Le nouveau protocole

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Riton le Besogneux

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[center][large]Le nouveau protocole[/large]

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Date de sortie cinéma : 19 mars 2008
Film déjà disponible en DVD depuis le : 23 septembre 2008

Réalisé par Thomas Vincent

Avec Clovis Cornillac, Marie-Josée Croze, Dominique Reymond
Long-métrage français. Genre : Thriller
Durée : 01h30min Année de production : 2007
Distributeur : StudioCanal

[justify]Synopsis : Raoul Kraft vit seul dans son exploitation forestière. Un matin, il apprend la mort de son fils de 18 ans dans un accident de voiture. Un drame banal, conclut la gendarmerie. Mais une jeune femme, Diane, arrive de Paris, pour Kraft a du mal à y croire, mais décide de monter à Paris pour en savoir plus. La suite des événements semble donner raison à la jeune altermondialiste. Poursuites, agressions physiques, coups de feu, ils doivent prendre la fuite... sans pour autant abandonner leur enquête.
Avec l'aide de Diane, Kraft va quitter le monde simple qui est le sien pour celui du "Nouveau protocole". Un monde où la vérité n'est jamais là où on l'attend.[/justify]
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Extrait du livre paru en 1978 de Hans Ruesch (1913-2007) : L?impératrice nue ou la grande fraude médicale.
En ligne :
Animal Research TAKES Lives - Humans and Animals BOTH Suffer de Bette Overell.

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[justify]"?Moris Bealle, décédé dans les années 1970, à l?âge de 81 ans, était obligé d?utiliser l?envoi direct par la poste pour la vente de son ouvrage, la plupart des moyens publicitaires lui étant interdits. Les extraits suivants de son livre Drug Story, légèrement condensés, expliquent pourquoi son message a été - et est encore aujourd?hui - inexorablement persécuté par le Pouvoir en place.
« Il y a trente ans, la Standard Oil Company fut impressionnée par les techniques de ventes des charcuteries qui utilisaient et apprêtaient chaque partie du cochon. Son département d?études des ventes remonta jusqu?aux environs des années 1860 quand « Old Bill » Rockeffeler, papa itinérant de John D. (premier) et marchand forain de spécialités pharmaceutiques, refilait des flacons de pétrole brut aux paysans naïfs, leur faisant croire que c?était un traitement contre le cancer.« Old Bill » appelait son pétrole en flacon Nujol (New Oil ? Nouvelle huile) et le vendaient aux cancéreux et ceux à qui il réussissait à insuffler la crainte de le devenir.
Pour les chercheurs du service d?études des ventes, ce système lui sembla excellent. Le pharmacien paye environ 21 Cents le flacon contenant 6 onzes (30 grammes) de Nujol qui coûte 0,20 Cent à la Standard Oil. Au lieu de l?appeler cure contre le cancer, ils l?ont baptisé cure contre la constipation. Peu après sa commercialisation, des médecins découvrirent que ce produit était nocif. La Standard Oil lutta contre la chute des ventes en ajoutant du Carotène au Nujol ?.
Le Sénateur Royal S Coperland de New-York avait l?habitude, quelques années avant sa mort, d?installer un émetteur radio aux frais des contribuables américains dans son bureau du Sénat à Washington et de faire de la publicité pour ce produit poisseux, ce qui lui rapportait 75.000 dollars en un an. Les faramineux bénéfices produits par le Nujol amenèrent inévitablement le plus grand et le plus impitoyable des Cartels industriels américains, l?empire Rockeffeler, à ajouter promptement la vente des produits pharmaceutiques à son vaste éventail de productions et de ventes. Ce n?est cependant qu?en 1939 que le Trust de la Pharmacie vit le jour et que les profits engrangés commencèrent leur prodigieuse ascension pour atteindre des sommets gigantesques se chiffrant annuellement à 10.000.000.000 dollars puant la mort.
Raconter comment le Trust américain de la Pharmacie fut conçu en collaboration avec son pendant allemand constitue presque un roman.

Lorsque Hitler entreprit la planification de son Reich de 1.000 ans, ceux qui étaient au pouvoir en Allemagne ignoraient que les politiciens américains se préparaient à résoudre leur problème aigu de l?emploi en nous forçant à entrer dans la seconde guerre mondiale pour, une fois de plus, sauver la peau de l?Angleterre et le pétrole de Rockeffeler. Mais ils ne prirent aucun risque. Le grand trust allemand, l?IG Farbenindustrie, bénéficiait d?un monopole absolu sur tous les produits chimiques fabriqués en Allemagne. L?I.G Allemande fit alliance avec la Standard Oil américaine pour contrôler les brevets importants. C?est ainsi qu?il devint clair, en 1939, que l?Allemagne allait devenir impopulaire aux Etats-Unis, la Standard Oil aida le Reich de Hitler à protéger les holdings pharmaco-chimiques allemands implantés en Amérique. L?I.G américaine était née. La Standard Oil prit une participation de 15% dans le nouveau Trust germano-américain. Parmi les directeurs de cette compagnie servant de couverture figuraient Walter Teagle (Président de la Standard Oil), Paul Warburg (homme de paille de Roosevelt et Rockefeller) et Edsel Ford ?.
Peu après l?attaque de Pearl Harbor (7.12.1941), l?I.G Farben américaine décida de camoufler, avec l?aide de la Standard Oil, son origine allemande et ses sympathies pour ce pays. Elle changea sa raison sociale pour devenir la Generale Aniline and Film Corpororation, ayant racheté un nombre non révélé d?actions diverses des grandes firmes américaines, dont Scherring & Co, Monsanto Chemical, Standard oil New Jersey ? Standard Oil Indiana ? Standard Ol California et la compagnie Dupont. Elle reprit en bloc la firme Hoffman-Laroche ».


APERÇU DE LA PARTIE FINANCIÈRE

Moris Bealle écrit :
« Une société dont les bénéfices se montent à 6% du capital investi est une affaire dont on peut dire qu?elle est rentable. La société Sterling Drug, principal Holding parmi les 68 filiales de l?Empire Rockefeller de la pharmacie, a enregistré en 1961 un bénéfice de 23.463.719 USD, déduction faite des impôts, s?élevant à 43.108.106 USD soit 54% de bénéfice.
Une autre société contrôlée par Rockefeller, la Skibb, a fait en 1945 non pas 6% de bénéfice, mais 576%, calculés sur la valeur actuelle de ses avoirs. Ces bénéfices furent réalisés durant les juteuses années de guerre quand les services médicaux de l?armée et de la marine ne se contentaient pas seulement de favoriser les intérêts du trust de la pharmacie, mais injectaient également les poisons du trust dans les veines de nos soldats, marins et commandos, jusqu?à un total de plus de 200 millions d?injections. Est-il étonnant que les Rockefeller et leurs valets de l?Administration des Médicaments et de l?Alimentation du Service Public Américain de la Santé, du Service Médical de l?Armée et de la Marine, de même que des milliers de fonctionnaires de la Santé, répartis sur tout le territoire, soient de connivence pour saboter toute forme de thérapeutique refusant le recours aux médicaments.

Le dernier rapport annuel (vers 1960) de la Fondation Rockefeller donne la liste détaillée des dons octroyés aux instituts d?enseignement et aux services publics pour les 44 années écoulées : ils dépassent quelque peu le demi-milliard de dollars. Il est évident que ces instituts enseignent à leurs étudiants toute la science du médicament tel que les fabricants de produits pharmaceutiques du groupe Rockefeller veulent qu?elles soient enseignées. S?ils ne le faisaient pas, ils ne recevraient plus rien. L?université de Harvard, avec sa toile de fond aristocratique et son école de médecine tant vantée, a reçu plus de 8 millions de USD des fonds du trust de la pharmacie. Il en va de même pour les universités de Yale, de Jones Hopkins, l?université de Stanford, celle de Washington de Saint Louis, l?université de Colombia de New-York ?. »
Pendant que ces sommes fabuleuses étaient distribuées aux établissements faisant la propagande pour la pharmacie, les entreprises commerciales de Rockefeller s?étendaient, tissant une toile d?araignée de dimension mondiale que personne ne pourra un jour examiner de près. Il y a trente ans, elle était déjà tellement grande que Bealle pouvait écrire : « Il a été prouvé depuis longtemps que les intérêts du groupe Rockefeller ont créé, développé et étendu le plus vaste empire industriel jamais conçu par l?homme. La Standard Oil est évidemment l?industrie de base sur laquelle l?ensemble des autres a été érigé. L?histoire du vieux John D., le plus incroyable pirate de tous les temps, est bien connue. La clef de voûte de ce gigantesque empire industriel est la Chase National Bank avec ses 27 filiales de New-York City et ses 21 autres installées à l?étranger. (Elle s?appelle maintenant la Chase Manhattan Bank ayant plus de 200 filiales aux Etats-Unis et à l?étranger. ? H.R).....

Parmi ses établissements, ceux qui s?occupent des produits pharmaceutiques ne sont pas les moindres. Les Rockefeller possèdent le plus grand cartel de firmes pharmaceutiques du monde et ils se servent des intérêts qu?ils ont dans d?autres affaires pour exercer des pressions de manière à augmenter la vente de médicaments. Que la majeure partie des 12.000 divers produits commercialisés soit possible, ne présente pas le moindre intérêt pour le Trust de la Pharmacie ».

Il n?est donc pas surprenant que la « Maison » ait des hommes à elle infiltrés dans toutes les organisations fédérales s?occupant de la santé. Ceci explique pourquoi c?est seulement la thérapeutique à base de médicaments chimiques qui est acceptée par tous les services gouvernementaux.

Bealle poursuit : « Comme les industries de Rockefeller doivent vendre tous ces produits, il était tout naturel - la nature humaine et l?âpreté au gain étant ce qu?elles sont - que la fondation Rockefeller se soit transformée en un appareil permettant « d?inculquer » l?utilisation massive des médicaments aux futurs médecins. La fondation Rockefeller fut portée sur les fonds baptismaux en 1904, sous le nom de General Education Fond (Fond pour l?enseignement général).
Une organisation appelée Rockefeller Foundation, ostensiblement créée pour compléter l?Education Fond, fut fondée en 1910 et une demande de statut fut introduite auprès du Congrès ?.
Il fut révélé que la future fondation disposait d?un budget de propagande d?un million de dollars. »

Ainsi, les décors pour l?éducation de la population américaine étaient plantés avec l?objectif de transformer cette population en une masse asservie aux médicaments grâce, au début, à l?aide des écoles, puis de la publicité directe et, enfin, dernière chose et non la moindre, grâce à l?influence sur les médias des bénéfices apportés par la publicité. Une compilation des numéros de l?Advertising Age a fait ressortir que déjà en 1948, les firmes les plus importantes avaient dépensé en publicité un total de plus d?un million de dollars. De cette somme astronomique, les intérêts interconnectés Rockefeller-Morgan (devenus entièrement Rockefeller après le décès de Morgan) contrôlaient environ 80% et utilisaient ces fonds pour manipuler l?information de public sur la santé, et sur ce qui se rapporte aux médicaments, à l?époque comme de nos jours. La description faite par Bealle de la situation qui règne aux Etats-Unis reflète parfaitement ce qui se passe dans la plupart des pays industrialisés du monde, entre autres l?Allemagne, la Suisse, la Grande-Bretagne, la France, la Belgique. Pour de grandes firmes de publicité, il est non seulement aisé d?imposer aux médias les nouvelles qu?elles veulent faire diffuser mais également de bloquer celles qu?elles ne veulent pas voir rendues publiques. Cela explique le fait que vous n?ayez jamais trouvé dans aucun grand journal américain ou européen un seul article important dénonçant, en toute franchise, la folie médicale des méthodes de recherche basées sur la vivisection. Il est donc très facile au trust Rockefeller de persuader le rédacteur du département des sciences de l?Associated Press d?adopter une politique interdisant la sortie d?un article qui n?aurait pas été agréé par le censeur du Trust de la Pharmacie. Il est évident que ce censeur n?approuvera aucun article pouvant d?une manière quelconque nuire à la vente des médicaments. Les journaux continuent donc à être gavés constamment de propagande louant les médicaments et leur soi-disant efficacité bien que, en 1978 - et rien qu?aux Etats-Unis - près d?un million et demi de personnes se soient retrouvés dans les hôpitaux à cause des effets secondaires de ces médicaments et malgré les témoignages de médecins intelligents et courageux, affirmant que la majorité des produits pharmaceutiques offerts au public, sont inefficaces et/ou dangereux. L?organisation du Trust de la Pharmacie, n?a pas oublié les grandes écoles et les universités, et consacre tous ses efforts à la production de robots instruits ayant subi le lavage de cerveaux organisés par le Maison Rockefeller?.

Tous étaient tenus, comme leurs successeurs aujourd?hui, de défendre la grotesque doctrine de Claude Bernard sur l?expérimentation animale, qui est née au début du siècle dernier et de la soutenir comme l?unique et la définitive solution à tous les « problèmes » médicaux, que cette espèce de pseudo recherche ne fait que multiplier et aggraver, assurant ainsi la croissance régulière et constante des bénéfices du Trust de la Pharmacie. Peut-être ne peut-on reprocher à un président d?université d?accepter d?énormes sommes destinées à des buts « éducatifs ».

D?autre part, des présidents malins ou honnêtes auraient pu essayer de voir ce qui se cache derrière les cadeaux d?un John D. Rockefeller qui est connu pour n?avoir jamais donné un sou sans en avoir escompté en retour de gros bénéfices. Ils auraient découvert que la Fondation Rockefeller n?a jamais donné un dollar à des Facultés n?incluant pas l?étude des médicaments chimiques dans leur programme et dont les élèves réussissent chaque jour des guérisons que la médecine officielle estime impossible à réaliser parce qu?elle est bâillonnée et pleine de préjugés. Ces présidents d?université découvriraient probablement que la Fondation Rockefeller fait du battage pour un emploi abusif des médicaments, tout en prétendant se dévouer à la philanthropie. Ils découvriraient aussi que l?Institut Rockefeller de New-York doté d?un capital de 50 millions de dollars en 1948 et beaucoup plus riche actuellement, fait partie du Trust de la Pharmacie dont les bénéfices fantastiques ne font que monter en flèche, parallèlement au coût ascendant des « soins de santé » qui gonflent le déficit économique de la nation. Mais s?ils venaient à découvrir le pot aux roses, ils ne pourraient pas dénoncer les coupables ni préserver leur emploi ni même leur vie.

« AMA » et « FDA »

Lorsqu?il y a pas mal d?années de cela, une bonne loi qui protégeait le public américain contre les aliments avariés et contre les médicaments dangereux fut adoptée, le Trust de la Pharmacie n?attendit pas longtemps pour jeter son grappin sur l?organisme fédéral chargé de faire respecter cette loi. Ce service connu actuellement sous le nom de Food and Drug Administration (FDA) (Administration de l?alimentation et des médicaments) poursuit de temps à autre des profiteurs qui méritent d?être traînés en justice, mais comme Morris Bealle le fait remarquer, le « FDA sert principalement à dénaturer la justice en s?attaquant à tous ceux qui mettent les bénéfices du Trust Pharmaceutique en péril ».
Apparemment, le FDA non seulement ferme les yeux sur les infractions commises par le Trust de la Pharmacie dont il est le valet (voir la quantité de décès provoqués par une certaine « boisson au gingembre » et par sulfathiozole), mais semble en revanche fort zélé quand il s?agit de ruiner tous les concurrents du Trust, tels ceux qui vendent des traitements thérapeutiques naturels qui améliorent la santé du public et, ce faisant, diminuent les profits du Trust de la Pharmacie.
Ces mêmes procédés sont appliqués dans mon propre pays, la Suisse (là, il y a un véritable monstre égal à Monsanto : Novartis qui a racheté Sandoz et Ciba-Geygi,) où il est de loin plus aisé à n?importe lequel des grands producteurs de médicaments d?obtenir l?autorisation de commercialiser un nouveau poison chimique qu?à un fabricant de produits naturels bon marché d?obtenir l?enregistrement de sa marque. Et cette situation est pratiquement la même dans tous les pays industrialisés, notamment en Grande-Bretagne, en France, en Allemagne, en Belgique etc?....

Les fonctionnaires de FDA doivent être agréés par le Centre Rockefeller et ne se gênent pas pour acculer des petits indépendants à la ruine.....

L?influence de la politique : comment a-t-on pu en arriver là ?
Comme Bealle le fait remarquer, puisque les Rockefeller financèrent les premiers pas de Roosevelt dans la politique, il était inévitable qu?ils supervisent quelques-unes de ses orientations politiques lorsqu?il fait son entrée à la Maison Blanche, celles de ses orientations qui pouvaient influer sur les principaux intérêts des Rockefeller.Le yacht Nourmahl, appartenant à Vincent Astor de la Chase Manhattan Bank et associé de Rockefeller, se trouva immédiatement mis à la disposition de Roosevelt pour des petites fêtes de week-end. Alors que les invités se divertissaient, les chefs discutaient en privé de la politique commerciale. Il n?est donc pas surprenant que la protection à grande échelle accordée par l?Administration Roosevelt fut pour les trusts germano-américain (I.G Farben ? Rockefeller).

Bealle affirme :
« Afin de compléter le tableau, nous faisons remarquer que, peu avant que la crise du temps de Hoover ait installé Roosevelt à la Maison Blanche, l?administration républicaine elle-même était coupable d?avoir protégé le propriétaire d?une énorme entreprise de fabrication de produits chimiques ayant tué 5000 personnes ? ».

En plus du FDA, Bealle donne la liste des organisations ayant un rapport avec la "santé" c'est-à-dire la « santé » du Trust de la Pharmacie au détriment de la santé du citoyen !!!

L?Académie Nationale des Sciences installée à Washington a la réputation d?être l?organisation omnisciente qui examine tout ce qui existe sous le soleil, en particulier dans le domaine de la santé, et qui donne au public frémissant d?attente les dernières nouvelles sur ce chapitre.
Le poste important de Président de cette organisation était occupé par un des hommes du Trust de la Pharmacie qui n?était autre qu?Alfred N. Richards, l?un des principaux actionnaires et administrateurs de Meck et Co, firme qui tire des bénéfices énormes de son commerce de médicaments (à notre époque, il en va toujours de même).

....

Le Cartel Médico-Pharmaceutique Américain
Le Dr. J. W. Hodge de Niagara Falls (Etat de New-York) a décrit le cartel médico-pharmaceutique en ces termes : « Le monopole médical ou trust médical, appelé par euphémisme Association Médicale Américaine, n?est pas seulement le monopole le plus méprisable jamais mis sur pied, mais il représente la plus arrogante, la plus dangereuse et plus despotique organisation qui ait jamais dominé un peuple libre, à notre époque ou dans le passé. »....

Toute méthode permettant de guérir les malades à l?aide de remèdes sûrs, simples et naturels, est certaine d?être attaquée et vilipendée par les arrogants dirigeants du Trust de l?AMA qui la traite de falsification, tromperie et ?uvre de charlatans. Tout praticien de l?art de guérir qui ne s?allie pas au trust médical est dénoncé comme dangereux charlatan et imposteur, par les rapaces du trust des médecins (chez nous, l?Ordre des médecins, lire à ce propos le livre de Sylvie Simon : « Exercice illégal de la guérison », aux éditions Marco Pietteur).

Tout hygiéniste qui tente de guérir un malade par des moyens naturels, refusant d?avoir recours au bistouri et aux poisons chimiques, aux sérums inoculant la maladie, aux toxines mortelles ou aux vaccins, est immédiatement agressé par ces tyrans médicaux fanatiques, méchamment dénoncé, traîné dans la boue ? ».

Dans « Honte et Echecs de la Médecine », Hans Ruesch cite le docteur Richard Kunnes, qui après avoir publiquement déclaré que le sigle AMA ne devrait pas signifier American Medical Association (Association Américaine des Médecin) mais Américan Murder Association (Association Américaine de Meurtriers), brûla sa carte de membre lors d?une réunion de l?AMA et rédigea un livre sur cette organisation Your Money or Your Life (La Bourse ou la Vie).

Mais combien de médecins sont-ils disposés à mettre en péril leur métier lucratif pour la cause de la vérité et la défense de l?humanité ?

Bealle cite entre autres le docteur Charles Lyman Loffler, l?un des nombreux médecins traqués par le Pouvoir Médical pour avoir dénoncé le traitement habituel contre le cancer comme une supercherie, Loffeler a déclaré : « Depuis que les charlatans et les gangsters de la médecine qui supervisent l?American Medical Association ont enrégimenté les médecins, cette organisation est devenue l?un des plus dangereux rackets du pays ! ».

Il n?y a pas le moindre indice que cet état de chose ait évolué vers une quelconque amélioration. Bien au contraire, il y a même toutes les raisons pour dire qu?il a empiré.
? Mendelshon déclare qu?en général il ne faut pas faire plus confiance à un médecin qu?à un vendeur de voiture d?occasion.
Il confirme ce qui a été dit et répété maintes fois dans Honte et Echecs de la médecine, à savoir que la médecine moderne n?est ni un art, ni une science mais « une religion idolâtre qui tue plus qu?elle ne sauve ».

La médecine moderne a réussi à nous enseigner que « soins médicaux = santé ». C?est cette assimilation qui peut entraîner la destruction de notre corps, de notre famille, de notre communauté, de notre monde. ....

Je crois que 90% de la médecine moderne pourrait disparaître ? Docteurs, Hôpitaux, Médicaments, Equipements médicaux ? l?effet sur notre santé serait bénéfique.

Comment se fait-il que la voix de milliers de médecins honnêtes n?ait jamais pu être entendue, ni hier, ni aujourd?hui, par l?écrasante majorité de gens ? Parce que ces voix honnêtes ont été étouffées par le bourrage de crâne organisé par le pouvoir médical, qui bénéficie à présent du renfort apporté par l?immense puissance du syndicat de la Chimie dont le seul objectif est de refiler à des hordes de naïfs les thérapeutiques lucratives et les produits nocifs qui font la fortune du Cartel »...[/justify]..

A lire aussi :
http://www.health.org.nz/introartl.html#ruesch
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