[center][large]Michel Moirot
Origines des cancers
Traitement et prévention[/large][/center]
[justify]Les recherches présentées ici démontrent, sans exception, aussi bien chez l'animal que chez l'homme, qu'un environnement stressant et un choc aliénant sont à l'origine du processus cancéreux.[/justify]
[center]Michel Moirot - Origines des cancers.pdf (705.67 KB)
[large]http://www.aryanalibris.com/index.php?p ... es-cancers[/large][/center]
[justify]Ce médecin français s'occupe depuis 1949 de médecine et de recherches psychosomatiques.
Il affirme que «toutes les maladies organiques acquises au cours du déroulement de la vie de l'individu dans le monde ambiant, à part les intoxications et certains accidents, sont psychosomatiques.»
Il ajoute: «dans la plupart des accidents, il existe une participation inconsciente de l'accidenté au traumatisme qu'il subit?»
Pour bien démontrer que le cancer a bien une origine psychique, il s'est tout d'abord intéressé aux expérimentations animales.
Il a revu tous les protocoles d'expériences et constaté que l'on ne tenait pas compte du respect de l'animal lors de ces expériences.
Il constate que la cancérisation provoquée par une substance oncogène (cancérigène) est en grande partie liée au stress et aux conditions inhumaines (éclairage absent ou constant, surpeuplement ou isolation, alimentation absente ou déséquilibrée, etc) dans lesquelles les expérimentations sont effectuées.
Pour approfondir ses recherches et démontrer de manière rationnelle et irréfutable l'origine psychosomatique de la cancérisation, le docteur Moirot a choisi ensuite des sujets humains habitant depuis de nombreuses années au même endroit, sur le même sol, vivant ensemble de la même façon; mangeant les mêmes aliments, buvant la même eau et soumis aux mêmes influences telluriques, atmosphériques et climatiques.
Il s'est adressé aux seuls groupes humains remplissant ces conditions, c'est-à-dire les communautés religieuses, en faisant une distinction entre les cloîtrés et les non-cloîtrés.
Ces recherches ont été faites dans cinquante-deux départements français ou vivent des carmélites et des clarisses .
Ensuite, il a étendu l'étude aux couvents cloîtrés masculins (chartreux, trappistes) et non cloîtrés (carmes, rédemptoristes), et enfin aux non cloîtrés féminins.
Il a également poursuivi ses investigations en Espagne et en Israël.
Qu'a-t-il découvert ?
Un pourcentage plus élevé de décès par cancer, chez les cloîtrés, hommes et femmes, chez qui les règles de vie en communauté sont plus strictes.
Le taux de mortalité augmente vers le Nord, à l'exception de la Corse, seul pays du Sud où les règles monastiques sont aussi sévères que dans le Nord.
Dans les pays plus froids, la morale est appliquée plus sévèrement, elle est plus contraignante.
Dans ces cancers, on trouve un taux élevé de cancers du sein, des organes sexuels, de la prostate et du larynx.
Le docteur Moirot en a déduit que le cancer traduit l'autodestruction d'un sujet, somatisé dans un organe cible capable d'incarner cette destruction.
Il a étudié les rapports cancer-psychisme chez Bonaparte, Freud et Pompidou.
Les recherches du docteur Moirot permettent de comprendre que pour éviter le cancer, nous devrions apprendre à être moins sérieux, à être plus souples face aux événements.
Il affirme : "Si le cancéreux pouvait devenir fou, il guérirait".[/justify]
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[large]Biographie[/large]
Michel Moirot - Origines des cancers
Moderator: Le Tocard