Docteur Martinez - Le juif Voilà l'ennemi !


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Docteur Martinez - Le juif Voilà l'ennemi !


L'embrigadement des séminaristes dans la caserne est désormais un fait accompli.
La blessure portée à la religion nationale de la France est, sans contredit, la plus profonde de toutes celles reçues jusqu'à ce jour.
Cette loi incompréhensible, au dire de tous les hommes compétents, n'a de raison d'être que dans la haine de la religion catholique.
D'où provient donc cette haine féroce, de la part d'hommes, presque tous chrétiens, à qui l'Eglise n'a jamais fait de mal ?
Cette haine serait humainement inexplicable, si l'on ne savait de la façon la plus certaine - comme nous le démontrerons plus loin - que le premier moteur et les grands chefs de la Franc-Maçonnerie, la souveraine du jour, sont les Juifs.
Il ne leur a pas suffi, sous l'odieux prétexte de liberté des cultes, de faire interdire les processions si populaires de la religion catholique, de faire supprimer les aumôniers de l'armée, de faire expulser d'inoffensifs religieux, de faire chasser les Frères des écoles et les Sœurs des hôpitaux, de faire imposer leur loi juive, si antifrançaise, du divorce ... etc ... il leur fallait une dernière victoire désorganiser le culte catholique en France.
Eh bien! elle doit être satisfaite, la Juiverie ! Elle est sur le point de l'avoir, cette victoire !
Mais qu'elle ne triomphe pas trop vite ! Il pourrait lui en coûter plus cher qu'à l'Eglise.
Tandis que les journalistes catholiques défendaient pied à pied, sans succès, quoique avec vaillance, les droits de la justice et de la vraie liberté, un vigoureux lutteur s'est jeté dans la mêlée avec un courage et une intrépidité qui ont mis le désarroi dans le camp des adversaires. Estimant avec raison que le meilleur moyen de se défendre était d'attaquer soi-même, Drumont a démasqué l'ennemi et lui a porté des coups redoutables.
Le Juif, voilà l'ennemi ! s'est-il écrié. Si nous prétendons encore, nous Français, nous catholiques, conserver notre droit à l'existence et a la liberté, sus aux Juifs !
A la suite de ce cri de guerre, formulé dans deux puissants réquisitoires, la France juive, et la Fin d'un Monde, un immense courant d'opinion s'est déterminé.
L'instinct de la propre conservation a fait ouvrir les yeux à une foule de gens qui ne demandaient qu'à être éclairés.
Tout le monde sentait le mal, mais presque personne n'en soupçonnait la véritable cause.
Les industriels, les commerçants, les ouvriers, les gens de la campagne, tous éprouvaient un indicible malaise, résultant de charges de jour en jour plus lourdes et d'une misère sans cesse croissante, mais ne comprenaient pas d'où venait la ruine. Les catholiques se voyaient chaque jour de plus en plus traités en véritables parias, outragés dans leur croyance et violentés dans leurs libertés les plus chères, sans se douter d'où partaient les coups. Tout le monde était hypnotisé !
Drumont, en faisant la lumière, a rompu le charme, et maintenant on peut regarder l'ennemi en face. La ruine de la France et l'asservissement de tous les Français sous son joug, voilà son premier objectif; la destruction de la religion catholique, voilà son second.
A tous les hommes de cœur, dont la race est loin d'être éteinte sur notre beau sol de France, il est permis do demander Voulons-nous devenir les esclaves des Juifs et à tous les catholiques Consentirons-nous à subir tous les outrages nous contenterons-nous, nous qui sommes l'immense majorité dans le pays et les vrais enfants de la France, du rôle de victimes et définitivement de martyrs ?
Déjà beaucoup de libres-penseurs se sont aperçus que, en édictant des mesures de persécution pour restreindre la liberté de personnes qui ne les gênaient en rien, ils faisaient le jeu des Juifs, et se sont dit halte-là !
Beaucoup de socialistes ont compris aussi qu'il n'y avait plus rien à attendre du côté de la société française, en fait de revendications, parce que le Juif aura bientôt tout pris, et se sont écrié Haro sur l'accapareur !
Seuls, les catholiques semblaient résignés à supporter avec patience jusqu'au bout leur condition d'opprimés.
Eh bien ! non ! le supporter plus longtemps serait une lâcheté et une trahison envers le Christ !
La coupe déborde ! Nous en avons assez maintenant ! et, nous aussi, nous proclamons Le Juif, voilà l'ennemi ! Assez de protestations platoniques et stériles ! C'est désormais un duel à mort entre nous et les Juifs; et nous irons jusqu'à l'extrême limite de la légitime défense.
Un individu, pour défendre sa vie, ses biens, son honneur, peut aller dans beaucoup de circonstances jusqu'à ôter la vie à celui qui voudrait les lui ravir.
Une race entière et une société, pour défendre son existence et sa religion, doit avoir un droit au moins équivalent.
Drumont laisse entendre que l'on peut exercer une juste revendication contre les Juifs en les dépouillant de leurs scandaleuses fortunes illégitimement acquises, et que l'on doit les expulser du territoire français...
D'autres, plus modérés, proposent des moyens qui seraient peut-être efficaces dans d'autres milieux ou avec un concours d'autres circonstances, mais qui n'auraient, à l'heure présente, aucune chance de réussir ces moyens ne sont donc à nos yeux que de pures utopies.
La solution de Drumont nous parait la seule véritablement pratique. La question est seulement de savoir si l'on a véritablement ce droit et dans quelle mesure on peut l'exercer.
En d'autres termes, étant donnée la lutte formidable que nous avons à soutenir, jusqu'où s'étend le droit de notre légitime défense ?
Pour répondre à celle question, nous examinerons d'abord le danger que courent la liberté et l'existence même de la nation française, au point de vue social et au point de vue catholique ; nous établirons ensuite ce que nous considérons comme théologiquement permis de faire pour les défendre.


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