Edible Forest Gardens.com is dedicated to offering inspiring and practical information on the vision, ecology, design, and stewardship of perennial polycultures of multipurpose plants in small-scale settings. We intend this website to grow into an information and networking resource for newcomers, amateurs, students, and serious practitioners and researchers alike.
Forest gardening is an idea whose time has come. We can consciously apply the principles of ecology to the design of home scale gardens that mimic forest ecosystem structure and function, but grow food, fuel, fiber, fodder, fertilizer, "farmaceuticals," and fun. Indeed, we must begin learning to apply ecological principles to the design of our food production systems now—we have surpassed the peak of planetary oil production, so the world of energy descent lies upon us. This sea change in our culture will require that we learn to live within our energetic means and rebuild ecosystems that support human and humane lives without diminishing the ability of the ecosystem to support our children and grandchildren.
While this global problem is huge, most of the solutions available to us are local, personal, empowering, and potentially enlivening, enlightening, and fun. Edible forest gardening is one of these solutions, and we now have the resources at hand to transform our own yards and gardens into productive paradises. We intend this website and the book Edible Forest Gardens that you can buy here to give you the most sophisticated and down-to-earth information available to maximize your success as a forest gardener.
Forest gardens have much to offer on a practical level, and they have much to teach us about how to live in community as free and interdependent beings in a functional way. We hope that you will trust your innate ability to learn and contribute to the larger community of human beings who care about living sanely and humanely as we journey through energy descent. Welcome to the adventure of our lifetimes !
We hope you enjoy what we offer here, and that you will visit often to add your thoughts and experiences to the mix.
Heavy Metal contre Black Metal : quelle est la musique des Blancs ?
La question de la musique revient souvent dans les milieux militants dits "d'extrême droite". Certains courants musicaux se sont construits autour des mouvements nationalistes et identitaires. On a souvent reproché à ces groupes, sincères et de bonne volonté, d'être des militants qui font de la musique plutôt que de réels musiciens diffusant un message militant.
Existe-t-il réellement une musique d'extrême droite ? Ou pour être plus précis, sans tomber dans le piège de la terminologie dominante : existe-t-il une musique pour les Blancs racialement conscients ? Une musique qui nous ressemblerait et nous rassemblerait.
Officiellement, ce créneau a longtemps été occupé par la musique RAC (Rock Against Communism), un dérivé de musique punk-rock joué par la scène Skinhead. Les identitaires ont eux adopté le RIF (Rock Identitaire Français), qui en est une version édulcorée. Si les textes traitent clairement de nos sujets : la défense de l'identité, l'Histoire Européenne, la vie militante, etc., la musique, elle, reste souvent un dérivé pauvre d'une sous-culture qui n'est pas à la mesure de nos idéaux.
La musique que l'on appelle communément « classique » aurait bien traduit les particularités de l'âme européenne, mais je peux comprendre qu'une symphonie composée il y a deux siècles ne puisse vibrer en harmonie avec les rêves d'un jeune blanc contemporain. Il existe pourtant un courant musical moderne qui incarne parfaitement l'Aryanité, à la fois à travers les textes et la musique : c'est le Heavy Metal.
Une musique positive et puissante.
Le Heavy Metal est une branche du Metal, qui en est une version plus percutante et plus rapide. Depuis sa genèse dans les années 80, le Heavy a évolué vers plus de technique et plus de mélodie. Sa version moderne est symphonique, mélodique, puissante et aérienne. Contrairement à ce que son nom pourrait laisser penser, nous sommes très loin d'une musique lourde, basse, négative ou agressive. En réalité, c'est tout le contraire, c'est certainement la musique la plus positive et la plus entraînante qui soit. Rythmes évoquant de grandes chevauchés, refrains fédérateurs, voix claires et haut-perchées, tout est là pour nous porter vers les hauteurs de la pensée.
Une exigence technique.
La force du Heavy Metal moderne, c'est que les pré-requis techniques pour composer et jouer cette musique sont d'une très grandes exigences. Lorsque des musiciens à la technique moyenne et au talent médiocre tentent de produire du Heavy Metal, le résultat est un désastre et cela ne ressemble d'ailleurs même pas à du Heavy, mais plutôt à du mauvais Rock. La virtuosité et la maîtrise de son instrument sont l'une des grandes quêtes de cet art. Le musicien porte sur scène sa guitare comme une épée enchantée chargée par l'énergie de ses mélodies puissantes et virevoltantes.
Des thématiques Européennes.
Au niveau des thèmes, nous sommes parfaitement dans la continuité de la littérature européenne, depuis Homère et les mythes Arthuriens jusqu'au fantastique de Tolkien. Grandes épopées historiques ou fantastiques, dragons, sortilèges, chevaliers, forêts mystérieuses ou bien monde futuriste, l'univers archétypique de l'Européen est bien là ! C'est l'un des aspects qui me plaisait le plus, lorsque vers l'âge de 16 ans, je découvrais dans certains livrets d'un disque de métal, la carte d'un monde imaginaire où se déroulait l'aventure musicale. Parfois maladroit, « kitch » dirons-nous, l'univers esthétique du Heavy Metal n'est jamais nocif, rarement trop sombre. À la lecture des paroles ainsi qu'à l'écoute des mélodies, nous avons bien là une musique de gentils, ça ne fait aucun doute.
Une musique de Blancs, mais pas que.
Je l'ai dit, tout est blanc dans cette musique, mais certains me répondront qu'elle connaît un énorme succès dans les pays d'Amérique du sud et en Asie. En effet, le genre Heavy Metal est très populaire au Japon, au Brésil, en Colombie, etc. Personnellement, je ne pense pas que cela aille à l'encontre de mon propos car ce sont des civilisations au passé brillant qui peuvent très bien se reconnaître dans les mêmes thèmes que nous, transposés à leur inconscient et emprunts de leurs sonorités respectives.
Politiques malgré eux ?
Malheureusement, peu de groupes de ce genre sont conscients d'être ce qu'ils sont. Certains le sont sans aucun doute, d'autres laissent planer le doute, mais la plupart ont l'air un peu déconnecté de ces questions identitaires, tandis que d'autres tombent dans le confortable discours bien-pensant. De mon point de vue, cela ne change rien. Comme je le dis souvent, le monde est plein de fascistes qui s'ignorent et l'effet sur l'inconscient collectif de nos mythes fondateurs dépasse les questions d'un engagement politique.
Le rôle paradoxale du Black Metal.
En revanche, d'autres semblent être, au moins dans le parti-pris esthétique, parfaitement de notre bord. Vous avez peut-être remarqué qu'il existe un sous-genre du Metal qui flirte parfois avec certaines idéologies « extrêmes », au moins d'un point de vue esthétique ; il s'agit du Black Metal. Le Black Metal est aussi un sous-genre du Metal, il est en quelques sortes son dérivé le plus extrême et le plus sombre. Conceptuellement, on peut imaginer qu'il s'agisse du reflet antagoniste du Heavy Metal. Le « Black » se divise lui-aussi en d’innombrables sous-genres parfois très différents, c'est pour cela qu'il est difficile de parler de ces musiques ou de s'en faire un avis si on n'en connaît pas à fond toutes les subtilités. Certains courants du Black Metal nous livrent aussi des thèmes épiques et une vision enracinée, parfois très inspirée, y compris dans la composition et les arrangements, par la musique folklorique. Malheureusement, ce courant est pollué par une mentalité puérile de provocation et d'égocentrisme.
Une provocation immature qui exploite des thèmes macabres, les plus malsains et graveleux. Une musique d'anti-bourgeois ? Très bien, si cela n'était pas doublé d'ignorance et d'immaturité, trahie par des provocations sur des thèmes historiques et politiques très mal compris et très mal connus.
Le grand défaut du Black Metal à mes yeux (et à mes oreilles) reste son aspect décadent qui le discrédite parfaitement, surtout lorsqu'il se pare d'un décorum inspiré du National-Socialisme ou autre Fascisme européen.
De plus, de part ses tempos ultra-rapides, ses sonorités agressives, ses voix hurlées et son goût pour les enregistrements mal produits, cette musique est vouée à ne pas sortir de sa cave, ce qui arrange certains de ses aficionados « élitistes ». Un immense regret donc, pour une musique difficile d'accès et souvent puérile mais qui est indéniablement non dénuée d’intérêt et parfois de talent.
Le paradoxe, c'est que le milieu fermé du Black Metal fournit celui du militantisme patriote français depuis des années. Les transfuges en France sont en effet nombreux.
La victoire du Heavy.
Rien n'a pu empêcher à cette musique de se répandre auprès d'une population aryenne saine et équilibrée. Touchant bien au-delà du milieu des passionnés, et ce partout dans le monde.
En France le Heavy Metal est totalement inconnu dû au remplacement massif de la population française par des peuples africains et moyen-orientaux. Avec le système de propagande étatique mis en place en corrélation avec l'invasion du pays, la France empêche aux artistes de vivre de leurs musiques s'ils ne sont pas sponsorisés par l'état ; il n'existe donc en France que peu de groupes et ce petit milieu est rongé par le gauchisme "artistique" typiquement français.
Culturellement très encrée en Europe et dans les Amériques, cette musique est jouée par des musiciens de talent possédant une grande maîtrise technique.
Mainstream dans tous les pays à majorité raciale blanche et restés culturellement blancs, il existe même dans les pays scandinaves des groupes de Heavy Metal pour enfants. La recherche d'une qualité sonore optimale, le soin d'apporter un concept fort à une musique puissante, en a fait la musique emblématique de notre RACE.
Sorti de France, ce n'est ni le punk à croix Celtique, ni le Black Metal de chambre à gaz qui nous incarne, mais bien le Heavy Metal moderne, dans sa forme mélodique et épique, aérienne et grandiose.
En la historia contemporánea, casi no hay vocablo que levante tanta emoción y miedo como racismo. Ninguno engendra más infantilismos y cobardías. Ningún problema es más fatal o más provocativo que el problema racial. Y sin embargo, el destino de la humanidad depende sólo de un examen en profundidad de este problema y de su sola, única e indispensable solución.
Es cierto que la palabra racismo ha sido manoseada, apartada de su concepción verdadera por dilettantes o maníacos, y uno se creería bien inspirado al abandonarla. Así, podríamos reemplazar la palabra “racismo” por la de “racialismo” a fin de escapar tal vez a la mala fama. Pero aquello no nos pondría a salvo de una nueva deformación y añadiría al mal de nuestro tiempo (donde el valor y el sentido de. las palabras han caldo en una confusión penosa), dando al mismo tiempo razón a nuestros enemigos. Además, esta adaptación al medio democrático sería sospechosa desde más de un punto de vista. Luego, la honestidad más elemental exige más bien que establezcamos el significado de la palabra racismo en toda su pureza.
Primero, condenamos la discriminación. El hecho de maltratar a un individuo a causa de su raza, de su color, de su idioma o de su religión es muy injusto. Todo el mundo puede estar de acuerdo sobre este punto. Por el contrario, pocas personas se dan cuenta del espantoso peligro engendrado por el antirracismo sistemático. La torpeza y la deslealtad que caracteriza a los políticos han obscurecido y deformado esta situación. Los que se niegan a afrontar este tema capital combaten en realidad contra los que creen defender.
Constatamos que existe, en escala mundial, un complot lúcido que intenta hacer un solo mundo recurriendo a la integración racial. Pero en todos los países donde se ha impuesto esta integración, el resultado fue una discriminación más grande que nunca. Los individuos son así empujados a la sublevación extrema con todo lo que ello comporta de resentimientos, de amarguras, de odios y de matanzas. Constatamos también que el hecho racial es a tal punto poderoso que el mal subsiste aún allí donde la mezcla es admitida, ya que cada grado de mestización hace nacer a menudo una nueva ase social.
En el campo social, los espíritus superficiales y los bienpensantes infantiles se han convertido en juguetes entre las manos de dirigentes que incitan a la violencia racial... ¡en nombre del amor universal! Es urgente que los pueblos tomen conciencia de la insondable imbecilidad de estas tentativas encubiertas bajo el manto del “amor universal”. En efecto, ¡la suerte del Hombre está en juego! El respeto a. la herencia biológica es un principio que es imposible no tomar en consideración cuando se trata de la evolución del hombre. Los que, en nombre de la “fraternidad humana”, hacen desaparecer el patrimonio hereditario de un plumazo, no le impiden actuar. En efecto, la Naturaleza castiga las violaciones de las leyes de la vida, y los antirracistas trabajan a favor de su desaparición combatiéndonos. Que por lo menos esta reflexión los lleve a tolerar nuestras ideas y a respetar la libertad de opinión que ellos proclaman.
El bienestar de la humanidad depende del bienestar de cada raza y recíprocamente, ya que una no puede desarrollarse verdaderamente sin la otra. El racista elimina de su vocabulario la palabra igualdad. La idea misma de igualdad es un absurdo. Los hombres son por esencia desiguales tanto en lo físico, como en lo moral. Sucede lo mismo con las razas. El racista sabe muy bien, que lo que los demócratas llaman prejuicio es un reflejo defensivo normal, comunitario, y que pertenece a cada raza. Sólo trabajando en el sentido de una conciencia racial esclarecida se puede resolver en armonía geográfica y en paz los problemas ligados a la idea de la Sangre.
Dr. Jacques Baugé Prévost. Psy. M.D.,N.MD.
Director INSTITUTO SUPERIOR DE CIENCIAS Psicosomáticas,
Biológicas y Raciales - LAUSANA-MONTREAL
Divers auteurs d’avant et d’après-guerre, assimilant Russie et URSS, pensaient qu’une dissolution des forces vives par métissage avec les populations turco-tatares et mongoles de l’empire stalinien se produirait inévitablement. Ils n’ont pas prévu le déclin soviétique.
L’éclatement de l’URSS, désastreux sur le plan mondial, a au moins eu l’avantage de diminuer le risque de métissage du peuple russe, alors que ce risque s’aggravait de façon dramatique en France, en Italie, en Angleterre, au Portugal, aux Pays-Bas et même en Suisse. De plus, en Occident, le danger apparaît sous sa forme biologiquement la plus négative : l’immigration nègre.
didi18ungraindesable.ru
M.A.J. : ungraindesable.the-savoisien.com
Il est visible à cette adresse, et est opérationnel.
Je remercie The Savoisien pour avoir hébergé mon travail gratuitement et sans contrepartie ni contrainte d’aucune sorte - 14/88.
Origine du verger
L'origine du verger se perd dans la nuit des temps, mais les premières traces écrites apparaissent à l'époque sumérienne (4000 avant J.-C.) du simple fait que les Sumériens sont les « inventeurs » de l'écriture. Le début de la culture de l'olivier se situe également vers cette période. Les jardins suspendus de Babylone, une des sept merveilles du monde, étaient vraisemblablement des vergers en coteaux ou «terrasses».
Une tablette d'argile (vers 2500 avant J.C.) illustre un des premiers cours d'arboriculture connu, mais également une leçon de philosophie ou « mythologie ». Un homme debout (ADA) taille une jeune pousse feuillue verticale — ver — en conservant les pousses latérales, porteuses de fruits. Il arque du pied le sommet de la branche — apex — au-dessus de la femme (EVE) agenouillée sur le sol, tandis qu'un troisième personnage caché derrière le tronc de l'arbre — enfant, serpent ? symbole de sexualité ? — tend à la femme un bâton de pouvoir — pouvoir de procréer ?...
Paradis, mythe ou réalité ?
Au paléolithique — vers 10000 av. U.C. — le passage de la période glaciaire au réchauffement du climat permet l'explosion de nombreuses espèces végétales et animales, notamment dans les régions intertropicales, dont le «croissant fertile» situé entre la Méditerranée et l'Océan Indien.
Chasseur par obligation pendant la période glaciaire, l'homme redescend vers les contrées verdoyantes pour y redevenir cueilleur. Il s'installe le long des fleuves, voies naturelles de communication, y trouve une nourriture abondante dans une zone semi-forestière, s'y sédentarise et se lance peu à peu dans la culture, rapportant de ses pérégrinations divers plantes et fruits comestibles dont il dissémine les graines autour des premiers villages.
Ainsi naquit probablement le mythe du Paradis, « Pa » signifiant en grec « nourriture d'en haut », ressemblant au pictogramme de l'arbre, « Ra » signifiant le retour, le recommencement, la pérennité de l'arbre, «Para» le protecteur, l'arbre protecteur du primate et de l'homme, «Di» signifiant à la fois le soleil diurne, et le Dieu de la vie mais aussi de la mort.
Paradis peut dès lors se traduire par « arbre nourricier protégeant l'homme du soleil » ce que ne renieraient pas les habitants actuels de ces contrées, aujourd'hui désertiques...
Introduction The tradition that holds us in thrall
Michael Grant
Without Greece and Rome, for better or for worse-and almost certainly, despite all our faults, for worse-we should not be what we are. Their significances crowd in upon us with an insistence that is far too many-sided and complex to be satisfied by simple metaphorical phrases indicating the debt, legacy or heritage that we owe to these sources.
For one thing the influences which, whether we like it or not, hold us in thrall have reached us in many different times and ways, and at every level of consciousness and profundity. In some
matters-the classical contribution in the political field, or certain central aspects of the messages of Virgil or Cicero-impingement on the world has been continuous, so that a direct chain of inheritance can be traced all the way through the intervening centuries until the present moment. And yet, even in such basic themes, there have also at many periods been revivals that are due
in a larger degree to intentional resuscitation than to the bonds of continuity. When Cola di Rienzi, in the 14th century, tried to restore the antique Roman Republic, this was not only because
he was heir to a continuous tradition (though he had the stones of Rome to remind him of this) but because he had 'rediscovered' Livy. Others-Petrarch is perhaps the most famous of themhave
often made similar rediscoveries of ancient authors : which really means that they cast the contemporary spotlight upon some part of the almost inexhaustible store, and reinterpreted it in the
light of topical preoccupations.
Founded in 1985 by Leslie Price and edited since 1990 by James A. Santucci. Theosophical History is now in its 30th year. Theosophical History is an independent scholarly journal devoted to all aspects of theosophy (with and without a capital T). It is unaffiliated with any Theosophical organization.
Annie Besant (1847–1933) wearing the 18th Degree Rosicrucian Jewel. The Jewel originally belonged to Count Alessandro di Caglostro but eventually came into the possession of a number of important Theosophists, including H.P. Blavatsky, H.S. Olcott, Mrs ver Planck, W.Q. Judge, and Rukmini Arundale. Mrs. Besant, the fourth owner of the Jewel, is shown here wearing it in a photograph taken in the year 1902. The photo appears courtesy of Mr. Joseph E. Ross of Ojai, California. The picture appeared on the cover of Theosophical History, Vol. III, No. 3 and is the subject of an article by Nell C. Taylor entitled "The Mysterious Life and Transitions of the Cagliostro Jewel." Ms Taylor and Mr. Ross wish to express their appreciation for the return of the Cagliostro Jewel to the Adyar Theosophical Society Museum and Archives on July 17, 1992.
Attorney and Christian researcher Edward Hendrie investigates and reveals one of the greatest exposés of all time... a book you don't want to miss.
Solving the Mystery of Babylon the Great is packed with documentation.
Never before have the crypto-Jews who seized the reins of power in Rome been put under such intense scrutiny." Texe Marrs, Power of Prophecy.
The evidence presented in this book leads to the ineluctable conclusion that the Roman Catholic Church was established by crypto-Jews as a false "Christian" front for a Judaic/Babylonian religion.
That religion is the core of a world conspiracy against man and God. That is not a conspiracy theory based upon speculation, but rather the hard truth based upon authoritative evidence, which is documented in this book. Texe Marrs explains in his foreword to the book : "Who is Mystery Babylon? What is the meaning of the sinister symbols found in these passages ? Which city is being described as the 'great city' so full of sin and decadence, and who are its citizens ? Why do the woman and beast of Revelation seek the destruction of the holy people, the saints and martyrs of Jesus ? What does it all mean for you and me today ? Solving the Mystery of Babylon the Great answers these questions and more.
Edward Hendrie's discoveries are not based on prejudice but on solid evidence aligned forthrightly with the 'whole counsel of God.' He does not condone nor will he be a part of any project in which Bible verses are taken out of context, or in which scriptures are twisted to mean what they do not say. Again and again you will find that Mr. Hendrie documents his assertions, backing up what he says with historical facts and proofs. Most important is that he buttresses his findings with scriptural understanding. The foundation for his research is sturdy because it is based on the bedrock of God's unshakeable Word.
Hace aún pocos años decía la esposa de Sir Winston Churchill: «Recuerdo todavía aquellos años en que mi marido era tan odiado de Inglaterra como Oswald Mosley lo es hoy». Y este hombre, sobre quien cayó el- odio casi unánime de los ingleses en los años de la guerra, fue el primer político británico que desde los tiempos de Cromwell tuvo un ejército privado, fue el hombre que por un momento pareció que formaría, con Mus-solini y con Hitler, el triunvirato totalitario que dominaría Europa, y antes había sido «el único inglés que pudo haber sido Primer ministro tanto con los conservadores como con los laboristas». De él dijo Lord Boothby que «hubiera sido un gran Premier. Desde luego era el mejor orador de los Comunes, con excepción de Lloyd George. Era un hombre enormemente dotado», y R. H. S. Croosman lo calificaba —en 1961— de «el político más extraordinario de su generación».
La trayectoria política de Sir Oswald Mosley es representativa de las contradicciones de la juventud británica en los momentos decisivos en que se inicia la agonía del Imperio inglés. Diputado conservador en 1919, pasó pronto a formar parte del «Independent Labour Party», el ala más radical del Laborismo. En 1931 abandonó este partido y en 1932 fundó la Unión Fascista Británica. En julio de 1939, las reuniones fascistas convocaban en Londres cerca de 40.000 participantes y el Fascismo aparecía para muchos británicos como la única alternativa posible ante el comunismo. Encarcelado en 1940, el sentido británico del juego limpio político le benefició hasta el punto de que Mosley fue el único de los grandes jefes fascistas de preguerra que pudo reanudar su actividad libremente sin introducir en sus esquemas modificaciones sustanciales tras la paz de 4945.
Las Memorias del político inglés más odiado, más ferozmente anatematizado, pero también del hombre en quien parte de una generación británica puso las mayores esperanzas, constituyen una pieza fundamental para comprender el atractivo que el Fascismo tuve para aquella juventud europea que en los años treinta estaba convencida de que la catástrofe de la Gran Guerra había que atribuirla a la incompetencia de los viejos políticos, a la inoperancia de los sistemas y al anquilosamiento de las estructuras. La vida azarosa y. cambiante de Oswald Mosley, el joven diputado que en 1927 señalaba al Fascismo como un peligro para la paz y que en 1933 parecía a punto de establecer una dictadura fascista en Gran Bretaña, es repesentativa y en cierto sentido ejemplar. Jamás fue Mosley un arribista sin escrúpulos o un cínico trepador que cambiara de banderas por ambición o vanidad; antes bien, fue un patriota, un hombre que tuvo el valor de enfrentarse con la inamovible tradición británica, una figura representativa del desconcierto y de la generosidad de la juventud europea de entreguerras.
This is a compilation of my first 3 flat earth videos from late 2015 and early 2016. They make for a good and solid 2 hour flat earth documentary that's packed with great information. This video has been made and uploaded due to multiple requests by my subscribers and my friends. Thanks for all your support.
Morrison examines the legacy of the modernist poetics of Ezra Pound and T.S. Eliot, as it relates to current theoretical orthodoxies, and traces its influence on the current crisis in post-structural literary theory. Morrison reads the politics of post-structural theory in relation to the socio-cultural arguments espoused in the poetry and prose of Pound and Eliot, and reveals a continuity between that theory and high modernism's tendency towards fascism. Morrison concludes with a provocative analysis of deconstruction and the work of Paul de Man. Without reducing the political implications of poetry to mere caricature and without slighting the force and fact of literary mediation, The Poetics of Fascism will reshape the discussion of the social dimension of modernism.
The Poetics of Fascism is a remarkable achievement and its serious, important, and fervent argument deserves to attract a wide readership. Its scholarly, but always accessible, reframings of the relations among modernism, marxist thought, and poststructural criticism are certain to engage all who are interested in the politics of contemporary culture. With any luck this book will make it impossible to teach 'modernism as usual' ever again: impossible, that is, to celebrate a modernism whose ideology we ostentatiously fail, or pointedly refuse, to address. (Lee Edelman, Tufts University)
Suppressed Reports of a 20-year Chicago Tribune Correspondent in Eastern Europe from 1921, Torrance, CA: Noontide Press, 1982
An American Journalist's Dissident Look at World War II, Torrance, CA: Noontide Press, 2002
Read by Alex Linder in December 2014.
1920-1942 Propaganda, Censorship, and One Man's Struggle to Herald the Truth.
Ce que j'ai à dire dans les 40 prochaines minutes va sans doute vous choquer. Cela pourrait même profondément secouer certaines de vos superstitions les plus chères et les idées préconçues que vous avez pu nourrir toute votre vie, sans jamais vous soucier d'examiner la validité ou la valeur de ces présomptions.
Cette discussion va explorer sérieusement la race et la religion, deux sujets dont nous ne devrions jamais parler selon notre establishment au pouvoir, à moins bien sûr que vous soyez un juif, un Noir ou une autre soi-disant minorité. Aujourd'hui, nous allons défier la structure de pouvoir contrôlée par les juifs et discuter de la race et de la religion du point de vue de l'homme blanc. En particulier, nous sommes intéressés à examiner si nous, la race blanche, allons survivre ou si nous allons être mongrélisés et détruits dans une marée de races parasites, colorées.
Par conséquent, je veux que vous décidiez prochainement dans cette présentation si vous êtes intéressé par la survie de votre propre espèce ; ou si vous préférez être un traître à la race blanche et la verrez tout aussi rapidement effacée de la surface de la terre et supplantée par des Nègres, des Noirs, des Jaunes, des Sémites et d'autres race de boue. Car ne vous y trompez pas, la race blanche est une espèce en voie de disparition, une espèce en train de se volatiliser, dont les ennemis ont décidé qu'elle devait disparaître de la surface de la terre. Si le suicide de votre propre espèce est ce que vous voulez voir, c'est maintenant un bon moment pour arrêter l'écoute. Si, en revanche, vous êtes fidèle à votre propre espèce et que vous souhaitez que la race blanche survive et prospère, vous, sans aucun doute, n'êtes pas seulement intéressés à entendre parler de la religion de la créativité, mais aussi à devenir membre de notre mouvement religieux.
Comment la grille de lecture marxiste nous conduit naturellement au nationalisme identitaire, racial et de droite dure
Admettons : la France rapatrie ses moyens de production, redémarre ses usines et redonne de l’emploi à tout le monde.
Pour ce faire, le FN doit d’abord gagner les élections en faisant basculer soit (comme aux USA) le vote des retraités en poussant dans le dos une guerre civile les incitant à abandonner leur esprit « rentiers » (le prolétariat et une majorité de fonctionnaires étant déjà acquis à lui) soit le prolétariat immigré (la bourgeoisie métropolitaine et les privilégiés sociaux étant irrécupérables).
Or est-ce que ces derniers allogènes votent en général pour leurs intérêts de classe ?
Nous avons vu aux Etats-Unis que les noirs américains ont voté à 88 % pour Clinton, soit une marginalisation volontaire et un maintien dans la pauvreté assumé, alors que Trump leur propose du travail et donc un espoir de montée sociale.
C’est là où l’explication « sociale » atteint ses limites, nous n’avons pas à faire à des personnes enclins et disposées à une discipline de vie classique (Travail, Famille, Patrie) mais à du parasitage pur, nos mahométans patriotes et réconciliés n’ont aucune notion de civilisation au sens où nous l’entendons, terme signifiant la mise en commun du travail obéissant au principe de la famille élargie, or une famille c’est précisément le partage d’une culture commune et d’habitudes comportementales symétriques. La vie en cité, en gros.
Leur marginalisation volontaire et assumée autour d’un repli identitaire par la religion (musulmans) ou la race (africains) induit qu’ils seront toujours des alliés objectifs du Capital. Les aides sociales sont la clé de voûte de leur positionnement politique.
Soral a beau connaitre des dizaines, voire quelques centaines… de familles intégrées (à défaut de trolls) à leurs sorties d’usines près du métro Saint-Germain-des-Près, il ne connait en rien leurs habitudes de vie (faute d’en côtoyer et de discuter avec, comme les prolétaires le font dans la salle de pause).
En règle général dans le mode de vie musulman, la femme ne travaille pas ou fait de l’intérim court (pas plus de 6 mois) en cas de nécessité absolue (quand le système D n’est plus viable ou pour toucher 6 mois d’allocation chômage du Pôle Emploi pour le reste de l’année), donc les aides sociales leur sont indispensables et logiquement, en terme d’analyse de classe, ils votent PS !
Chez les africains idem, dès lors qu’il y a deux enfants : la femme souvent prolétaire arrête volontairement le travail (et gagne plus en restant à la maison). Voilà ce qu’est une analyse Marxiste, monsieur, de la situation.
Dès lors, les retraités doivent être la cible prioritaire pour arrêter tout ce parasitage, la ligne identitaire et sécuritaire étant la meilleure pour les conquérir : en plus, ils représentent 2 à 3 fois plus de votes potentiels que les immigrés en terme d’électorat.
Et il y en a encore qui ont une lutte fasciste de retard… !
Normal, ils représentent la quintessence même du système : des vieux rentiers métropolitains à l’esprit jouisseur et parisiard, vivant comme des privilégiés sociaux !