[large]Sodalitium[/large]
Introduction à la question juive
[small]Articles tirés de la revue[/small]
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Sodalitium - Compilation - Le Diable pour père (15.26 MB)
Revues - Sodalitium du n° 38 à 62 (43.76 MB)
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[large]Voir aussi :[/large]
http://histoireebook.com/index.php?cate ... -Hippolyte
Delehaye (S. I.) Hippolyte (58.89 MB)
Les légendes hagiographiques (Bollandiste)
Les légendes hagiographiques
Les origines du culte des martyrs
Les passions des martyrs et les genres littéraires (Bollandiste)
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Les petits Bollandistes - Vies des Saints - Tome I à XVII
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[large]D[/large]ans la partie la plus ancienne du Talmud, appelée Mischna, est exprimée l'opinion selon laquelle "passer par le feu" [small](IV Rois XVI, 3 ; XVII, 17)[/small] ne faisait pas allusion à un sacrifice humain, mais seulement à une cérémonie symbolique de purification... C'est seulement dans le Talmud postérieur qu'on trouve la description d'UN SIMULACRE DU DIEU MOLOCH QUI ÉTAIT ROUGI AU FEU ET DANS LES BRAS DUQUEL AURAIENT ÉTÉ JETÉS DES ENFANTS VIVANTS. Cf. d'après Kortleitner, 'De polytheismo', 216ss., la documentation rassemblée à cet égard » [small](I. SCHUSTER-G.B. HOLZAMMER, Manuale di storia biblica, il Vecchio Testamento, SEI, Torino 1951, p. 794)[/small].
"Moloch...(est) le nom d'une idole à qui les Juifs du temps des Rois sacrifiaient des victimes humaines dans la Vallée du fils d'Ennom (Géhenne) près de Jérusalem [small](II-IV Rois, XXIII, 10 ; Jér. XXXII, 35)[/small]. ...IL EST CERTAIN que DANS LES PÉRIODES DE SYNCRÉTISME religieux, LES JUIFS ONT UTILISÉ DANS LE CULTE DE MOLOCH DES VICTIMES HUMAINES... OFFRANT EN LES BRULANT EN HOLOCAUSTE LEURS PROPRES FILS" [small](G. RICCIOTTI, Enciclopedia Italiana Treccani, Roma 1951, vol. XXIII, rubrique 'Moloch' p. 587)[/small].[/justify]
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[large]LISTE CHRONOLOGIQUE DES ASSASSINATS
LES PLUS CONNUS COMMIS
PAR LES JUIFS[/large][/center]

« Année
1071. A Blois (Monumenta historica Germaniae : Scriptorum, vol. VI, p. 500) : Un enfant est crucifié puis jeté dans le fleuve. Le Comte Théobald fait brûler les juifs coupables.
1114. A Norwich en Angleterre (Bollandistes, vol. 3° de mars, 588 : et Monumenta ibid.) Guillaume, enfant de douze ans, est attiré dans une maison juive où il est crucifié parmi mille outrages le jour de Pâques, et afin de mieux représenter Jésus-Christ sur la Croix, il fut blessé au côté.
1160. A Gloucester (Monumenta ibid.) les juifs crucifièrent un enfant.
1179. A Paris (Bollandistes ibid : p. 551) : l'enfant Richard a été immolé au Château de Pontoise le Jeudi Saint : et il est honoré comme Saint à Paris.
1181. A Paris (Pagi à l'année 1881, n. 15 et Bolland. 25 mars, p. 589). Saint Robert, enfant, est tué par les juifs vers les fêtes de Pâques.
1182. Les juifs à Pontoise crucifient un garçon de douze ans, et pour cette raison sont expulsés de France. - A Saragosse (Blanca Hispania illustrata, Tome 3°, p. 657) il arrive la même chose à Dominique del Val.
1236. Près d'Haguenau (Richeri Acta Senonensia Monum. XXV, p. 324 et ailleurs) trois enfants de sept ans sont immolés par les juifs en haine de Jésus-Christ.
1244. A Londres (Baronius n. 42 sur cette année) un enfant chrétien est martyrisé par les juifs ; il est vénéré dans l'église St Paul.
1250. En Aragon (Giovanni da Lent, De Pseudo Messiis, p. 33) un enfant de sept ans est crucifié vers le temps de la Pâque juive.
1255. A Lincoln (Bolland. vol, 6° de juillet, p. 494), Hugues, enfant volé par les juifs est nourri jusqu'au jour du sacrifice.
Beaucoup de juifs arrivent des différentes régions d'Angleterre, et le crucifient, en renouvelant en lui toutes les scènes de la Passion de Notre-Seigneur, comme nous le racontent Matthieu Paris et Capgrave.
Weever nous apprend encore que les juifs des principales villes d'Angleterre enlevaient les enfants de sexe masculin pour les circoncire, puis en outrage à Jésus-Christ les couronnaient d'épines, les flagellaient et les crucifiaient (LAURENT, Les affaires de Syrie, tom. 2. p. 326 Ed. de Paris 1846).
1257. A Londres (Cluverio Epitome hist. p. 541) un enfant chrétien est immolé par les juifs.
1260. A Wessembourg (Annal Colmar, Monum. XVII, 191) un enfant tué par les juifs.
1261. A Pfortzeim Bade (Bolland. vol. 2° d'avril, p. 838) : une enfant de sept ans est étranglée, puis saignée et noyée.
1283. A Mayence (Baronius n. 61 : Acta Colmar. Monument. XVII, 210) un enfant est vendu par sa nourrice à des juifs et tué par eux.
1285. A Munich (Radero Bavaria sancta, Tome 2°, p. 331 : Monum. XVII, 415) un enfant est saigné. Son sang sert de remède aux juifs. Le peuple brûle la maison où les juifs s'étaient réfugiés.
1286. A Oberwesel sur le Rhin (Bolland. 2° vol. d'avril, p. 697 : Monum. XVII. 77 : Baronius 1287, n. 18) Wernher, quatorze ans, est martyrisé pendant trois jours avec des incisions répétées.
1287. A Berne (Bolland. 2° vol. d'avril) le jeune Rodolphe est tué lors de la Pâque des Juifs.
1292. A Colmar (Ann. Colm. II, 30) un enfant est tué comme ci-dessus.
1293. A Crems (Monum. XI, 658) un enfant est immolé par les juifs, deux des assassins sont châtiés : les autres se sauvent grâce à l'or.
1294. A Berne (Ann. Colm. II, 32) un autre enfant a les veines ouvertes par les juifs.
1302. A Remken : même chose (Ann. Colm. II, 39).
1303. A Weissense en Thuringe (Baronius 64) l'écolier Conrad, fils d'un soldat, saigné avec des incisions aux veines.
1345. A Munich (Radero 351) le Bienheureux Henri cruellement tué.
1401. A Dissenhofen dans le Wurtemberg (histoire du Bx. Albert de Simon Habiki d'après les Bolland., vol. 2° d'avril) un enfant de quatre ans est acheté pour trois florins et saigné par les juifs.
Ici il faut noter que dans le procès fait pour cet assassin, le juif accusé confessa "que tous les sept ans les juifs ont besoin de sang chrétien. Un autre révéla que le chrétien assassiné devait avoir moins de treize ans. Un troisième dira qu'ils se servaient de ce sang dans la Pâque ; qu'ils en faisaient sécher une partie pour le réduire en poudre, et qu'ils s'en servaient pour les rites religieux" (Question Juive, pp. 59-60). Il est remarquable que les mêmes confessions et révélations aient été faites par des juifs à plusieurs siècles de distance et dans des pays très éloignés : à Trente, en Moldavie, en Suisse aux XIVème et XVIIIème siècles, comme nous l'avons déjà vu plus haut.
1407. Là aussi un autre enfant tué ; d'où une émeute populaire et la chasse aux juifs (ibid).
1410. En Thuringe (Baronius 31) les juifs sont chassé à cause de crimes contre les enfants chrétiens.
1429. A Rovensbourg (Baronius 31: Bolland. 3° vol. d'avril, p. 978) Louis Von Bruck, jeune chrétien, est sacrifié par des juifs alors qu'il les servait à table entre la Pâque et la Pentecôte : son corps est retrouvé et honoré par les chrétiens.
1454. En Castille (Simon Habiki cit.) un enfant est coupé en morceaux et son c?ur cuit comme nourriture. Pour ce crime et d'autres semblables, les juifs furent ensuite chassés d'Espagne en 1459.
1457. A Turin (ibid) un juif est pris à l'instant même où il va égorger un enfant.
1462. Près d'Innsbruck (Bolland. 3° vol. de juillet, p. 462) le Bienheureux enfant André né à Rinn, est immolé le 9 juillet par des juifs qui recueillent son sang.
1475. A Trente, le célèbre martyre du Bx. Simon, dont existent les procès d'origine qui font apparaître les juifs de Trente coupables de l'assassinat du Bx. Simon, et en révèlent beaucoup d'autres douzaines commis par eux et leurs coreligionnaires dans le même but rituel, au Tyrol, en Lombardie, dans la Vénitie, et ailleurs encore en Italie, Allemagne, Pologne, etc, etc...
1480. A Trévise (Baronius p. 569) est commis un crime semblable au précédent de Trente.
1480. Assassinat du Bienheureux Sébastien de Porto Buffole dans la région de Bergame.
1480. A Motta di Venezia (Bolland. vol. 2° d'avril) un enfant est immolé le Vendredi Saint.
1486. A Ratisbonne (Radero 3°, 174) six enfants victimes des juifs.
1490. A Gardia près de Tolède (Bolland. 1er avril 3) un enfant est crucifié.
1494. A Tyrman en Hongrie (Bolland. vol. 2° d'avril p. 838) un enfant est volé et saigné.
1503. A Waltkirch en Alsace (Bolland. vol. 2° d'avril p. 830) : un enfant de quatre ans, vendu par son père aux juifs pour dix florins, à la condition qu'il lui fût restitué vivant après en avoir retiré du sang. Les juifs le tuèrent en le saignant.
1505. A Budweys (Efele Scriptores, 1.138) un fait semblable.
1520. A Tyrnau et à Biring (Bolland. vol. 2 ° d'avril p. 839), deux enfants saignés. Pour cette raison, les juifs furent alors chassés de Hongrie.
1540. A Suppenfeld en Bavière (Radero 2,2 31 ; 3, 179) Michel, quatre ans, torturé pendant trois jours.
1547. A Rave en Pologne (Simon Habiki, cit.) le fils d'un tailleur sacrifié par deux juifs.
1569. A Witow en Pologne (ibid.) Jean, deux ans, vendu pour deux marks au juif Jacques de Leizyka, et tué cruellement par lui. D'autres faits semblables sont arrivés à Bielko et ailleurs.
1574. A Punia en Lituanie (ibid.) Elisabeth, sept ans, assassinée par le juif Joachim Smerlowiez le mardi avant le dimanche des Rameaux ; son sang est recueilli dans un vase.
1590. A Szydlow (ibid.) un enfant disparaît : son cadavre est retrouvé saigné avec des incisions et des piqûres.
1595. A Gostin (ibid.) un enfant est vendu aux juifs pour être saigné.
1597. Près de Sryalow (ibid.) un enfant tué : avec son sang, les juifs aspergent la nouvelle synagogue pour la consacrer.
1650. A Caaden (Tentzel, janvier 1694) un enfant de cinq ans et demi du nom de Mathias Tillich y est assassiné le 11 mars. Cet historien raconte d'autres faits semblables arrivés à Steyermarck, Karnten, Crain, etc...
1655. A Tunguch en Allemagne (Tentzel, juin 1693) un enfant assassiné.
1669. A Metz (Procès : Paris 1670 : Feller, journal 1788, vol. 2°, p. 428) un enfant de trois ans volé par le juif Raphaël Levi, est cruellement assassiné. Son cadavre fut retrouvé horriblement mutilé. Le coupable fut brûlé vif par sentence du Parlement de Metz le 16 juin 1670.
1778. Le 'Journal historique et littéraire' du 15 janvier 1778 à la page 88 et celui du 15 octobre de la même année à la page 258 mentionne que de nombreux enfants ont été tués par les juifs au XVIIIème siècle.
1803. Nous avons de bonnes raisons pour avancer cette date de 1803 ; car cette année-là, pour la première fois fut publié le petit livre de Théophite ou Néophite. L'autorité de celui-ci vaut historiquement plus que les autres pour démontrer que les juifs ont toujours utilisé, utilisent et doivent utiliser (s'il s'agit vraiment de juifs observants) le sang chrétien dans leurs rites.
1810. Dans les actes du Procès de Damas (Laurent ; affaires de Syrie) existe une lettre de John Barker, ex-consul anglais à Alep où il est question d'une pauvre chrétienne disparue à Alep. Tous accusaient un juif, Raphaël d'Ancône, de l'avoir égorgée pour en recueillir le sang.
1827. A Varsovie (CHIARINI, Teoria del Giudaismo, vol. I. p. 355) un enfant chrétien disparaît à l'occasion de la Pâque juive.
1831. A Saint-Pétersbourg (Amblagen der Suden : Leipzig 1864) un enfant est assassiné par les juifs dans un but rituel. Ainsi en ont statué quatre juges.
1839. A Damas (Procès de Damas, d'après Laurent, p. 301) on découvre à la douane une bouteille de sang apportée par un juif : il offre dix mille piastres pour étouffer l'affaire.
1840. A Damas, le célèbre procès sur l'assassinat du Père Thomas de Calangiano, capucin, et de son serviteur chrétien, tués par les juifs dans un but rituel. Les juifs furent convaincus et condamnés : mais ils furent ensuite graciés à cause de l'argent. Ces juifs assassins étaient presque tous italiens et de Livourne. L'original du procès se trouve aux Archives de Paris, et fut publié par Laurent dans le 2° volume des Affaires de Syrie.
1843. A Rhodes, Corfou et ailleurs (l'Egypte sous Méhemet Ali de Hamont : Paris 1863) assassinat par des juifs d'enfants chrétiens.
1881. A Alexandrie d'Egypte le meurtre du jeune grec Fornarachi, dont traitèrent tous les journaux de 1881-1882. Le cadavre fut retrouvé saigné, tout piqué, et semblable à une statue de cire.
1882. A Tisza Eszlar en Hongrie, une jeune fille de quatorze ans est égorgée dans la synagogue par le sacrificateur juif. Plus récemment encore, en 1891, fut trouvé chez le juif Buschoff à Xanten, dans la Prusse rhénane, le cadavre de l'enfant catholique Jean Hegmann, sans une goutte de sang. Buschoff fut jugé, puis absous, tant est grande de nos jours la puissance de l'or juif !
Nous avons lu les actes de ces procès, traduits par la "Verona fedele", et nous défions quiconque les lira, de ne pas y voir le but préétabli de sauver coûte que coûte le coupable.
C'est un procès qui peut être défini : Monument éternel ou bien de stupidité juridique ou bien de corruption juive ! » ("La Civiltà Cattolica", 23 janvier 1893, pp. 281-286).