Waisbard Simone - Tiahuanaco - 10000 ans d'énigmes incas ...

Moderator: Le Tocard

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Sycophante

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[large]Waisbard Simone[/large]
Tiahuanaco - 10000 ans d'énigmes incas Ed. J'ai Lu L'Aventure mystérieuse A 395
Tiahuanaco - 10000 ans d?énigmes incas.rar (15.84 MB)


[right][small]Nous remercions sincèrement les repreneurs de ces ouvrages[/small][/right]
[justify]Un voyage dans un passé révolu, poursuivi avec passion pendant quinze ans, une exploration hardie sur le terrain (Pérou, Bolivie, Chili) permettent à Simone Waisbard à éclairer ces énigmes comme nul encore ne l'avait fait.
Sur les bords du lac Titikaka, le lac sacré aux cités englouties, elle a retrouvé la piste perdue de l'Adam et de l'Eve de la Genèse inca ; puis, sur leurs traces, celle du mystérieux dieu blanc Kon Tiki Viracocha, ce Sphinx au masque de puma qui garde au fronton de la Porte du Soleil de Tiahuanaco les secrets d'un monde disparu.
Un monde disparu, mais dont les ruines, les itinéraire ; et les signes accréditent une hypothèse souvent avancée: ici, en des temps reculés, ont vécu et ?uvré des "hommes volants", des géants venus d'ailleurs.
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[right][small]Le dieu Viracocha d'après la sculpture
de la Porte du Soleil a Tiahuanaco (IIIe s. ap. J.-C )[/small]
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[center][large]AVANT-PROPOS[/large][/center]
[right][small]Entre le monde contemporain et les mystères de l'antiquité sud-américaine, un linceul est tombé.
Colonel Fawcett[/small][/right]
[justify]En 1963, Richard Robertson, chef de la mission aéro-photographique américaine au Pérou, signale de mystérieuses colonnes de fumée repérées par hasard à plus de 6000 m d'altitude.
Le pilote a été chargé par le gouvernement péruvien de survoler la cordillère des Andes pour y effectuer le relevé de certaines très hautes cimes qui ne figurent encore sur aucune carte géographique du pays. Mais ce qu'il découvre depuis les airs dépasse l'imagination humaine...
"Nous avons délimité un monumental, glacier disposé en arc de cercle sur deux cent quatre-vingt-dix kilomètres de long ! Un chapelet de lacs translucides d'une grande beauté court parallèlement aux pics élevés. Des torrent, des cascades sans nom, s'évadent de ce paradis entièrement inexploré...
"Cependant, poursuit le rapport, de magnifiques vestiges de voies dallées, suspendues aux flancs de la cordillère,
se perdent dans le lointain."

A Lima j'assistai à la conférence de presse donnée par Richard Robertson. Je le vis hésiter à poursuivre son récit, de peur qu'on ne le crût pas. Il ajouta enfin : " Il ne s'agit pas de science-fiction ! Mes compagnons de vol et moi-même avons fort bien distingué et très nettement ces colonnes de fumée disposées à des intervalles réguliers, espacés d'une vingtaine de kilomètres environ... La seule explication plausible à ces feux situés au bord du glacier, au-dessus de 6 000 mètres - je le répète -, c'est qu'ils aient été allumés par les survivants d'un peuple millénaire, réfugiés sur des sommets hostiles à la vie humaine et toujours inconnus des hommes du XXe siècle. "
Des controverses acharnées suivirent à Lima les révélations du pilote américain. Car le monde scientifique péruvien sortait à peine d'un précédent « mystère », source de polémiques aussi acharnées non loin de ces cimes andines, au pied des montagnes cette fois, le Cdt Péri, pilote d'hélicoptère, a lui aussi survolé un spectacle auquel il ne trouve aucune explication logique. Il a aperçu de gigantesques dessins géométriques tracés sur le sol au moyen de petits cailloux blanchis, et qui s'étendent jusqu'à l'horizon. Un seul, a-t-il calculé, couvre plus ou moins trois-cent soixante-dix hectares !
Maria Reiche, une archéologue allemande, part aussitôt à la recherche de ces intrigants dessins. Péri lui en a donné l'exacte position, mais à terre, elle ne trouve rien... Le pilote et l'investigatrice décident alors de reprendre l'exploration aérienne. Alors, ils découvrent ce que Maria Reiche surnomme « le plus grand calendrier astronomique du monde et de tous les temps ».
Fascinée par les centaines de lignes droites qui se croisent et se recoupent à l'infini, qui escaladent parfois le piémont des Andes ou sillonnent la pampa désertique du littoral, l'archéologue allemande n'a de cesse d'étudier entièrement l'immense complexe du message précolombien.
... Dix ans passent. Maria Reiche? ruinée par ses recherches, ne veut pas renoncer. Un soir, recueillie par des amis communs, elle me déclare : « Il faudra plusieurs générations pour tenter de percer le secret du peuple inconnu qui a créé une ?uvre aussi fantastique et si durable qu'elle nous est parvenue sans altération, comme un livre destiné à être lu par des peuples futurs. »
Inlassablement, Maria Reiche mesure ces marques étonnantes. Elle obtient en prêt une grande échelle métallique de la Compagnie des téléphones de Lima. Juchée tout en haut, sur l'étroite plate-forme, elle peut voir s'ébattre. le symbolique « Oiseau du Soleil » qui mesure trois cents mètres de là tête à la queue ! [...][/justify]



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