Georges Meynié
Les Juifs en Algérie
L'Algérie juive
Préface de Les juifs en Algérie
Le devoir de chaque Français, qu'il habite la France ou l'Algérie, est de combattre les Juifs, parce que nous avons déjà appris à nos dépens qu'ils sont une race léthifère. Ils sont, en effet, à l'espèce humaine ce que l'Upas est au règne végétal.
Les théories humanitaires, excellentes en principe, doivent en pratique être mûries en serre chaude et appliquées avec une extrême réserve.
Il est des antipathies de race que nul effort humain ne saurait éteindre, car cet effort est stérilisé d'avance par des résistances inattendues, des incompatibilités radicales.
S'il se trouve encore en France, des hommes assez indifférents pour négliger cette importante question juive, qui est enfin à l'ordre du jour, nous avons constaté par le coup porté par l'Algérie juive qu'il n'en était pas ainsi en Algérie. A côté de certaines lettres injurieuses et toujours anonymes de youddis enrichis par le vol ou l'usure, nous avons reçu, de Français ou d'Arabes, de nombreux remerciements pour la campagne que nous venions d'entreprendre.
Chacun de ces derniers correspondants nous donnait des faits à l'appui de la théorie que nous avions exposée ; malheureusement, il nous a été impossible de les mettre tous à profit.
Le Juif qui, depuis deux mille ans, gonfle son parasitisme de tous les sucs de l'arbre social dont il est le lierre tenace, le puceron avide, le Juif a trouvé sur sa route la nation réputée la plus généreuse, la plus chevaleresque du monde ; il s'est attaché à ses flancs, et, lentement, patiemment, sournoisement, l'a envahie, l'a possédée, l'a dépouillée, l'a gangrenée.
C'est avec le sang de 1893 que la France baptise les Juifs français, c'est sur les ruines de l'Alsace-Lorraine qu'un décret du gouvernement de la Défense Nationale les proclame citoyens français en Algérie. Parasites mortifères, ils ont porté la décomposition dans notre milieu social. Non seulement ils ont épuisé notre vitalité mais encore ils ont sapé notre moralité.
Adorateurs du veau d'or, ils nous tiennent par l'or ; ils nous ont, par contagion, conquis à leur culte. Quand nous sapions les royautés, ils se proclamaient rois : les rois de l'époque, comme les appelait Toussenel, et ce fut par la corruption qui monte de la base au sommet de l'arbre, qu'ils se proclamèrent rois.
Si l'individu, en tant qu'être humain, se doit à l'humanité, s'il a le droit, nous dirons même le devoir, d'ouvrir son cœur aux idées généreuses en tant que collectivité, en tant qu'unité sociale, c'est-à-dire nation, il a aussi le droit et le devoir d'être égoïste, d'être fermé à tout ce.qui n'est pas lui. C'est la condition de la vie sociale dans l'éternelle lutte pour l'existence des peuples.
C'est cet égoïsme social qui explique la puissance vitale du groupe hébraïque, qui, comme les courants sous-marins, traverse l'océan des peuples sans être absorbé. Ne cherchons pas ailleurs le secret de la prospérité croissante de l'Angleterre et de l'Allemagne, non plus que la cause de l'affaiblissement graduel de la France.
Pour redevenir les maîtres chez nous, nous devons, sans hésitation, broyer la tête du serpent que nous avons réchauffé dans notre sein.
Après avoir éclairé le peuple, il faut que les hommes qui se sont mis à la tête du mouvement anti-sémitique, indiquent un moyen radical pour détruire le polype morbifère.
C'est le but que nous poursuivons, et lors des prochaines élections, nous demanderons à tous les Français les armes nécessaires pour agir énergiquement. Après la publication de la France juive de M. Ed. Drumont, nous avons essayé de traiter la question juive en Algérie. Dans notre premier ouvrage, nous avons exposé la théorie, nous réservant d'apporter des faits à l'appui de notre thèse.
En lisant Les Juifs en Algérie, les plus sceptiques se convaincront que nous sommes toujours resté au-dessous de la vérité, Notre tâche sera loin d'être terminée. Après avoir montré le mal en Algérie, comme M. Drumont l'avait déjà fait pour la France, il nous faudra indiquer un remède efficace.
Les Juifs arrivent toujours à gangrener les hommes au milieu desquels ils vivent et les faits scandaleux dont nous venons récemment d'être témoins, ne sont que la conséquence de la puissance des Juifs. Que doivent penser de nous les autres puissances européennes, en prenant connaissance des récits publiés dans certains journaux sur les tripotages, nous pourrions dire les escroqueries de nos hommes d'État ?
Quel spectacle inoui que cette promiscuité de banquiers juifs cl de ministres promenant leur majesté dans les réalités d'un monde interlope !
A côté de Wilson, d'Andlau, et autres élus, s'associant à des gens sans aveu pour exploiter de naïfs Français, nous trouverions certainement des Juifs, et ceux-ci sont les ordonnateurs du complot.
En présence de l'émotion causée dans le public par la révélation de ces honteux tripotages, la Chambre a voté l'urgence sur l'enquête demandée par M. Cunéo d'Ornano, député de la Charente ; mais nous ne voyons là qu'un moyen détourné de tromper les électeurs, car il y a trop d'hommes compromis, parmi les députés et anciens ministres appelés à se prononcer, pour que la lumière se fasse.
Ces faits et plusieurs autres, que nous nous réservons de publier dans un prochain ouvrage, montreront jusqu'où sont tombés les hommes chargés de présider aux destinées de la France.
Publicistes et hommes politiques ne sont pas les seuls à la merci des Juifs, les commerçants sont réduits au même esclavage. C'est là un état d'impuissance contre lequel nous protestons. « Nous détestons les Juifs, nous ont dit certains négociants,mais nous avons besoin d'eux.» Quelques-uns même nous ont demandé d'être l'instigateur de sociétés secrètes dans le but de préparer la chute des Juifs.
A ceux-là nous répondrons que c'est là un mauvais système. Les sociétés secrètes sont contraires à notre caractère national, et nous avons pu nous convaincre par celles du passé qu'elles ont toujours été accaparées par nos adversaires.
Le Français est assez énergique pour entreprendre la lutte ouvertement. Il ne faut plus que les descendants de ces hommes qui, sous le premier Empire, ont fait trembler l'Europe, tremblent eux-mêmes devant une poignée d'usuriers, qui, battront bien vite en retraite, lorsqu'ils apercevront la matraque.
L'arme dont nous allons nous servir sera le bulletin de vote.
Nous devons provisoirement abandonner la question politique, et, lors des élections, demander à chaque candidat de se prononcer pour ou contre les Juifs.
Dans les élections anti-juives, en France et en Algérie, nous prendrons dans chaque département les hommes qui ont encore conservé leur indépendance, et. nous les obligerons à se prononcer nettement.
Si nous arrivons à faire nommer quelques députés assez énergiques pour expliquer à la tribune de la Chambre les véritables causes du malaise général, nous verrons tous les élus de la province, aveugles ou inconscients, se tourner naturellement vers eux et crier en chœur : « A bas les Juifs ».
Tel est le but de notre campagne anti-juive, et nous sommes convaincu que les élections de 1889. prouveront aux plus incrédules que les électeurs ne veulent plus du Juif, le plus dangereux ennemi de la France.
L'Algérie ne sera plus leur terre promise.
GEORGES MEYNIÉ
Voir aussi :
André Chaumet - Juifs et américains Rois de l'Afrique du Nord
Pour plus d'informations
Préface de L'Algérie juive
Encore un nouveau livre contre les Juifs, dira-t-on dans quelques jours, en lisant ce titre : l'Algérie juive ! — On ne se trompera pas, car un Français indépendant ne saurait parler des sémites, sans parler contre eux !
En présence de la marche ascensionnelle et dangereuse des Juifs, certains écrivains ont publié quelques ouvrages dont le but était de mettre le public en garde contre l'envahissement dé nos ennemis. La plupart de leurs écrits n'étaient souvent que des traités d'histoire ancienne, qui, n'intéressant pas le lecteur, ne pouvaient atteindre le but proposé.
Le public veut avant tout des faits assez rapprochés pour pouvoir en contrôler l'authenticité. Il n'attache d'importance à un ouvrage qu'autant qu'il comprend sans peine ce qu'il lit, et il est heureux : de pouvoir dire en terminant : « Comme c'est bien la vérité tout ce que cet homme a écrit ! »
Ce livre, à la portée de tous, était attendu ; personne n'avait été avisé, et on était convaincu qu'il allait être livré à la publicité. On ignorait quel en serait l'auteur ; on ne pouvait prévoir comment il prendrait un peu des idées de chacun; mais on savait que le livre paraîtrait, parce qu'il devait paraître.
La publication de la France juive ne fut donc une surprise pour aucun Français. Le nom de M. Edouard Drumont, presque inconnu la veille de la plupart de ses lecteurs, venait d'acquérir une notoriété bien méritée.
La France juive a nécessité un travail de plusieurs années, et l'auteur a fait preuve d'une activité et d'une constance extraordinaires pour réunir tous les documents qui lui ont permis de montrer au public le Juif tel qu'il est réellement. Dès les premières lignes, on se trouve naturellement entraîné vers l'auteur ; on comprend que ce n'est pas l’œuvre d'un vulgaire écrivain qui a essayé de faire de cette importante question juive une question d'intérêt, mais bien le travail d'un Français qui vient démasquer, l'ennemi de la France.
M. Ed. Drumont n'expose pas une théorie, il raconte des faits patents. Il donne les noms des rois de la finance et fait connaître les procédés employés par chacun de ses personnages pour arriver a la Puissance qui a toujours été l'objectif du Juif.
L'auteur nous montre comment les descendants d'Israël, après s'être implantés chez nous, se sont mis, grâce à notre confiance et à notre naïveté, à la tête de nos destinées ! Il nous prouve, enfin, d'une façon indéniable, que le Gouvernement français est entre leurs mains, et qu'ils en sont arrivés à un tel point qu'aucun de nos représentants n'ose protester contre leur puissance oppressive et dégradante pour nous.
Fait dans de semblables conditions, le succès de la France juive était assuré. M. Drumont avait couché sur le papier les idées et presque les impressions de chacun, et chacun désirait lire ce qu'il pensait.
Le coup porté par la France juive a été terrible pour les Juifs et nous ne craignons pas de dire que c'est là le commencement de la fin.
A côté de M. Drumont, un jeune écrivain de talent est fièrement entré dans l'arène. M. Jacques de Biez a fait un remarquable ouvrage, la Question juive, où (pour répéter la phrase de M. Drumont) de grandioses images font valoir des maximes vigoureusement frappées.
Tout récemment encore, un écrivain polonais, M. Kalixt de Wolski, a publié la Russie juive. C'est un travail vraiment intéressant, où la théorie du Juif est longuement exposée. L'auteur détaille nettement le ressort qui fait mouvoir la machine juive.
Aujourd'hui le mouvement est donné, et ceux qui auront conservé leur indépendance travailleront au renversement des Juifs, parce qu'ils comprendront que c'est là une question primordiale, Le Français qui, grâce à M. Ed. Drumont, est initié aux manœuvres des Juifs de France, doit être désireux de connaître la conduite de leurs coreligionnaires de cette seconde France qu'on appelle Algérie : c'est le but que nous nous proposons en publiant l'Algérie juive.
Pour mieux étudier le Juif d'Algérie, nous avons voulu savoir ce qu'il était avant la conquête et nous avons, à cet égard, pris tous les renseignements nécessaires chez les vieux chefs arabes.
Nous avons été parfois tellement surpris de certains détails que nous n'avons pas cru devoir les livrer à la publicité sans les contrôler.
Dans l'Algérie juive, nous prenons le Juif indigène, presque à l'état sauvage, venant ramper devant l'Arabe qu'il ne peut exploiter. Nous le suivons pas à pas jusqu'à nos jours, en essayant de montrer comment il laisse percer peu à peu tous ses défauts dès qu'ils ne sont plus refoulés chez lui par la force brutale.
Après la lecture de cet ouvrage, on relira avec plaisir la France juive, parce qu'en confrontant nos deux types, on comprendra que le progrès pour les descendants d'Israël consiste dans le développement de tous les vices innés chez eux.
La conquête de l'Algérie remonte déjà à plus d'un demi-siècle, et cependant cette riche colonie, malgré sa proximité de la Métropole, est encore inconnue de la majeure partie des Français.
Plusieurs écrivains de talent ont beaucoup parlé de l'Algérie; malheureusement, leurs récits, sinon erronés, du moins fort incomplets, n'ont laissé dans l'esprit de leurs lecteurs qu'une idée bien vague des mœurs des habitants, de la situation de nos colons et enfin de ce que peut rapporter à la France l'exploitation de ce sol fertile. Au lieu de parler de ce qui est, ils se sont surtout étendus sur ce qui devrait être.
Il ne suffit pas, pour connaître l'Algérie, de la parcourir en touriste; de séjourner dans les grands centres et de visiter certains paysages pittoresques et accidentés, tels que les gorges de Palestro, de la Chiffa et du Chabet, les cascades de Sidi M'sid, etc., il faut encore pénétrer dans l'intérieur, visiter lès douars et vivre un peu de la vie de nos indigènes pour étudier leurs mœurs. Il importe également de voir ces petits villages créés par nos coloris, tarit sur le littoral de la Méditerranée que dans l'intérieur et principalement dans le sud de notre colonie, où l'on ne trouve encore aucune voie de communication ; pour se rendre compte de la situation faite à ceux-ci par le mode actuel de colonisation.
C'est une étude longue et laborieuse, dont on reconnaîtra l'importance, en considérant combien sont nombreux les remèdes à apporter tant dans l'organisation que dans l'exploitation. On sera étonné alors de voir ce que l'Algérie a coûté et coûte encore annuellement à la France, en songeant à ce qu'elle devrait nous rapporter.
De son naturel, le Français est assez sédentaire; il ne s'expatrie que difficilement et lorsqu'il a l'espoir de trouver ailleurs l'aisance par le travail et l'économie.
Toutefois, outre ces vieux soldats, qui, après avoir fait les campagnes d'Algérie, ont demandé et obtenu quelques terres à cultiver, un grand nombre de cultivateurs, attirés soit par la proximité de notre nouvelle colonie, soit par la promesse d'une concession, sont allés se fixer en Algérie, avec la conviction que le gouvernement les mettrait en mesure de défricher fructueusement ces terres neuves, lueurs illusions ont été de courte durée.
Ils ont compris un peu tard que, par suite de la défectuosité de notre système de colonisation, le fruit de leur travail passait forcément en des mains étrangères, disons tout de suite aux mains des Juifs. La plupart de ces colons, après avoir épuisé leurs économies, et arrosé ces terres de leurs sueurs, sont revenus en France, dénués de toutes ressources.
Dans le cours de cet ouvrage, nous consacrerons un chapitre spécial à la colonisation.
Après en avoir fait l'historique, nous indiquerons quel est, à notre avis, à côté du mal, le seul remède.
En Algérie, comme on France, nous nous laissons exploiter par les Juifs, avec cette différence toutefois que là-bas nous nous trouvons en présence d'individus à l'état primitif, qui, bien qu'usuriers, lâches et hypocrites par instinct, n'ont pas encore la ruse de leurs coreligionnaires de France. il nous sera par suite beaucoup plus facile de les montrer tels qu'ils sont, de faire connaître leurs manœuvres, et enfin de parler de leurs rapports avec les Juifs de la Métropole.
Dans ce premier ouvrage, nous nous placerons à un point de vue général et abandonnerons complètement la question de personnes, nous réservant de publier prochainement un nouveau livre sur l'Algérie, où nous indiquerons le rôle joué par chaque Juif pour exploiter notre colonie africaine au détriment de nos colons et des Arabes.
Nous allons donc parler à la fois du Français, de l'Arabe et du Juif, et nous nous étendrons principalement sur le rôle joué par ce dernier.
Il est indispensable, pour bien comprendre le rôle du Juif en Algérie, de connaître un peu les mœurs des Arabes, et nous allons les raconter succinctement dans le courant du premier chapitre. Quant aux mœurs des Juifs, nous nous bornerons à dire qu'elles changent suivant les pays où ils se trouvent. Ce qui les sait partout, c'est le parasitisme, l’égoïsme, la lâcheté et l'hypocrisie.