Monday 30 July 2012
Théo-Doedalus - L'Angleterre juive Israël chez John Bull
Théo-Doedalus - L'Angleterre juive Israël chez John Bull
Études sur l'histoire et la progressive influence des fils d’Israël dans la société, le négoce, la politique, l'armée, les lettres, les finances et les mœurs britanniques
1913
Regarde pulluler, foules toujours accrues,
Jaillissant de la glèbe et du pavé des rues,
De la nuit des prisons et de l'ombre des tours.
Ceux que l'on extermine et qui vivent toujours!,..
Et tu sauras pourquoi, méprisant ta menace,
Le juif au cou têtu, le juif au doigt tenace,
Le vil juif, exécrable à tout le genre humain,
Sera le Maitre unique, et ton maitre, demain.
ESTHER, REINE D’ISRAËL.
Les juifs dans le monde et particulièrement en pays Britannique au début du XXe siècle
Avant d'étudier plus spécialement comment s'exerce la puissance juive dans le Royaume-Uni, il nous semble nécessaire de jeter un coup d’œil d'ensemble sur les différents pays où cette puissance s'est lentement implantée et peu à peu développée, au cours des deux derniers siècles.
Il n'est guère de contrée, en effet, où le juif n'ait établi son exploitation aussitôt que son flair avisé y pressentit quoi que ce soit d'exploitable. C'est ainsi que le bon historien Capfigue nous le montre se livrant dans l'empire romain à toutes les petites branches du commerce; prenant à ferme les péages et tous les droits du fisc ; vendant des filtres, faisant commerce de prédictions et d'horoscopes ; et, de toutes manières, attirant vers lui et ceux de sa race l'or et l'argent sans jamais rien produire de valable en échange.
Le commerce des esclaves était, comme bien on pense, un des trafics favoris des enfants d'Israël dans l'antiquité. Les pères de l’Église s'en plaignent en maints endroits de leurs écrits. Le souvenirs, en est conservé, d'autre part, dans de nombreuses légendes où l'on voit de saints évêques ou archevêques, en Bretagne et en Gaule, arracher des malheureux aux mains des juifs qui les avaient acquis pour les revendre comme esclaves. Les misérables sans conscience qui font aujourd'hui la traite des blanches, trop impunément, alimentant les mauvais lieux d'Orient ou d'Amérique, avec de pauvres jeunes filles recrutées dans l'Europe occidentale, grâce à de menteuses promesses, d'honorables situations et de postes commerciaux à l'étranger, peuvent, reconnaître là les ancêtres dont ils ne sont que trop dignes.
Les moyens qu'ils emploient aujourd'hui pour arriver à la richesse, et par la richesse à la domination, de tous temps ils les ont employés, avec un égal esprit de lucre et un permanent succès. Aucun scrupule de conscience ne les vient arrêter, puisque tout ce qui constitue le monde des non-juifs est une proie que le Talmud livre à leur rapacité.
Un israélite converti qui vivait au XVIe siècle, Antoine Marguerite, dévoila, entre autres pratiques édifiantes, le sens de l'absolution pascale que les rabbins donnent à leur peuple dans les synagogues : " Les bons juifs sont, de par cette absolution, lavés de tous les actes de mauvaise foi qu'ils ont pu commettre dans le cours de l'année précédente. "
D'après Eisenmenger, l'auteur du Judaïsme dévoilé, publié au XVIIe siècle, cette absolution est préventive, et, si je puis dire, prophylactique; elle s'applique non pas au passé, mais à toutes les actions à commettre dans le cours de l'année qui va s'ouvrir.
Pour montrer à quel prépondérant degré d'influence cette morale pratiquée et appliquée avait poussé les juifs durant tout le moyen âge, - en dépit des oppressions et des persécutions qui maintenaient ou rétablissaient l'équilibre, - il suffira de rappeler que le million de maravedis nécessaire à l'affrètement des caravelles de Christophe Colomb fut avancé aux deux souverains des Espagnes Ferdinand et Isabelle, par Luis de San Angel, trésorier de la maison royale, et Gabriel Sanchen, grand trésorier d'Aragon, tous deux notoirement de race juive, s'ils n'en professaient pas la religion.
La religion, en effet, n'a jamais été un obstacle à l'avancement du juif. Il n'y a pour lui aucune difficulté, lorsqu'il y voit un intérêt pressant, d'en faire bon marché ou plutôt un bon marché, pourrait-on dire, car il la troque volontiers contre une autre plus avantageuse. Les branches catholiques de familles juives sont devenues par là même assez nombreuses. Mais il est bien rare que les caractères ethniques ne persistent pas fort longtemps après le changement de religion. A plus forte raison se maintiennent-ils dans leur intégrité lorsque l'israélite va du judaïsme au protestantisme, comme il est fréquemment arrivé en Angleterre.
L'aversion des protestants pour le culte des images, leur habitude d'étudier l'Ancien Testament, de le commenter et de le citer sans cesse; le nombre des sectes et le principe du libre examen, qui permet de se former une croyance individuelle, sous quelque dénomination que l'adepte se soit enrôlé, rendent infiniment plus facile aux juifs le passage de leur religion originelle à la religion de la réforme. Le révérend Moses Margoliouth, converti lui-même, et auteur d'une Histoire des Juifs, parue en 1846, le reconnaît en propres termes qu'il serait infiniment trop long de reproduire ici. La propagande faite parmi les juifs est d'ailleurs très active et date de loin.
Un des plus curieux documents, sur ce sujet, est une brochure imprimée en 1687. Elle contient deux lettres adressées par un marchand de Londres à un ami d'Amsterdam. La première raconte une controverse ardente qui aurait en lieu chez ce marchand entre le père Saliam, jésuite, et le rabbin Jonathan : celui-ci réduit à néant tous les arguments du prêtre catholique. Dans l'autre lettre, on voit le même rabbin se lancer dans une conférence batailleuse avec certain protestant du nom de Beza, qui obtient des avantages dans ses réfutations. Jonathan exprime, en effet, son estime et sa reconnaissance pour son nouveau contradicteur, qui " a dit beaucoup en peu de mots et a complètement écarté les obstacles que lui, Jonathan, avait cru pouvoir rencontrer sur son chemin. "
Les conversions de juifs furent surtout nombreuses sous le règne de Guillaume III. Il arriva que plus d'un chef de famille se fit baptiser avec toutes les personnes de sa maison. Mais il n'était pas rare aussi que la grâce ne touchat qu'un seul des membres de la famille, généralement des enfants, d'ordinaire plus faciles à circonvenir et plus souvent un jeune hébreu, amoureux d'une fille de Gentils ? Alors, ses parents l'abandonnaient; toute la congrégation juive se tournait contre l'apostat; il y avait autour de lui, et entre ceux de sa race, une coalition qui s'acharnait à le réduire à la misère.
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