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Adrien Arcand - La révolte du matérialisme
“Notre devoir devant les faits”
Causerie prononcée à Montréal
Préambule
La lutte à finir qui se poursuit de nos jours sur toute l’étendue de la terre, est vraiment la lutte du matérialisme contre tout spiritualisme, la bataille implacable de la matière contre l’esprit. Le Communisme qui régit tous les territoires dans l’orbite de Moscou, s’affirme ouvertement comme le culte et l’organisation du matérialisme ; il affirme que tout n’est que matière, qu’il n’y a ni au-delà, ni divinité, ni âme humaine. Donc, pas d’autre nécessité, pas d’autre foi, pas d’autre espoir qu’en la matière.
La plupart des autres pays non-communistes sont régis de façon invisible par la franc-maçonnerie, dont les chefs suprêmes ont exactement les mêmes convictions et visent au même but final, mais par des moyens plus détournés, plus hypocrites, dosant tous leurs mouvements dans une gradation aussi diabolique qu’habile.
Ce sont là des vérités sommaires, presque des lieux communs, que n’importe quel chercheur peut trouver en peu de temps. Mais néanmoins, ce n’est qu’une parcelle de vérité sur la question, un premier aperçu, et ce n’est pas encore suffisant pour comprendre pleinement le péril qui nous menace, pour nous en libérer, pour vaincre finalement l’ennemi.
Quand on veut se donner la peine assez ardue d’explorer la grande conspiration dans son dernier repaire, on fait des découvertes vraiment étranges et l’on perçoit des choses que tout le dispositif de la conspiration ne permet pas de soupçonner. Je vous ferai grâce d’une infinité de détails là-dessus, et vous résumerai succinctement les faits. Ces faits constituent la Vérité, cette vérité qu’il n’est pas permis de publier, de dire, voire même d’avoir l’audace de tenter de connaître.
La Vérité cachée, inconnue même des masses juives, la voici :
L’or, maître du monde
La ploutocratie juive internationale, c’est-à-dire la Haute Banque Mondiale de l’Or, est l’autorité suprême qui conduit la vie financière et économique du monde. C’est de ce groupe que Henry Ford disait, en 1921 : « Eliminez cinquante juifs influents, et vous n’aurez plus de guerres, de révolutions, d’effondrements économiques, de crises de chômage ni de communisme. »
Cette ploutocratie juive des rois de la finance réside à Wall Street ; elle a autant d’influence sur le Kremlin que sur la Maison Blanche. C’est ce qui explique que, en tout ce qui concerne l’avancement de la conspiration mondiale, Washington et Moscou ont conjugué leur action depuis 1933. Leurs mésententes ou querelles publiques, suscitées par Wall Street pour la galerie et pour dérouter l’opinion mondiale, ne nuisent en rien au progrès du complot.
Leur affaire de Corée, par exemple, n’a servi qu’à instaurer l’armée ou la police mondiale, et à pousser l’Amérique à établir un système de militarisme et de garnison permanent, nécessaire pour étouffer les initiatives et les libertés des nationaux, tout en les dépouillant par les taxes et un coût de la vie toujours plus élevés.
Cette ploutocratie juive exerce l’autorité et l’influence suprêmes sur le Communisme, sur la Franc-Maçonnerie et les autres associations et sectes qui en découlent.
Les chefs suprêmes de la grande conspiration matérialiste ne sont pas des matérialistes. Ce sont ce qu’on appelle chez les ignorants de « bons juifs », des Juifs de synagogue, qui soutiennent la synagogue, et, au besoin, pour leurs fins, soutiennent des institutions chrétiennes.
Les hommes « sans âme »
Ce qu’on appelle « le bon juif » est plus dangereux que le Juif non-pratiquant. Car le Juif de synagogue est complètement saturé de Talmudisme et il croit aux enseignements du Talmud, qui a fini par prévaloir sur la Torah ou l’Ancien Testament.
Le Talmud, même dans ses éditions modernes, enseigne que le Dieu unipersonnel des Juifs, Jéhovah, ne reconnaît et n’aime qu’un seul peuple, qui est son élu, qui est le peuple saint, parce que seul le Juif a une âme ; que les autres êtres humains, les Gentils ou goyim sont des êtres sans âme, créés uniquement pour être utiles au Juif, pour le servir, pour l’enrichir, pour être conduits et régentés par le Juif. D’après le Talmud, toutes les religions des goyim sont des idolâtries et doivent être effacées de la terre, pour que seul le Judaïsme, la vraie religion, subsiste universellement. Lorsque seul le Judaïsme subsistera, les goyim devront en prendre connaissance et reconnaître enfin l’onction, la royauté d’Israël, devant laquelle ils devront docilement s’incliner, en acceptant leur sort définitif de serviteurs du peuple-élu.
On se rappelle encore l’action en libelle intentée contre le journal La Croix, de Québec, par les Juifs. Devant le tribunal, l’un des rabbins les plus éminents de Montréal rendit témoignage. Lorsqu’il affirma que le Judaïsme croit à l’enseignement d’ « aimer Dieu et son prochain comme soi-même », la question lui fut posée : « Sous votre serment, est-ce que le non-juif peut être le prochain du juif ? » et il répondit catégoriquement : Non. La croyance juive est encore la même qu’au temps où le Christ racontait la parabole du bon Samaritain, qui scandalisa si fortement les rabbins de l’époque.
L’irréligion, l’athéisme, prêchés par le communisme et les autres organisations, ne sont qu’à l’intention des Gentils, afin de les mieux subjuguer. Si le communisme parvenu au pouvoir frappe avec tant de fureur rageuse les religions et les temples des Gentils, il ne moleste pas la synagogue. Bien au contraire. Un bulletin de l’Intourist soviétique publié entre les deux guerres, nous donnait la photographie de la cathédrale Saint-Isaac, la plus grande de Léningrad, transformée en musée antireligieux. Depuis cette époque, on a bâti à Léningrad une synagogue nouvelle, aussi grande et imposante que n’importe quelle basilique majeure de Rome. La dernière édition de l’Encyclopédie Juive en donne la photographie, au mot Léningrad, et ajoute que le gouvernement soviétique a fourni une partie des fonds pour ériger cette énorme construction. Ainsi, pendant que le gouvernement juif de Moscou transformait les temples chrétiens en salles de danse, musées antireligieux, maisons de prostitution, clubs, écuries ou casernes, il bâtissait la reine des synagogues avec les trésors arrachés aux églises des Gentils.
La domination du monde
En somme, la lutte du matérialisme, quand on comprend bien le fond de la question, est la lutte du spiritualisme judaïque contre tous les autres spiritualismes, particulièrement le spiritualisme chrétien. C’est le cadavre de l’Ancien Testament qui veut ressusciter et s’imposer sur les ruines du Nouveau Testament. Si, pour nous, goyim, ce doit être une affaire d’irréligion et d’athéisme, pour les Juifs c’est une affaire essentiellement religieuse, une poussée générale de tous leurs organismes vers un messianisme terrestre, vers la domination du monde par les Juifs, la domination du Judaïsme sur la pensée humaine. Voilà la vérité, l’unique Vérité, sur la conspiration communiste, la Vérité qu’il faut taire, et je sais ce qu’il en coûte pour avoir le courage de la dire.
Si le Talmud disait la Vérité, s’il était vrai que nous n’avons pas d’âme, que nous ne sommes que du bétail, alors j’admettrais le premier que le plan juif est justifié, qu’Israël a raison et a droit d’agir comme il le fait, que son complot suprêmement logique avec ses prémisses a raison d’être et s’impose.
Mais, malgré les prétentions d’Israël, nous avons une âme, nous avons un spiritualisme, et c’est ce qui fera la perte du Juif si convaincu du contraire, c’est ce qui fera avorter son complot et réduira à néant toute sa puissance et tous ses efforts. Et puisque nous avons une âme, il y a nécessairement un monde et une vie spirituel, il y a fatalement un Esprit suprême qui a fait cette âme, il y a un Dieu, une Révélation et tout ce qui s’ensuit.
La quantité et la qualité
Trop souvent on confond le spirituel avec le surnaturel, parce que le surnaturel est d’essence purement spirituelle. Mais ce qu’on convient d’appeler la Loi Naturelle englobe à la fois le spirituel et le matériel. On est presque toujours porté à ne concevoir la Loi Naturelle que comme la loi régissant les choses sensibles de notre planète et du monde visible. C’est une erreur. De vraies distinctions fondamentales, il n’y en a qu’entre l’Incréé et le créé, entre l’Infini et le fini, entre le Divin et le non-divin, entre le Créateur et la créature. Il est de la nature des Anges d’être de purs esprits, et il y a conséquemment une Loi Naturelle qui les régit ; il est de la nature des hommes d’être temporairement des esprits et des animaux, et ils tombent sous le coup de la Loi Naturelle, tant pour leur esprit que pour leur corps. La Loi Naturelle, dont malheureusement on ne cite trop souvent que quelques aspects, est la loi générale régissant tout le domaine du créé, soit spirituel, soit matériel. C’est la loi qui régit la nature de tout et de tous.
Et cette loi, d’après les traces qu’elle nous fait voir, comporte un équilibre, une équivalence que rien ne peut rompre, entre le spirituel et le matériel, dans le domaine humain.
Cette loi nous indique clairement que le matériel ne peut s’évaluer que par la quantité, que le spirituel ne peut s’évaluer que par la qualité. Ainsi, un homme est d’autant plus riche que la quantité de ses richesses est grande ; il est d’autant plus juste que la qualité de sa justice est affinée, intense. Et, comme il est vrai que l’esprit domine la matière, il est pareillement vrai que l’intensité du spiritualisme l’emportera toujours sur la quantité du matérialisme.
Pour sauver Sodome et Gomorrhe, plongées dans les tréfonds du matérialisme, Dieu demanda de trouver seulement cent, cinquante, vingt, dix justes, c’est-à-dire seulement dix hommes d’un spiritualisme suffisant pour compenser le matérialisme de plusieurs centaines de milliers d’hommes. On a vu des êtres humains d’un spiritualisme tellement intense, tels François d’Assise, Thérèse d’Avila, que la qualité de leur spiritualisme suffisait à sauver et régénérer des peuples entiers menacés de couler à pic dans le matérialisme.
Toute action, tout mouvement physique met en opération des forces qui agissent dans le monde physique et qui souvent, par leur suggestion ou autrement, influent sur l’esprit. De même, toute action ou mouvement de L’esprit met en opération des forces qui peuvent agir dans le monde physique.
Quand l’équilibre est rompu
Il y a, chez l’être humain, une espèce d’équilibre dans l’action et l’interaction du spirituel et du matériel ; lorsque cet équilibre est rompu, l’être en souffre dans l’une ou l’autre de ses parties composantes. Puisque l’esprit est d’essence supérieure à la matière, il garde toujours l’autorité prédominante, de même que l’influence supérieure. Lorsque le physique, par ses exigences et son action, réussit à prendre l’ascendant sur l’esprit, celui-ci, sans rien perdre de ses possibilités de primauté, devient comme paralysé, asphyxié par la rupture de l’équilibre. Il faudra, à l’être ainsi déséquilibré, un effort de volonté, un effort de l’esprit, héroïque, presque surhumain, pour que son côté spirituel reprenne l’ascendant sur son côté matériel. Généralement, l’affliction et la douleur sont les agents principaux qui peuvent susciter cet effort.
Il en est de même pour un peuple, pour la société en général, pour l’humanité, tout comme pour l’individu. La seule arme qui peut vaincre le matérialisme, c’est le spiritualisme. Et quand je vous dis cela, c’est uniquement en considérant la nature même de l’homme, sa composition, bien indépendamment de toute notion ou tout enseignement religieux. Car l’existence de l’esprit est, avant tout, une question de fait. Il existe ou n’existe pas.
Quand le Communisme heurte de front le sens familial, le sens national, le droit de propriété, il attaque la Loi Naturelle dans quelques-unes de ses manifestations ou exigences les plus évidentes. Mais il violente encore plus la Loi Naturelle quand il cherche à éteindre le spiritualisme en l’homme, dont la nature est d’être à la fois esprit impérissable et corps physique périssable.
Si, comme le croit le Juif Talmudiste, le goy ou Gentil n’avait pas d’âme, rien ne pourrait arrêter la marche triomphale du Communisme, rien ne pourrait empêcher la victoire complète et définitive du plan des arrière-loges. Mais leur erreur capitale, c’est de nier que les Gentils ont une âme, qu’ils ont une vie spirituelle, et surtout une pathologie spirituelle qui constitue la plus grande puissance qu’il y ait en ce monde.
Tout assaut du matérialisme contre le spiritualisme met automatiquement en mouvement, par réaction inévitable, une activité spirituelle. Et cette activité est d’autant plus efficace, puissante, que sa qualité est intense.
L’Église Catholique comprend évidemment le jeu de cette équivalence et de ces forces, lorsqu’elle les met en action par la prière, la pénitence, la volonté de sacrifice, l’acceptation de l’épreuve, qui sont de puissants mouvements de l’esprit. Ce n’est pas mon rôle de commenter les énormes forces supplémentaires qu’elle y ajoute par l’intervention du surnaturel par la grâce. C’est un tout autre domaine.
Besoin impérieux et constant
Le Communisme croit peut-être avoir fait d’immenses progrès quand il a conquis, par exemple, les vastes populations et ressources de la Chine, augmentant ainsi son avoir matériel. Mais, il a fait des pertes correspondantes en suscitant, par la douleur que des millions de Chinois et le reste du monde en ont ressenti, un avivement du spiritualisme ; et si ce spiritualisme est d’une intensité plus grande qu’il ne faut, pour compenser la quantité de l’avance matérialiste, il s’ensuit que le matérialisme est le perdant ; la claire vision de sa défaite n’est qu’une question de temps. Le jeu de la loi est le même pour toutes les conquêtes apparentes du Communisme, en Europe, en Asie, ou ailleurs. De par la Loi Naturelle, jamais la matière ne pourra vaincre l’esprit, sur cette terre, à moins que l’homme ne renonce délibérément à son propre esprit.
De tout temps et sous tous les climats, le besoin du spiritualisme a été aussi impérieux, chez l’homme, que ses besoins matériels et il s’est manifesté en conséquence ; ce besoin et ces manifestations se sont révélés avec une constance et une permanence telles, que nier l’existence de l’esprit chez l’homme ne saurait être que le fait d’une déficience mentale, ou l’aberration d’un aveuglement, comme seul le Talmud peut en produire.
L’assaut le plus orgueilleux
La lutte affreuse poursuivie contre l’esprit, contre la nature même de l’homme, constitue l’assaut le plus orgueilleux qui se soit encore vu, contre la Loi Naturelle. Celle-ci, qui n’est en somme que l’expression de la volonté du Créateur, n’a jamais été vaincue par qui que ce soit, sauf par Jésus-Christ, qui s’est ressuscité Lui-même. Plus on la viole, plus elle se venge cruellement. Plus fortement et plus longuement on comprime l’action de la Loi Naturelle, plus violemment elle explose à la face même de celui ou ceux qui la défient. Par le spectacle que le monde nous offre depuis quelques années, la saine raison permet de croire que le point de saturation qu’il n’est pas permis de dépasser sera bientôt atteint, s’il ne l’est pas déjà ; que la réaction du spiritualisme atteint chaque jour un degré d’intensité plus vive, et que cette réponse de l’esprit dépasse de beaucoup par sa qualité la somme du matérialisme lancé dans la lutte.
Quand elle se venge, ce ne sont pas des idées que frappe la Loi Naturelle ; ce sont les êtres réels qui tombent sous sa régie : hommes ou choses. Devant elle, argent, organisation, propagande, complots, ne sont absolument rien. Bientôt nous verrons sa réaction faire crouler, comme un château de cartes, l’ensemble de ces organismes et ces internationales qui se croient gigantesques et tout-puissants.
La réaction sera mondiale
Jamais, dans notre mouvement, nous n’avons cru à la haine, à la vengeance, à la violence ou la brutalité, bien que nous en ayons été plusieurs fois victimes. C’est immensément pénible de voir des êtres humains, quels qu’ils soient, souffrir et gémir, même quand c’est du résultat de leur propre conduite. Mais, que pouvons-nous faire, quand la Nature elle-même déchaîne l’inflexible et inexorable justice du jeu de ses lois ?
Ceux qui ont organisé et propagé la Révolution Mondiale vont l’avoir, leur révolution ; mais, dans sa dernière phase, elle se retournera contre ses auteurs.
Si le semeur de vent récolte la tempête, ceux qui ont semé le désordre et la révolte récolteront l’anarchie et une ruée aveugle contre eux-mêmes.
Ce n’est pas impunément qu’on accable l’humanité entière de guerres, de révolutions, d’orgies de sang, de persécutions, d’usure financière, de déséquilibre économique, de fausses théories et de mensonges ; ce n’est pas impunément qu’on immole en 30 ans cent millions d’êtres humains, sur l’autel de ses convoitises ; la Loi veut qu’on en récolte la moisson.
Quand, à l’horloge du destin, sonnera l’heure terrible de la reddition des comptes, que des peuples entiers préparés à ne plus écouter aucune autorité, ouvriront soudainement les yeux et verront toute la Vérité, il n’y aura sur cette terre ni autorité religieuse, ni autorité civile, ni autorité militaire qui pourra se faire entendre à ces foules et les empêcher de se lancer en tumulte contre les conspirateurs qui auront torturé l’humanité.
De même que le mensonge a régné partout au même moment, de même que la conspiration a été simultanément universelle et globale, de même l’impétueuse et incontrôlable réaction sera mondiale. Dies irae, dies illa : jour de colère que ce jour-là ! Et personne n’y pourra rien faire.
L’esprit va tout balayer
Dans l’intervalle, tout ce qui peut se produire n’a qu’une importance relative et mineure. Ce qui compte, c’est la victoire finale de la Vérité sur l’Erreur, du Bien sur le Mal, de l’Ordre sur le Désordre, de l’Esprit sur la Matière. Douter un seul instant de cette victoire, c’est douter de Dieu même et de Ses lois. À quelque prix que ce soit, à quelque péril qu’on s’expose, il faut continuer de servir et proclamer la Vérité. Nous sommes assurés de triompher avec elle, c’est tout ce qui compte. Le reste a si peu d’importance que, s’y arrêter un seul instant, c’est diminuer sa propre stature d’homme, c’est descendre au niveau de l’ennemi. Tout l’appareil des puissances matérielles, cela se résume à Zéro majuscule, devant l’Esprit qui peut et qui va tout balayer Plus l’opposition matérialiste qu’il y a devant nous est grande en quantité, plus nous devons affiner notre spiritualisme en qualité et en intensité, surtout par la souffrance, surtout en souffrant la souffrance des autres déjà plongés dans le creuset brûlant de l’Histoire. Quand viendra le choc final, nous serons les mieux armés, nous serons les plus forts ; et nous verrons, témoins favorisés de toutes les époques humaines, l’Esprit renverser, d’un souffle de feu, la misérable accumulation de matière dans laquelle d’autres hommes, fils de Dieu pourtant, avaient mis exclusivement leur foi, leur espérance et leur amour.
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