture du « Journal officiel » est édifiante à cet égard. Le personnel politique de la Troisième République était maçonnisé : les clients et les profiteurs du régime disparu étaient essentiellement les Maçons, qu'il s'agisse du F.'. Juif Goldzeiguer, grand distributeur de décorations en Afrique du Nord et ami très personnel des divers gouvernements qui s'y sont succédé, jusqu'au F.'. Camille Chautemps, avant-hier encore ambassadeur officieux de la France à New-York, aujourd'hui représentant la Maçonnerie internationale auprès des généraux traîtres de l'Afrique du Nord.
Mais un malaise subsiste ; de tous côtés, des FORCES OBSCURES freinent les volontés de renouvellement et stérilisent les efforts révolutionnaires. Un sabotage systématique de ce qui est le vouloir du Maréchal a été organisé. A chaque pas en avant de puissantes et mystérieuses mains défaisaient le travail accompli, et lorsque nous nous retournons sur deux ans de travail, nous ne pouvons que constater une incurie désolante et inquiétante une suite d'occasions manquées et de temps perdu.
Voilà pourquoi j'ai voulu que ce film fût âpre et dur ; peu m'importe les gémissements rituéliques de certains qui joueront le scandale pour donner le change. Je voudrais justement que ce scandale, si scandale il y a, crevât l'abcès qui infecte notre pays; je voudrais que les colères qu'il déchaînera fissent tomber enfin les faux visages, démasquent les réactionnaires de l'ancien régime. Car, il faut le reconnaître, il y a, à l'heure présente, un pouvoir plus fort que le pouvoir du Maréchal, chef de l'Etat. Ce n'est point une chose nouvelle il y avait aussi, en 1939, un pouvoir plus fort que celui du président du Conseil, mais, alors que celui-ci jouait le jeu et parfois, maçon lui-même, affermissait cette puissance, le Maréchal, lui, ne peut que se plaindre de l'inexécution de ses ordres et reconnaît ainsi que la REVOLUTION NATIONALE est trahie du haut en bas, à supposer même qu'elle ait pu avoir un commencement d'exécution. Cette Révolution nationale avait une politique qui a été sabotée : elle se définissait par une politique de collaboration sur le plan extérieur, par une politique d'épuration et de renouvellement profond des c?urs et des esprits sur le plan intérieur.
On n'a pas voulu de sang et de ranc?ur, paraît-il. Il y a eu, par-dessus tout une insidieuse campagne qui a décidé de faire oublier aux Français l'écrasante responsabilité de la IIIe République maçonnique, de son Ecole et de ses cadres.
La consigne a été d'attendre, de jouer le jeu de la collaboration et de ne rien changer ; les fonctionnaires qui ont cru à une révolution des m?urs ont été brimés ou déplacés ; ils ont dû s'incliner devant le pouvoir supérieur qui, depuis deux cents ans, au-dessus des guerres, des rois, des républiques et des révolutions, domine la France, véritable dictature occulte, qui a nom la Franc-Maçonnerie.
Des comédies ont été jouées et continuent à l'être elles ne l'ont pas même été avec élégance et tact ; on a vu un Conseil National, repaire des démocraties, s'établir à l'ombre du Maréchal pour refaire les cadres maçonniques de la Troisième République ; on a vu et l'on voit encore, dans l'administration, d'incroyables exemples de favoritismes maçonniques ; on a vu, et l'on voit encore, des maires maçons connus comme tels, se glorifiant comme tels, ce Marchandeau, présidant l'Association des maires de France, rester comme tels dans un défi permanent aux ordres du Maréchal. On a vu, et l'on voit encore, des Maçons, faux déclarants, c'est-à-dire des hommes qui ont menti sciemment et solennellement, être réintégrés avec tous les honneurs dus, à leur rang. On a vu, et l'on voit encore, ceux qui osent attaquer la Maçonnerie, être traités de suspects et être poursuivis avec une vigueur que l'on voudrait voir exercée en d'autres domaines. On frappe brutalement le facteur et le lampiste; la justice serait mieux satisfaite si les hauts Maçons de l'ancien régime étaient châtiés avec une, rigueur, une rigueur proportionnée à leur lourde et entière responsabilité. L'avantage en eût été certain : l'Etat français renouvelait ses cadres, il écartait des postes de confiance les traîtres en instance, il assurait l'exécution de sa volonté par les militants de la révolution française.
Voilà ce qui m'apparaît inconcevable et incompréhensible voilà ce que je n'arrive pas à réaliser car cela crève les yeux : la trahison la plus certaine, l'attentisme permanent, la mauvaise volonté avouée sont cristallisés justement dans ces milieux maçonniques qui n'ont jamais accepté le changement de régime et qui regrettent tous les jours et à toute heure l'époque fructueuse et béate de la IIIe République.
Or, certains milieux que vous connaissez tous affichent presque ouvertement leur sympathie profonde pour les Maçons. Ils me rappellent cette droite d'avant-guerre, qui n'avait de cesse, quand elle était au pouvoir, de donner des gages à ses ennemis d'hier et de demain. Ces milieux n'ont pas encore compris, ils ne veulent pas comprendre que les ennemis n° 1 du gouvernement sont justement ces Maçons qu'ils amnistient à coup de colonnes du « Journal officiel ».
Qui, derrière les guichets des administrations publiques, attaque le gouvernement en créant une atmosphère de défiance et de haine ?
LE MAÇON.
Qui fausse les répartitions du ravitaillement, stocke stupidement les denrées périssables, affame les milieux ouvriers et favorise ainsi le marché noir ?
LE MAÇON.
Qui critique les actes du gouvernement du Maréchal, dénature ses gestes, affaiblit sa volonté ?
LE MAÇON.
Qui prépare sourdement les révoltes intérieures, prémices certaines de la bolchévisation future de la France ?
LE MAÇON.
Qui est au premier rang des organisations gaullistes et giraudistes, qui fait la liaison avec les centres communistes, qui a préparé la livraison pitoyable de notre Empire, qui complote contre taus les redressements possibles de la France, qui forme les centres actifs et virulents des trahisons et des défections futures ?[/justify]
[center]LE MAÇON. ENCORE LE MAÇON, TOUJOURS LE MAÇON.[/center]
[justify]Vous le voyez aux postes de commande que lui a remis le gouvernement et dont il profite pour le trahir, et par une aberration politique inconcevable, vous constatez que la tâche la plus immédiate et la plus précieuse de certains responsables haut placés consiste justement à couvrir, à protéger et à réintégrer ceux-là même qui en seront les fossoyeurs.
J'entends bien qu'ils ne sont pas seuls dans cette sinistre aventure qui prépare, à l'ombre de la synarchie, une France anglo-saxonne dans une Europe bolchevisée. La horde des préfets d'Algérie et des grands chefs de l'administration française en Afrique les accompagne joyeusement, il faut y joindre enfin cette cohorte désordonnée et quémandeuse de généraux félons, traîtres et déserteurs, plus empressés à venger leur incompétence de 1940 qu'à songer à la vieille devise française d'honneur et de patrie. Il faut y ajouter ces abbés démocrates qui pleurent maintenant les pauvres Juifs et consolent les malheureux Maçons, tous ceux qui savaient si bien se taire quand l'Espagne, le Mexique, la Roumanie, la Lithuanie et l'Esthonie saignaient sous les coups de couteaux bolchevistes. Si certains ont pu confondre l'action antimaçonnique avec leur haine cléricale, croyez bien que je n'ai engagé ce combat et que je ne le continue QUE SUR LE TERRAIN POLITIQUE ; mais je ne veux pas que l'internationale rouge soit épaulée par une certaine internationale noire...
Derrière ces ombres falottes, ces volontés défaillantes, il y a un noyau cristallisateur d'hommes qui savent ce qu'ils veulent et agissent selon un plan précis : les centres maçonniques français sont en rapport avec toutes les espérances démocratiques : que ce soit le prince Napoléon, certains Révérends Pères Jésuites ou Dominicains, l'ancienne clientèle de la IIIe République, les Sarrault, Herriot, et Jeanneney, les Trusts qui voudraient voir revenir 1936, et même M. de La Rocque, les contacts sont noués. Les guignols peuvent se battre, c'est le même animateur qui les manie. Le F.'. Roosevelt ne s'y trompe pas : quand il veut lancer un message au peuple français, il n'omet jamais de frapper au bon endroit, là où il sait qu'on écoute et que l'on comprend; et son mot de passe est l'évocation du Ternaire maçonnique : LIBERTÉ, ÉGALITÉ, FRATERNITÉ, ce ternaire que vous allez entendre, dans un instant, applaudi en Loge selon le rituel maçonnique.
Et nous rejoignons enfin la collusion maçonnique et bolchevique ; il y a toujours un Maçon pour faire le lit du communisme et la tradition du F.'. Kerensky n'est pas éteinte. Il est question de rassembler des révolutionnaires, de créer des milices combattantes, faisceaux de belles énergies rassemblées dans une pure volonté. L'expérience l'a déjà prouvé : vous ne ferez rien, vous ne pourrez rien faire si vous n'éliminez pas les Maçons des cadres directeurs. Je ne parle pas, encore une fois, du lampiste, je parle du cadre maçonnique de la République toujours en place et dans les pestes de commande. Sinon vos efforts seront vains, vous serez dissociés et fragmentés avant même que de naître.
Les hommes se comptent ; là-bas. des combattants meurent contre les assauts furieux du bolchevisme. Chez nous, il y a aussi une prochaine bataille qui se prépare, une vraie et dure bataille. La juiverie et la maçonnerie sont les bastions avancés de la démocratie anglo-saxonne ; ces bastions sont puissamment accrochés au sol de France et n'ont pas encore été démolis, car ils représentent de puissants intérêts, mais déjà le ch?ur des voix révolutionnaires couvre les clameurs furieuses. On prend parti maintenant de gré ou de force. Puisse ce film, qui est un film de combat, rassembler les énergies encore hésitantes pour les dures et décisives batailles de demain.
Souhaitons à Forces occultes une belle et longue carrière, il la mérite ! Et, pour terminer, félicitons ses auteurs pour la contribution qu'ils ont apportée ainsi à la Révolution Nationale.[/justify]
____________________
(1) Revue Anti Maçonnique Mars 1943
[center][youtube]http://www.youtube.com/watch?v=KkPUe0VVnDI[/youtube]
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=RE340AvMLgw[/youtube]
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=T7VvVuXDzG4[/youtube]
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=tXqUfpB3OZQ[/youtube]
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=i1Vt8LMZJn8[/youtube][/center]
Parlez en, diffusez-le, OSEZ !!! La parole vous rendra libre.
Demain, vos enfants n'auront pas ou plus honte de vous.
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[right][small]Puisse ce film, qui est un film de combat,
rassembler les énergies encore hésitantes
pour les dures et décisives batailles de demain.[/small][/right]
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[center][large]Forces occultes[/large][/center]
[center]Film de J. Marqués-Rivière et Paul Riche, est présenté à Paris[/center]
[justify]C'EST le mardi 9 mars 1943 que le film Forces occultes a été présenté au public parisien. Il s'agissait là d'un événement que tout le monde attendait avec impatience et, à en juger par l'enthousiasme des spectateurs, personne n'a été déçu.
La projection du film a été précédée par une allocution de M. Marquès-Rivière, dont nous vous donnons le texte ci-après, car elle mérite, tant par sa clarté que par le courage dont son auteur fait preuve, d'être publiée « in extenso » dans les colonnes de notre revue (1).[/justify]
Monsieur l'Ambassadeur, Mesdames,
Messieurs,
Mes chers camarades,
[justify]J'ai l'honneur de vous présenter le film anti-maçon FORCES OCCULTES que j'ai fait en collaboration avec le metteur en scène Paul Riche et qui a été réalisé par le courageux directeur de Nova-Film, M. Musard.
Ce film veut être un acte politique, IL VEUT ÊTRE AUSSI UN ACTE RÉVOLUTIONNAIRE. Dans le silence de l'agonie de la France, il veut être enfin un cri d'alarme. Je sais que ce cri n'est pas unique je sais les efforts désespérés du petit nombre qui ne veut pas la disparition de notre pays dans un effacement rageur et stérile. C'est un cri de plus pour secouer ce bon sens populaire qui a toujours pensé qu'un crime capital méritait une peine capitale. Et puisque les grands Maçons d'hier sont toujours vivants, du moins seront-ils frappés en effigie par les images que vous allez voir dans un instant.
Crime capital, ai-je dit. Il est pitoyable que la mémoire si courte des Français leur ait déjà fait oublier les causes profondes de la situation présente. Car, enfin, qui dirigeait le régime pourri qui a ruiné et ensanglanté la France, qui en formait les cadres permanents et reconnus, sinon la Maçonnerie, paravent commode de la juiverie internationale ? Les Français sont d'ailleurs excusables de l'avoir oublié car, par une singulière pudeur. on ne paraît pas pressé de le leur rappeler. Un silence de bon ton est d'usage quand on parle de Franc-Maçonnerie et la dernière mode consiste à y joindre un tantinet d'indignation contre ceux qui veulent. parait-il, désunir de nouveau le pays.
N'y a-t-il pas une ligue, nouvellement née, à cet usage ? Et qui remplace fort bien la Ligue des Droits de l'Homme du juif Victor Basch.
Nous sommes donc coupables de crime de désunion et de rupture du silence paisible auquel a droit la Franc-Maçonnerie en France. Le crime est grand et il faut que je m'en explique devant vous.
Un peuple qui a subi pendant cent cinquante ans les prétendus bienfaits de la Révolution française et pendant soixante-dix ans la lourde dictature de l'anarchie démocratique ne saurait être transformé en deux années ; il a trop l'habitude de sa médiocrité sereine pour rechercher avec ardeur les responsables qui l'ont conduit à la guerre, à la défaite, à la ruine et au déshonneur. Ce peuple français, esclave de la défaite, ne peut plus réagir ; il est las, infiniment las, encore sous l'effet de la drogue des Blum, des Mandel et des Paul Reynaud. L'élite intellectuelle de ce pays, enjuivée depuis vingt ans, a déserté sa place et vous me permettrez de mettre bien à part ces bourgeois, humbles domestiques des Juifs, ruisselant de gaullisme, encroûtés dans une obstination sénile, qui ne voient rien, qui ne comprennent rien et qui veulent encore jouer au peuple le plus spirituel de la terre. Ceux-là, si c'était possible, je les abandonnerais bien volontiers au génial Père des peuples qui doit, disent-ils, les libérer. Je suis même assuré qu'il les libérerait définitivement.
Il semble qu'une vaste conspiration existât pour empêcher que le peuple français ne se réveillât ; cette mort apparente est, paraît-il, la meilleure solution présente, En réalité, nous retrouvons là l'esprit maçonnique, des démocraties judaïques, cette tromperie permanente de l'opinion publique.
Je ne vous rappellerai pas les méfaits de la Franc-Maçonnerie jusqu'en 1940 ils sont connus, avoués, prouvés par les textes maçonniques tirés des placards du Grand-Orient et des caves de la Grande Loge. La Maçonnerie ne peut plus nier son activité politique le silence et le mystère qui entouraient ses délibérations ont maintenant disparu ; les listes des députés, des politiciens, des hommes d'affaires, des fonctionnaires maçons ont été publiées. La Maçonnerie tenait le gouvernement de la France par les comités politiques, par les diverses Fraternelles et Amicales maçonniques, par les multiples filiales des Loges répandues sur le territoire comme une géante toile d'araignée, par les Maçons enfin placés partout, à tous les postes, des plus humbles aux plus honorifiques ; la lecture du « Journal officiel » est édifiante à cet égard. Le personnel politique de la Troisième République était maçonnisé : les clients et les profiteurs du régime disparu étaient essentiellement les Maçons, qu'il s'agisse du F.'. Juif Goldzeiguer, grand distributeur de décorations en Afrique du Nord et ami très personnel des divers gouvernements qui s'y sont succédé, jusqu'au F.'. Camille Chautemps, avant-hier encore ambassadeur officieux de la France à New-York, aujourd'hui représentant la Maçonnerie internationale auprès des généraux traîtres de l'Afrique du Nord.
Mais un malaise subsiste ; de tous côtés, des FORCES OBSCURES freinent les volontés de renouvellement et stérilisent les efforts révolutionnaires. Un sabotage systématique de ce qui est le vouloir du Maréchal a été organisé. A chaque pas en avant de puissantes et mystérieuses mains défaisaient le travail accompli, et lorsque nous nous retournons sur deux ans de travail, nous ne pouvons que constater une incurie désolante et inquiétante une suite d'occasions manquées et de temps perdu.
Voilà pourquoi j'ai voulu que ce film fût âpre et dur ; peu m'importe les gémissements rituéliques de certains qui joueront le scandale pour donner le change. Je voudrais justement que ce scandale, si scandale il y a, crevât l'abcès qui infecte notre pays; je voudrais que les colères qu'il déchaînera fissent tomber enfin les faux visages, démasquent les réactionnaires de l'ancien régime. Car, il faut le reconnaître, il y a, à l'heure présente, un pouvoir plus fort que le pouvoir du Maréchal, chef de l'Etat. Ce n'est point une chose nouvelle il y avait aussi, en 1939, un pouvoir plus fort que celui du président du Conseil, mais, alors que celui-ci jouait le jeu et parfois, maçon lui-même, affermissait cette puissance, le Maréchal, lui, ne peut que se plaindre de l'inexécution de ses ordres et reconnaît ainsi que la REVOLUTION NATIONALE est trahie du haut en bas, à supposer même qu'elle ait pu avoir un commencement d'exécution. Cette Révolution nationale avait une politique qui a été sabotée : elle se définissait par une politique de collaboration sur le plan extérieur, par une politique d'épuration et de renouvellement profond des c?urs et des esprits sur le plan intérieur.
On n'a pas voulu de sang et de ranc?ur, paraît-il. Il y a eu, par-dessus tout une insidieuse campagne qui a décidé de faire oublier aux Français l'écrasante responsabilité de la IIIe République maçonnique, de son Ecole et de ses cadres.
La consigne a été d'attendre, de jouer le jeu de la collaboration et de ne rien changer ; les fonctionnaires qui ont cru à une révolution des m?urs ont été brimés ou déplacés ; ils ont dû s'incliner devant le pouvoir supérieur qui, depuis deux cents ans, au-dessus des guerres, des rois, des républiques et des révolutions, domine la France, véritable dictature occulte, qui a nom la Franc-Maçonnerie.
Des comédies ont été jouées et continuent à l'être elles ne l'ont pas même été avec élégance et tact ; on a vu un Conseil National, repaire des démocraties, s'établir à l'ombre du Maréchal pour refaire les cadres maçonniques de la Troisième République ; on a vu et l'on voit encore, dans l'administration, d'incroyables exemples de favoritismes maçonniques ; on a vu, et l'on voit encore, des maires maçons connus comme tels, se glorifiant comme tels, ce Marchandeau, présidant l'Association des maires de France, rester comme tels dans un défi permanent aux ordres du Maréchal. On a vu, et l'on voit encore, des Maçons, faux déclarants, c'est-à-dire des hommes qui ont menti sciemment et solennellement, être réintégrés avec tous les honneurs dus, à leur rang. On a vu, et l'on voit encore, ceux qui osent attaquer la Maçonnerie, être traités de suspects et être poursuivis avec une vigueur que l'on voudrait voir exercée en d'autres domaines. On frappe brutalement le facteur et le lampiste; la justice serait mieux satisfaite si les hauts Maçons de l'ancien régime étaient châtiés avec une, rigueur, une rigueur proportionnée à leur lourde et entière responsabilité. L'avantage en eût été certain : l'Etat français renouvelait ses cadres, il écartait des postes de confiance les traîtres en instance, il assurait l'exécution de sa volonté par les militants de la révolution française.
Voilà ce qui m'apparaît inconcevable et incompréhensible voilà ce que je n'arrive pas à réaliser car cela crève les yeux : la trahison la plus certaine, l'attentisme permanent, la mauvaise volonté avouée sont cristallisés justement dans ces milieux maçonniques qui n'ont jamais accepté le changement de régime et qui regrettent tous les jours et à toute heure l'époque fructueuse et béate de la IIIe République.
Or, certains milieux que vous connaissez tous affichent presque ouvertement leur sympathie profonde pour les Maçons. Ils me rappellent cette droite d'avant-guerre, qui n'avait de cesse, quand elle était au pouvoir, de donner des gages à ses ennemis d'hier et de demain. Ces milieux n'ont pas encore compris, ils ne veulent pas comprendre que les ennemis n° 1 du gouvernement sont justement ces Maçons qu'ils amnistient à coup de colonnes du « Journal officiel ».
Qui, derrière les guichets des administrations publiques, attaque le gouvernement en créant une atmosphère de défiance et de haine ?
LE MAÇON.
Qui fausse les répartitions du ravitaillement, stocke stupidement les denrées périssables, affame les milieux ouvriers et favorise ainsi le marché noir ?
LE MAÇON.
Qui critique les actes du gouvernement du Maréchal, dénature ses gestes, affaiblit sa volonté ?
LE MAÇON.
Qui prépare sourdement les révoltes intérieures, prémices certaines de la bolchévisation future de la France ?
LE MAÇON.
Qui est au premier rang des organisations gaullistes et giraudistes, qui fait la liaison avec les centres communistes, qui a préparé la livraison pitoyable de notre Empire, qui complote contre taus les redressements possibles de la France, qui forme les centres actifs et virulents des trahisons et des défections futures ?[/justify]
[center]LE MAÇON. ENCORE LE MAÇON, TOUJOURS LE MAÇON.[/center]
[justify]Vous le voyez aux postes de commande que lui a remis le gouvernement et dont il profite pour le trahir, et par une aberration politique inconcevable, vous constatez que la tâche la plus immédiate et la plus précieuse de certains responsables haut placés consiste justement à couvrir, à protéger et à réintégrer ceux-là même qui en seront les fossoyeurs.
J'entends bien qu'ils ne sont pas seuls dans cette sinistre aventure qui prépare, à l'ombre de la synarchie, une France anglo-saxonne dans une Europe bolchevisée. La horde des préfets d'Algérie et des grands chefs de l'administration française en Afrique les accompagne joyeusement, il faut y joindre enfin cette cohorte désordonnée et quémandeuse de généraux félons, traîtres et déserteurs, plus empressés à venger leur incompétence de 1940 qu'à songer à la vieille devise française d'honneur et de patrie. Il faut y ajouter ces abbés démocrates qui pleurent maintenant les pauvres Juifs et consolent les malheureux Maçons, tous ceux qui savaient si bien se taire quand l'Espagne, le Mexique, la Roumanie, la Lithuanie et l'Esthonie saignaient sous les coups de couteaux bolchevistes. Si certains ont pu confondre l'action antimaçonnique avec leur haine cléricale, croyez bien que je n'ai engagé ce combat et que je ne le continue QUE SUR LE TERRAIN POLITIQUE ; mais je ne veux pas que l'internationale rouge soit épaulée par une certaine internationale noire...
Derrière ces ombres falottes, ces volontés défaillantes, il y a un noyau cristallisateur d'hommes qui savent ce qu'ils veulent et agissent selon un plan précis : les centres maçonniques français sont en rapport avec toutes les espérances démocratiques : que ce soit le prince Napoléon, certains Révérends Pères Jésuites ou Dominicains, l'ancienne clientèle de la IIIe République, les Sarrault, Herriot, et Jeanneney, les Trusts qui voudraient voir revenir 1936, et même M. de La Rocque, les contacts sont noués. Les guignols peuvent se battre, c'est le même animateur qui les manie. Le F.'. Roosevelt ne s'y trompe pas : quand il veut lancer un message au peuple français, il n'omet jamais de frapper au bon endroit, là où il sait qu'on écoute et que l'on comprend; et son mot de passe est l'évocation du Ternaire maçonnique : LIBERTÉ, ÉGALITÉ, FRATERNITÉ, ce ternaire que vous allez entendre, dans un instant, applaudi en Loge selon le rituel maçonnique.
Et nous rejoignons enfin la collusion maçonnique et bolchevique ; il y a toujours un Maçon pour faire le lit du communisme et la tradition du F.'. Kerensky n'est pas éteinte. Il est question de rassembler des révolutionnaires, de créer des milices combattantes, faisceaux de belles énergies rassemblées dans une pure volonté. L'expérience l'a déjà prouvé : vous ne ferez rien, vous ne pourrez rien faire si vous n'éliminez pas les Maçons des cadres directeurs. Je ne parle pas, encore une fois, du lampiste, je parle du cadre maçonnique de la République toujours en place et dans les pestes de commande. Sinon vos efforts seront vains, vous serez dissociés et fragmentés avant même que de naître.
Les hommes se comptent ; là-bas. des combattants meurent contre les assauts furieux du bolchevisme. Chez nous, il y a aussi une prochaine bataille qui se prépare, une vraie et dure bataille. La juiverie et la maçonnerie sont les bastions avancés de la démocratie anglo-saxonne ; ces bastions sont puissamment accrochés au sol de France et n'ont pas encore été démolis, car ils représentent de puissants intérêts, mais déjà le ch?ur des voix révolutionnaires couvre les clameurs furieuses. On prend parti maintenant de gré ou de force. Puisse ce film, qui est un film de combat, rassembler les énergies encore hésitantes pour les dures et décisives batailles de demain.
Souhaitons à Forces occultes une belle et longue carrière, il la mérite ! Et, pour terminer, félicitons ses auteurs pour la contribution qu'ils ont apportée ainsi à la Révolution Nationale.[/justify]
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(1) Revue Anti Maçonnique Mars 1943
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