Le Heavy Metal : musique des Blancs


Books

Avantasia - The Scarecrow


Type_O_Negative_Peter_Steele_Vinland.jpg


Le Heavy Metal : musique des Blancs - www.vivaeuropa.info


Heavy Metal contre Black Metal : quelle est la musique des Blancs ?

La question de la musique revient souvent dans les milieux militants dits "d'extrême droite". Certains courants musicaux se sont construits autour des mouvements nationalistes et identitaires. On a souvent reproché à ces groupes, sincères et de bonne volonté, d'être des militants qui font de la musique plutôt que de réels musiciens diffusant un message militant.
Existe-t-il réellement une musique d'extrême droite ? Ou pour être plus précis, sans tomber dans le piège de la terminologie dominante : existe-t-il une musique pour les Blancs racialement conscients ? Une musique qui nous ressemblerait et nous rassemblerait.
Officiellement, ce créneau a longtemps été occupé par la musique RAC (Rock Against Communism), un dérivé de musique punk-rock joué par la scène Skinhead. Les identitaires ont eux adopté le RIF (Rock Identitaire Français), qui en est une version édulcorée. Si les textes traitent clairement de nos sujets : la défense de l'identité, l'Histoire Européenne, la vie militante, etc., la musique, elle, reste souvent un dérivé pauvre d'une sous-culture qui n'est pas à la mesure de nos idéaux.
La musique que l'on appelle communément « classique » aurait bien traduit les particularités de l'âme européenne, mais je peux comprendre qu'une symphonie composée il y a deux siècles ne puisse vibrer en harmonie avec les rêves d'un jeune blanc contemporain.
Il existe pourtant un courant musical moderne qui incarne parfaitement l'Aryanité, à la fois à travers les textes et la musique : c'est le Heavy Metal.

Une musique positive et puissante.

Le Heavy Metal est une branche du Metal, qui en est une version plus percutante et plus rapide. Depuis sa genèse dans les années 80, le Heavy a évolué vers plus de technique et plus de mélodie. Sa version moderne est symphonique, mélodique, puissante et aérienne. Contrairement à ce que son nom pourrait laisser penser, nous sommes très loin d'une musique lourde, basse, négative ou agressive. En réalité, c'est tout le contraire, c'est certainement la musique la plus positive et la plus entraînante qui soit. Rythmes évoquant de grandes chevauchés, refrains fédérateurs, voix claires et haut-perchées, tout est là pour nous porter vers les hauteurs de la pensée.

Une exigence technique.

La force du Heavy Metal moderne, c'est que les pré-requis techniques pour composer et jouer cette musique sont d'une très grandes exigences. Lorsque des musiciens à la technique moyenne et au talent médiocre tentent de produire du Heavy Metal, le résultat est un désastre et cela ne ressemble d'ailleurs même pas à du Heavy, mais plutôt à du mauvais Rock. La virtuosité et la maîtrise de son instrument sont l'une des grandes quêtes de cet art. Le musicien porte sur scène sa guitare comme une épée enchantée chargée par l'énergie de ses mélodies puissantes et virevoltantes.

Des thématiques Européennes.

Au niveau des thèmes, nous sommes parfaitement dans la continuité de la littérature européenne, depuis Homère et les mythes Arthuriens jusqu'au fantastique de Tolkien. Grandes épopées historiques ou fantastiques, dragons, sortilèges, chevaliers, forêts mystérieuses ou bien monde futuriste, l'univers archétypique de l'Européen est bien là ! C'est l'un des aspects qui me plaisait le plus, lorsque vers l'âge de 16 ans, je découvrais dans certains livrets d'un disque de métal, la carte d'un monde imaginaire où se déroulait l'aventure musicale. Parfois maladroit, « kitch » dirons-nous, l'univers esthétique du Heavy Metal n'est jamais nocif, rarement trop sombre. À la lecture des paroles ainsi qu'à l'écoute des mélodies, nous avons bien là une musique de gentils, ça ne fait aucun doute.

Une musique de Blancs, mais pas que.

Je l'ai dit, tout est blanc dans cette musique, mais certains me répondront qu'elle connaît un énorme succès dans les pays d'Amérique du sud et en Asie. En effet, le genre Heavy Metal est très populaire au Japon, au Brésil, en Colombie, etc. Personnellement, je ne pense pas que cela aille à l'encontre de mon propos car ce sont des civilisations au passé brillant qui peuvent très bien se reconnaître dans les mêmes thèmes que nous, transposés à leur inconscient et emprunts de leurs sonorités respectives.

Politiques malgré eux ?

Malheureusement, peu de groupes de ce genre sont conscients d'être ce qu'ils sont. Certains le sont sans aucun doute, d'autres laissent planer le doute, mais la plupart ont l'air un peu déconnecté de ces questions identitaires, tandis que d'autres tombent dans le confortable discours bien-pensant. De mon point de vue, cela ne change rien. Comme je le dis souvent, le monde est plein de fascistes qui s'ignorent et l'effet sur l'inconscient collectif de nos mythes fondateurs dépasse les questions d'un engagement politique.

Le rôle paradoxale du Black Metal.

En revanche, d'autres semblent être, au moins dans le parti-pris esthétique, parfaitement de notre bord. Vous avez peut-être remarqué qu'il existe un sous-genre du Metal qui flirte parfois avec certaines idéologies « extrêmes », au moins d'un point de vue esthétique ; il s'agit du Black Metal. Le Black Metal est aussi un sous-genre du Metal, il est en quelques sortes son dérivé le plus extrême et le plus sombre. Conceptuellement, on peut imaginer qu'il s'agisse du reflet antagoniste du Heavy Metal. Le « Black » se divise lui-aussi en d’innombrables sous-genres parfois très différents, c'est pour cela qu'il est difficile de parler de ces musiques ou de s'en faire un avis si on n'en connaît pas à fond toutes les subtilités. Certains courants du Black Metal nous livrent aussi des thèmes épiques et une vision enracinée, parfois très inspirée, y compris dans la composition et les arrangements, par la musique folklorique. Malheureusement, ce courant est pollué par une mentalité puérile de provocation et d'égocentrisme.
Une provocation immature qui exploite des thèmes macabres, les plus malsains et graveleux. Une musique d'anti-bourgeois ? Très bien, si cela n'était pas doublé d'ignorance et d'immaturité, trahie par des provocations sur des thèmes historiques et politiques très mal compris et très mal connus.
Le grand défaut du Black Metal à mes yeux (et à mes oreilles) reste son aspect décadent qui le discrédite parfaitement, surtout lorsqu'il se pare d'un décorum inspiré du National-Socialisme ou autre Fascisme européen.
De plus, de part ses tempos ultra-rapides, ses sonorités agressives, ses voix hurlées et son goût pour les enregistrements mal produits, cette musique est vouée à ne pas sortir de sa cave, ce qui arrange certains de ses aficionados « élitistes ». Un immense regret donc, pour une musique difficile d'accès et souvent puérile mais qui est indéniablement non dénuée d’intérêt et parfois de talent.

Le paradoxe, c'est que le milieu fermé du Black Metal fournit celui du militantisme patriote français depuis des années. Les transfuges en France sont en effet nombreux.

La victoire du Heavy.

Rien n'a pu empêcher à cette musique de se répandre auprès d'une population aryenne saine et équilibrée. Touchant bien au-delà du milieu des passionnés, et ce partout dans le monde.
En France le Heavy Metal est totalement inconnu dû au remplacement massif de la population française par des peuples africains et moyen-orientaux. Avec le système de propagande étatique mis en place en corrélation avec l'invasion du pays, la France empêche aux artistes de vivre de leurs musiques s'ils ne sont pas sponsorisés par l'état ; il n'existe donc en France que peu de groupes et ce petit milieu est rongé par le gauchisme "artistique" typiquement français.

Culturellement très encrée en Europe et dans les Amériques, cette musique est jouée par des musiciens de talent possédant une grande maîtrise technique.
Mainstream dans tous les pays à majorité raciale blanche et restés culturellement blancs, il existe même dans les pays scandinaves des groupes de Heavy Metal pour enfants.
La recherche d'une qualité sonore optimale, le soin d'apporter un concept fort à une musique puissante, en a fait la musique emblématique de notre RACE.
Sorti de France, ce n'est ni le punk à croix Celtique, ni le Black Metal de chambre à gaz qui nous incarne, mais bien le Heavy Metal moderne, dans sa forme mélodique et épique, aérienne et grandiose.


Composition : Franck
Arrangements : Professeur Z


Lire aussi : Professeur Z - Heavy Metal thunder from the Gods


Sonata Arctica - Black Sheep



Nightwish - Stargazers



Gaston-Armand Amaudruz - Nosotros los racistas Dave Jacke - Edible forest gardens