July 2012

Monday 30 July 2012

Théo-Doedalus - L'Angleterre juive Israël chez John Bull


Théo-Doedalus - L'Angleterre juive Israël chez John Bull
Études sur l'histoire et la progressive influence des fils d’Israël dans la société, le négoce, la politique, l'armée, les lettres, les finances et les mœurs britanniques
1913

Regarde pulluler, foules toujours accrues,
Jaillissant de la glèbe et du pavé des rues,
De la nuit des prisons et de l'ombre des tours.
Ceux que l'on extermine et qui vivent toujours!,..
Et tu sauras pourquoi, méprisant ta menace,
Le juif au cou têtu, le juif au doigt tenace,
Le vil juif, exécrable à tout le genre humain,
Sera le Maitre unique, et ton maitre, demain.

ESTHER, REINE D’ISRAËL.



Les juifs dans le monde et particulièrement en pays Britannique au début du XXe siècle
Avant d'étudier plus spécialement comment s'exerce la puissance juive dans le Royaume-Uni, il nous semble nécessaire de jeter un coup d’œil d'ensemble sur les différents pays où cette puissance s'est lentement implantée et peu à peu développée, au cours des deux derniers siècles.
Il n'est guère de contrée, en effet, où le juif n'ait établi son exploitation aussitôt que son flair avisé y pressentit quoi que ce soit d'exploitable. C'est ainsi que le bon historien Capfigue nous le montre se livrant dans l'empire romain à toutes les petites branches du commerce; prenant à ferme les péages et tous les droits du fisc ; vendant des filtres, faisant commerce de prédictions et d'horoscopes ; et, de toutes manières, attirant vers lui et ceux de sa race l'or et l'argent sans jamais rien produire de valable en échange.
Le commerce des esclaves était, comme bien on pense, un des trafics favoris des enfants d'Israël dans l'antiquité. Les pères de l’Église s'en plaignent en maints endroits de leurs écrits. Le souvenirs, en est conservé, d'autre part, dans de nombreuses légendes où l'on voit de saints évêques ou archevêques, en Bretagne et en Gaule, arracher des malheureux aux mains des juifs qui les avaient acquis pour les revendre comme esclaves. Les misérables sans conscience qui font aujourd'hui la traite des blanches, trop impunément, alimentant les mauvais lieux d'Orient ou d'Amérique, avec de pauvres jeunes filles recrutées dans l'Europe occidentale, grâce à de menteuses promesses, d'honorables situations et de postes commerciaux à l'étranger, peuvent, reconnaître là les ancêtres dont ils ne sont que trop dignes.
Les moyens qu'ils emploient aujourd'hui pour arriver à la richesse, et par la richesse à la domination, de tous temps ils les ont employés, avec un égal esprit de lucre et un permanent succès. Aucun scrupule de conscience ne les vient arrêter, puisque tout ce qui constitue le monde des non-juifs est une proie que le Talmud livre à leur rapacité.
Un israélite converti qui vivait au XVIe siècle, Antoine Marguerite, dévoila, entre autres pratiques édifiantes, le sens de l'absolution pascale que les rabbins donnent à leur peuple dans les synagogues : " Les bons juifs sont, de par cette absolution, lavés de tous les actes de mauvaise foi qu'ils ont pu commettre dans le cours de l'année précédente. "
D'après Eisenmenger, l'auteur du Judaïsme dévoilé, publié au XVIIe siècle, cette absolution est préventive, et, si je puis dire, prophylactique; elle s'applique non pas au passé, mais à toutes les actions à commettre dans le cours de l'année qui va s'ouvrir.
Pour montrer à quel prépondérant degré d'influence cette morale pratiquée et appliquée avait poussé les juifs durant tout le moyen âge, - en dépit des oppressions et des persécutions qui maintenaient ou rétablissaient l'équilibre, - il suffira de rappeler que le million de maravedis nécessaire à l'affrètement des caravelles de Christophe Colomb fut avancé aux deux souverains des Espagnes Ferdinand et Isabelle, par Luis de San Angel, trésorier de la maison royale, et Gabriel Sanchen, grand trésorier d'Aragon, tous deux notoirement de race juive, s'ils n'en professaient pas la religion.
La religion, en effet, n'a jamais été un obstacle à l'avancement du juif. Il n'y a pour lui aucune difficulté, lorsqu'il y voit un intérêt pressant, d'en faire bon marché ou plutôt un bon marché, pourrait-on dire, car il la troque volontiers contre une autre plus avantageuse. Les branches catholiques de familles juives sont devenues par là même assez nombreuses. Mais il est bien rare que les caractères ethniques ne persistent pas fort longtemps après le changement de religion. A plus forte raison se maintiennent-ils dans leur intégrité lorsque l'israélite va du judaïsme au protestantisme, comme il est fréquemment arrivé en Angleterre.
L'aversion des protestants pour le culte des images, leur habitude d'étudier l'Ancien Testament, de le commenter et de le citer sans cesse; le nombre des sectes et le principe du libre examen, qui permet de se former une croyance individuelle, sous quelque dénomination que l'adepte se soit enrôlé, rendent infiniment plus facile aux juifs le passage de leur religion originelle à la religion de la réforme. Le révérend Moses Margoliouth, converti lui-même, et auteur d'une Histoire des Juifs, parue en 1846, le reconnaît en propres termes qu'il serait infiniment trop long de reproduire ici. La propagande faite parmi les juifs est d'ailleurs très active et date de loin.
Un des plus curieux documents, sur ce sujet, est une brochure imprimée en 1687. Elle contient deux lettres adressées par un marchand de Londres à un ami d'Amsterdam. La première raconte une controverse ardente qui aurait en lieu chez ce marchand entre le père Saliam, jésuite, et le rabbin Jonathan : celui-ci réduit à néant tous les arguments du prêtre catholique. Dans l'autre lettre, on voit le même rabbin se lancer dans une conférence batailleuse avec certain protestant du nom de Beza, qui obtient des avantages dans ses réfutations. Jonathan exprime, en effet, son estime et sa reconnaissance pour son nouveau contradicteur, qui " a dit beaucoup en peu de mots et a complètement écarté les obstacles que lui, Jonathan, avait cru pouvoir rencontrer sur son chemin. "
Les conversions de juifs furent surtout nombreuses sous le règne de Guillaume III. Il arriva que plus d'un chef de famille se fit baptiser avec toutes les personnes de sa maison. Mais il n'était pas rare aussi que la grâce ne touchat qu'un seul des membres de la famille, généralement des enfants, d'ordinaire plus faciles à circonvenir et plus souvent un jeune hébreu, amoureux d'une fille de Gentils ? Alors, ses parents l'abandonnaient; toute la congrégation juive se tournait contre l'apostat; il y avait autour de lui, et entre ceux de sa race, une coalition qui s'acharnait à le réduire à la misère.


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Saturday 28 July 2012

Henry Lucien-Brun - La condition des Juifs en France depuis 1789


Henry Lucien-Brun - La condition des Juifs en France depuis 1789

Cet ouvrage est une étude essentiellement historique. L'importance du sujet, l'abondance des documents, pour la plupart peu connus, suffisent, nous osons le croire, à lui donner un véritable intérêt. L'auteur n'aura à s'en prendre qu'à lui-même si l'ouvrage ne justifie pas les promesses de son titre.
On ne saurait s'attendre, cependant, à trouver ici l'histoire complète des Juifs en France, histoire qui suffirait à remplir plusieurs gros volumes.
Toute la partie de cette histoire comprise dans la longue période du Moyen Age et de l'ancien régime a été brièvement résumée afin de donner un aperçu exact de la situation où se trouvaient les Israélites en 1789, au début de la Révolution Française, qu'on peut considérer, à juste titre, comme le point de départ de leur fortune toujours grandissante depuis lors.
En 1791, deux ans après la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, l'Assemblée Constituante, à la suite de discussions vives et passionnées, accordait aux Israélites la qualité de« citoyens actifs ».
L'Assemblée Constituante, par un texte de loi court et simple, mais d'une portée immense, accordait la naturalisation à tous les Israélites de France. Mais cette naturalisation, si elle avait fait des citoyens, n'avait pu faire des Français. Napoléon le comprit en voyant les Israélites continuer, comme au Moyen Age, la pratique de l'usure, et se soustraire, par des procédés inavouables, au service militaire. Résolu à leur imposer l'accomplissement de toutes les obligations qu'entraine un titre de citoyen, il ne recula devant aucun moyen pour les y contraindre.
Mais si les Israélites n'obtinrent pas de lui tout ce qu'ils en espéraient, son règne fut néanmoins, pour leur cause, l'époque la plus féconde en résultats heureux. L'Assemblée Constituante leur avait accordé la naturalisation, mais rien de plus. Napoléon donna à leur culte (nous verrons par quels moyens et dans quel but) une organisation légale, et l'éleva au même rang que les cultes chrétiens.
Une dernière étape restait à franchir : l'inscription au budget de l'Etat du traitement des ministres du culte israélite. Le gouvernement de Louis-Philippe prit cette mesure décisive qui plaçait dorénavant, aux yeux de la loi, le culte israélite et les cultes chrétiens sur le pied d'une égalité complète.
Tel est, en quelques mots, le sujet traité dans les pages qu'on va lire. La nature de cet ouvrage ne comportait guère la discussion critique, mais l'exposé impartial des faits suffira au lecteur pour juger la politique des pouvoirs révolutionnaires qui gouvernaient la France en 1791, 1808 et 1831, et qui ont établi, dans notre pays, la prépondérance juive.

Friday 27 July 2012

Edouard Joukowsky - Judaïsme




Edouard Joukowsky - Judaïsme
Traduit du Polonais


En présence de l'immense accroissement des juifs, spécialement dans les pays slaves, les populations locales ont commencé à souffrir du fardeau de ces industriels étrangers dont le caractère est absolument particulier; à qui le bien-être du pays et le sort des habitants n'importent guère; dont les richesses, accumulées et acquises par le travail des peuples locaux, sont à jamais perdues ; dont les sentiments et les tendances ont pour objet une autre patrie, et enfin qui confessent une religion inhumaine, hostile à tous ceux qui ne sont pas fils d'Abraham et ennemie de tout travail productif. On s'est aperçu que ce fardeau, dans un avenir très court, deviendra plus lourd encore; les nationaux ont compris que toutes les opérations commerciales et financières ont dès à présent passé entièrement entre les mains ennemies d'Israël. Avec amertume tous constatent ce fait que toutes les villes et les marchés sont envahis par les juifs et que les populations locales ont été refoulées dans les faubourgs, que tous les débits de boissons sont tenus par des juifs, etc ... Cet état de choses donne de justes alarmes à tous ceux qui aiment leur pays et peuvent combiner et comprendre que tout ce qui constitue la richesse et la puissance du pays peut facilement échapper des mains nationales, si l'on n'entreprend aucun moyen de résistance et de défense.
Pour cette raison, en Allemagne et spécialement dans les provinces slaves. où le nombre de juifs est arrivé à un maximum fort inquiétant, la question juive est à l'ordre du jour et demande de plus en plus impérieusement à être résolue. La question est tombée dans le domaine public : on la discute dans les chaumières, dans les salons et jusque dans les sphères gouvernementales; la presse, qui s'érige en tribunal dans toutes les questions sociales, politiques et morales, y a consacré maintes feuilles, et néanmoins la question n'a pas fait un pas, mais reste suspendue comme une épée de Damoclès au-dessus de nos têtes.
Tous les débats écrits et oraux m'ont donné cette conviction qu'en général on ignore complétement ce que c'est que le juif. C'est ce qui m'a porté à publier le présent travail qui, je l'espère, montrera au penseur sérieux la route à suivre pour approfondir et élucider la question et porter ensuite sur elle un jugement efficace et salutaire.
En France et en Allemagne, les savants orientalistes ont jeté de grandes lumières sur l'histoire des Hébreux, histoire dénaturée et falsifiée par les zélés créateurs de la religion judaïque. Des idées religieuses, répétées dans le but de réaliser les vues et les passions des législateurs, furent considérées et envisagées comme une sacrosainteté inviolable, et les faits historiques, vrais faits nationaux et phénomènes sociologiques, furent changés et tronqués pour servir de base à des créations de la fantaisie humaine devant servir à la foi aveugle et passive. Afin de se tromper le moins possible dans ses convictions, dans ses avis et ses jugements, il n'est qu'une voie : affranchir son esprit de tout préjugé et être toujours prêt à sacrifier ses convictions devenues chères parce qu'on s'y est habitué ou qu'elles sont basées sur la foi, être prêt, dis-je, à les sacrifier sur l'autel de vérité démontrée, car elle seule au monde est la vraie sainteté qui mène au bonheur et à l'édification de la dignité humaine.
Il y a beaucoup à éclaircir dans l'histoire de la religion Juive sciemment falsifiée. Le Talmud surtout, qui renferme toute la foi et tous les dogmes juifs, et qui longtemps fut tenu dans le plus profond mystère, est encore difficilement accessible à cause de sa monstrueuse étendue. Il s'est trouvé cependant des travailleurs honnêtes et hardis, comme par exemple le professeur Dr Rohling qui, au courant de la langue hébraïque des livres et surtout des jargons, nous ont dévoilé le contenu et le caractère des livres sacrés juifs. Il convient donc de tirer profit de ce qui est devenu accessible à la science.
Écrire de gros volumes sur l'histoire quarante fois séculaire des Hébreux, et sur l'influence que ce peuple a exercée par sa religion n'est pas, nous le croyons, ce qu'il faut pour l'heure, puisque cela exige de nombreuses années de travail; mieux vaut, au milieu des chaleureuses controverses du jour, se borner à établir les points principaux et les plus caractéristiques et, par un résumé aussi succinct que possible, donner un tableau complet de cette question si intéressante.
Cet aperçu de l'histoire religieuse des Israélites comporte trois divisions : a) L'idolâtrie, b) le Thora, etc) le Talmud. Nous considérons ces trois périodes comme les plus saillantes, comme complétement différentes entre elles et surtout comme exerçant la plus grande influence sur le sort des Israélites eux-mêmes et sur les peuples avec qui ils ont été en contact.

Daszkowka, 1884.


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Thursday 26 July 2012

Augustin-Joseph Jacquet - L'antisémitisme et les vieux partis


Opportunisme, Orléanisme, Impérialisme... tout ça se vaut.
Augustin-Joseph Jacquet - L'antisémitisme et les vieux partis
Lettres d'un curé antisémite à M E. Drumont

Les Lettres que nous réunissons dans ce volume ont été publiées, il y a quelques mois, dans deux des plus importantes feuilles périodiques de Bordeaux et du Sud-Ouest, le Bordeaux Journal et l'Union Nationale.
Quand elles parurent, elles frappèrent r.esprit de ceux qui eurent l'occasion de les lire.
Depuis lors, diverses personnalités éminentes du monde politique nous ont, à maintes reprises, exprimé le désir qu'elles fussent mises sous les yeux d'un public moins restreint que celui de deux journaux de province.
Après de longues hésitations, nous nous décidons à acquiescer à ce désir.
Ce sont des idées qui sont exposées dans ces Lettres, et non des faits appartenant au domaine de la chronique. Elles n'ont, par conséquent, rien perdu de leur actualité. Il y a plus. Loin d'être hors de propos, cette publication vient fout à fait au bon moment. Il est, en effet, des vérités sur lesquelles il n'est pas inutile, à la veille des élections générales, d'appeler l'attention de ceux qui sont encore capables de réfléchir.
Les partis traditionnels soit de droite soit de gauche sont les pires fléaux de notre pays. Grâce à Dieu, ils sont en train de se dissoudre. Il faut qu'ils disparaissent complètement et que, sur leurs ruines et avec les éléments honnêtes qu'ils renferment, se forme le seul parti qui puisse répondre exactement aux véritables aspirations nationales, le parti antisémite.
Il faut, en outre, que les Antisémites militants sachent bien que l'émancipation intellectuelle, morale, sociale et économique du pays ne sera possible que le jour où son émancipation politique sera un fait accompli, c'est-à-dire, le jour ou la République bâtarde que nous ont imposée les constituants orléanistes de 1875, aura fait place à une République digne de ce nom.
Telles sont les vérités que nous voulons faire entendre à nos concitoyens. Dans les Lettres qui suivent, nous les avons affirmées, ces vérités, avec d'autant plus de force que jusqu’ici, bien peu de publicistes et d'hommes politiques ont songé à les proclamer.
Quelques-uns seront peut-être portés à nous considérer comme un adversaire de M. E. Drumont.
Nous protestons d'avance et bien haut contre une pareille imputation.
Nul plus que nous n'apprécie l’œuvre sociale de l'incomparable écrivain. Nous pensons que parmi nos contemporains il sera un de ceux qui auront le plus mérité de la patrie.
Mais si le combat engagé et soutenu par M. E. Drumont est, en soi, le bon combat par excellence, il n'en reste pas moins vrai que sa tactique et défectueuse sur plusieurs points, et que, parfois, ses coups s'égarent de la façon la plus regrettable.
A ce sujet, nous prenons la liberté de lui soumettre quelques observations et, nous laissons le public juge de la justesse de celles-ci. Est- ce là faire acte d'hostilité envers M. E. Drumont ?
Nous ne le pensons pas. C'est tout simplement essayer de servir, selon nos faibles moyens, cette noble cause de l'Antisémitisme dont il est lui-même l'apôtre le plus éloquent et le plus zélé.
Nos observations sont libres et franches, mais elles restent toujours respectueuses et courtoises.
Nous avons, par conséquent, le droit d'espérer que l'éminent directeur de la Libre Parole ne nous en voudra pas de les avoir formulées.
Il pensera, au contraire, que nous avons bien fait.
Mieux que personne il sait que la devise des Antisémites, la France aux Français, ne pourra se réaliser qu'autant que tous les hommes de bonne volonté sauront unir leurs efforts et se communiquer réciproquement leurs lumières.

A.-J. JACQUET.
Décembre 1897.

Les ouvrages d'Edouard Drumont

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Tuesday 24 July 2012

Léonard Gorse - Le fond de la question juive La Terre ou l'argent


Léonard Gorse - Le fond de la question juive La Terre ou l'argent
Qui l'emportera ?

En 1865 le mécanisme économique de l'état social, organisé et exploité par le libéralisme révolutionnaire, tenait encore tête à l'orage soulevé contre lui depuis plus de trente ans. L'agriculture, le commerce, l'industrie se maintenaient en soutenant les luttes imposées par la libre-pensée du libre-échange. Les opérations financières, ce qu'on appelait les affaires étaient surtout en grande voie de prospérité. Un gros financier juif disait à un de nos amis qui parlait de l'agriculture: L'agriculture, ce n'est rien, ça ne donne rien, à peine 2%. L'argent seul est productif, la terre n'a pas de valeur et bientôt elle n'en aura aucune.
Comme couronnement de cette prospérité des affaires d'argent, un projet de loi fut soumis à la Chambre en 1865 pour abroger la loi de 1807 sur l'usure.
C'est contre ce projet de loi, qui ne fut pas discuté en 1865 mais qui a été repris en 1885 et voté à moitié pour accorder la liberté de l'usure en matière commerciale, que je publiai la brochure qui forme la première partie de ce livre.
Dans cette brochure je signalais les périls de l'impulsion donnée aux affaires d'argent, et je ramenais la question aux vrais principes d'une sage et intelligente économie politique chrétienne.
Depuis 1865 nous avons marché, et on peut dire que le train des affaires a été lancé à toute vitesse.
De ce mouvement a jailli la lumière qui met en évidence les périls que j'avais signalés, et qui apparaissent maintenant avec leurs formidables dangers.
L'agriculture se meurt si elle n'est déjà morte, et ce grand moteur de tout ordre matériel brisé, tout s'arrête, tout s'éteint. Plus d'industrie, ni de commerce possible ; plus d'affaires, même d'argent, qui vont toutes s'engloutir dans les immenses cracks de la banqueroute.
La question que je posais en r865 se retrouve donc la même en 1887; je dis la même quant aux principes qui ne changent pas, mais elle s'est posée sur le terrain des faits avec le caractère alarmant que nous lui voyons, et c'est sur ce terrain qu'il fallait l'étudier.
Nous avons donc cru faire œuvre utile en complétant le tableau de cette situation.

Monday 23 July 2012

Isaac Myer - Quabbalah


Isaac Myer - Quabbalah
The Philosophical Writings of Salomon Ben Yehuda Ibn Gebriol

or AVICEBRON
And their connection with the Hebrew Qabbalah and Sepher ha-Zohar, with remarks upon the antiquity and content of the latter, and translations of selected passages from the same.

also
An Ancient Lodge of Initiates,
TRANSLATED FROM THE ZOHAR,
And an abstract of an Essay upon the Chinese Qabbalah, contained in the book called the Yib King; a translation of part of the Mystic Theology of Dionysios, the Areopagite; and an account of the construction of the ancient Akkadian and Chaldean Universe, etc. Accompanied by Diagrams and Illustrations.

By ISAAC MYER, LL. B.,
Member of the Numismatic and Antiquarian Society of Philadelphia; La Société Royale de Numismatique de Belgique; Corresponding Member of the American Numismatic and Archaeological Society, Historical Society of the State of Pennsylvania, etc.

Philadelphia 1888

Sunday 22 July 2012

D. S. Margoliouth - The relations between Arabs and Israelites prior to the rise of Islam


D. S. Margoliouth - The relations between Arabs and Israelites prior to the rise of Islam

When the present writer was invited by his colleagues of the British Academy to deliver three lectures on the Schweich Foundation dealing with early relations between Israelites and Arabs, he felt justified in accepting, having for a long series of years kept the subject in mind ; it had been forced on his attention as a biographer of Mohammed, and as a contributor to varions Dictionaries edited by the late Dr. Hastings, especially the Dictionary of the Bible, where in many or most of the articles dealing with Arabia were entrusted to him. And although the Academy is far removed from political controversies, it might seem that the condition of Palestine which has resulted from the Great War renders the subject of peculiar interest at the present time.
Among the numerous reconstructions of Israelitish history which have appeared in recent years the present writer finds that of H. Winckler in his Geschiclzte Israels on the whole the most attractive, and is otherwise greatly indebted to this eminent Orientalist's books and articles. The monographs of N. Rhodokanakis present the greatest advance which the study of the South Arabian inscriptions has as yet made, and the material which they contain has been utilized in these Lectures. Mr. F. Krenkow, whose acquaintance with early Arabie poetry is probably unique, has furnished the writer with many valuable references. He has also to thank Dr. Büchler for answering a query dealing with some of the matter in Lecture III.

OXFORD, Janury, 1924.

Saturday 21 July 2012

Maurice Rajsfus - Des juifs dans la collaboration L'U.G.I.F. 1941-1944

http://www.the-savoisien.com/blog/public/img7/juifs_collaboration.png
Maurice Rajsfus - Des juifs dans la collaboration L'U.G.I.F. 1941-1944

Des Juifs dans la Collaboration démontre notamment que de nombreux juifs ont participé activement à la déportation de leurs coreligionnaires pendant la guerre et rend caduque l’argument (dominant aujourd’hui) selon lequel l’État français est seul responsable de la déportation des juifs.
L’UGIF, ancêtre du CRIF (les juifs de France n’étaient pas représentés à l’échelon national auparavant), mis en place par Pétain et les nazis (l’UGIF était en relation directe avec la Gestapo), aida à constituer des listes de juifs à rafler et à déporter. Maurice Rajsfus témoigne autant qu’il relate les faits.
Le livre, qui propose une somme impressionnante de documents d’archives, de témoignages et d’analyses, n’a jamais été réédité depuis 1980. Il n’a jamais été débattu dans les médias, par les politiques ou par la communauté juive. Et depuis qu’une bombe a explosé chez l’éditeur, EDI, l’auteur n’a plus jamais parlé de ce livre.


Des juifs dans la collaboration est paru en 1980. L’auteur, le journaliste devenu historien Maurice Rajsfus, est né en 1928, de parents juifs polonais, morts en déportation à Auschwitz, Maurice Rajsfus fut lui-même raflé au Vel d’Hiv alors qu’il n’était qu’adolescent.

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Wednesday 18 July 2012

Auguste Chirac - Les rois de la république Histoire des juiveries


Auguste Chirac - Les rois de la république
Histoire des juiveries

Ainsi écrasé dans le silence, tant par les clergés catholique et israélite, que par les réactionnaires et les parasites du journalisme, je n'avais guère l'espoir d'éclairer qu'en appelant sur mon livre l'attention du parlement. C'est pourquoi, le 18 novembre 1888, j'adressai au président de la Chambre des députés la lettre suivante :

Monsieur le Président
Comme citoyen français et comme électeur, j'ai le devoir de vous faire la communication suivante, qui résulte d'une étude approfondie de la situation matérielle de notre pays.
Si la constitution économique, légale et sociale de la France n'est pas modifiée sans délai en prenant pour base le principe de l'égalité des échanges à l'intérieur comme à l'extérieur, elle marchera, quels que soient, d'ailleurs, les expédients politiques employés, vers une série de catastrophes qui se succèderont dans l'ordre suivant :
1• En 1888, les forces de consommation du pays absorberont la moitié de ses forces de production, ce qui ramènera exactement la situation d'où sont sorties des crises de 1848.
2• En 1890, les forces de consommation absorberont les deux tiers des forces de production, ce qui ramènera exactement la situation ayant caractérisé l'année 1850 et, en outre, ouvrira l'ère du papier-monnaie, centenaire des assignats de 1790.
3• En 1893, les forces de consommation absorberont la totalité des forces de production, ce qui engendrera cette situation qu'il n'y aura plus ni épargne, ni travail, ni réserves, ni monnaie et que, dès lors, la masse affamée exigera impérieusement une liquidation analogue à celle de 1793.
Toutes ces indications résultent de chiffres officiels groupés dans une formule controlable mais irréfutable et que je vous envoie.
Les gouvernements établis depuis 1830 n'ont trouvé qu'un seul moyen de retarder la catastrophe suprême aboutissant à la destruction nationale; c'est la consommation des hommes, soit par leur usure au travail, soit par la fusillade révolutionnaire, soit par les guerres extérieures.
La nation et, comme elle, je suppose, le gouvernement actuel, répudient les hécatombes malthusiennes, toujours faites en faveur du parasitisme capitaliste; cruautés inutiles, d'ailleurs, puisqu'il faut les recommencer périodiquement.
De leur côté, les travailleurs, qui sont le nombre, ne demandent pas mieux que de renoncer aussi à employer leur force, mais c'est à la condition qu'on reconnaitra leur droit de vivre par le travail.
Instituer l'égal échange en commençant par la démajoration du sol, telle est la solution développée dans un ouvrage en deux volumes que j'ai commencé en 1883, terminé en 1885 et publié sous le titre de: Les Rois de la République.
Après avoir dédié le premier volume à la mémoire de Gambetta, j'ai cru devoir dédier le second aux élus d'octobre, républicains et monarchistes.
Au début du mon œuvre, j'ai pris l'engagement public de la communiquer au Parlement, c'est pourquoi j'ai l'honneur de vous informer, Monsieur le Président, que je mets gratuitement à la disposition de la Chambre cinquante exemplaires de l'ouvrage complet, à distribuer à ceux des députés des différents groupes qui se montreraient désireux d'en prendre connaissance.
En conséquence mes instructions sont données à l'éditeur pour que les cent volumes soient déposés à la questure aussitôt que celle-ci aura bien voulu lui désigner les noms.
A vous, Monsieur le Président, je fais dès aujourd'hui l'hommage de l'ouvrage complet,
Et je vous prie d'agréer mes salutations respectueuses.

AUGUSTE CHIRAC.

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Tuesday 17 July 2012

Benoît Priel - Denis Retournard - Multipliez toutes les plantes du jardin


Benoît Priel - Denis Retournard - Multipliez toutes les plantes du jardin
Espèce par espèce
Geste par geste

La multiplication est sans doute l'activité la plus passionnante de tous les travaux de jardinage. Bien des procédés, selon le type de plantes, s'offrent à l'amateur. Semer, bouturer, diviser, marcotter, greffer, autant de techniques, les unes simples, les autres plus complexes, qui font du jardinier un véritable créateur.

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Monday 16 July 2012

Fritz Tobias - The Reichstag Fire


Fritz Tobias - The Reichstag Fire

The fire in the Debating Chamber of the Reichstag on 27 February 1933 has a place in all the history books. Historians, who find so much to disagree about, are for once in agreement, or were until the present book was published. National Socialists – Nazis for short – started the fire, we believed, in order to cause an anti-Communist panic in Germany and so to influence the general election, due on 5 March. The trick succeeded. The German electors took alarm. The Nazis got their majority, and Hitler was able to establish his dictatorship. The Reichstag fire not only explained the initial Nazi success. It also set the pattern for explanations of all Hitler’s later acts. We saw at every stage – over rearmament, over Austria, over Czechoslovakia, over Poland – the same deliberate and conspiratorial cunning which had been first shown on 27 February 1933. Historians, writing about Nazi Germany, did not look closely at the events of that night. They took the central fact for granted: Nazis set fire to the Reichstag; and there was an end of it. Most historians were less sure how the Nazis did it. They used some equivocal phrase: ‘we do not know exactly what happened’; ‘the details are still to be revealed’ – something of that sort. Much evidence was in fact available: police reports, fire inspectors’ reports, large excerpts from the proceedings of the High Court at Leipzig, kept by Dr Sack, Torgler’s counsel. Herr Tobias was the first to look at this evidence with an impartial eye. He took nothing for granted. He was not concerned to indict the Nazis, or for that matter to acquit them. He was that rare thing, a researcher for truth, out to find what happened.


Lettre de Fritz Tobias à Nico Jassies

(Hanovre,) le 18 décembre 2004

Cher Monsieur Jassies !
C'est avec joie que j'ai reçu votre envoi: je vous en remercie cordialement. Il est sur que le petit livre « antisocial » devrait aussi paraitre en allemand.
J'ai beau être particulièrement sous pression en ce moment - une situation malheureusement permanente - , j'en ai lu quelques passages (péniblement, à cause de mon français scolaire largement oublié), par exemple les pages 83 et suivantes, sur Joost Seelen, et le développement des pages 95 et suivantes. Il est bien dommage que ceci reste à peu près inconnu ici.
Récemment, un journaliste autrichien m'a rendu visite et m'a proposé de mettre à jour mon gros bouquin sur l'incendie du Reichstag. Mais c'est pour moi une tâche insurmontable, à cause de la surabondance d'absurdités et de falsifications qui se sont accumulées entre-temps. Le moindre imbécile qui resterait absent d'une telle nouvelle édition viendrait geindre que ses importantes découvertes ont été balayées sous le tapis... J'en ai déjà fait l'expérience.
Le professeur d'université (Hans) Schneider, qui avec son élaboration avait à l'époque tant déçu et effrayé l'Institut d'histoire contemporaine (de Munich) qu'on avait aussitôt tout fait pour empêcher la publication de ses inepties, est maintenant à l'honneur grâce à Fischler : son travail a maintenant été édité à Berlin et doit soi-disant livrer la vérité sur l'incendie du Reichstag, réprimée par l'Institut munichois. Ça fait déjà quelque temps que j'ai commandé ce livre chez mon libraire - malheureusement sans résultat.
Ces dernières semaines, j'ai été amené à penser souvent à vous et aux Pays-Bas. Il y a eu ici d'une part un bruit d'une violence inhabituelle dans les journaux à cause de l'assassinat de Pim Fortuyn et, surtout, Van Gogh et sa problématique spéciale, qui ne se limite pas aux Pays-Bas mais constitue un problème mondial. D'autre part, la presse ici a mis en avant la vie et la mort du prince Bernhard. Ce journaliste hollandais s'est adressé à moi dans l'espoir que je lui apprenne quelque chose sur cette lettre dite « du gouverneur ». J'ai en effet beaucoup de choses sur le prince B., mais rien sur ses contacts avec Hitler.
Je vous remercie aussi, en outre, pour vos amicaux vœux d’anniversaire, qui j'espère arriveront quelque part « là-haut ».
C'est à mon tour maintenant de vous souhaiter tout ce qu'il y a de bon pour votre bien-être personnel, votre avenir professionnel et votre santé, et de vous remercier de vous être engagé clans le combat commun pour la vérité historique et contre « les méchants et les bornés » qui - comme dit Erich Kastner - « ont pour eux le nombre et la force, mais ne joue pas l'offensé, reste en vie pour les contrarier ». Une des raisons pour lesquelles je suis resté « en vie » si longtemps.
Cordiales salutations,

Fritz Tobias

Sunday 15 July 2012

Robert B. Strassler - The Landmark Herodotus




Robert B. Strassler - The Landmark Herodotus
The Histories


The Histories (also known as The History1) of Herodotus is considered the founding work of history in Western literature.2 Written from the 450s to the 420s BC in the Ionic dialect of classical Greek, The Histories serves as a record of the ancient traditions, politics, geography, and clashes of various cultures that were known around the Mediterranean and Western Asia at that time. It is not an impartial record but it remains one of the West's most important sources regarding these affairs. Moreover, it established without precedent the genre and study of history in the Western world, although historical records and chronicles existed beforehand.
Perhaps most importantly, it stands as one of the first, and surviving, accounts of the rise of the Persian Empire, the events of, and causes for, the Greco-Persian Wars between the Achaemenid Empire and the Greek city-states in the 5th century BC. Herodotus portrays the conflict as one between the forces of slavery (the Persians) on the one hand, and freedom (the Athenians and the confederacy of Greek city-states which united against the invaders) on the other.
The Histories was at some point through the ages divided into the nine books of modern editions, conventionally named after the Muses.


From the editor of the widely praised The Landmark Thucydides, a new Landmark Edition of The Histories by Herodotus, the greatest classical work of history ever written.
Herodotus was a Greek historian living in Ionia during the fifth century BCE. He traveled extensively through the lands of the Mediterranean and the Black Sea and collected stories, and then recounted his experiences with the varied people and cultures he encountered. Cicero called him “the father of history,” and his only work, The Histories, is considered the first true piece of historical writing in Western literature. With lucid prose that harks back to the time of oral tradition, Herodotus set a standard for narrative nonfiction that continues to this day.
In The Histories, Herodotus chronicles the rise of the Persian Empire and its dramatic war with the Greek city-states. Within that story he includes rich veins of anthropology, ethnography, geology, and geography, pioneering these fields of study, and explores such universal themes as the nature of freedom, the role of religion, the human costs of war, and the dangers of absolute power.
Ten years in the making, The Landmark Herodotus gives us a new, dazzling translation by Andrea L. Purvis that makes this remarkable work of literature more accessible than ever before. Illustrated, annotated, and filled with maps, this edition also includes an introduction by Rosalind Thomas and twenty-one appendices written by scholars at the top of their fields, covering such topics as Athenian government, Egypt, Scythia, Persian arms and tactics, the Spartan state, oracles, religion, tyranny, and women.
Like The Landmark Thucydides before it, The Landmark Herodotus is destined to be the most readable and comprehensively useful edition of The Histories available.


Friday 13 July 2012

Jean Hladik - Comment le jeune et ambitieux Einstein s'est approprié la Relativité restreinte de Poincaré


Jean Hladik - Comment le jeune et ambitieux Einstein s'est approprié la Relativité restreinte de Poincaré

Une crise profonde va secouer les certitudes des physiciens à la fin du XIXe siècle. Pour y répondre, Henri Poincaré, célèbre mathématicien et physicien, va s'interroger sur les bases les plus fondamentales de la physique, et plus particulièrement sur la notion de temps.
Ses travaux, publiés dans diverses revues entre 1898 et 1905, vont le conduire à poser les fondements de la Relativité restreinte. Les textes originaux, très simples, sont repris dans le présent ouvrage. Ceux qui ne connaissent pas la Relativité restreinte peuvent ainsi comprendre aisément les débuts de cette révolution de la pensée scientifique et philosophique. Ceux qui en ont déjà une certaine connaissance comprendront sans doute beaucoup mieux ce qu'ils en savent déjà.
Début juin 1905, Poincaré publie les formules de base de la Relativité restreinte. Plus de trois semaines après, Einstein regroupe les principes et les résultats énoncés par Poincaré en un texte unique qui sera longtemps considéré comme le seul acte fondateur de la Relativité restreinte. Einstein a-t-il redécouvert indépendamment ce qui avait été publié avant lui ou a-t-il simplement plagié Poincaré ? Quoi qu'il en soit, étant donnée l'antériorité des textes de Poincaré, leur lecture montre que c'est bien lui qui est le véritable fondateur de la Relativité restreinte.

Les travaux de recherches et d'enseignement universitaires de Jean Hladik l'ont conduit à la publication de nombreux ouvrages, entre autres en mécanique quantique et en mathématiques appliquées à la physique. Son livre d'introduction à la Relativité restreinte, publié récemment avec un collègue, constitue un renouveau dans la compréhension des fondements de cette théorie.

Thursday 12 July 2012

Lucien Demeillés - Exercices de musculation


Lucien Demeillés - Exercices de musculation

Observant le principe de Léonard de Vinci qui disait :
" Toi qui prétends par des mots démontrer la figure, le mouvement de l'homme, écartes-toi de cette opinion, car plus tu décriras minutieusement, plus tu confondras l'esprit du lecteur et plus tu t'éloigneras de la chose décrite. "
Lucien Demeillès dans cet ouvrage " exercice de musculation " nous propose des dessins qui n'exigent pas des descriptions longues et ennuyeuses.

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Wednesday 11 July 2012

The Revisionist


The Revisionist - Journal for Critical Historical Inquiry - Volume 1
The Revisionist - Journal for Critical Historical Inquiry - Volume 2

The Dawning of a New Era by Germar Rudolf
In 1996, I had to leave my home country Germany, where publications like the one you are holding in your hand are often subject to confiscation and where its authors and publishers are prosecuted, fined, and sometimes even thrown in jail for harboring dissenting historical views, particularly when ‘Topic No. 1’ is touched, the ‘Holocaust.’
I had run afoul of these German censorship laws and of the ensuing book burning which has been increasingly raging in Germany since the German reunification in 1990. Any reader interested in why Germany issued an international arrest warrant against the publisher of this periodical can find a comprehensive answer in a new book: The Rudolf Report. Expert Report on Chemical and Technical Aspects of the ‘Gas Chambers’ of Auschwitz (see the ad on the back cover of this issue).
After the famous Leuchter Report, which made many claims about the alleged gas chambers of Auschwitz, was torn apart by hostile critics, my own expert report—packed with scientific evidence supporting many of Leuchter’s claims—was hailed as an important relief by the ‘revisionist community.’ As a result, persecution at all levels of German society was unleashed against me. I hit the proverbial establishment brick wall. The only way out of it, so I thought, was to go into exile where I could continue my struggle for scientific knowledge and exactitude, and where I intended to restore my honor. I wanted to prove that I was right.
Hence, in 1997, I started to publish a German language periodical with focus on historical topics that are heavily censored in Germany, be it by social pressure only or even by legal means. It was a daring leap for me, since I knew that sooner or later I would have to face the fury of the German authorities, who would move all levers to get me extradited. I also thought that trying to sell a periodical that is deemed ‘illegal’ by the German authorities might fail due to anxieties of both my potential customers and those in Germany I needed to promote my products. After all, they expose themselves to harassments or outright persecution by German authorities when buying/selling/distributing/advertising my controversial scientific material.
I was correct in expecting that the German authorities would seek my extradition. It has come so far that the German government now considers me one of the biggest threats to their constitution, although all I do is to merely publish historical facts and interpretations, of which the articles presented in this issue are representative samples. How insecure must a government be if it considers harmless articles like those printed in this issue as the most severe threat to its existence?
Over the last ten years, I gained some experience in dealing with persecuting authorities, so I can assure you that all attempts to throw me into a German dungeon for years on end have failed so far and will keep on failing.
My fears about the business risks involved in publishing dissenting scientific material, however, was misplaced. My German periodical Vierteljahreshefte für freie Geschichtsforschung (quarterly for free historical research) is now in its 7th year of publication. It has a fairly stable number of subscribers and receives growing attention from all sides, even from the establishment which has realized that the exact and convincing arguments published in my journals, books, and brochures will not go away by ignoring, badmouthing, threatening, or insulting me. They have to deal with the arguments. I have achieved this performance record under the most difficult circumstances, i.e., producing high quality books and periodicals even though most of the time I had to work from underground and sometimes even while ‘on the run.’ Although the financial support I received was marginal compared to all other individuals and organizations active in this same field, I was encouraged by an increasing number of scholars from all over the world not only to publish English language books (which I do under the imprint Theses and Dissertations Press), but also to start an English periodical featuring articles on controversial historical topics which are ignored by ‘establishment’ publishers.
The background of their reasoning is that for almost ten years now, the existing English language periodicals featuring revisionism basically ignored the research and publishing activities going on abroad, and for various reasons, they also alienated many revisionist writers and researchers. As a result, the English speaking world, i.e., almost the entire world, had no way of finding out about the tremendous scientific progress made by revisionism during those years. Most revisionists have now concluded that after years of trying, without success, the old periodicals cannot be reformed, and so, a new journal needed to be established. Dr. Robert H. Countess, for instance, who is featured in this issue, recently felt that revisionism in the English world is “imploding”, and Prof. Arthur R. Butz called the current activities in this field “comatose.” It took friends and supporters four years to convince me to do something about it, that is, to do the second big leap of my history as a publisher. The result is in your hands.
Right now, the publishing company Castle Hill Publishers is a very small operation. That might change over the next years if this endeavor is successful. But for now, I do depend on— and am tremendously grateful for—the assistance I receive from uncounted volunteers from all over the world. They translate, coordinate research, write and edit articles, review books and journals, and help to operate the world’s largest revisionist website that hosts The Revisionist and thousands of other revisionist books and articles (www.vho.org). Hence, The Revisionist is in fact ‘our’ journal. It is made by and with the help of people like you and me, and it features worthwhile articles without applying as strict an editorial censorship as is the case with other periodicals. With a joint effort, we can and will get revisionism back afloat!
I hope that you enjoy reading this first issue of The Revisionist and that you will help us promote this new and exciting journal.

Tuesday 10 July 2012

Pier Carpi - Les prophéties du Pape Jean XXIII


Pier Carpi - Les prophéties du Pape Jean XXIII

Une femme deviendra Président des États-Unis…
Le mur de Berlin sera détruit et l’Europe unie s’étendra jusqu’à l’Oural…
En Afrique, un dictateur – « fils du Léopard » – bouleversera le continent noir…
Le Pape errera sur les routes du monde…

Ces prophéties qui s’étendent à toute notre planète et qui dévoilent les secrets du futur jusqu’en 2033 n’émanent pas de quelque devin. Elles ont été écrites par celui qui deviendra un jour le pape Jean XXIII : Angelo Roncalli.

En 1935, en effet, alors qu’il est nonce apostolique en Turquie, le futur Jean XXIII entre dans la très secrète société du Temple, après une série d’épreuves initiatiques. C’est à cette époque qu’il rédige ces prophéties jusqu’ici inédites. Des prophéties qui révèlent que le pape Jean XXIII fut aussi un des plus grands mystique de notre siècle.

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Sunday 8 July 2012

Wilmot Robertson - The Ethnostate

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Wilmot Robertson - The Ethnostate

In an earlier book, The Dispossessed Majority, the author was hopeful, but not too hopeful, that a sharp white backlash to minority racism and cultural degeneration might save what appeared to be the doomed United States. Twenty years ago he still believed it possible that his moribund country could revive, clean out its political and cultural Augean Stables, and establish a Pax Americana that would herald a new age of peace, plenty and progress. Now that more than two decades have passed, events are proving that America, as we have known it, is beyond saving. The Majority, that is, the Northern and Western European elements of the population, has lost whatever chance it had to recapture the country it ruled for more than two centuries. Defeatist as it may sound, this does not mean it is too late to save the Majority as a people....
What is called for is a new form of government that would transform socially destructive into socially constructive forces. Race, now actively tearing countries apart, might be helpful in putting them back together but this time in the form of autonomous, relatively self-sufficient collectivities that the author has chosen to designate as ethnostates. Since nothing else seems to be working, since every new day brings with it new demographic horrors, a little rethinking of the fundamental themes and axioms of modem statecraft might be in order.
Although the author is an American, he will not confine his remarks to what used to be his country but will aim many of them overseas. Inescapably, however, his emphasis will be on the United States, not only because of his birth and upbringing, but also because what is happening in the Western world in these parlous times is happening first in America. To employ Spengler’s term, but without accepting his organic view of history, the Decline of the West is accelerating faster in the United States than elsewhere. Consequently, the suggestions advanced in this book for halting and reversing this decline should have the highest priority for the American Majority, the most threatened of white population groups everywhere, South African whites excepted...

The Ethnostate is Wilmot Robertson’s third book. His first, The Dispossessed Majority, was published in 1972 and updated editions came out every two or three years thereafter. As of 1992, more than 100,000 hardcover, softcover and condensed paperback copies had been sold. In 1974, the author’s second book, Ventilations, a collection of essays was published.

The Ethnostate was composed in the years 1985-92, while Robertson continued his work as editor of Instauration, a monthly magazine dedicated to the small group of white Americans who are trying to prevent what was once their country from becoming a 20th-century down-the-tubes Sybaris and a 21st-century Brazil. Instauration is now in its 18th year.
Robertson, who was born in Philadelphia and studied at several colleges in the United States and abroad, also functions as the head of Howard Allen Enterprises, Inc., a book and magazine publisher, whose address is P.O. Box 76, Cape Canaveral, Florida 32920. Booklist available on request.

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Friday 6 July 2012

Philip K. Dick



Philip Kindred Dick, dit Le Maître, né le 16 décembre 1928 à Chicago dans l'État de l'Illinois aux États-Unis et mort le 2 mars 1982 à Santa Ana en Californie aux États-Unis, est un auteur américain de romans, de nouvelles et d'essais de science-fiction.

De son vivant, il a reçu plusieurs prix de littérature, comme le prix Hugo pour
Le Maître du Haut Château, et le prix John Wood Campbell Memorial pour Coulez mes larmes, dit le policier. Alors qu'il a passé la majorité de sa carrière dans une quasi-pauvreté, son apport à la science-fiction est important et certaines de ses œuvres ont été adaptées au cinéma pour devenir des films culte : Blade Runner, Total Recall, Planète hurlante, Minority Report...

Thursday 5 July 2012

Aldous Huxley - Le meilleur des mondes


Aldous Huxley - Le meilleur des mondes

Défi, réquisitoire, utopie, ce livre mondialement célèbre, chef-d’œuvre de la littérature d'anticipation, a fait d'Aldous Huxley l'un des témoins les plus lucides de notre temps.
"Aujourd'hui, devait écrire l'auteur près de vingt ans après la parution de son livre, il semble pratiquement possible que cette horreur s'abatte sur nous dans le délai d'un siècle. Du moins, si nous nous abstenons d'ici là de nous faire sauter en miettes... Nous n'avons le choix qu'entre deux solutions : ou bien un certain nombre de totalitarismes nationaux, militarisés, ayant comme racine la terreur de la bombe atomique, et comme conséquence la destruction de la civilisation (ou, si la guerre est limitée, la perpétuation du militarisme) ; ou bien un seul totalitarisme supranational, suscité par le chaos social résultant du progrès technologique."

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Wednesday 4 July 2012

A Woman in Berlin




A Woman in Berlin


In the early hours of 16 April 1945, civilians in the eastern quarters of Berlin were awoken by a distant rolling thunder. The vibrations were so strong that telephones began to ring on their own and pictures fell from their hooks. Women emerged slowly from their apartments and exchanged meaningful looks with neighbours. They hardly needed to speak. The longawaited Soviet offensive had at last begun sixty miles to their east.


See also : James Bacque

Tuesday 3 July 2012

White Tiger Grand Master Olaf Emil Simon



Olaf Emil Simon - The Law of the Fist

It is my sincere wish to contribute to the history and culture of our countries. For this reason, I am dedicating this book to each and every individual reading it. In a time when the values in our society are challenged and the glorious history of our past is taken for granted, let us not forget how valuable the gift of peace is- a gift which must be cared for if its value is to remain. Throughout the past century, the United States and Canada have grown up together like two brothers. The common border is ample evidence of a peace-loving people. This border has become the longest unarmed boundary in the entire world, where man may walk free and exchange the precious contributions of his cultures without domination. Let us therefore benefit from the knowledge of the Orient, yet not forget nor cheapen our heritage, which has miraculously created a bond of friendship stronger than those of any other nations, a century of understanding, of love and of peace.
- His Holiness The Dalai Seng Shi Grand Master O.E. Simon



Grand Master Simon is nothing short of a living legend in Canadian Martial Arts. Born in Steinort, Germany, in 1929, he escaped from a Russian Death Camp in 1945. After the war, he studied Medicine and then switched to Literature and eventually attained a Ph.D from the University of Jena - one of the oldest and most prestigious Universities in the world.
In 1963, he opened the first martial arts school in western Canada, where Canadian newspapers labeled him as the “Fastest Foot in The West”. His amazing skill, mixed with speed and a flair for the dramatic, earned him international recognition by names like America’s Ed Parker, Okinawa’s Zenpo Shimabuku, and Tae Kwon Do’s Jhoon Rhee. His demonstrations and reputation as a fair referee had Simon in demand all over North America.
His book, “The Law of The Fist”, was first copyrighted in 1969, making it the first book ever written on the subject by a Canadian. He subsequently wrote two more books on the martial arts.
Perhaps the one thing he did that set the martial arts world up for success was his unique and original business ideas that set him apart from so many in the late 1960s and early 1970s. At the time, these ideas were frowned upon but now are considered the norm. Selling annual memberships and running a school as a business not just a club in a back alley were unique and different. He was most certainly a man ahead of his time and he set the standard for today’s schools all over the world, which, in turn, helped make martial arts a household name.


Monday 2 July 2012

Wilmot Robertson - Ventilations


Wilmot Robertson - Ventilations

Ventilations is a series of essays intended as commentaries on and additions to The Dispossessed Majority. Robertson gives special attention to practical advice to young students and activists who would like to resist white dispossession and restore majority power. Of particular interest are essays on resurgent Russian nationalism (“The Kremlin and the Jews”), Christianity and white nationalism (“What about Christianity?”), and racial preservation through territorial partition (“Homage to Kemal Ataturk”–the germ of the thesis of The Ethnostate.)

CONTENTS
1. The Kremlin and the Jews
2. What about Christianity?
3. The Censorship of Silence
4. The Loony Bin or the Great Watergate Purge
5. The High-grading of Henry Kissinger
6. Harsh Advice for Young Majority Activists
7. Productive Activity for Majority Undergraduates
8. A Search for Mental Coordinates
9. Why, for the Time Being, Nothing Much Can be Done
10. Words Across the Sea
11. Homage to Kemal Ataturk
12. A Second Life for Women
13. The Utopian States of America
14. Morality as a Weapon

Wilmot Robertsen was born in Philadelphia, back in he days when America was America. He went to an Ivy League college, studied abread and, after doing his best to keep the U.S. out of World War II, fought in the North African and Italian campaigns as a combat engineer officer. When the war ended he wasted some precious years in a Madison Avenue advertising agency, then studied physics at Berkeley. Business finally beckoned and he started a small scientific company in the San Francisco Bay Area, accumulating enough funds in the process to take a few years off and put the finishing touches on the manuscript that eventually was published as The Dispossessed Majority. Mr. Robertson new has a mundane job in Florida and in his spare moments, in addition to writing a sequel to Ventilations, is trying to help Howard Allen become an influential publisher of books designed to dispel the woeful ignorance that conceals the true causes of the Majority's dispossession.

Sunday 1 July 2012

L'ombre de la lune...


Webmestres, blogueurs, internautes :
lier ces sites : Histoire Ebook, Balder Ex-Libris, Aryana Libris et wawa-conspi
La survie de ces bibliothèques en ligne dépend de leurs visibilités.


In the shadow of the moon,
She danced in the starlight
Whispering a haunting tune
To the night...
Velvet skirts spun 'round and 'round
Fire in her stare
In the woods without a sound
No one cared...
Through the darkened fields entranced,
Music made her poor heart dance,
Thinking of a lost romance...
Long ago...
Feeling lonely, feeling sad,
She cried in the moonlight.
Driven by a world gone mad
She took flight...
"Feel no sorrow, feel no pain,
Feel no hurt, there's nothing gained...
Only love will then remain,"
She would say.
Shadow of the Moon...
Shadow of the Moon...
Somewhere just beyond the mist
Spirits were seen flying
As the lightning led her way
Through the dark...
Shadow of the Moon...