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[center][large]Brafman Jacob[/large][/center]
[---]
[center][large]Livre du Kahal[/large]
MATERIAUX
[large]pour étudier le Judaïsme en Russie
et son influence sur les populations parmi lesquelles il existe.[/large][/center]
Brafman Jacob - Livre du Kahal.pdf (13.11 MB)
http://www.balderexlibris.com/index.php ... e-du-Kahal
http://www.histoireebook.com/index.php? ... e-du-Kahal
[right][large]Die Juden bilden einen Staat im Staate.[/large]
[small]Les Juifs forment un État dans l'État.[/small]
SCHILLER.[/right]
[right]L'expulsion des juifs du Royaume d'Espagne eut lieu en 1492; beaucoup se retirèrent en Portugal, d'où ils écrivirent à un grand nombre de leurs frères de venir dans ce pays; ils disaient : La terre est bonne, le peuple idiot, l'eau est à nous, vous pouvez venir car tout nous appartiendra. ( Don Augustin de Manuel Vida del Rey de Portugol. Jean 11. Franc. Pierre Monteyro, part 1, Tome 2, Cap. 42 ).[/right]
[justify]Après cela, se présente la question de savoir jusqu'à quel point sont obligatoires pour les juifs les lois du pays ?
Pour en répondre à cette grande question le Talmoud nous dit :
"dine demalhoute dine" c'est à dire la loi du souverain est une loi (obligatoire pour les juifs). Dans un autre passage du même livre nous trouvons que cette loi n'est obligatoire que lorsqu'elle concerne les intérêts personnels du souverain, mais que les arrêts des tribunaux du pays ne sont nullement obligatoires pour les juifs.
Le troisième passage du même livre déroute et confond les conclusions déjà non précises des deux précédents.
"Rabonon micre malke", c'est à dire les rabbins sont les souverains. Il est évident qu'après des commentaires aussi évasifs du Talmoud, ces questions importantes ne se trouvent nullement éclaircies. Mais si en considérant les conclusions tirées du Talmoud, on les compare avec les actes émanés du Kahal, (sous les n-o 16, 5 et 166) la question est résolue sans difficulté. Les documents nous démontrent jusqu'à l'évidence que les juifs qui son admis à faire partie des tribunaux du pays), se trouvent obligés de décider les affaires soumises à leurs appréciation d'après les instructions des Kahals et Bet-dines, dont ils ne peuvent s'écarter, et d'après les lois du pays, et la voix de leurs consciences.
Une autre question qui se présente c'est la manière dont les juifs envisagent le droit de propriété des meubles et immeubles de tous ceux qui n'appartiennent pas à leur religion, considérée sous le point de vue national religieux.
Le Talmoud à ce sujet a tellement obscurci la question, qu'en le citant, tout juif se trouve à même de dérouter les investigations les plus savantes de toute personne qui n'appartient pas à sa religion.
Par les 37 actes cités dans notre 5-me article le lecteur pourra se convaincre que le Kahal dans toute l'étendue du rayon ou il exerce son pouvoir, vend à des particuliers juifs Hasaka et Méropié c'est-à-dire le droit de propriété des immeubles, appartenant aux habitants non-juifs et l'exploitation de tout homme d'une autre croyance.
En un mot, les documents cités dans ce livre nous démontrent que les Kahals et Bet-dins qui jusqu'à présent gouvernent despotiquement la vie sociale et privée des juifs, ne sont pas toujours obligés de se conformer aux prescriptions du Talmoud, et que leurs décisions personnelles et les ordres émanés des institutions appuyées d'un herem sont plus importantes pour tout juif que les prescriptions du Talmoud lui-même. Voilà pourquoi la signification de documents produits dans de livre acquiert une importance aussi grave.
Dévoilant de cette manière les rouages secrets de l'administration sociale juive, pour l'étude de laquelle le Talmoud ne peut nous être d'aucun secours, ces documents nous démontrent jusqu'à l'évidence les procédés et les moyen; dont se servent les juifs malgré les lois qui limitent leurs droits civils dans les pays qu'ils habitent, pour réussir à évincer du commerce et de l'industrie les particuliers des autres religions, de concentrer entre leurs mains tous les capitaux; tous les immeubles ainsi que cela est arrivé en Russie, en Pologne, en Galicie etc.
Par quel miracle des départements entiers de la France, comme le dit Napoléon 1-er, dans sa lettre à Champagny du 29 novembre 1806, se sont trouvés grevés d'hypothèques envers des juifs dont le nombre en France ne dépassait 60 milles. Pourquoi par exemple dans la récrimination des habitants des principautées Danubiennes contre les juifs rencontrons nous les mêmes griefs que les habitants de Wilna ont exposés dans leur supplique au Tzar Alexis Michailovitch en 1658. Pourquoi les gouvernements de tous les pays tantôt accordaient-ils aux juifs tous les droits civils, et tantôt les leur retiraient-ils.[/justify]
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[justify]KAHAL est un terme qui peut avoir de nombreuses significations. Il veut souvent dire "tribunal", au sens de tribunal juif traditionnel, mais le sens n'est pas strictement juridique. En fait, c'est l'institution qui gouverne la communauté juive d'Europe orientale traditionnelle, ce qu'on appelle aussi le "shtettel", d'un mot qui signifie proprement "petite ville". Un groupe d'anciens et de rabbins détenait, dans le passé, une autorité presque absolue sur la communauté: c'était le Kahal.
Le livre de Brafmann s'appuie sur les archives de la communauté juive de Minsk, en Russie blanche, et c'est donc un travail de sociologie, mené par un juif russe converti au christianisme, et donc abhorré de ses anciens coreligionnaires, et abondamment diffamé.[/justify]
[right][small]En contexte séfarade, "kahal" peut vouloir dire simplement "synagogue".[/small][/right]
[justify]Brafman a décrit de l'intérieur le fonctionnement des institutions politiques juives en Russie comme des pouvoir exorbitants. Il a proposé des réformes, à une époque où le gouvernement russe les multipliait. On trouvera un remarquable tableau de la situation de la Russie au XIXe siècle dans le livre de Soljénistine, Deux siècles ensemble. Notez que ce livre paru en russe, traduit aussi en allemand et en italien, n'est toujours pas traduit... en anglais ! cinq ans après sa parution ! S'appuyant sur des sources exclusivement juives, Soljénistine montre le gouvernement russe aux prises avec une nouvelle minorité, à la suite du démantèlement de la Pologne et de la récupération par la Russie de ses territoires méridionaux et occidentaux, longtemps occupés par les Polonais et les Lithuaniens, et leurs noblaillons latifundiaires. C'est dans ces territoires que s'était produite une expansion juive, au service des nobles polonais absentéistes, et au détriment des paysans qui s'étaient vu imposer ces intendants particulièrement avides et brutaux. En Russie même, il n'y avait pratiquement pas de juifs.[/justify]
[justify]C'est donc par une sorte d'inadvertance que l'empire russe s'est trouvé soudainement avec une considérable population juive, qui avait perdu sa raison d'être économique, l'exploitation de la rente foncière au profit d'une aristocratie chassée par l'armée russe. Il ne suffisait pas de la cantonner dans l'ancienne zone polono-lithuanienne. Il fallait lui trouver des moyens de vivre sans se livrer à cette cruelle exploitation des moujiks. C'est de là qu'est né l'antagonisme entre les juifs et la Russie. Les juifs refusaient toutes les réformes et ne voulaient qu'une chose: être libres d'ouvrir des cabarets dans les villages et de pratiquer l'usure, ce qui aboutissait rapidement à les mettre en possession des terres. La rancune juive finira pas éclater avec la révolution bolchevique et l'expropriation générale des paysans russes.
Il faut replacer le travail de Brafman dans ce contexte. Il est universellement critiqué par les sources juives parce qu'il s'était rangé du côté du gouvernement russe, qui cherchait à protéger ses sujets des pratiques des requins de la finance. Cette problématique est toujours d'actualité.[/justify]
Brafman L - Livre du Kahal
Moderator: Le Tocard
Jacob Brafman et les kidnappeurs / Léon Poliakov, Histoire des crises d'identité juives.
[justify]Jacob Brafman (1825-1879) est l'auteur du Livre du Kahal, dans lequel il dénonce les agissements secrets des juifs en Russie. Son ouvrage fut envoyé à tous les représentants de l'autorité tsariste afin de les éclairer sur la façon de traiter avec les communautés juives.
Le grand historien juif Léon Poliakov nous a laissé quelques mots à son sujet, dans son Histoire des crises d'identité juives (Austral 1994, p. 163).
"Il est vrai qu'il avait certaines raisons d'en vouloir à sa communauté d'origine, implantée à Klesk, dans une bourgade biélorusse. Un quota d'adolescents juifs, les cantonistes, devaient être fournis par les communautés pour effectuer un service militaire d'une durée de 25 ans. Auparavant, ils étaient baptisés et recevaient un nouveau patronyme, à consonance généralement russe. On comprend que les familles juives redoutaient par dessus tout cette obligation, et que, dans la plupart des cas, les familles riches envoyaient à la place des leurs, les enfants des familles pauvres. Il existait même des kidnappeurs professionnels, les "Khappers", payés pour livrer aux autorités des adolescents défavorisés. Jacob Brafman avait ainsi été livré par sa communauté, mais avait réussi à échapper aux Khappers. Il se fit baptiser, et se fit censeur officiel de tous les livres juifs publiés dans l'Empire russe." Il fit preuve d'un "zèle antijuif redoutable."
"Il publia en 1869 aux frais du gouvernement russe Kniga Kagala, Le Livre du Kahal, et en 1875, Les Confréries juives universelles, dans lequel on apprenait que ces groupes "unissent tous les Juifs dispersés sur la Terre en un seul corps puissant et invincible."[/justify]
Hervé Ryssen - Août 2007
[---]
[justify]L'affaire Jacob Brafman constitue un autre exemple des dommages causés par la médisance. A la fin des années 1860, un juif, Jacob Brafman, apparut à Vilnius pour offrir ses services comme informateur contre ses coreligionnaires. Il voulait venger ainsi une rancoeur à l'égard des dirigeants de la communauté de Minsk qui avaient tenté de l'envoyer à l'armée comme cantoniste. Son Livre de la Communauté juive, rempli des habituels préjugés et clichés sur les juifs et le judaïsme, fut envoyé à tous les représentants de l'autorité tsariste afin de les « éclairer » sur la façon de traiter avec les communautés juives. Ce livre fut la cause indirecte de la mort, au cours de pogromes, de nombreux juifs, aucunement mêlés à la conscription de Jacob Brafman.[/justify]
Gilbert Issard
Hafetz Hayim ou l'éthique de la parole
[---]
[justify][small]Il existe aussi un livre en espagnol d'un auteur dont le nom de plume est Hugo Wast, qui a écrit une sorte de roman, très célèbre en Amérique latine, qui exposait les idées antisémites, intitulé "el kahal".
Gustavo Adolfo Martínez Zuviría, también conocido por su nom-de-plume Hugo Wast, (Córdoba, 23 de octubre de 1883 Buenos Aires, 28 de marzo de 1962) fue un escritor y político argentino. Alcanzó notoriedad por sus novelas, algunas de las cuales fueron adaptadas al cine, por su acción pública como diputado y ministro de instrucción pública, cargo desde el cual implantó la enseñanza ordinaria aunque no obligatoria de la religión católica en todas las escuelas del país, y por su ferviente militancia religiosa, teñida de un fuerte carácter nacionalista y antisemita. Fue Ministro de Educación en 1944 durante la presidencia de facto del General Pedro Pablo Ramírez. (...)
Ese mismo año (1933) publicaría "Oro", también conocida como "El Kahal", un híbrido de novela y ensayo virulentamente antisemita en que sostiene que la vida privada de los judíos está regulada en todos sus detalles por un hipotético tribunal, el Kahal, que dirige todas sus actividades e impone sanciones que alcanzan la pena de muerte a quienes no obedecen sus mandatos secretos de infiltración, enriquecimiento y control de las organizaciones gentiles. Centrado en la Argentina, el ensayo de Martínez Zuviría postulaba sin embargo un Kahal supremo, con sede en Nueva York, que dirigiría la conjura judía mundial. La obra fue un éxito entre los crecientes círculos antisemitas y nacionalistas del país; aunque la comunidad judía local recurrió a medios legales para proteger su reputación, la obra gozó de numerosas reimpresiones y aumentó la popularidad de Martínez Zuviría.
Martínez Zuviría colaboró en esa época con la revista Clarinada, un órgano subtitulado "Revista anticomunista y antijudía" publicado por Carlos M. Silveyra, que difundía informaciones sobre una supuesta conjura mundial judeocomunista; la publicación de la revista mereció elogios en Der Stürmer, el órgano de prensa del nazismo en Alemania. Firmó también en 1937 un manifiesto de apoyo a la insurrección de Francisco Franco en España, simpatizando con la "reivindicación heroica de la nacionalidad, la religión y las glorias tradicionales de su patria". La novela 666, publicada unos años más tarde, recuperaría estos temas desde una perspectiva apocalíptica, equiparando la expansión del comunismo y el judaísmo internacional con el advenimiento del Anticristo.[/small][/justify]
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[justify]Henry Ford, dans ses articles célèbres se demandait si le kahal n'était pas le prototype du soviet.
Is the Jewish "Kahal" the Modern "Soviet"?
The Soviet is not a Russian but a Jewish institution. Nor is it the invention of Russian Jews of the present time, a new political device which has been set up as a vehicle of the ideas of Lenin and Trotsky; it is of ancient Jewish origin, a device which the Jews themselves invented to maintain their distinctive racial and national life after the conquest of Palestine by the Romans.
Modern Bolshevism, which is now known to be merely the outer cloak of a long-planned coup to establish the domination of a race, immediately set up the Soviet form of government because the Jews of all countries who contributed to Russian Bolshevism had long been schooled in the nature and structure of the Soviet.
The Soviet appears in the Protocols of the Learned Elders of Zion under the ancient name of KAHAL. In the Seventeenth Protocol this passage occurs:
"Even now our brothers are under obligation to denounce apostates of their own family or any person known to be opposed to the Kahal. When our kingdom comes, it will be necessary for all subjects to serve the state in a similar manner."
Anyone who is acquainted with contemporary Jewish life knows what this denunciation of apostates means. The bitterness of the persecution which falls upon a convert to Christianity or upon the Jewish son or daughter of an orthodox family who chooses to marry a Gentile, is without parallel among men. Very recently in a western state a fine Jewish girl chose to marry a Gentile, who was a newspaperman. From the time of her announcement of intention, the girl was treated as an apostate. Had she died a most wretched death, had she descended to a status of most ignominious shame, the feelings which her fate would have aroused could not have been more terrible. A darkly solemn funeral service was held for her, and on her bridal day she was declared to be dead to her people.
THE DEARBORN INDEPENDENT, issue of 28 August 1920.[/justify]
[justify]Jacob Brafman (1825-1879) est l'auteur du Livre du Kahal, dans lequel il dénonce les agissements secrets des juifs en Russie. Son ouvrage fut envoyé à tous les représentants de l'autorité tsariste afin de les éclairer sur la façon de traiter avec les communautés juives.
Le grand historien juif Léon Poliakov nous a laissé quelques mots à son sujet, dans son Histoire des crises d'identité juives (Austral 1994, p. 163).
"Il est vrai qu'il avait certaines raisons d'en vouloir à sa communauté d'origine, implantée à Klesk, dans une bourgade biélorusse. Un quota d'adolescents juifs, les cantonistes, devaient être fournis par les communautés pour effectuer un service militaire d'une durée de 25 ans. Auparavant, ils étaient baptisés et recevaient un nouveau patronyme, à consonance généralement russe. On comprend que les familles juives redoutaient par dessus tout cette obligation, et que, dans la plupart des cas, les familles riches envoyaient à la place des leurs, les enfants des familles pauvres. Il existait même des kidnappeurs professionnels, les "Khappers", payés pour livrer aux autorités des adolescents défavorisés. Jacob Brafman avait ainsi été livré par sa communauté, mais avait réussi à échapper aux Khappers. Il se fit baptiser, et se fit censeur officiel de tous les livres juifs publiés dans l'Empire russe." Il fit preuve d'un "zèle antijuif redoutable."
"Il publia en 1869 aux frais du gouvernement russe Kniga Kagala, Le Livre du Kahal, et en 1875, Les Confréries juives universelles, dans lequel on apprenait que ces groupes "unissent tous les Juifs dispersés sur la Terre en un seul corps puissant et invincible."[/justify]
Hervé Ryssen - Août 2007
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[justify]L'affaire Jacob Brafman constitue un autre exemple des dommages causés par la médisance. A la fin des années 1860, un juif, Jacob Brafman, apparut à Vilnius pour offrir ses services comme informateur contre ses coreligionnaires. Il voulait venger ainsi une rancoeur à l'égard des dirigeants de la communauté de Minsk qui avaient tenté de l'envoyer à l'armée comme cantoniste. Son Livre de la Communauté juive, rempli des habituels préjugés et clichés sur les juifs et le judaïsme, fut envoyé à tous les représentants de l'autorité tsariste afin de les « éclairer » sur la façon de traiter avec les communautés juives. Ce livre fut la cause indirecte de la mort, au cours de pogromes, de nombreux juifs, aucunement mêlés à la conscription de Jacob Brafman.[/justify]
Gilbert Issard
Hafetz Hayim ou l'éthique de la parole
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[justify][small]Il existe aussi un livre en espagnol d'un auteur dont le nom de plume est Hugo Wast, qui a écrit une sorte de roman, très célèbre en Amérique latine, qui exposait les idées antisémites, intitulé "el kahal".
Gustavo Adolfo Martínez Zuviría, también conocido por su nom-de-plume Hugo Wast, (Córdoba, 23 de octubre de 1883 Buenos Aires, 28 de marzo de 1962) fue un escritor y político argentino. Alcanzó notoriedad por sus novelas, algunas de las cuales fueron adaptadas al cine, por su acción pública como diputado y ministro de instrucción pública, cargo desde el cual implantó la enseñanza ordinaria aunque no obligatoria de la religión católica en todas las escuelas del país, y por su ferviente militancia religiosa, teñida de un fuerte carácter nacionalista y antisemita. Fue Ministro de Educación en 1944 durante la presidencia de facto del General Pedro Pablo Ramírez. (...)
Ese mismo año (1933) publicaría "Oro", también conocida como "El Kahal", un híbrido de novela y ensayo virulentamente antisemita en que sostiene que la vida privada de los judíos está regulada en todos sus detalles por un hipotético tribunal, el Kahal, que dirige todas sus actividades e impone sanciones que alcanzan la pena de muerte a quienes no obedecen sus mandatos secretos de infiltración, enriquecimiento y control de las organizaciones gentiles. Centrado en la Argentina, el ensayo de Martínez Zuviría postulaba sin embargo un Kahal supremo, con sede en Nueva York, que dirigiría la conjura judía mundial. La obra fue un éxito entre los crecientes círculos antisemitas y nacionalistas del país; aunque la comunidad judía local recurrió a medios legales para proteger su reputación, la obra gozó de numerosas reimpresiones y aumentó la popularidad de Martínez Zuviría.
Martínez Zuviría colaboró en esa época con la revista Clarinada, un órgano subtitulado "Revista anticomunista y antijudía" publicado por Carlos M. Silveyra, que difundía informaciones sobre una supuesta conjura mundial judeocomunista; la publicación de la revista mereció elogios en Der Stürmer, el órgano de prensa del nazismo en Alemania. Firmó también en 1937 un manifiesto de apoyo a la insurrección de Francisco Franco en España, simpatizando con la "reivindicación heroica de la nacionalidad, la religión y las glorias tradicionales de su patria". La novela 666, publicada unos años más tarde, recuperaría estos temas desde una perspectiva apocalíptica, equiparando la expansión del comunismo y el judaísmo internacional con el advenimiento del Anticristo.[/small][/justify]
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[justify]Henry Ford, dans ses articles célèbres se demandait si le kahal n'était pas le prototype du soviet.
Is the Jewish "Kahal" the Modern "Soviet"?
The Soviet is not a Russian but a Jewish institution. Nor is it the invention of Russian Jews of the present time, a new political device which has been set up as a vehicle of the ideas of Lenin and Trotsky; it is of ancient Jewish origin, a device which the Jews themselves invented to maintain their distinctive racial and national life after the conquest of Palestine by the Romans.
Modern Bolshevism, which is now known to be merely the outer cloak of a long-planned coup to establish the domination of a race, immediately set up the Soviet form of government because the Jews of all countries who contributed to Russian Bolshevism had long been schooled in the nature and structure of the Soviet.
The Soviet appears in the Protocols of the Learned Elders of Zion under the ancient name of KAHAL. In the Seventeenth Protocol this passage occurs:
"Even now our brothers are under obligation to denounce apostates of their own family or any person known to be opposed to the Kahal. When our kingdom comes, it will be necessary for all subjects to serve the state in a similar manner."
Anyone who is acquainted with contemporary Jewish life knows what this denunciation of apostates means. The bitterness of the persecution which falls upon a convert to Christianity or upon the Jewish son or daughter of an orthodox family who chooses to marry a Gentile, is without parallel among men. Very recently in a western state a fine Jewish girl chose to marry a Gentile, who was a newspaperman. From the time of her announcement of intention, the girl was treated as an apostate. Had she died a most wretched death, had she descended to a status of most ignominious shame, the feelings which her fate would have aroused could not have been more terrible. A darkly solemn funeral service was held for her, and on her bridal day she was declared to be dead to her people.
THE DEARBORN INDEPENDENT, issue of 28 August 1920.[/justify]
Last edited by Libris on Sun Apr 10, 2011 9:33 pm, edited 1 time in total.
Vial - le juif sectaire - [small]extrait[/small]
Pour plus d'information
[justify]Un juif russe converti, Brafmann, a eu l?idée de publier toutes ces ordonnances (plus de mille) en son Livre sur le Kahal, paru à Vilna en 1870. C?est un résumé fidèle du droit coutumier d?Israël, son code de jurisprudence.
Il émut, à ce point, les autorités russes qu?elles songèrent sérieusement en 1871 à supprimer le Kahal, dans les provinces du Nord.
Il émut bien davantage les juifs qui parvinrent à supprimer l?ouvrage et l?auteur.
Cependant un exemplaire parvint aux mains d?un autre Russe, M. de Wolski, qui publia, en français, en 1887, le résumé du Livre sur le Kahal, chez Savine, sous le titre : La Russie juive.
Les juifs ont réussi à ruiner l?éditeur, M. Savine, qui a déposé son bilan en 1898.
Quant au livre, la grosse part de la première édition est passée aux mains d?un libraire juif pornographe, bien connu à Paris ; une autre part, environ 200, attendent aux mains des juifs du mont-de-piété, avec la fin d?un procès dont ils sont l?objet, l?heure de rejoindre les autres exemplaires chez le juif pornographe, où le pilon à son tour les attend.
Plus heureux, une douzaine d?exemplaires, réfugiés dans une librairie de faubourg, un instant flairés par notre juif, ont pu lui échapper. On en voulait trop cher !
Ils sont en lieu sûr, maintenant; un d?eux nous est venu dans les mains.
Ce qui nous a valu la bonne fortune de pouvoir, comme nous le faisons, jeter aux quatre vents du ciel les mystères impénétrables de cette caverne de brigands qui s?appelle le Kahal.
[---][/justify]
Brafman Jacob Livre du Kahal FR.pdf (15.73 MB)
[---]
[center][large]Pourim à Marseille, les conseils du Rav, plus vrai que nature[/large][/center]
[center][youtube]http://www.youtube.com/watch?v=MZQKyvA5jn0[/youtube][/b][/center]
[center][large]Pourim à Marseille, ce soir c'est sodomie ![/large][/center]
[center][youtube]http://www.youtube.com/watch?v=7S4FHUOYGqY[/youtube][/center]
Pour plus d'information
[justify]Un juif russe converti, Brafmann, a eu l?idée de publier toutes ces ordonnances (plus de mille) en son Livre sur le Kahal, paru à Vilna en 1870. C?est un résumé fidèle du droit coutumier d?Israël, son code de jurisprudence.
Il émut, à ce point, les autorités russes qu?elles songèrent sérieusement en 1871 à supprimer le Kahal, dans les provinces du Nord.
Il émut bien davantage les juifs qui parvinrent à supprimer l?ouvrage et l?auteur.
Cependant un exemplaire parvint aux mains d?un autre Russe, M. de Wolski, qui publia, en français, en 1887, le résumé du Livre sur le Kahal, chez Savine, sous le titre : La Russie juive.
Les juifs ont réussi à ruiner l?éditeur, M. Savine, qui a déposé son bilan en 1898.
Quant au livre, la grosse part de la première édition est passée aux mains d?un libraire juif pornographe, bien connu à Paris ; une autre part, environ 200, attendent aux mains des juifs du mont-de-piété, avec la fin d?un procès dont ils sont l?objet, l?heure de rejoindre les autres exemplaires chez le juif pornographe, où le pilon à son tour les attend.
Plus heureux, une douzaine d?exemplaires, réfugiés dans une librairie de faubourg, un instant flairés par notre juif, ont pu lui échapper. On en voulait trop cher !
Ils sont en lieu sûr, maintenant; un d?eux nous est venu dans les mains.
Ce qui nous a valu la bonne fortune de pouvoir, comme nous le faisons, jeter aux quatre vents du ciel les mystères impénétrables de cette caverne de brigands qui s?appelle le Kahal.
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Brafman Jacob Livre du Kahal FR.pdf (15.73 MB)
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[center][large]Pourim à Marseille, les conseils du Rav, plus vrai que nature[/large][/center]
[center][youtube]http://www.youtube.com/watch?v=MZQKyvA5jn0[/youtube][/b][/center]
[center][large]Pourim à Marseille, ce soir c'est sodomie ![/large][/center]
[center][youtube]http://www.youtube.com/watch?v=7S4FHUOYGqY[/youtube][/center]
[large]La leçon de David Duke...[/large]
Pourim c'est pourri !!
Pourim, aussi appelée « la fête des sorts », est un événement célébré chaque année par la communauté juive.
En 2011, deux jours de fête lui sont dédiés : le 19 et 20 mars.
[center][youtube]http://www.youtube.com/watch?v=3hrxBptyyTw[/youtube][/center]
[center] [/center]
[center][large]Prosit ![/large][/center]
Concernant le Serrano, homoncule qui d'un jet de pisse et un crucifix, met en pratique les préceptes talmudiques sur Jésus-Christ, qui d'après ces misères déprépucées ont comme anathème depuis la mort du Sauveur, de le voir bouillir dans ces excréments.
Admirable, cette volonté qui traverse les siècles. Attendons nous donc à une petite saignée sur un agneau premier né d'Akum pour la paque youtre. Faut bien mouiller l'Azim...
Y'a pas ce livre est vraiment un condensé d'excrément. C'est lui qui devrait être souiller en s'en servant pour se torcher le derche. Quoique, avec les encres, les diverses prières sataniques, la crasse et autres crottes de nez qui se trouvent dans ses rouleaux, l'on risque de s'atrophier l??il de bronze et d'avoir des hémorroïdes carabinés.
On pourra retrouver les autres livres sur le sujet sur ces divers documents, certifiés bien par la Bibliotheca Judaïca de Frankfurt, en ligne. Mon petit doigt me dit que cela devrait pas durer longtemps cette bonté de nous offrir ces livres que l'on n'auraient jamais du connaitre du fait de leur disparition rapide lors de leur diffusion. Disparition aussi des auteurs. Pourim et ses sorts. Au fait comment nous nous protégeons ?
On est suffisamment haineux pour ne pas subir leur sort. C'est l'amour pour son prochain qui détruit.
Puis comme l'on s'en tape et qu'on pardonne sérieux, le choc en retour est des plus remarquables...
Pourim c'est pourri !!
Pourim, aussi appelée « la fête des sorts », est un événement célébré chaque année par la communauté juive.
En 2011, deux jours de fête lui sont dédiés : le 19 et 20 mars.
[center][youtube]http://www.youtube.com/watch?v=3hrxBptyyTw[/youtube][/center]
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[center][large]Prosit ![/large][/center]
Concernant le Serrano, homoncule qui d'un jet de pisse et un crucifix, met en pratique les préceptes talmudiques sur Jésus-Christ, qui d'après ces misères déprépucées ont comme anathème depuis la mort du Sauveur, de le voir bouillir dans ces excréments.
Admirable, cette volonté qui traverse les siècles. Attendons nous donc à une petite saignée sur un agneau premier né d'Akum pour la paque youtre. Faut bien mouiller l'Azim...
Y'a pas ce livre est vraiment un condensé d'excrément. C'est lui qui devrait être souiller en s'en servant pour se torcher le derche. Quoique, avec les encres, les diverses prières sataniques, la crasse et autres crottes de nez qui se trouvent dans ses rouleaux, l'on risque de s'atrophier l??il de bronze et d'avoir des hémorroïdes carabinés.
On pourra retrouver les autres livres sur le sujet sur ces divers documents, certifiés bien par la Bibliotheca Judaïca de Frankfurt, en ligne. Mon petit doigt me dit que cela devrait pas durer longtemps cette bonté de nous offrir ces livres que l'on n'auraient jamais du connaitre du fait de leur disparition rapide lors de leur diffusion. Disparition aussi des auteurs. Pourim et ses sorts. Au fait comment nous nous protégeons ?
On est suffisamment haineux pour ne pas subir leur sort. C'est l'amour pour son prochain qui détruit.
Puis comme l'on s'en tape et qu'on pardonne sérieux, le choc en retour est des plus remarquables...
Last edited by Genesis on Tue Apr 19, 2011 6:41 pm, edited 1 time in total.