Lourdes peines pour les admins de Stomfront Italia


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Lourdes peines pour les admins de stomfront Italia

D. S., D. M., L. C. et M. V. étaient jugés aujourd’hui en Italie pour «antisémitisme», «incitation à la haine raciale», «discriminations» et autres accusations habituellement portées contre les nationalistes par le Système.
La justice leur reprochait leur participation au site nationaliste blanc Stormfront.
D. S. (24 ans) écope de trois ans de prison ; D. M. (30 ans) et L. C. (23 ans) sont condamnés à deux ans et demi et M. V. (42 ans) à 2 ans et 8 mois.
Les peines requises par le procureur étaient encore plus incroyables : 4 ans et 10 mois pour S., quatre ans et un mois pour M., 4 ans et 6 mois pour C. et 4 ans et 8 mois pour V..
Au-delà des accusations infamantes des autorités, c’est bien la volonté des Italiens de défendre leur histoire, leur identité, leur peuple contre l’oppression du système et contre l’occupation qui a été condamnée. La peine se veut exemplaire et a clairement pour but d’empêcher les velléités de la résistance italienne face à la déchéance de ce pays.
Au premier rang des « victimes » figuraient le président de la communauté juive de Rome, Riccardo Pacifici (présent lors du procès), le ministre Andrea Riccardi et trois juges de Palerme et l’écrivain Robert Saviano qui ont obtenu d’importants dommages et intérêts. Tous se réjouis des peines prononcées.
Les quatre prisonniers ont déjà fait près de cinq mois de prison.

Le CLAN apporte tout son soutien aux victimes italiennes de la répression.


Italie : Entre 4 et 5 ans de prison requis pour racisme sur Internet



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Appel pour la libération des quatre activistes de Stormfront Italie


Nous diffusons ci-dessous la lettre ouverte publiée par le nationaliste italien Gabriele Adinolfi sur son site NoReporter.org concernant quatre activistes italiens emprisonnés depuis le 16 novembre, suspectés d’avoir commis le « crime » d’« incitation à la haine ». Un crime de la pensée qui ne devrait pas exister dans un pays qui se dit libre et démocratique. Il y joint un appel pour signer une pétition.
Tous quatre sont accusés d’avoir « répandu » leurs idées sur Internet à travers le forum Stormfront. Au-delà du fait de partager leurs idées, tout le monde doit être libre d’exprimer ses idées. Quelle que soit ses préférences politiques.
Le février 13, la justice a acceptée une procédure « accélérée » ; les quatre activistes italiens resteront cependant en prison jusqu’au 28 mars, date où le procès se tiendra.
Trois mois en détention préventive, alors que les violeurs sont libres ou en résidence surveillée, les trafiquants de drogue relâchés aussitôt arrêtés et les politiciens corrompus ou pédophiles hantent toujours les parlements et les ministères.
Avec nos camarades italiens, le CLAN appelle à leur libération immédiate et à l’arrêt des persécutions contre les « criminels de la pensée ».



Très chers prudents,

Procès Stormfront. Ce n’est pas nous que la circonspection et la recherche de respectabilité aide mais seulement Big Brother.
À la veille de la Saint Valentin quatre personnes, Viola, Ciampaglia, Masi, Scarpino, sont incarcérées depuis quelque mois pour crimes d’opinion, elles ont été renvoyées en jugement et la liberté provisoire leur a été refusée.
Il s’agit de quatre citoyens italiens qui écrivaient sur le site Stormfront.
Sur Noreporter et sur ma page Facebook j’ai déjà relayé une pétition qui demande leur libération.
C’est sans doute la distraction de la fiction électoraliste à moins que ce ne soit le charme des bavardages masturbatoires qui accompagnent la démission du Pape, qui a fait que mon invitation, contrairement à l’effet d’avalanche habituel, n’a presque pas été reprise.
Est-ce le fait de la distraction ou devons nous reconnaître le triomphe de la prudence et de la peur ?
Les quatre, en effet, sont accusés de racisme. Un mot qui sonne désormais comme pédophilie, un mot qu’on fuit comme une marque d’infamie, sous peine d’apparaître non-respectable et de n’être pas accepté, d’être « excommunié » de l’assemblée des gens biens comme il faut.
Si c’est là le motif de l’absence de réponse à l’appel pour la libération, alors nous sommes vraiment dans un état lamentable et nous méritons Monti.
Je n’ai pas lu ce qu’ont écrit les accusés et cela ne m’intéresse pas plus que ça.
J’ai fait des campagnes pour la liberté dans toutes les directions ; je me suis exprimé en faveur des rouges persécutés, Dorigo, Baraldini et Petrella et, toujours pour des raisons d’équité juridique, également contre l’extradition de ce ver de Cesare Baptisti.

Je ne vais pas évoquer le fond que je ne connais pas, car même si les accusés pensaient des choses horribles comme la négation des massacres de Foibe (1) ou le racisme antifasciste, je me mobiliserai de toute façon pour que soient libérés ceux qui ne sont pas tolérés par la gendarmerie mentale.

Je ne reviens donc pas là-dessus bien que j’ai déjà expliqué plusieurs fois que par « racisme », on entend tout et n’importe quoi, et qu’accepter de placer derrière ce mot ce que les maitres de la subversion ont décidé que l’on y place, c’est aussi accepter sa propre défaite dans la bataille des mots, des concepts et des racines – étymologiques et autres – de la langue. Et cela implique, dans ce domaine comme dans beaucoup d’autres (nation, patrie, économie, sang, culture, universalité, identité), de supprimer les bases dont dérive hiérarchiquement une pensée pour revenir finalement aux poubelles du relativisme où l’on s’éteint comme dans une prison.

Je ne reviens pas ici sur le sujet, il a été répété que le « racisme » recouvrer tout et rien et qu’accepter de l’entendre de la manière décidée par les maîtres de la subversion signifie accepter d’avoir perdu la bataille des mots, des idées, des racines – étymologiquement et pas seulement – de la langue. Et cela signifie, dans ce champ comme dans de nombreux autres (nation, patrie, économie, sang, culture, universalité, identité) détruire les fondements desquels découlent hiérarchiquement une pensée, pour finalement sombrer dans les poubelles du relativisme où l’on s’éteint dans un véritable cacothanasie (2).

Si ce qui explique le manque de motivation pour signer la pétition en faveur des quatre prisonniers de la pensée est la peur d’être assimilé à eux et au mépris social dont ils sont l’objet, si le motif du manque de motivation pour signer la pétition est qu’on se préoccupe de Big Brother, jusqu’au point de s’y approcher sournoisement ou de se cacher, évitant toute prise de position, alors nous méritons Monti et tout ce qui va suivre.

Pour ceux qui ont changé d’idée :
Signer la pétition !

Gabriele Adinolfi.

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