[large]Cela chie en Haïti[/large]
[center]à Port-au-Prince, le 15 novembre 2010
Une victime du choléra est transportée dans une ambulance[/center]
La dépopulation de la moitiè de l'île ne va pas assez vite. Le plan n'est pas comme le prévoyait l'engeance des conseillers.
Malgré des décennies d'infamies envers ce peuple voulant vivre libre, malgré un superbe tremblement de Terre big maous costaud, voici la bonne vieille maladie des tripes en vrac.
Simple question : En République Dominicaine l'autre coté de l'île y en a-t-il des maladies ? Comment vivent-ils cette horreur sur leur île ? Aide-t-il leur voisin ?
On leur aura tous fait à ces pauvres gens.
La nature humaine a ceci de particulier qu'elle survit à tout et surtout au désastre. Comment ? Il suffit de regarder comment survive ces pauvres gens. Improvisation et adaptation. Toujours cela. Comme les cellules de notre corps soumises à chaque instant au stress de notre vie. D'où la vie.
Vous ne pourrez pas les réduire à rien, chaque jour nait des enfants devenus plus fort encore. Ayant acquis en leur inconscient la capacité de vous résister. Ils finiront pas vous détruire tant la haine qui leur permet de survivre, dès la naissance, va vous submerger. Plutôt que de vous faire haïr, faites vous aimer, en mettant en place une véritable aide sociale qui devrait commencer par l'éradication des potentats immondes adepte du luciférisme de ce pays et de ceux qui les gouvernent en sous-main. Offrez leur des crèches ou ces pauvres gens apprendrons à décliner le verbe aimer son prochain dans l'Union, cela les changera de celui voler son prochain pour survivre.
Et vous petits merdeux de militaires, laissez vous aller à l'amour. Tant de souffrance ne vous émeuvent donc pas ?
Si, je le sais, il n'y a qu'à voir les salles d'attente de psy et votre taux de suicide. Alors agissez et faites votre boulot de défendre la veuve et l'orphelin, plutôt que ceux qui s'en foutent plein les poches de cette misère. Vous en avez la possibilité. Vous êtes seul et alors. Il ne faut qu'une cellule pour débuter un cancer généralisé. Si Haïti devenait cette cellule ?
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[large]Haïti : Les casques bleus sont accusés de propager le choléra[/large]
[small]par Joseph GUYLER DELVA et Jean-Loup FIEVET[/small]
Reuters
[justify]Des émeutes ont éclaté, lundi 15 novembre 2010, dans deux villes haïtiennes mettant en cause la responsabilité des casques bleus des Nations Unies dans l?épidémie de choléra qui ravage actuellement le pays.[/justify]
L?épidémie de choléra, qui a éclaté, en octobre, dans le centre, à la suite de pluies diluviennes, a fait plus de 900 morts et a gagné la capitale, Port-au-Prince, où vivent dans des conditions précaires des milliers de rescapés du tremblement de terre du 12 janvier. Les 12000 casques bleus déployés en Haïti sont chargés d?assurer notamment la sécurité des élections présidentielle et législatives du 28 novembre. Les Nations Unies et le gouvernement haïtien ont jusqu?ici insisté pour que ces consultations aient lieu comme prévu, malgré l?épidémie de choléra. La Mission de stabilisation des Nations Unies en Haïti a été contrainte de démentir des rumeurs généralisées selon lesquelles la maladie aurait été introduite sur l?île par des casques bleus asiatiques.
Selon la police et des témoins, les manifestants ont incendié un commissariat de police, à Cap-Haïtien, deuxième ville de l?île caraïbe située dans le Nord, après s?être heurté à des casques bleus de la Minustah. "Toute la ville est paralysée, les commerces et les écoles sont fermés, des véhicules ont été incendiés", a raconté à Reuters un homme d?affaires de Cap-Haïtien, Georgesmain Prophete. "C?est le chaos ici". Joaney Caneus, directeur de la police pour la région Nord dont fait partie Cap-Haïtien, a indiqué que la foule avait mis le feu au commissariat de police de Pont-Neuf. "Vous pouvez imaginer combien c?est difficile ici, alors qu?on ne dispose pas du soutien habituel des forces de l?ONU, parce qu?elles sont elles-mêmes en grande difficulté", a-t-il confié à Reuters. Dans cette ville, le contingent de la Minustah a demandé qu?un détachement de la police haïtienne prenne position devant son casernement pour protéger les casques bleus. On ignore si ces troubles ont fait des victimes. A Hinche, dans le centre, des casques bleus népalais ont été accueillis par des jets de pierres et des manifestants leur demandant de quitter le pays.
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[small]Version française Jean-Loup Fiévet et Henri-Pierre André[/small]
Les 12.000 casques bleus déployés en Haïti sont chargés d'assurer notamment la sécurité des élections présidentielle et législatives du 28 novembre.
Les Nations unies et le gouvernement haïtien ont jusqu'ici insisté pour que ces consultations aient lieu comme prévu malgré l'épidémie de choléra.
Dans un communiqué, la Minustah "exhorte la population de rester vigilante et de ne pas se laisser manipulée par les ennemis de la stabilité et de la démocratie dans le pays".
[small]par Joseph Guyler Delva[/small]
PORT-AU-PRINCE (Reuters) - Des émeutes ont éclaté lundi à Haïti où des manifestants ont attaqué des casques bleus des Nations unies désignés par la rumeur comme étant à l'origine de l'épidémie de choléra qui ravage actuellement le pays.
Un manifestant a été tué par balles et six casques bleus de l'O.N.U. ont été blessés.
La Mission de stabilisation des Nations unies en Haïti (Minustah) a été contrainte de démentir des rumeurs généralisées selon lesquelles la maladie aurait été introduite sur l'île par des casques bleus asiatiques.
La mission de l'O.N.U. a affirmé que ces violences à Cap-Haïtien, deuxième ville de l'île caraïbe située sur la côte Nord, et à Hinche avaient été provoquées par des agitateurs politiques qui tentent de déstabiliser le pays avant les élections présidentielle et législatives du 28 novembre.
A Cap-Haïtien, où un commissariat de police a été incendié, des casques bleus de la Minustah ont essuyé des coups de feu et un manifestant a été tué par un casque bleu en état de légitime défense, selon un communiqué de la mission de l'O.N.U.
A Hinche, dans le centre, des casques bleus népalais ont été accueillis par des jets de pierres et des manifestants leur demandant de quitter le pays. La rumeur désigne les Népalais de la Minustah d'avoir introduit la bactérie du choléra en Haïti. L'épidémie de choléra, qui a éclaté en octobre dans le centre à la suite de pluies diluviennes, a fait plus de 900 morts et a gagné la capitale, Port-au-Prince, où vivent dans des conditions précaires des milliers de rescapés du tremblement de terre du 12 janvier.
Les experts américains du Centre de contrôle et de prévention des maladies (C.D.C.) estiment que la souche responsable de l'épidémie haïtienne est liée à une souche d'Asie du Sud mais n'ont pas isolé la source de la maladie ni désigné les casques bleus népalais.
Cela chie en Haïti : Casques bleus de O.N.U. et Choléra
Moderator: Le Tocard